Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Il est plus endurant que son collègue et un râle de bête à l'agonie m'annonce la fin de mon calvaire. Alors que mon « amant » d'un soir va rejoindre son fief, le comptoir, d'une démarche fière et satisfaite de l'homme aux couilles vides, je m'agenouille devant la cuvette et me vide la boyasse.

Malgré un long rinçage de bouche, le goût du vin 3 étoiles reste incrusté et à peine assise à la table je m'empresse de vider ma bière espérant un effet salvateur.

-- Tu vois que tu l'apprécies ta bière finalement, ironise Paul.

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Paul sent les efforts fournis par Lucie pour accepter de se faire baiser par ces hommes peu agréables, surtout pour une femme de son âge. Il ressent les conflits émergeant dans ses pensées, entre le risque d'une nouvelle punition, celle de photos envoyées à sa famille, et les obstacles mentaux qu'elle doit franchir pour accepter ses accouplements contre nature.

Cela lui plaît, surtout qu'elle n'y semble prendre aucun plaisir pour l'instant, il se dit que de nombreuses autres barrières devront être vaincues pour l'amener à en jouir, cela augure un apprentissage des plus pimenté.

Il apprécie ses violentes envolées au vocabulaire peu châtié quand il lui donne ses directives, il la veut active, vivante, énergique, bataillant de tout son être avec sa morale, ses convictions, ses repères.

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Le 3ème est un jeune homme dans mes âges, grand, musclé, qui avait rejoint le bar quelques minutes auparavant, remarquant sûrement mon manège. Sa tête est par contre toute petite au regard de sa carrure. J'avais espéré, par son allure plus plaisante et sa jeunesse, un peu plus de compassion, mais un « tu baises? » à peine arrivée au bar ne me laisse plus aucun doute, c'est bien l'idiot du village!

Il est bien membré et bande déjà comme un porc à peine arrivé aux w.c. Il me prend debout contre le mur, j'enroule mes jambes autour de ses hanches pour mon petit confort. Il me bourre sans ménagement me soulevant un peu à chaque coup de reins, et me laissant retomber lourdement le long de sa verge.

Il est rude, ses assauts sont violents, sans relâche et je sens ma chatte trempée réagir à cette brute. Si je jouis ce simplet ne s'apercevra de rien et n'ira pas s'en vanter auprès des autres. Je vais m'autoriser ce plaisir, me détendre au mieux, espérant qu'il ne vienne pas avant moi, ce serait trop horrible et frustrant.

Mon plaisir monte, s'enfle, devient intense, je suis au bord de l'explosion. Je ferme alors les yeux pour oublier l'endroit sordide qui m'entoure, la tête de l'hydrocéphale qui me baise et profiter pleinement de ma jouissance. Elle m'envahit, me submerge, traverse tout mon corps pour venir raisonner dans ma tête à la manière d'une grosse cloche. Je serre les dents pour ne rien laisser sortir, car même si je ne suis pas une grande crieuse je ne veux rien laisser paraître de mon plaisir.

Je me sens bientôt toute molle, encore secouée par ses coups de reins réguliers. Il n'a pas bronché, rien remarqué et continue sa besogne au même rythme. J'ai maintenant envie qu'il en termine au plus vite, le retour à la réalité est affreux. Ça lui prend encore un long moment avant se de se bloquer au plus profond de mon sexe pour tout lâcher dans la capote. Il se rhabille et sort sans un mot me laissant assise sur les chiottes une capote à mes pieds. Je n'existe déjà plus à ses yeux, j'enrage, même pas le moindre petit mot pour me remercier.

Je suis encore en sueur en arrivant à la table, Paul me regarde, constate la longueur du rapport, m'interroge, je lui note l'endurance du jeune homme en omettant mon plaisir. Une 3ème bière m'est servie, celle-là me désaltère. J'attends avec anxiété et n'ose regarder Paul de peur d'être renvoyée dans les toilettes, je suis vidée de la journée après la séance de l'après-midi. Mais rien ne vient et j'aperçois enfin le bout de ce calvaire.

Alors que je finis mon verre, le patron commence à fermer son troquet, seul encore 4 clients prennent leur temps profitant de ma présence, je suppose. Il ferme les volets, boucle la porte et tire le rideau. Je ne comprends pas.

-- Peut-on y aller Mr Paul je suis crevée, j'ai fait tout ce que vous m'avez demandé, j'ai même réussi à ramener les capotes.

-- Ouvre ton sac et dis-moi combien de capotes vierges il te reste.

-- J'en ai encore 5 Mr.

-- Ce serait dommage de ne pas les remplir non?

Je parcours la salle du regard et ne vois que les 4 clients restants. Deux paysans et deux à l'allure plutôt ouvrière, entre 40 et 50 ans, pas des plus attirants, mais de loin plus engageant que les deux premiers qui m'ont baisé.

Et puis le patron traverse mon esprit, accompagné d'un énorme beurk mental, j'avais espéré que Paul soit le 5ème, mais la silhouette du patron en train de nous rejoindre ne me laisse plus aucun doute, je vais être obligée de me le taper.

Je fulmine, explique à Paul que j'avais respecté ses conditions, que je ne voulais plus me faire sauter, m'emporte .... Mais je sens bien que mes requêtes sont vaines une fois de plus. Il me laisse m'exprimer, me vider de ma colère, de mon énervement, et quand il me sent à bout d'arguments enchaîne.

-- Écoute-moi bien petite femelle, il ne s'agit pas de venir jouer avec une ou deux bites et de repartir chez toi bien au chaud, tranquillement, après avoir pris ton pied. Tu es là pour être la salope du bar ce soir et je veux que tu fasses ta salope, ne me contrains pas à te rappeler tes obligations.

Tu vas être le petit trou à bite des derniers clients, est-ce clair?

-- Oui Mr, lui réponds-je d'une petite voix, en m'effondrant sur ma chaise.

-- J'aime bien quand tu te mets en colère, l'embrasement de tes joues fait ressortir ton rouge à lèvres. Il te va bien ce petit surnom ce soir, tu aimes? Ou préfères-tu « sac à foutre »? Allez cette fois je ne te laisse pas le choix j'ai un petit faible pour le 1er, rappelle-moi ce que tu es déjà?

-- Le ....., ce sobriquet salace a du mal à sortir, « le petit trou à bite » des clients du bar Mr.

-- Alors déshabille-toi, tu gardes quand même tes bas et tes chaussures, je ne voudrai pas que tu prennes froid et tu vas leur demander si leur « petit trou à bite » leur fait envie.

Je suis atterrée, ce strip au milieu du bar est des plus déplaisant, les 4 derniers clients sont en plus disposés aux 4 coins de la pièce histoire de bien rajouter à ma gêne. Je vais devoir arpenter ce bar dans tous les sens.

Je passe les voir, essayant d'un geste stupide et inutile de leur cacher mes seins et mon sexe, pour leur poser la question. Chacun me caresse les seins ou les fesses, un plus téméraire me doigte même, je dois les sucer un peu pour commencer à les mettre en forme. Je laisse une capote vierge sur la table pour la suite avant de repartir vers un autre. Sans surprise, aucune réponse négative sur leur envie de me baiser n'est venue résonner à mes oreilles.

Mon second tour de table est plus actif, il me baise à la hussarde, chacun dans une position différente, les seins écrasés sur le froid du formica avec les bras tirés en arrière par mon partenaire, le bord de la table me rentrant dans les cuisses à chaque coup de queue jusqu'à la plus classique levrette.

Entre deux clients je ramène consciencieusement la capote pleine sur la table de Paul, il en profite pour commenter ma dernière baise, appréciant ci, regrettant ça, soulignant ma performance ou encore déplorant mon manque d'énergie.

Je ne prends même plus la peine de lui répondre, enchaînant les clients pour terminer au plus vite. Le patron clôture le spectacle, il m'installe au milieu du bistrot allongée sur une table, me rabat les jambes contre mes seins et me demande de garder cette position.

Il rapproche alors mes fesses en bord de table pour un meilleur accès à mon sexe. Je sens sa queue, d'une taille similaire à celle de Paul, mais un peu plus épaisse, caresser ma chatte, mon clito, se baladant dans la raie de mes fesses, battant la mesure sur mon vagin. Il s'amuse avec pendant plusieurs minutes.

Et au moment où je m'y attends le moins, il agrippe fermement mes hanches et me pénètre entièrement d'une seule traite me faisant lâcher un petit cri de surprise. Mon sexe était bien préparé à la recevoir après les 4 clients, mais il a la plus grosse et mes lèvres toutes gonflées des précédents rapports lui offrent un fourreau plus serré.

Il prend son temps alternant les petits coups rapides et les grandes chevauchées profondes, ses mains quittent parfois mes hanches pour aller titiller mon clito, faisant monter un plaisir que je contrôle de moins en moins. J'avais déjà lutté lors du dernier rapport pour ne pas jouir sous les coups de boutoir. Je ne voulais pas le faire en public, ne pas leur donner ce plaisir de me voir prendre mon pied baisée par des ploucs.

Mais là je ne le contrôle plus, il s'invite à la fête, me fait perdre la mesure, m'envahit et comme dans les toilettes je ferme les yeux voulant au mieux m'extraire de ce lieu, surtout que je ne peux cacher ma tête avec mes mains. Il accélère ne me laissant pas de répit et j'explose sans retenue, les dents une nouvelle fois serrées, une onde me submerge, la chaleur m'envahit et je flotte quelques instants au-dessus de cette table!!

En revenant sur terre, j'ouvre les yeux, croise le regard d'un des clients, tous m'entourent pour mieux profiter du spectacle. Je constate alors seulement que le patron s'est arrêté, sa bite à mi-course dans mon vagin et qu'il m'observe la mine épanouie, son mégot allant d'un coin à l'autre de sa bouche.

Ils sont tous là, figés, suspendus à mes lèvres, même si celles-ci ne parlent pas, jubilant de ma jouissance, savourant mes expressions, observant mes réactions, libérés d'une frustration en me voyant enfin prendre mon pied.

Mon bassin s'active tout seul et délivre des petits coups vers sa bite. Il donne l'impression que ma chatte veut attraper quelques centimètres supplémentaires de sa queue. Une chaleur m'envahit à nouveau, mais de honte celle-là. Aucune position ne me permet de me soustraire à leurs regards. Il reprend son pistonnage et finit, après encore un long moment, d'un grand coup rein. La table en fait une embardée retenue par les spectateurs qui l'entourent.

Après « l'exploit » du patron, je retrouve ma table, les jambes flageolantes, où les 8 capotes, disposées en ordre, entourent ma chope de bière vide. À leurs vus j'ai un fugace sentiment de fierté, je n'avais jusque-là jamais dépassé 3 rapports dans une journée avec mes partenaires, cela suffisait à mon plaisir, et là ...

Le patron arrive avec une paire de ciseaux et entreprend de couper chaque capote et de verser leur contenu dans le verre. Un mélange de différentes teintes de blanc, aux épaisseurs variées, aux textures parfois grumeleuses s'accumule dans le verre, la vue m'écœure. Il prend ensuite une paille, touille la mixture, lève le verre, contemple, scrute d'un œil expert et dit :

-- Pensez-vous qu'elle veut des glaçons la salope dans son cocktail?

Rire général!

L'idée de boire ce contenu m'affole, je déteste le sperme. J'ai autant d'aversion pour le foutre que j'aime sucer c'est pour dire! Déjà les doses de semence de Paul ont nécessité de gros efforts pour les avaler sans rien vomir alors 8 décharges!

-- Vous ne trouvez pas qu'il manque un petit quelque chose à ce cocktail, il me semble léger, affirme-t-il.

-- C'est toi l'expert, lui retourne un des clients, tu as plus l'habitude de les préparer que nous, on te fait confiance sur les ingrédients.

Il regarde le breuvage d'un œil connaisseur et dit d'un coup :

-- Ça y est j'ai trouvé, dit-il en crachant un énorme mollard dans la chope puis en donnant un nouveau coup de touillette, mais le dosage ne parait par encore suffisant.

Il tend le verre à son voisin qui l'imite et un nouveau glaviot de belle taille atterrit dans la chope. Et de main en main, le breuvage fait le tour des clients s'emplissant de quelques crachats supplémentaires. À son retour il en remet un petit dernier.

-- C'est la justesse du dosage qui fait toute la différence, sentez-moi ce fumet de couilles, précise-t-il en humant le contenu du verre.

L'idée qu'il se soit préparé ce cocktail pour lui me traverse l'esprit un court instant, un acte manqué sûrement, le refus d'imaginer la suite, voir mon côté naïf qui ressurgit! Le retour à la réalité est rapide quand il me tend le verre d'un grand sourire dévoilant ses dents jaunies.

-- A la tienne ma salope.

Je le prends d'une main timide, le regarde, ne sachant comment réagir. Je cherche Paul du regard, le trouve, mes yeux l'implorent de m'éviter cette humiliation. Aucune réaction, aucune clémence ne transpire, son visage reste sombre, attendant ma décision, jaugeant mes capacités à lui obéir, seul un léger mouvement du menton m'invite à boire le breuvage.

Je ne m'y résous pas, l'odeur du foutre remplit mes narines lorsque je l'approche de mes lèvres et une forte sensation de nausée m'envahit. Paul vient me rejoindre et se place derrière moi pour me susurrer à l'oreille.

-- Tu ne voudrais pas décevoir nos hôtes?

-- Je n'y arriverai pas Mr, c'est une trop grosse dose à avaler d'un coup et puis cela va être horriblement long avec la paille.

-- Tu peux prendre ton temps on n'est pas pressé, commences avec la paille on avisera plus tard.

Les autres font cercle devant moi attendant que je déguste de ce breuvage, ils m'encouragent à force de doux quolibets.

-- Allez vas y salope montres nous que tu aimes ça,

-- Une bonne bouche à foutre qui a du mal à avaler, c'est un comble,

-- Elle se fait prier cette chienne,

-- Elle mérite pourtant bien de se désaltérer après cette soirée chargée,

-- ...

Une 1ere aspiration et un liquide un peu pâteux, au goût acide, aigre m'envahit la bouche, j'ai un mal fou à déglutir. Chaque aspiration me demande un effort surhumain, surtout qu'à chaque fois la quantité de mixture avalée est assez faible, ce fichu verre ne se vide pas rapidement.

Au 3/4 Paul m'autorise à finir sans la paille alors j'enchaîne, j'évite de réfléchir, prends une grande inspiration et avale la fin d'une traite. Je bloque ma respiration pour réprimer les remontées, lutte longuement, tiens bon, puis sentant avoir vaincu cette envie de gerber je me détends.

Je dois évidemment après faire place nette, bien aspirer le contenu résiduel de la paille et nettoyer le fond du verre avec mes doigts. Il ne m'épargnera rien ce soir.

-- Alors ton avis sur cette préparation? J'ai cru discerner diverses sensations à le déguster! Allez va remercier tout le monde et on pourra se rentrer.

Je fais le tour des 4 clients, les remercie de m'avoir accordé leur foutre que j'ai trouvé délicieux à siroter et finis par le patron le félicitant pour la qualité de son breuvage. Je contenais lors de chaque remerciement les envies de vomir qui remontaient à fréquence rapprochée.

De retour chez Paul, la voiture est à peine arrêtée que je me précipite contre la haie de pin et gerbe tout le contenu du cocktail. Il s'étonne de me voir vomir, s'en moque.

-- Tu as du mal à supporter les mélanges peut-être?

-- j'ai déjà réussi à ne pas vomir dans le bar, c'est déjà pas mal je trouve, c'était infect.

-- Avoue que tu n'as jamais dégusté cette qualité de cocktail dans tes pubs à bobo.

Je me retourne après un dernier renvoi, Paul me fait face, sa bite est sortie.

-- Suce et n'oublie pas ta petite chatte.

Je tombe à genou, laisse passer quelques hoquets et prends sa bite en bouche. Je commence à le sucer sans entrain, ma main atteint mon sexe et fleurte sans envie avec mon clito, cette dernière pipe est des plus désagréable.

-- Heureusement que tu t'es retenu dans le bar, cela aurait été un grand manque de respect envers les clients qui t'ont offert leur foutre. Cela m'aurait désobligé et ta punition aurait été sévère. Il faudra que tu fasses des efforts à l'avenir pour garder ces protéines. Tu devrais consulter, ce n'est pas normal cet estomac qui digère mal!!

J'avale sans rechigner son foutre malgré le mélange désastreux avec mes précédents rejets.

-- Tu vois je suis un hôte attentionné, je n'aurai pas voulu te laisser partir le ventre vide. Je te félicite pour ta bonne tenue lors de cette soirée, tu as encore beaucoup à apprendre, mais ton attitude de salope est encourageante. Je te promets de te faire découvrir les nombreux bienfaits de la campagne.

Et n'oublie pas de t'entraîner chez toi avec tes talons cette semaine!

Je suis crevée, son discours me passe au-dessus de la tête je l'entends à peine. Je n'ai envie que d'une bonne douche pour me débarrasser de toutes ses odeurs nauséabondes et de faire disparaître le goût du foutre et du vomi avec ce qui me tombera sous la main.

Un grand verre de vodka me brûle la gorge et fait office d'anesthésiant en arrivant chez moi. Je m'éternise sous la douche, me frottant plus que nécessaire pour me débarrasser de toutes ces odeurs de bouseux. J'ai l'impression que tout mon corps en est imprégné. Je sens encore leurs mains, leurs odeurs, leur sexe me pénétrer. Cette sensation est tenace.

Puis je m'écroule sur mon lit, un second verre cul sec me met directement en relation avec Morphée!!

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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
belle histoire

très bien; pourvu qu'il y ai une suite! Bravo

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
bravo

J'adore ce type d'histoire ou l'accent est mit sur le psyché et une description pointilleuse de l'environnement, elle demande beaucoup plus de temps a écrire, aussi j’espère sincèrement que vous continuerais a trouver l'envie et l'énergie et le temps pour la suite de cette formidable histoire.

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
une suite ?

Bonjour,

j'adore ce récit.

Je tiens donc à vous remercier de nous le faire partager.

Pour quand puissions nous espérer une suite ? :)

Une lectrice admirative <3

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
toujours aussi bon(ne)

bravo, bien écrit, bon scénario que dire de plus?

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