L'Île de Marana Chapitre 06

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Arno se retrouve nu aux sources avec plus de géantes.
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Partie 6 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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— Quand tu arrives à Mar'Oda, me dit Biba, va à l'Auberge Bleue. Notre cousine Sal'Lah en est la propriétaire. Elle te soignera bien.

— Remets-lui ce message, me demande Lona en me remettant un rouleau de papier.

— Quand j'étais à la police, il y avait des téléphones, pourquoi n'en avez-vous pas?

— Nous n'aimons pas tous ces moyens modernes. Parfois c'est nécessaire, surtout pour celles qui sont en contact avec le reste du monde. Sinon, nous avons encore des pigeons voyageurs.

— Je vous remercie pour votre accueil, poursuis-je. Vraiment, je reviendrai avant de partir. Combien vous dois-je?

— Rien du tout. Tu as même travaillé pour nous, tu ne dois rien.

— Merci dans ce cas.

Après quelques effusions, je m'habille et harnache mon sac à dos avant de continuer mon chemin sur la plage pour remonter vers Mar'Oda.

Quand le soleil est au zénith, j'atteins un promontoire qui surplombe une petite qui coule en cascade dans la mer. Sur ma droite commence les contreforts d'une montagne, enfin plutôt une grande colline de roches. Je me demande quelle est la surface de cette île. Elle devrait apparaître sur la carte, j'ai au moins marché 80 km depuis mon départ du port d'arrivée. Ce n'est pas rien. Et je suis toujours dans le sud, il paraît que le nord est encore plus grand et qu'il est interdit.

Je m'assieds et me repose un moment en mangeant les sandwiches préparés par Biba.

J'entends du bruit et des éclats de voix dans une langue totalement inconnue. Un peu plus tard, je vois apparaître quatre filles de type indien. Elles sont assez jolies. C'est rare, me dis-je. Il me semble que les Indiennes sont encore assez casanières et ne partent pas en vacances ainsi toutes seules. Elles m'aperçoivent et approchent. Heureusement, elles parlent anglais.

— Bonjour, me dit la première, tu viens de Mar'Sil?

— Oui.

— C'est encore loin?

— Je pense 80 km, j'ai fait trois jours et demi de marche. Il y a une auberge à une demi-journée d'ici.

Les filles me dévisagent et s'asseyent en face de moi, en demi-cercle, puis sortent quelques victuailles.

— Ca fait longtemps que tu es sur l'île? Me demande une autre fille.

— Non, six jours. Et vous?

Les quatre filles sont vêtues de shorts et de chemises de randonnée.

— Cela fait près d'un mois, nous voulons partir, cet endroit est l'enfer.

— Ah bon? Pourquoi?

— Tu as remarqué la population? Ce ne sont que des femmes noires géantes. Elles ne sont pas très gentilles. Et tous les garçons disparaissent. Nous avions rencontré des copains ici, ils ont tous disparu. Plus tu avances vers le centre de l'île, moins tu vois de garçons.

— Sur le bateau qui nous a emmenées, poursuit une autre, il y avait plein de mecs. On en voyait plein, et puis plus rien. Nous avons visité Mar'Salla, il n'y a aucun mec là-bas.

— Et que deviennent-ils?

— Nous ne le savons pas.

— Tu as remarqué ces femmes géantes? Quand un mec est tout près, il a une grosse érection. Elles dégagent des phéromones comme personne, et vous les mecs, vous êtes excités.

— Comment sais-tu cela?

— Nous sommes étudiantes en biologie. Mais tous les mecs ne répondent pas de la même façon, et j'ai l'impression que certains deviennent nerveux. Tu as vu leur taille? Et s'ils n'ont pas la bonne réaction, elles sont fâchées.

— Mais vos copains, comment ont-ils disparu?

— Ils se faisaient arrêter tout le temps. Le premier qui était avec nous a été arrêté très vite. On nous a dit qu'il trafiquait. Ensuite, le deuxième nous a quitté pendant la nuit. Il a disparu. Les autres aussi. Tu verras, si tu croises des filles, elles te diront la même chose.

— J'ai eu une autre expérience. Les femmes que j'ai rencontrées ont été agréables avec moi, sauf les policières. Toujours à me foutre à poil et m'humilier.

— C'est ça. Nous allons quitter ici le plus vite possible. Et tu ferais mieux de venir avec nous.

— Je veux visiter le temple doré. Je viens d'arriver.

— Tu risques de ne jamais revenir. Enfin, c'est ton choix.

— A la prochaine auberge, Biba et Lona sont vraiment très sympas.

— Tu leur as montré que tu aimais les femmes noires? Et surtout les géantes?

— Euh oui, réponds-je. J'ai été élevé par des femmes noires. Enfin, de taille normale.

— C'est sans doute un avantage. Bon, bonne chance.

Les filles se lèvent et poursuivent leur chemin.

Je reprends également la route un peu plus tard. Il y a un passage sur un pont suspendu un peu plus loin et je me retrouve de l'autre côté de la petite rivière.

Il n'y a plus rien. La plage est faite de rochers au lieu de sable et c'est plus dur pour avancer. Heureusement, je trouve un petit sentier un peu plus loin à l'intérieur des terres.

J'arrive vers 16h je crois au début d'un bourg. Quelques maisons, des fermes et puis ce qui apparaît comme un village de la Renaissance, des maisons à colombages et des rues pavées. C'est rustique et très propre, comme si tout venait d'être construit hier.

J'arrive à l'entrée du bourg sans avoir encore vu quelqu'un. Et puis je vois passer une géante noire sur un cheval immense, probablement quatre mètres à l'encolure. Quelle belle bête! Il me faudrait une échelle pour grimper là-dessus.

— Bonsoir madame, commencé-je, excusez-moi, pouvez-vous me dire où se trouve l'auberge bleue?

Dans un premier temps, elle paraît surprise puis me toise quelques instants avant de répondre.

— Traverse la rivière, et tu prends à droite, tu l'a verras sur ta gauche. C'est assez visible.

— Merci beaucoup madame. Au revoir.

Elle poursuit son chemin mais se retourne pour regarder ce que je fais. J'avance et trouve un pont de pierre qui enjambe la rivière, large d'une bonne vingtaine de mètres. Plusieurs bateaux immenses sont amarrés vers l'embouchure et je vois des femmes noires géantes s'affairer sur les berges, une centaine de mètres en aval. Pendant un moment, je me poste au milieu du pont pour admirer ce gros village et son activité. Un bateau fluvial arrive depuis l'intérieur. C'est une barge qui transporte des grosses caisses. Il n'y a pas de rames qui de voile, et je n'entends pas de moteur. Comment peut-il donc se mouvoir? Les trois géantes noires sur le pont m'aperçoivent et me regardent un moment. Je dois être sans doute une attraction, une bête de foire. Et puis, je repense aux histoires des Indiennes. Est-ce vrai? Si oui, les filles qui ont quitté cette île ont dû parler et alors il y aurait une enquête. Les Américains viendraient et enverraient des troupes. Je ne le crois pas, ces femmes sont trop gentilles avec moi. J'adore ces femmes géantes.

Je poursuis mon chemin quand le bateau a complètement dépassé le pont, et croise un groupe de quatre géantes noires qui portent des sacs. L'une d'elle porte un arc et une épée et semble une puissante guerrière. Je ne voudrais pas me frotter à elle.

Enfin, l'auberge bleue. Effectivement, elle est très reconnaissable. Le grand bâtiment est en fin du village, en tout cas de ce côté de la rivière, et les murs sont bleus, un beau bleu qui semble en pierres naturelles, des pierres que je n'avais jamais vues auparavant. Je pousse la porte immense en me pendant d'abord à la clenche qui se trouve à trente centimètres au dessus de ma tête. Enfin, je me trouve dans l'Auberge.

Une belle grande femme noire vêtue d'une robe blanche et verte avec un corset de cuir brun m'accueille.

— Bonsoir, me dit-elle, bienvenue à l'Auberge Bleue.

— Bonsoir madame, est-ce que vous avez une chambre pour la nuit?

— Bien sûr.

— Ce sont vos cousines Biba et Lona qui m'ont recommandé à vous. Etes-vous Sal'Lah?

— Oui. Mes cousines t'envoient? Alors, tu vas avoir un bon traitement.

— Et elles m'ont remis cette lettre pour vous.

La femme se place devant moi et se penche pour prendre le rouleau. Elle l'ouvre et le lit brièvement.

— Excellent, mon bel Arno. Elles me disent que tu es un garçon formidable dont il faut prendre grand soin. Viens, je vais te montrer ta chambre.

Nous prenons un couloir qui donne sur un patio et un jardin en carré autour duquel donnent plusieurs portes. Nous prenons l'une d'elles.

— Voici ta chambre.

A nouveau une pièce simple, mais cette fois, tout est à ma taille. Le lit, la table, l'armoire. Je dépose mon sac par terre.

— Merci, cela semble parfait.

— Combien de temps vas-tu rester?

— Je ne sais pas, je voudrais remonter à pied vers Mar'Salla.

— C'est un beau voyage. La douche est dehors.

— Merci, j'en ai bien besoin.

Sal'Lah reste à l'entrée de ma chambre. J'ai déjà le même besoin de me retrouver tout nu en face d'elle. Alors, je me déshabille complètement et vais à sa rencontre.

Elle me regarde en souriant.

— Mes cousines ne m'ont pas menti, tu es parfait. Viens.

Je la suis sous le patio. Mon nez est à hauteur de ses belles fesses qui bougent sous sa jupe pendant qu'elle me guide vers la douche. A nouveau, la douche est très sommaire, de l'eau qui coule sous un arbre. Je me douche cinq minutes tout seul et lorsque je retourne à ma chambre, je m'aperçois que Sal'Lah est en compagnie de deux autres géantes noires.

— Tu devrais aller aux sources de vie, me dit tout de suite Sal'Lah.

— C'est quoi?

— Nous avons des sources spéciales ici, tu verras, c'est très agréable.

— D'accord. Où est-ce?

— Nous allons te montrer.

Les trois femmes m'entourent.

— Biba m'a dit que tu adorais être nu, me dit l'amie de Sal'Lah.

— Euh oui, c'est vrai, réponds-je un peu troublé par la présence de trois femmes géantes autour de moi.

Je ne peux que les accompagner tout nu. Nous quittons le patio par le fond, là où je suis allé prendre la douche, et nous nous retrouvons dans un grand jardin très vert. Il y a un petit sentier qui s'enfonce entre les arbres fruitiers. Le sol est doux pour mes pieds nus et les femmes avancent lentement pour que je puisse rester à leur rythme sans courir. Au bout d'une cinquantaine de mètres, je m'inquiète de la distance.

— C'est encore loin?

— Non.

— C'est que... je pensais que c'était tout près, et je suis venu comme cela.

— Ce n'est pas grave, c'est très bien.

— D'ailleurs, tu n'aurais pas été dans les sources tout habillé, n'est-ce pas? Me demande l'autre amie de Sal'Lah.

Nous marchons encore une centaine de mètres dans ce jardin luxuriant et nous atteignons un petit pont rouge qui enjambe un ruisseau d'une eau limpide rose. Jamais je n'avais vu cela, l'eau est rose, ce qui donne un très bel effet au paysage. Aux alentours, la berge et la végétation sont également dans les tons rouges à grenat,

— C'est magnifique, admiré-je. Comment l'eau peut-elle être rose?

Cela vient de la grotte de cristal rose. Elle vient de la source où nous allons.

— Et les plantes deviennent rouges aussi?

— Oui, c'est unique. Le cristal donne de la vitalité, et la végétation en profite.

Je passe sur le pont en regardant l'eau. C'est merveilleux. J'en oublie que je suis tout nu en compagnie de trois géantes noires. De l'autre côté, le chemin continue.

— C'est vraiment loin...

— Mais non, c'est une jolie balade, non?

— Oui, mais j'aurais dû prendre des vêtements.

— Ne t'en fais pas pour ça, me répond Sal'Lah. Tu es très bien comme tu es.

Finalement, nous arrivons à une clairière et un monticule rocheux duquel coule de l'eau rose foncé. Aux pieds des ces rochers une grande mare d'eau rose qui s'écoule sur la gauche vers un petit ruisseau. Tout est rose et rouge ici, les roches, les plantes, l'eau. C'est bizarre, extra-terrestre.

J'approche de l'eau et y trempe le pied. L'eau est chaude, probablement quarante degrés.

— Vas y, me dit une des femmes en me poussant doucement. Tu verras, c'est très agréable.

Je marche dans l'eau mais dois vite nager. La pente est abrupte et forme sans doute une cuvette. C'est délicieux, formidable, je nage jusqu'au milieu et tente de voir le fond, mais malgré la limpidité, je ne le vois pas. Je plonge jusqu'à me faire mal aux tympans, mais ne touche toujours pas le fond. Alors, je vais jusqu'à la petite cascade qui coule des rochers rouges et me passe dessous, puis je bois une bonne lampée. L'eau est délicieuse, chaude mais excellente. Dès que je l'ai avalée, je ressens une forme d'enfer et un bien-être total. Je nage et retourne vers les femmes. Maintenant, elles sont cinq. Deux autres géantes noires ont rejoint celles qui étaient venues avec moi.

Je ne sais que faire. Cela commence à faire beaucoup de monde. Une ou deux femmes, c'est génial et excitant. Cinq femmes, cela fait beaucoup, j'ai un peu peur, j'ai honte de ma nudité devant ces femmes.

J'attends en tournant en rond, espérant leur départ, mais personne ne semble bouger.

— Ne reste pas trop longtemps, me dit Sal'Lah. Ce n'est pas bon, l'eau est trop chaude en fin de journée.

Je suis bien obligé d'aller à la berge. Une des femmes approche et prend mon poignet pour me sortir de l'eau. Elle me porte ainsi jusqu'au groupe et je me retrouve tout nu au milieu de cinq géantes noires.

— L'auberge a vraiment un grand jardin, noté-je.

— Ce n'est pas le jardin, répond l'amie de Sal'Lah, c'est un parc. Le parc de Mar'Sil, c'est connu, on vient de loin pour se revitaliser.

Dire que je suis tout nu dans un endroit public.

— Rentrons, propose mon hôtesse.

Cette fois, je suis accompagné par cinq géantes noires. Je suis encore plus excité, à croire que les Indiennes ont raison, elles dégagent quelque chose qui excite, et quand elles sont plusieurs, c'est encore plus fort.

Nous prenons le même chemin qu'à l'aller pour rentrer à l'auberge.

— Il faudra retourner demain matin, me dit une des nouvelles femmes, c'est encore mieux. Après la nuit et l'exposition aux rayons de la lune, l'eau est meilleure.

— Je n'y manquerai pas.

Lorsque nous arrivons à l'auberge et entrons dans le patio, deux autres belles grandes noires viennent à notre rencontre. Sept femmes autour de moi, je me sens encore plus excité, rien ne vaut ce que je vis, entièrement nu entouré de sept géantes noires dont j'arrive à peine au pubis. J'ai envie de rester tout nu, je ne veux plus m'habiller, je veux sentir le grand pouvoir de ces femmes sur moi, et tant pis pour les conneries racontées par les Indiennes. Les sept femmes discutent entre elles, loin au dessus de moi, et décident de prendre l'apéritif sur la terrasse. La nuit vient de tomber, et le temps se fait plus frais. J'ai envie de rester nu, j'ai envie de rester nu tout le temps, comme un besoin irréfléchi. Mais je ne trouve aucune excuse. Alors que j'allais vers ma chambre, une des femmes me rattrape.

— Ne t'en va pas, nous t'invitons.

Les femmes m'emmènent à un grand salon autour d'une table basse. Je me retrouve sans choisir assis entre deux géantes noires, qui me coincent entre elles dans le fauteuil.

Deux filles noires apportent des plateaux avec des bouteilles et des verres. Je reçois un jus de fruit et elles semblent recevoir du vin pétillant.

— Quelle belle soirée, dit ma voisine, et nous avons une charmante compagnie, n'est-ce pas?

Elle place sa main sur ma cuisse, très haut, ce qui fait qu'elle touche les testicules. Mon autre voisine fait de même.

— Nous sommes vraiment ravies de t'avoir, me dit Sal'Lah en face de moi, Biba et Lona n'ont pas menti, tu es un mâle formidable.

— Merci, réponds-je confus. Euh... Puis-je vous demander quelque chose?

— Bien sûr.

— J'espère que cela ne va pas vous fâcher... Voilà, j'ai rencontré plusieurs fois des filles. Elles m'ont dit que vous détestiez les hommes, et que tous ceux qui étaient venus sur l'île avaient disparu.

— Tu trouves que nous te détestons? Me demande la voisine de Sal'Lah.

— Non, pas du tout... Mais est-ce qu'il y a des gens qui ont disparu?

— Non, personne ne disparaît ici, il y a sans doute eu quelques mâles qui se sont mal conduits, et les punitions sont très sévères ici. Mais personne n'a disparu.

— Les hommes ont pu retourner chez eux?

— Oui, ou alors ils sont encore ici.

— Je n'en ai vu aucun.

— C'est que tu as de la chance, non? Tu as toutes les femmes pour toi tout seul.

— C'est vrai, admets-je. J'aime beaucoup me retrouver avec vous.

Quelques instants plus tard, je me dois encore de raconter ma vie avant de venir à Marana. Maintenant, je sais ce qui les intéresse et leur raconte tout de suite mes histoires où je suis tout nu. Et cela marche, elles demandent plein de détails et j'en donne encore plus qu'avant.

C'est génial d'être le seul garçon avec plein de femmes, elles semblent toutes m'apprécier, et apprécier ma nudité. Pendant le repas, elles me conseillent plein d'endroits sur l'île. Des places et des villages à visiter, des paysages merveilleux, des personnes à contacter en se référant à elles pour être bien reçu.

Cette fois, je suis nu dans la grande salle à manger. Outre les sept femmes qui sont avec moi, il y a d'autres tables avec des géantes noires.

— Donc, me dit ma voisine, tu ne dois pas t'en faire. Tu aimes être ici?

— J'adore, je vis les meilleurs moments de ma vie.

— Alors, quand tu aimes un endroit, l'endroit te le rend. Tu adores les femmes noires géantes, tu adores notre île et tu adores nos coutumes. Et surtout, tu aimes être le seul garçon avec des femmes, et tu adores être nu. Tu seras toujours bien accepté. Tu dois juste respecter les lois, mais

La soirée se termine tard, mais personne n'initie quelque chose de sexuel. Et moi je suis très excité. Mon hôtesse m'accompagne très tard jusqu'à ma chambre et me met au lit. Elle m'embrasse doucement.

— A demain. Nous irons encore à la source.

Cela fait longtemps que je n'ai pas dormi après plein de jeux sexuels. Mon excitation est telle que je ne parviens pas à m'endormir. Et pourtant, je n'ose me masturber.

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