L'Île de Marana Chapitre 09

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Arno poursuit le périple tout nu avec les guerrières géantes.
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Partie 9 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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Au matin, il pleut toujours. Je me réveille seul et me lève pour voir la pluie tomber drument. J'aperçois toutes mes affaires n'importe comment par terre, trempées, sales. Je sors les chercher pour les ramener dans la grotte. Je n'en retrouve même pas la moitié.

Les femmes sont déjà vêtues de leur tenue de marche, bardées de cuir noir.

Pendant le petit déjeuner fait de pain et de fromage, l'une d'elles demande.

— Que fais-tu? Tu veux voyager avec nous vers Mar'Salla?

— J'aimerais, mais toutes mes affaires sont trempées, enfin celles que j'ai retrouvées. Je vais sans doute les laisser sécher avant de continuer.

— Tu peux venir avec nous et les laisser sécher ce soir, nous avons un bel endroit de camp.

— D'accord, réponds-je. Je vais ranger mon sac.

Je vais voyager tout nu, me dis-je excité. Nu en compagnie de ces belles géantes.

Quand mon sac est prêt, il manque sans doute la moitié. Il est beaucoup plus léger. Je le passe sur mon dos et nous sortons dans la pluie. Au moins, marcher nu dans la pluie n'a pas le désavantage de porter des vêtements mouillés. C'est vraiment génial d'être tout nu, et encore plus génial d'être le seul garçon nu en compagnie de ces géantes noires.

Nous restons le long de la rivière. Il n'arrête pas de pleuvoir, mais le temps devient plus clair. Souvent, nous voyons des bateaux passer, toujours avec des géantes noires et des filles touristes. Elles me regardent comme une bête de foire et je me sens si ridicule tout nu au milieu de ces belles et puissantes amazones géantes. C'est parfois difficile pour moi d'avancer à leur pas, et alors, l'une d'elles me prend dans ses bras et me porte sur plusieurs kilomètres. Tout seul, j'aurais déjà arrêté il y a plusieurs kilomètres.

Il doit sans doute être 15h quand nous arrivons à un confluent d'une rivière qui se jette dans la grande. Nous ne la traversons pas, et bifurquons pour remonter cette rivière environ un kilomètre en amont. Il y a une sorte de plateforme à une dizaine de mètres en hauteur. Une femme m'accroche à son dos et grimpe facilement les rochers jusqu'à la plateforme. C'est superbe comme endroit, avec une caverne encore où je suis content de m'abriter enfin de la pluie. Je dépose mon sac et retire les affaires trempées. Tout commence à sentir et je suis obligé de sortir et de relaver. Il faudrait que je descende à la rivière.

— Laisse cela, me dit une femme, et accompagne-nous pour chercher du bois.

Elle m'accroche à son dos et nous descendons. Elles m'emmènent dans un sous-bois assez dense et nous ramassons du bois sec. Quand il y a un grand tas, nous retournons vers le campement. Je porte un gros paquet de brindilles et elles ont des bûches qui semblent assez lourdes.

Nous remontons la falaise et arrivons sur la plateforme. Il pleut encore. J'entre dans la grotte avec mon fagot et remarque qu'il y a encore plus de femmes. L'une d'elle s'approche.

— Voilà notre petit Arno, dit la femme que je connais. Tash'A, fantastique en tenue de guerrière.

— Bonsoir madame, dis-je, je suis content de vous voir.

— Il paraît que tu restes tout le temps nu, c'est très bien.

— Euh oui, mes affaires sont trempées. Je vais les laver encore et tenter de les sécher.

— Tu ne vas pas me dire que maintenant que je suis là, tu vas t'habiller? Non, laisse tout comme cela, demain tu passes la journée nu. D'ailleurs, tu vas rester nu pendant tout le voyage. D'accord?

— Euh... oui madame.

— Tu es content?

— Oui madame.

— Tu es un garçon qui aimes recevoir des ordres des femmes, n'est-ce pas? Je l'ai remarqué tout de suite.

Elle appelle une des nouvelles venues.

— Cor'Y, prends le sac d'Arno, tu le lui rendras quand je te le dirai.

— Oui maitresse Tash'A.

Elle prend mon sac et s'en va dans le fond de la grotte.

— Voilà, tu ne te sens pas mieux comme ça?

— Je ne sais pas, réponds-je, j'ai peur.

— N'aie pas peur, je te protège.

— Oui, mais c'est parce que je suis nu, et que je n'ai pas mes affaires.

— Tu n'en as pas besoin. Tu les auras à Mar'Salla, si tu es sage.

Elle sourit et me soulève dans ses bras.

— Viens, allons faire un tour.

Elle me porte par un bras pour descendre jusqu'à la rivière. Alors, nous marchons vers l'aval et le confluent.

— Tu aimes être tout nu avec moi?

— Oui, réponds-je, j'adore. J'ai un peu peur quand il y a du monde.

— Tu vas à Mar-Salla? Et ensuite?

— Je vais en bateau au Temple Doré.

— Tu veux voir les vestiges de la vieille civilisation Mar?

— Oui, j'aimerais connaître.

— C'est une ancienne civilisation de femmes noires géantes et dominatrices. Elles étaient très grandes et puissantes. Elles honoraient de puissantes déesses. Elles régnaient sur le monde il y a des dizaines de milliers d'années. Un jour les déesses les ont mises en léthargie, coupées du monde. En dehors, le monde s'est développé pour devenir ce qu'il est. Mais un jour, la puissance reviendra. Les déesses rendront la puissance de la civilisation Mar qui dominera à nouveau l'Univers. Il y a les prophéties. Un jour proche, un détail, un catalyseur qui déclenchera tout.

— C'est une belle histoire, conviens-je. J'espère que vous le vivrez bientôt. Et le temple est en bon état?

— Comme s'il avait été bâti hier. C'est très beau, tout en or au milieu du lac doré.

— Et vous n'avez pas peur qu'on vienne voler l'or?

— Impossible, il existe toujours la protection Mar. D'ailleurs, personne ne connaît l'existence de l'île.

— Moi, j'y suis bien arrivé.

— Nous avons laissé venir quelques personnes. Veux-tu voler l'or?

— Oh non, jamais.

— C'est pour cela que tu es ici. Sinon, la magie des déesses Mars aurait empêché ton arrivée.

Je me demande si elles croient vraiment à ces histoires. Comme si tout cela était possible.

— Mais il y a plein de monde qui vient. Je vois plein de filles. Et euh... il paraît qu'il y a des hommes que vous pourchassez. Ils voulaient sans doute du mal.

— Oui, mais ils ne sont jamais allés plus loin que Mar-Salla. Cela te plait de vivre nu avec nous dans la nature?

— Oui, c'est très bien.

— Tu passes du bon temps tout nu avec nous?

— Oui, vraiment bien. Et... j'aime beaucoup votre présence, je trouve que vous êtes encore plus belle et plus impressionnante, si grande et si puissante.

— Tu aimes tant que cela être dominé par de puissantes femmes noires?

— Oui.

— Quand tu retourneras chez toi en France, tu devras en parler à ta directrice.

— Je n'oserai jamais.

— Essaie, si cela tombe bien, elle le veut aussi et n'attend que tu le lui demandes.

— C'est vrai, mais je n'ose pas.

— Promets-moi que tu le feras.

— Je le promets.

— Très bien. Que feras-tu à Mar'Salla?

— J'ai rendez-vous avec des filles que j'ai rencontrées à Mar'Sil. Nous avons décidé de visiter le temple ensemble, mais j'ai pris beaucoup de retard, je ne sais pas si je les verrai.

— Je te donnerai le nom d'une bonne capitaine de bateau, je te la présenterai.

— Merci beaucoup.

Nous arrivons au confluent. Elle regarde autour d'elle et fait signe à un bateau qui passe. Puis, elle se tourne vers moi et me prend par le poignet pour me soulever à hauteur de son visage. Elle palpe mon sexe tendu et mes testicules.

— Oui, un bijou Mar t'ira très bien.

Elle me dépose au sol, je suis à genoux devant elle, tout petit, arrivant sous ses genoux.

— C'est une belle position, non? A genoux devant une guerrière Mar.

— Oui, réponds-je impressionné, en me demandant où elle veut en venir.

— Quand nous retournons à la grotte, tu nettoieras mes bottes.

— Oui Tash'A, réponds-je.

Je me relève et nous retournons vers notre point de départ.

— Comment est l'économie de ce pays? Demandé-je. Je ne comprends pas bien.

— C'est parce que tu penses comme dans ton monde. Ici, c'est différent. Nous vivons en paix protégées par les déesses Mars

— Vous avez déjà vu les déesses?

— Elles sont dans la vie de tous les jours. Leur protection existe. Mais elles ne reviendront vraiment que quand un événement prophétique se réalisera.

— Quel événement?

— Nous ne pouvons te le dire. Tu es étranger. Mais avec de la chance, tu le verras.

Je laisse passer. Après tout si elles veulent penser à ces trucs de déesses.

Nous montons sur le promontoire au moment où la pluie s'arrête. Le dîner est presque prêt mais Tash'A m'arrête.

— Nettoie mes bottes et retire-les. Tu vas t'occuper de moi.

Je dois m'agenouiller pour laver et sécher une paire de botte qui fait près d'un mètre de haut. Ensuite, je dois lui retirer ses gants et sa ceinture, en me hissant sur la pointe des pieds. La ceinture est lourde, et je manque de tomber avec elle. On m'indique où ranger le tout et Tash'A va s'asseoir dans le cercle autour du feu et me prend contre elle entre ses cuisses. Une femme vient nous apporter une grande écuelle et je dois manger avec elle.

La tension est très élevée. Tash'A m'excite encore plus que toute autre femme auparavant. J'ai une attraction énorme pour elle. Ses ordres sont si géniaux à mes oreilles, m'ordonner de rester nu, prendre mes affaires, je me rends compte que je n'ai absolument rien. Je suis nu au milieu de toutes ces géantes, je ne sais même pas laquelle a mes affaires.

Et je trouve cela génial. Oui, je me le jure, quand je rentre en France, j'irai voir mon ancienne directrice et j'irai lui avouer que j'aimerais vivre tout nu avec elle, et que même si je ne suis plus un enfant, j'aime qu'elle me commande. Je verrai bien. J'en aurai sans doute pour un moment de honte, et puis je partirai, mais en pensant à cela, j'ai une forte envie de la voir et de lui dire.

La soirée se passe bien. J'adore ces femmes. Elles me font encore raconter des histoires, parfois la même.

Je dors dans les bras de Tash'A.

Il fait un beau soleil. Je me lève le dernier, elles sont déjà prêtes quand je reçois à manger, et nous partons assez vite.

— C'est bien que tu restes nu, me dit une femme.

— Merci, réponds-je.

— Je n'aimerais pas te voir autrement, dit une autre.

Nous retournons au confluent et traversons la rivière. Elles marchent dans le fond, je flotte à la surface.

Vers midi, un autre groupe de géantes noires, des guerrières armées vient à notre rencontre, elles sont bien une cinquantaine. Combien de ces géantes m'ont vu tout nu? Sans compter les centaines de femmes qui passent en bateau.

— Que fait ce mâle blanc avec vous? Demande une des femmes en arrivant.

— Il va à Mar'Salla, nous faisons la route ensemble.

— Et il doit être nu?

— Il adore cela. C'est lui qui veut se déshabiller. Et nous adorons cela aussi.

— Vous en avez de la chance. Tu ne veux pas retourner à la côte?

— Pas maintenant, répond-je un peu embarrassé.

— Une prochaine fois alors.

Les femmes me palpent un peu avant de continuer leur route. Puis, comme mes compagnes sont prêtes, nous poursuivons notre chemin vers l'amont. C'est fascinant, elles me montrent la végétation, et tout ce qu'on peu manger. Les fruits surtout sont formidables, et puis, il y a des oiseaux et des animaux, je ne retiens pas les noms, mais je sais ce qu'on peut chasser et manger.

En fin de journée, nous arrivons à un pont suspendu fait de lianes. Il faut traverser la rivière. C'est très haut, une cinquantaine de mètres. Nous y allons en file indienne. J'ai un peu le vertige, mais je passe sans problème. J'imagine pendant un instant mon sac qui tombe depuis le sac de celle qui détient mes affaires, et je me retrouve tout nu sans rien sur cette île. Je devrais rester tout le temps tout nu avec des femmes noires géantes. Dès que nous sommes de l'autre côté, nous trouvons encore une caverne et nous commençons le bivouac.

— Dire que c'est notre dernière nuit, me dit une femme, demain nous arrivons à Mar'Salla.

— J'ai beaucoup apprécié le voyage, leur confié-je. Je le referais bien.

— Nous pouvons organiser cela, dit Tash'A, quand tu reviens du temple, nous pourrions aller sur la côte nord.

— C'est bien là bas?

— Oh oui, c'st très beau et très sauvage. Nous devons traverser la jungle. Et pas mal de petits villages. Ce serait bien personne ne va jamais là-bas, même pas les touristes. Il n'y a plus eu d'étrangers depuis très longtemps.

— Alors, j'aimerais bien. Quand je reviens.

— Je t'attendrai, me dit Tash'A. Et tu pourras voyager tout nu.

— Oui, laisser ton sac avec tes affaires à Mar'Salla, dit une autre.

— Pas besoin de porter des vêtements dont tu n'as pas besoin, reprend encore une troisième.

Elles rient et s'amusent en imaginant que je parte sans vêtement.

— Euh oui, mais c'est mieux de garder mon sac, on ne sait jamais. Mais je voyagerai tout nu avec vous, c'était une grande expérience, très agréable.

— Donc tu étais content. C'est bien, un garçon devrait toujours être tout nu.

— Oui, enfin, ce n'est pas tout le temps possible.

— Nous attendrons ton retour du temple doré. Et nous pourrons même faire une petite fête.

— En ton honneur.

Je suis touché par leur sollicitude. Toutes ces femmes qui me prennent pour une sort de héros. J'aime bien.

La caverne est beaucoup plus grande. Il faut monter par une sorte d'échelle pour la rejoindre. Et dès que nous sommes tous sur la terrasse naturelle, elles remontent l'échelle de corde.

On prépare un feu, la nourriture cueillie et chassée pendant la journée. Et puis nous mangeons et elles me racontent encore des légendes de Mars, des histoires de leurs déesses et de création de leur monde.

Je me sens de mieux en mieux, nu avec toutes ces géantes noires. J'aimerais que cela ne se termine pas. Je suis gêné d'être nu, mais j'adore cela, j'aime me sentir si petit, si humilié par ces puissantes guerrières.

— Comment est le Nord? Demandé-je après le repas.

— Très beau. Personne n'y est jamais allé. Aucun touriste. C'est interdit.

— Ce sera un privilège alors?

— Exactement.

— Merci. Dire que j'étais venu ici une semaine ou deux. Je resterai le plus longtemps possible.

— Tu es le bienvenu, me dit une femme, même si tu veux rester pour toujours.

— C'est tentant, mais je ne saurais quoi faire. J'aimerais aller à l'université.

— Il n'y a pas cela ici, il y a d'autres opportunités. Tu sais, tu serais très heureux ici.

— Oui, je crois. Mais j'aimerais étudier. Mais j'aimerais revenir pour les vacances. Je n'ai jamais été aussi heureux qu'ici, surtout que je peux vivre tout nu avec vous.

— Ah? C'est si important?

Je me sens embarrassé, je n'aurais pas dû parler de cela, mais elles insistent, et tout de suite, une main prend mon sexe.

— Oui, j'adore cela. J'ai vraiment bien aimé quand Tash'A a pris mes vêtements pour les confier à l'une d'entre vous, je ne sais même pas où sont mes affaires, c'est comme si j'étais vraiment nu, encore plus que d'habitude, je n'ai pas le choix.

— A ton retour du Temple Doré, me dit Tash'A, je te garde avec moi, et tu ne t'habilleras plus.

— Oh oui, m'entends-je répondre, merci beaucoup.

— Je t'apprendrai un peu la discipline des mâles de Mar. Et je te montrerai tout le pays, tu seras nu pour voir cela.

— Beau programme, me dit une autre femme, tout le temps tout nu, tu seras admiré par des milliers de femmes noires. Toutes les habitantes de l'île te connaitront.

Je n'en peux plus d'excitation.

— Il peut bien, dit une autre, il sera le seul mâle pour toute la population.

Elles n'arrêtent plus de m'exciter avec leurs histoires et je passe de bras en bras pour me faire masturber jusqu'à ce que je m'évanouisse.

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