L'invasion Ch. 09

Informations sur Récit
Ayesha initie Arno à la vraie femdom.
3.1k mots
4.33
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1

Partie 9 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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8

Je me réveille, je suis encore un peu fatigué. Quelles vacances. Nous sommes à peine le 8 juillet et j'ai l'impression d'avoir vécu des mois en intensité. J'entends un peu de bruit dans ma chambre et ouvre les yeux. C'est un choc.

Ayesha est au milieu de la pièce, elle me regarde de toute sa hauteur. Ce matin, elle est vêtue d'une longue jupe de cuir noir qui est échancrée sur le côté, et je m'aperçois qu'elle a des bottes à hauts talons, en cuir noir également. Elle porte un chemisier blanc brillant que sa grosse poitrine bien ferme distend sur le devant, comme si tout cela allait éclater. Et à la taille une large ceinture qui dessine bien sa silhouette déjà parfaite.

Elle est immense, semblant encore plus grande que d'habitude.

— Wow, Ayesha, vous êtes très belle, ne puis-je m'empêcher de dire en la vouvoyant.

— Tu aimes?

— Oh oui. Vous êtes merveilleuse, divine même.

Elle retire le drap.

— Lève-toi!

Je me mets rapidement debout. Quelle impression. Elle me domine de toute sa hauteur et de sa superbe personnalité. Je me sens encore plus petit, plus dominé par cette superbe femme.

— Moi aussi, je trouve très sexy que tu sois tout nu. J'ai voulu que tu sois tout nu dès que je t'ai vu la première fois.

— Moi aussi, avoué-je tout bas.

— J'aime te voir tout nu et petit ainsi, à ma merci. Tu n'as pas peur?

— Je n'ai pas peur de vous, vous m'aimez bien vous ne pourrez pas me faire du mal.

— Mais tu es en mon total pouvoir.

— Oui, admets-je. Cela ne me dérange pas du tout.

— Tant mieux. Tu vas passer ta deuxième journée entièrement nu.

— Oui madame.

— Tu es d'accord?

— Oui madame, c'est ce qui avait été décidé hier, et de toute façon, je n'ai aucun vêtement, mon armoire est vide, il n'y a plus rien dans ma chambre.

— Oui, c'est mieux ainsi, un jeune mâle dans ton genre ne doit pas être distrait. De toute façon, je n'aime pas faire la lessive et je n'ai pas envie de la faire aujourd'hui. Cela ne te dérange pas?

— Non Ayesha, réponds-je, vous le ferez quand vous en aurez envie.

— Bonne décision, et si je n'en ai plus jamais envie?

Je panique un peu.

— Je plaisante, nous irons les porter au nettoyage à sec. Une petite promenade à deux. Allez, à la douche!

Je la contourne et elle me suit jusqu'à la salle de bains. Cette fois, elle ne me lave pas, elle me regarde et me donne ses instructions. Quand je suis prêt, nous allons dans la cuisine.

— Bien, aujourd'hui, c'est toi qui travailles. Tu vas me servir. Prépare mon petit déjeuner.

— Oui Ayesha et moi? J'ai faim.

— Tu mangeras après. Les mâles nus ne mangent pas en même temps que les femmes, et pas à table. Il faut que je t'apprenne tout.

Je commence à travailler sous ses ordres stricts. Elle trouve à redire sur presque toutes mes actions avant que je ne puisse la servir à table.

— Retiens bien ce que je mange, je ne tiens pas à me répéter tous les jours.

— Oui Ayesha.

Quand j'ai fini la vaisselle, elle prend une assiette et y place des denrées qu'elle n'a pas mangées. Elle va la placer sur le sol dans un coin.

— C'est ainsi que tu mangeras désormais, tu as compris? A terre, comme les mâles.

— Oui, Ayesha, réponds-je impressionné.

Quelle humiliation, mais je ne trouve rien à redire, je suis trop excité d'être tout nu avec elle.

Quand j'ai fini, elle me fait laver la pièce, prendre les poussières, nettoyer le sol. Nous allons ensuite dans le living et le salon. Elle est de plus en plus sévère, regarde le moindre de mes faits et gestes.

Je dois encore nettoyer la salle de bains avant de lui préparer son déjeuner. Cette fois, je crois que je ne m'en sors pas trop mal elle ne me fait presque pas de remarques.

— Tu es un petit mâle blanc, c'est normal que tu sois nu, tu dois être soumis et obéissant.

— Oui Ayesha

— Tu es fait pour me servir.

Elle va s'asseoir sur un fauteuil de la terrasse.

— Viens ici.

Elle me prend et m'assied sur ses genoux. Le contact du cuir noir est sublime, je me sens tétanisé.

— Nous allons arrêter un peu, après tout ce sont tes vacances.

— Je me considère toujours en vacances. Vivre ainsi avec vous est ce qu'il y a de mieux.

— Vraiment? Tu aimes bien ta journée?

— Oui. Je ne sais pas dire pourquoi, mais passer tout ce temps avec vous, même en travaillant, c'était vraiment agréable. Surtout que vous êtes vêtue comme ça. C'est mieux que des vacances. J'adore vivre comme cela avec vous. C'est le paradis.

— C'est bon à entendre. Tu sembles à l'aise avec moi maintenant.

— Oui Ayesha.

— Dans ce cas, tu devrais me faire plus confiance.

— Mais je vous fais confiance.

— Pas toujours. Il faut toujours que tu rechignes quand je te donne des instructions.

— Oui, mais c'est quand vous me faites allez dehors tout nu. Je n'aimerais pas qu'on nous voie.

— Pourquoi? Tu as honte de moi?

— Oh non, mais j'aurais honte qu'on me voie tout nu dehors. J'ai peur.

— Allons, il ne faut pas avoir honte, tu es très beau. Et puis regarde hier, mes amies sont venues chez Marta, elles n'ont rien dit que tu étais tout nu, au contraire, elles ont apprécié et t'ont complimenté.

— Oui, mais j'étais très gêné. Avec vous, je suis habitué.

— Arno, me demande-t-elle en touchant légèrement mon sexe, tu aimerais vivre nu avec moi?

— Oui, soufflé-je trop excité.

— Je veux que tu comprennes, vivre nu cela veut dire tout le temps. Dans cette maison, tu es tout le temps tout nu, avec interdiction formelle de t'habiller. C'est ce que tu veux?

— Oui, répond-je à bout en tentant de retrouver mon souffle, c'est ce que je veux.

— Tu le veux vraiment? Parce que je ne veux pas de demi-mesures, si tu vis nu avec moi, il n'y a pas de machine arrière.

— Non, confirmé-je trop excité pour me rendre compte, c'est ce que je veux, être tout le temps tout nu avec vous.

Elle sourit et remonte sa main de mon sexe à mon visage, elle m'embrasse.

— Tu es un bon garçon. Je n'aime pas te voir autrement que tout nu.

— Oui Ayesha, je promets que je serai toujours nu dans cette maison.

— Je t'ai entendu, et comment être certaine que tu vas tenir ta promesse?

Elle replace sa main sur mon sexe.

— Ce que vous voulez, vous pouvez peut-être garder mes vêtements, et ne me les donner que quand je dois partir.

— Tu as eu une excellente idée. Nous allons appliquer cela tout de suite. A partir de maintenant, tu as l'interdiction formelle de t'habiller dans cette propriété, je ne tolèrerai aucune exception.

— Oui Ayesha, dis-je exalté, merci.

— Merci pourquoi?

— Merci de me permettre de vivre nu avec vous.

— Oh, mais j'aurai des compensations, tu vas me servir. Je ne veux plus rien avoir à faire. Et il t'est interdit de demander des vêtements, si je ne t'en donne pas, c'est que tu dois rester nu, compris?

— Oui Ayesha... Mais euh, que ferons-nous quand Nathalie reviendra?

— Que veux-tu faire?

— Je ne peux pas rester nu en face d'elle.

— Qui préfères-tu comme tutrice? Elle ou moi?

— Vous, sans hésiter. Après ce que nous venons de vivre, je ne veux rien d'autre.

— Rien d'autre que quoi?

— Que d'être nu avec vous, comme aujourd'hui.

— Dans ce cas, il faudra lui dire que tu veux que ce soit moi, et ce sera fait, nous entamerons la procédure pour te retirer de la garde de Nathalie et te donner à moi.

— C'est possible?

— Tout est possible. Il y a plusieurs méthodes. La première c'est de le lui demander, lui dire que tu veux changer de tutrice.

— Oh non, je ne voudrais pas lui causer de peine, je ne voudrais pas qu'elle croie que je ne l'aime pas et qu'elle a été une mauvaise tutrice.

— Il faut savoir ce que tu veux, si tu veux vivre nu avec moi, il faudra le faire. Sinon, et bien tant pis.

— Non, je le ferai. Je lui dirai.

— C'est mieux. Elle devrait revenir dans quelques semaines, nous verrons si elle revient ou si elle prolonge ses vacances. Elle vit sur ton argent depuis trop longtemps.

— Quel argent? Je n'ai pas d'argent.

— C'est ce que tu crois. Tu vis dans ta propre maison, et il y a de l'argent à ton nom. Elle est payée par ce fond, et généreusement.

— Je ne savais pas. Nathalie ne me l'a jamais dit.

— Tout te sera remis à ta majorité, enfin, pas à 18 ans, mais plutôt à 25 ans.

— Pourquoi pas à 18 ans?

— Parce qu'il faut que ta tutrice avalise ta majorité, elle doit dire que tu es prêt à gérer tout seul, et donc elle perd son job, donc si elle te démontre comme inadapté pendant sept années de plus, elle garde son job et sa mainmise sur tes actifs.

— Je ne savais pas cela.

— Moi je te le dis, je n'ai pas besoin d'argent. Et tu auras ta majorité à dix-huit ans.

— Merci.

— Cela ne nous empêchera pas de continuer.

— Continuer quoi?

— A ce que tu vives tout le temps nu avec moi. Tu ne voudrais pas arrêter?

— Oh non, jamais.

— Moi non plus, et je le veux, nous n'arrêterons jamais. Je m'occuperai de toi, tu auras l'enseignement qu'il te faut, que je choisirai pour toi. Tu ne devras plus prendre de décision, et tu ne feras rien sans autorisation. Je suis assez sévère, cela ne te dérange pas?

— Pas du tout, au contraire. J'aime comme vous êtes.

Sa main descend encore et cette fois elle prend mon sexe entre son pouce et son index. Elle me tient ainsi pendant un long moment tout en me regardant souffrir de plaisir

— C'est bien d'être ainsi exposé et de te laisser faire.

— C'est plus fort que moi, osé-je en bégayant, vous me subjuguez avec votre beauté, votre taille, vos vêtements... Je n'en peux plus, c'est trop fort.

— Mais non, tu n'as encore rien subi.

Elle me rapproche et m'embrasse. Quelques baisers sur les joues qui finissent sur les lèvres. J'ai envie de l'embrasser vraiment, mais cette pulsion ne va pas plus loin, quand j'essaie, elle bouge, comme si de rien n'était.

Elle arrête soudain, me laissant encore à la plus grande des frustrations et me dépose sur le sol. Elle garde le bout de mon sexe entre ses deux doigts,

— Il fait chaud, ce sont les vacances, après une journée comme aujourd'hui, tu mérites de te baigner.

Elle recule et comme un automate je la suis. Je pourrais sortir de cette étreinte très faible, mais je n'ai pas du tout envie que ce contact s'arrête. Même si je me sens vraiment ridicule tout nu mené par le sexe. Nous arrivons ainsi sur la terrasse.

— Nous allons chez Marta. Moi, je ne saute pas par la clôture, nous allons faire le tour par devant. N'oublie pas que tu as voulu être tout nu toute la journée et qu'il t'est interdit de porter des vêtements ici. Donc je m'attends à un comportement exemplaire pour aller jusque chez elle.

Toujours troublé par l'excitation intense, je ne dis rien.

— Est-ce que tu as compris? Demande Ayesha en serrant un peu des doigts sur le bout de mon sexe.

— Oui Ayesha, j'ai compris.

Elle me tire alors à sa suite, en me menant par le bout du sexe, je marche sur son côté légèrement en retrait. Nous passons par le côté de la maison et rejoignons l'allée avant. Sans s'arrêter, elle passe sur le trottoir et nous marchons pour aller chez notre voisine.

Une voiture passe et klaxonne. On m'a vu dans cette posture si ridicule et gênante. Mais je n'en ai cure, je suis tellement excité par Ayesha que je ne dis rien. Nous nous retrouvons devant la porte de Marta et celle-ci vient nous ouvrir. Aujourd'hui, elle ne porte pas de robe en cuir noir, juste une jolie robe d'été avec des fleurs.

— Vous arrivez tard, je pensais vous voir plus tôt. Arno en tout cas.

— Il a fait un peu de ménage aujourd'hui. Il m'a encore demandé à rester tout nu toute la journée.

— Tu as raison, me dit-elle

— D'ailleurs, ajoute Ayesha, nous avons beaucoup discuté et il m'a demandé d'établir une nouvelle règle à la maison : interdiction formelle de s'habiller dans toute la propriété. Il doit être toujours tout nu. Il le veut lui-même.

— C'est vrai? Me demande Marta, tu as demandé à être toujours tout nu?

— Réponds, fait sévèrement Ayesha en pinçant le bout de mon sexe qu'elle ne lâche pas.

— Oui, avoué-je avec la plus grande honte.

— Et pour l'aider, il m'a demandé de garder ses vêtements. Je ne les lui donnerai que s'il en a besoin.

— Ca c'est de la motivation, bravo.

— Et il ne peut plus jamais demander de vêtements, je dois les lui donner si je juge nécessaire qu'il en porte.

— Ce sont d'excellentes règles, approuve Marta, et j'applique les mêmes chez moi. Arno, il t'est désormais interdit de porter des vêtements chez moi. Tu as compris, quand tu viens ici, c'est toujours nu.

— Oui Marta, réponds-je à bout.

Elle s'approche et prend mes joues dans ses deux mains avant de m'embrasser sur la bouche.

— Tu es trop mignon, viens.

— Arno, me dit Ayesha lorsque nous sommes dans le vestibule, j'espère que tu as compris, ce que nous venons de te donner, ce sont des ordres. Tu les enfreins et tu seras puni!

Marta prend le bout de mon sexe de la même manière que son amie et me tire dans la maison. Nous allons sur la terrasse où se trouve déjà Sarah qui se lève en me voyant, ainsi que deux autres femmes noires que je ne connais pas. Je ne pense même pas à être gêné, je suis déjà au comble de la honte et de l'excitation simultanées. Sarah vient m'embrasser.

— Oh, voilà enfin mon petit chéri d'amour. Comment s'est passée ta journée?

Je ne parviens pas à répondre, mais évidemment Ayesha le fait pour moi.

— Très bien, il a nettoyé et servi toute la journée, comme il faut, sans rechigner et avec plaisir.

— Mais bravo, dit Sarah. Tu es vraiment formidable.

— Et bien sûr tout le temps tout nu. D'ailleurs, il a demandé à vivre tout le temps nu à la maison, et j'ai donc établi une nouvelle règle : interdiction de porter des vêtements à la maison.

— Excellente règle, dit Sarah.

— J'ai d'ailleurs établi la même ici, ajoute Marta. Toujours nu dans cette propriété.

— Tu as raison, poursuit Sarah. D'ailleurs, ce sera la même chose chez moi, compris?

— Oui Sarah, soufflé-je toujours excité.

Je suis nu entre cinq géantes noires, et tenu par le bout du sexe.

— Arno, me dit Marta, je te présente mes amies Sandra et Sonia. Sandra est la nouvelle doctoresse de l'île, elle a repris la petite clinique dont le personnel avait démissionné il y a quelques mois.

— Effectivement, dit celle-ci en me souriant. J'ai tout rénové, c'est très moderne. Je ne t'ai pas encore vu d'ailleurs.

— Je n'ai pas été malade, réponds-je difficilement.

— Vraiment? C'est bien d'être en bonne santé. Ayesha, tu devrais me l'amener pour une visite médicale complète, on n'est jamais trop prudent.

— Bien sûr. Je te téléphone pour prendre rendez-vous.

— Et voici Sonia, intervient Marta, Sonia est en charge de la sécurité de toute l'île.

— Bonjour Arno, me dit Sonia en souriant. On m'a déjà rapporté que tu avais transgressé certaines règles.

— Je suis désolé, réponds-je vite en voulant plaire à Ayesha. Je ne le savais pas mais je ne le ferai plus.

— J'y compte bien. Sinon, je ne serai pas indulgente. Il y a beaucoup de nouvelles règles, les choses ont changé dernièrement, et tu devrais te mettre au courant.

Elle sourit ensuite.

— Mais je serai ravie de te faire visiter mes installations et de t'apprendre ces nouvelles règles. Pourquoi ne viendrais-tu pas demain?

Je regarde Ayesha.

— Oui, vas-y, ce sera une très bonne chose que tu connaisses les règles.

— D'accord madame Sonia, je viendrai demain.

— Très bien.

Ayesha me caresse les fesses.

— Va nager, me dit-elle, il fait si chaud, tu l'as bien mérité.

— Il ne doit pas avoir si chaud, dit Sonia, il est tout nu.

— Il a très chaud, il semble très excité, je ne sais pourquoi, dit Marta.

Marta lâche le bout de mon sexe, j'en ressens une très grande frustration. Je me dirige vers la piscine et plonge rapidement dans l'eau. Cela me fait du bien et me refroidit un peu. Dans quelle galère me suis-je fourré? Dès que je suis tout nu, je fais n'importe quoi, et je me laisse même promener par le bout de mon sexe.

Je nage sans arrêt, une bonne cinquantaine de longueurs qui me calment à peine, puis je sors de l'eau et rejoins le groupe de géantes noires, toujours nu et en érection. Ayesha me fait venir près d'elle et me sèche. Puis elle me prend sur ses genoux et Marta me donne un verre de jus de fruit. Je bois lentement. Ayesha me tient contre elle, et lorsque j'ai fini de boire, elle prend mon sexe en main, à la base, et le masse légèrement, presque distraitement.

— Quelle fin d'après-midi agréable dit Sarah. Il n'y a pas à dire, la présence d'un petit mâle blanc tout nu fait toute la différence.

Il se fait tard, et Sandra et Sonia se lèvent pour partir. Ayesha décide que c'est également l'heure et elle me met sur le sol, sans lâcher mon sexe. Après avoir salué Sarah et Marta, nous nous retrouvons sur le trottoir.

Sandra vient m'embrasser tendrement.

— A bientôt, passe me voir.

— Oui madame.

— Et nous nous voyons demain matin, me rappelle Sonia. Je t'attends sans faute.

— Oui madame, promis.

Elles partent, nous restons un moment sur le trottoir, pendant que plusieurs voitures passent, je vois des femmes noires ralentir et me regarder bizarrement. Ayesha me ramène à la maison et me fait préparer à manger. Puis elle me met au lit assez tôt, toujours en pleine érection. J'attends un long moment avant d'aller me masturber dans les toilettes.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
A perpétuité

Oui oui oui !

Tout nu à vie quel bonheur, un rêve ....

Les vêtements d'Arno pourraient tout simplement être détruits ...

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Génial

J'attends toujours la suite. De mieux en mieux.

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