Lizzy Ch. 01 - Une Soirée Édifiante

Informations sur Récit
La mère de Lizzy prend les choses en main
4.2k mots
4.65
3.7k
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Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/10/2024
Créé 02/21/2024
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Chapitre 1 - Une soirée édifiante.

(Désolé pour cette petite modification, le chapitre précédent était plus un prologue qu'un premier chapitre).

Ce récit devrait avoir une progression très lente avec des points culminants extrêmes. Il ne s'adresse donc pas à un public sensible.

Codes : F/f - F+/f - F/f+ - F+/f+ - ado - adoration des pieds - lavements - exhibition - uro - BDSM - esclavage -punitions - réticence - humiliation - extrême

Personnages :

Lizzy de Lestrait : La fille de la maison. Malgré un retard de croissance qui a bloqué son corps en pleine puberté, elle va bientôt fêter ses dix-huit ans.

Mélanie Grandain : La meilleure amie de Lizzy. Elle habite dans la propriété voisine.

Simone de Lestrait : Mère de Lizzy, veuve récente, très autoritaire, plutôt perverse et un peu dépassée par les évènements.

Edwige : La bonne de la famille.

Jean de Lestrait : Défunt père de Lizzy.

Une soirée édifiante.

"Il est si mauvais que ça, ce livret?"

"Non, j'passe en terminale. Sauf que c'est d'justesse..."

"Je comprends mieux la déception de Madame."

"Ouais, j'ai cru qu'elle allait encore te d'mander de m'fouetter avec cette horrible canne."

Edwige lui flanqua une tapette sur les fesses en souriant.

"Lorsque je lui ai administré la canne, Mademoiselle l'avait largement mérité."

Les deux jeunes femmes longeaient le grand couloir qui menait aux appartements de la domestique, à l'autre extrémité de la demeure.

C'était Monsieur de Lestrait qui l'avait embauchée, un an avant de disparaître tragiquement lorsque son Jet privé c'était écrasé. Dès les premiers jours de son embauche, il avait fait savoir à Edwige qu'il était plus intéressé par son corps, que par ses talents ménagers, répétant sans arrêt à quel point il adorait ses courbes longilignes et sa minceur, chaque fois qu'il la pelotait sans retenue.

Il l'avait logée là, à l'opposé de la chambre qu'il occupait avec Madame. C'était une suite équipée de tout le confort. Cuisine spacieuse, salon, salle de bain, vaste dressing et une chambre aussi grande que son ancien deux pièces de Sarcelles.

"Allez, au bain." Déclara-t-elle en franchissant le seuil. "Je prépare vos vêtements et je vous rejoins.

Lizzy se précipita dans l'immense pièce d'eau qu'elle connaissait par cœur puisque c'était exclusivement là que sa gouvernante la lavait lorsqu'elle était enfant.

Immobile devant la quadruple baie-vitrée qui donnait sur le parc, Simone de Lestrait dégustait sa vodka orange, perdue dans ses pensées. La grande brune d'un mètre soixante-dix ne rendait que quelques centimètres à Edwige et était entièrement vêtue de noir, comme chaque jour depuis le début de son veuvage. Sa robe descendait jusqu'à la moitié de ses cuisses, complétée par des nylons noirs et une paire d'escarpins, le tout provenant d'une grande maison de mode, comme tout le reste de sa garde-robe.

La mystérieuse interruption de croissance de sa fille avait eu un impact troublant sur la Maîtresse de maison. Elle avait appris la nouvelle lorsque la bonne l'avait informée que les vêtements de l'année précédente étaient toujours à la bonne taille. Particulièrement les chaussures, qu'il avait fallu renouveler régulièrement jusqu'à ce moment. Et c'était la troisième année consécutive. À croire que le corps de Lizzy s'était purement et simplement en grève, peu après la disparition de son père et l'apparition de sa menstruation.

Le visage angélique de la petite s'était figé en pleine puberté, tout comme son corps dont les membres menus et ses hanches fines, à peine marquées le démontraient.

Le bilan de la doctoresse Dumont avait été très rassurant. Les examens étaient entièrement satisfaisants, garantissant que sa fille était parfaitement constituée et en parfaite santé.

Cependant, rapidement, la stupéfaction s'était muée en frustration. Avec l'adolescence, l'indiscipline récurrente de Lizzy, son incapacité totale à respecter les heures de couvre-feu lorsqu'elle fréquentait Mélanie et son impudeur, l'irritaient au plus haut point.

Pour couronner le tout, ses résultats scolaires étaient en chute libre. Le trimestre précédent, ses notes avaient été tellement catastrophiques, qu'exaspérée, elle avait exigé d'Edwige qu'elle lui administre dix coups de canne.

Mais là n'était pas ce qui la tracassait. Assister à la punition avait éveillé chez elle des émois auxquels elle ne s'était pas attendue.

Après réflexion, elle avait décidé que l'emploi de la canne, quelque soit la négligence ou ignorance, ne serait pas raisonnable. Cela aurait risqué d'alerter les services de la petite enfance, ce qui était inconcevable.

L'idée d'infliger des humiliations à Lizzy s'était imposée naturellement et avait semblé une bonne contrepartie. Cependant, indéniablement, les émotions qu'elle avait ressenti chaque fois qu'elle rabaissant sa fille s'était faites de plus en plus pressantes, et surtout de plus en plus délicieuses.

Chacun de ces soirs dans l'intimité de sa propre suite, Edwige avait eu beau faire de son mieux pour assouvir ses ardeurs, les fantasmes vicieux qui maintenant l'obsédaient la laissaient toujours plus ou moins inassouvie.

Lorsqu'Edwige pénétra dans la salle de bain, Lizzy l'attendait à genoux à côté de la baignoire, entièrement nue. La docilité de la petite était déroutante.

Son corps mince, presque androgyne, était loin de ressembler à celui qu'elle-même avait au même âge. Ses seins étaient presque inexistants et la teinte du duvet qui ornait son pubis n'évoquait qu'à peine la blondeur parfaite de ses cheveux tant il était peu fourni.

La servante se pencha sur la baignoire dans laquelle le défunt Maître de maison avait passé tant d'heures à user et abuser de son corps. Elle régla la température et s'écarta pour laisse le passage à Lizzy.

"C'est toi qui m'savonne !" Lança la jeune fille en se glissant sous la pomme de douche.

Un frisson parcourut le corps d'Edwige. Telle une enfant gâtée et pourrie par l'argent et un père complètement affectionné de sa fille, les rares fois durant lesquelles elle avait dû se consacrer à la toilette de sa petite Maîtresse, celle-ci avait exigé de se faire servir. Et systématiquement, d'étonnants petits frissons exquis avaient inlassablement parcouru son corps lorsqu'elle avait fait glisser ses mains sur le corps de l'adolescente. Ce à quoi, cette dernière semblait prendre beaucoup de plaisir.

La jeune fille s'offrit à la douche, les mains derrière croisées derrière la tête, exposant son corps sans aucune pudeur. Son dos cambré faisait ressortir ses petits tétons, raides comme des gommes de crayons et elle avait écarté les jambes, s'exposant indécemment au jet d'eau.

Edith ferma le robinet et s'agenouilla pour s'emparer du flacon de savon liquide.

Aussitôt, Lizzy s'assit en tailleur, face à elle, les mains toujours croisées derrière la nuque.

Elle s'attela à répandre la mousse onctueuse sur les épaules de la petite, avant de descendre progressivement sur son buste. Les deux petites tétines lui agacèrent les paumes de mains, et sa jeune Maîtresse se cambra plus encore. Ses coudes et ses bras formaient un angle parfaitement plat, perpendiculaires au reste de son corps.

Edwige la chatouilla délicatement, du bout de ses ongles, suscitant des petits gloussements étouffés, mêlés de gémissements à peine audibles. On croirait qu'elle est en chaleur, songea la domestique.

Elle savonna longuement ses hanches et son petit ventre parfaitement plat, s'attardant un instant sur le nombril offert, suscitant des gloussements plus nerveux.

"Le dos maintenant, Mademoiselle. Tournez-vous."

Conservant les mains derrière sa tête, la jeune fille se redressa et s'agenouilla avec l'agilité que lui conférait les nombreuses années de danse qu'elle et sa meilleure amie suivaient depuis leur plus tendre enfance.

Son dos admirable et sa paire de petites fesses aux rondeurs et aux proportions parfaites, s'offrirent aux yeux de la domestique, qui s'écarquillèrent lorsque, dans la foulée, la petite écarta largement les genoux, adoptant une position absolument indécente.

Un nouveau frisson, plus chaud que jamais, parcouru le corps d'Edwige et termina sa course à la jonction de ses cuisses, y attisant la chaleur sourde qui avait élu domicile au creux de ses reins.

"Vous êtes trop loin, Mademoiselle. Rapprochez-vous un peu." Exigea la jeune femme en versant à nouveau du savon dans le creux de sa paume.

"Attends ! J'ai une idée. Ça s'rait pas mieux comme ça?" Demanda la petite en se mettant à quatre pattes.

Elle écarta à nouveau ses genoux et cambra son dos, offrant salacement ses parties intimes. Les joues d'Edwige s'empourprèrent.

Dès son embauche, c'était Monsieur qui s'était accordé le droit de jouer avec son corps, parfois douloureusement. Après sa mort, Madame avait pris le relais, même si elle était beaucoup moins profuse dans l'expression de ses besoins et bien plus difficile à satisfaire. Et voilà que maintenant, sa petite Maîtresse s'offrait comme la dernière des prostituées.

Sa position révélait l'intégralité de ses parties honteuses, y compris son petit anus plissé qui s'offrait obscènement depuis le plus profond de la raie.

D'une chiquenaude, Madame de Lestrait se débarrassait de sa cendre, lorsqu'une image ahurissante s'empara de son esprit. Elle se représenta sa fille, vêtue d'une petite jupe plissée à carreaux bleus très courte et d'une chemisette blanche à manches courtes, agenouillée, les bras croisés dans le dos, la tête plongée dans son assiette posée à même le sol.

Inconsciemment, Simone écarta les jambes et porta la main à son entre-cuisses, peu surprise de constater la moiteur qui y régnait. Dans son fantasme, sa fille ne portait pas de petite culotte.

À la réflexion, si le comportement et les notes de Lizzy ne s'amélioraient pas, les conséquences pourraient devenir fort intéressantes.

Edwige était en nage. La pose de sa petite Maîtresse était carrément pornographique. Troublée, elle empauma les deux petits globes parfaitement ronds et les enduisit de savon. Puis, évitant soigneusement les parties honteuses de la petite, elle s'appliqua à laver d'abord ses cuisses, puis ses jambes et ses pieds. Le petit gémissement de frustration qui s'échappa des lèvres de Lizzy ne lui échappa pas.

Elle insista longuement sur les pieds, passant ses longs doigts entre les orteils, agaçant du bout de ses ongles la plante de ses pieds, faisant glousser l'adolescente de rire.

Enfin, ayant utilisé toutes ses ressources pour retarder le moment, elle remonta le long des cuisses de la jeune fille qui s'écartèrent de plus belle et enduisit de savon son sexe presque glabre.

Lizzy sentit son cœur accélérer et une langueur douce et intense s'empara de tout son corps. Les doigts d'Edwige venaient d'entrer en contact avec sa minette, provoquant des sensations merveilleuses, identiques à celles que Mélanie prenait un malin plaisir à exacerber chaque fois qu'elle en avait l'occasion. Ce vertige délicieux qui lui tenaillait le bas-ventre, chaque fois que sa copine et elle faisaient des 'choses sales'.

Soudain, le tintement de la clochette de service retentit, assourdi par la distance. À sa grande frustration, elle entendit plus qu'elle ne vit Edwige se rincer rapidement les mains et s'éclipser en courant. Avec le sentiment d'avoir été trahie, elle se dépêcha de finir de se savonner et se rinça.

Lorsqu'Edwige fut de retour, elle s'était séchée et attendait sagement, toujours à genoux, les mains croisées sur le creux de ses reins.

"Bien, Mademoiselle. Venez dans ma chambre, Madame votre mère a décidé de la façon dont vous serez vêtue ce soir. Allons, pressons-nous, vous ne voudriez pas l'impatienter."

Lizzy s'empara d'une serviette et suivit la bonne.

"Mettez-vous devant la coiffeuse, il faut d'abord que je vous coiffe et que je vous maquille."

Docilement, la petite s'exécuta et noua sa serviette autour de sa tête.

Avec une adresse acquise par des années de pratique et entretenue par sa coquetterie, Edwige appliqua un maquillage plutôt voyant, appliquant un mascara, fard et crayon à paupières noirs. Elle s'appliqua à mettre en évidence ses sourcils blonds, aussi peu fournis que sa toison intime. Puis, elle apposa un léger fond de teint et une couche de rouge pur sur ses lèvres.

Voyant l'étonnement se dessiner sur le visage de la petite, la jeune femme crut bon de commenter.

"C'est votre mère qui a décidé de tout. Maquillage, coiffure et vêtements."

"Tu trouves que ça m'rend jolie?"

"Non, Mademoiselle. Vous vous trompez complètement, vous êtes extraordinairement jolie sans maquillage. Je me contente de mettre votre beauté en évidence."

Le sourire enfantin qui se dessina sur le visage de Lizzy contrastait singulièrement avec son comportement dans la douche. Si jeune et si dépravée, je n'en reviens pas.

Armée d'une brosse et d'un séchoir, Edwige eut tôt fait de coiffer la petite, séparant ses longs cheveux blonds pour les regrouper en deux couettes réparties de part et d'autre de son visage.

Un étonnement ravi, teinté d'une curiosité indéniable se lisait sur les traits de Lizzy.

"On dirait Jenna Ortega de Mercredi... Déclara-t-elle songeusement. "Mais, avec des cheveux blonds et des yeux bleus."

"Mercredi?"

"Ben ouais. Mercredi... Tim Burton... La série d'Netflix."

Edwige pouffa de rire en pensant à cette faculté qu'ont les enfants de s'imaginer que les adultes connaissent forcément le sujet qu'ils évoquent.

"Désolée, Mademoiselle. Je n'ai pas vu cette série.

"Tu n'sais pas c'que tu loupes."

La femme de chambre admira son travail. Avec ces couettes et ce maquillage, la fillette ressemblait à une enfant maquillée comme une adulte. Dire que dans trois mois, elle aura dix-huit ans... Je lui en donnerais quatre de moins.

"Vous êtes parfaite, Mademoiselle. Je pense que Madame sera satisfaite. Allez, dépêchez-vous de vous habiller si vous ne voulez pas la mécontenter."

Les vêtements choisis par Madame de Lestrait consistaient en une mini-jupe noire, un petit chemisier blanc orné d'une petite cravate, une paire de chaussettes blanches, une paire de mocassins cirés noirs et une petite culotte blanche.

"Papa m'faisait mettre cette jupe pour aller à l'église..."

"Ordre de Madame votre mère."

"Même cette culotte, ça fait des années que j'la porte plus. Regarde comme elle me serre. Et puis mon chemisier ne rentrera pas dans ma jupe, il est trop court."

En effet, le chemisier épousait les formes de son corps comme une deuxième peau, laissant le bas de son ventre à nu, tandis que la jupe recouvrait à peine le haut de ses cuisses.

"Il n'y aura que Madame et vous, votre pudeur est sauve." Rétorqua Edwige en rigolant. "Essayez plutôt les chaussures, au lieu de vous plaindre."

"Y aura moi, Mère et toi." Répondit Lizzy avec une petite moue boudeuse.

"Vu la façon dont vous vous êtes exhibée dans la salle de de bains, vous avez encore de la marge avant que votre pudeur soit menacée... Allez, laissez-moi attacher votre cravate. Voilà, vous êtes parfaite. Allons rejoindre Madame votre mère."

Du fond de son canapé, Simone eut l'impression que de la température de la pièce venait d'augmenter de plusieurs degrés. Edwige et sa fille venaient enfin de faire leur apparition en haut des escaliers.

Perchée sur ses escarpins, les longues jambes parfaitement galbées de la soubrette semblaient interminables. La jeune fille, qu'elle tenait par le bras, avait croisé ses mains dans son dos et ressemblait à une adolescente asiatique en uniforme d'écolière. Chaque marche qu'elle descendait révélait fugitivement une partie de sa petite culotte blanche. La scène avait quelque chose d'ahurissant. Si feu mon mari avait vu sa fille dans cet accoutrement, j'aurais probablement passé une nuit blanche.

Les deux jeunes femmes étaient d'une beauté à couper le souffle.

Aussitôt arrivée dans le salon, la petite s'agenouilla sur les dalles de marbre et fixa le sol devant elle. Si ce n'était pas ma propre fille, je jurerais qu'il s'agit d'une pute de luxe.

"Mère? Peut-on mettre la télévision, je voudrais montrer une série à Mademoiselle Edwige."

Absorbée dans ses pensées immorales, Simone donna distraitement son accord.

Avec un petit rire enfantin, Lizzy rampa sur ses genoux et s'empara de la télécommande posée sur la table basse.

"Vous allez voir, vous-même serez surprise de la ressemblance."

"Quelle ressemblance?" Demanda Simone en reprenant pied dans la réalité.

"Voilà, regardez."

Le logo du fournisseur de contenu s'afficha à l'écran et, dans les secondes qui suivirent, la série débuta.

"Regardez, on dirait ma sœur jumelle." Déclara la jeune fille dont l'excitation avait fait monter le timbre de voix de plusieurs octaves.

Stupéfaite, Simone se redressa sur son sofa. Effectivement, si on faisait abstraction de l'aspect impudique de la tenue de sa fille, ses couettes, sa petite jupe, son chemisier, sa cravate et ses chaussures vernies en faisaient la copie conforme blonde du personnage de la série.

"Je reconnais que la ressemblance est incroyable. Donne-moi la télécommande et place-toi à côté du poste."

La petite s'exécuta docilement et rampa jusqu'à la télévision. Simone avait mis la vidéo en pause et observait sa fille attentivement. Cette dernière s'était assise sur ses talons et regardait droit vers elle, les deux mains à plat sur chacune de ses cuisses.

"Si Madame le permet, je vais aller préparer le repas."

Sans cesser de regarder Lizzy, Simone congédia sa bonne d'un geste négligent.

"Et, quels sont ses résultats scolaires à cette Vendredi?"

Lizzy pouffa de rire.

"Mercredi, mère. Elle s'appelle Mercredi, pas Vendredi."

Mais Madame de Lestrait n'écoutait plus sa fille. Ses yeux parcouraient avidement son corps menu et la boule de chaleur qui s'était déclarée au creux de son bas-ventre lui causait une furieuse envie de glisser ses doigts entre les cuisses.

"Tu peux regarder un épisode en attendant qu'Edwige serve le repas."

"Avec un petit gloussement de plaisir, Lizzy se redressa et se précipita vers le sofa dans lequel elle se laissa tomber avec un grand soupir de bonheur."

"Tu t'oublies, petite chipie. Rappelle-moi quelle est ta punition."

Penaude, la jeune fille s'agenouilla devant la table basse, aux pieds de sa mère.

"Je dois rester à genoux toute la soirée."

"Je préfère ça. Et que je ne t'y reprenne pas."

Lizzy resta silencieuse et fit de son mieux pour s'absorber dans l'épisode qu'elle connaissait par cœur.

Simone suivit distraitement l'action, alternant entre l'écran et sa fille dont les délicieuses effluves de savon parvenaient jusqu'à ses narines.

Lasse de sa longue journée, elle s'empara d'un coussin confortable le positionna sur la table basse, ôta ses escarpins, et y étendit ses longues jambes.

"Masse-moi les pieds. J'ai eu une longue journée et ça contribuera à te faire pardonner tes mauvais résultats."

Lizzy se pencha vers la table et une forte odeur épicée parvint à ses narines. Les pieds de sa mère se trouvaient à quelques centimètres de son visage et des effluves de sueur mêlée à celles du cuir empuantissaient l'atmosphère. Elle entreprit le massage tandis que les sensations qu'elle avait ressenti en exposant ses parties honteuses à Edwige se ravivaient. Ses yeux explorèrent furtivement les jambes gainées de nylon noir de sa mère.

Cette dernière avait fermé les yeux et son visage s'était adouci. Elle s'enhardit et en profita pour investiguer plus en détails. La position avait fait remonter la robe de Madame de Lestrait bien au-dessus de ses genoux, révélant la chair blanche de ses cuisses encadrées par des jarretelles noires fixées sur une paire de bas. Curieuse, elle se pencha et devina, plus qu'elle ne distingua, la culotte noire qui se dissimulait dans de l'obscurité de la jupe.

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