Lucie : Chantage Total au Bureau 02

Informations sur Récit
Chantage sexuel : la déchéance et l'acceptation.
2.3k mots
4.67
20.4k
5

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 11/30/2022
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Suite de "Le Dilemme de Lucie"

Si Cécilia s'en apercevait, c'en serait fini de moi. Je tentai de retirer mon jean tout en restant à genoux. La situation était inconfortable au possible. Mes seins ballottaient de droite à gauche. Cécilia me regardait d'un air supérieur et laissait transparaître des sourires.

— Dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire, aboya-t-elle.

— Oui, maîtresse, répondis-je rapidement.

J'essayai d'accélérer mais je ne faisais que gesticuler comme un pantin désarticulé, ce qui rendait encore plus grotesque ma situation. Une fois la culotte retirée, je me retrouvai nue devant elle, à sa merci. Je n'osai rien dire ni lever les yeux. Je me trouvais si méprisable et, malgré cela, j'étais stupéfiée de sentir mon sexe palpiter et s'humidifier...

Les secondes s'égrenèrent. Je n'osais pas bouger. Cécilia me contourna en m'examinant à la fois avec attention et répugnance.

— Je ne comprends pas ce que les garçons te trouvent, tu es une vraie pouffiasse. Tu as un beau petit cul, certes, mais c'est tout. Tout le reste est vulgaire. Mets-toi sur les avant-bras, les jambes bien droites et le cul bien haut, immédiatement.

Je ne cherchai même pas à discuter et exécutai l'ordre. Je me mis en position, mes fesses bien hautes, jambes serrées, la tête baissée sur les avant-bras. Mes seins pendaient et se balançaient dans le vide.

J'attendais. Un choc d'une violence inouïe s'abattit sur mes fesses. Cécilia venait de m'assener un coup de règle en plastique. J'essayai de retenir un cri de douleur, nous étions au bureau, il ne fallait surtout pas éveiller les soupçons! Je la cherchai du regard pour essayer de comprendre ce que j'avais fait de mal.

— Mon Dieu, que tu peux être bête, écarte les jambes! Je veux tout voir! Tout ça m'appartient maintenant, entre-toi bien ça dans ta petite tête d'écervelée!

J'écartai les jambes sans discuter une fois de plus, toute volonté m'avait quittée. J'avais juste hâte que tout cela se termine. Je dévoilais ainsi pour la première fois toute mon intimité à mon ennemie...

— Je comprends pourquoi tu cachais ton sexe, il dégouline de mouille! Et tes poils, sérieux, ils sont d'un laid! Tu pourrais faire des efforts de présentation... Hum, cela me donne une idée! Je reviens dans cinq minutes. Et ne t'avise pas de bouger pendant ce temps!

Je l'entendis sortir du bureau, me laissant seule, à quatre pattes sur les coudes et les jambes tendues et écartées. Je sentis ma cyprine couler le long de ma cuisse. Comment un tel abaissement pouvait-il m'exciter? Je n'osais bouger, elle pouvait revenir d'un instant à l'autre.

Les minutes s'écoulèrent, me donnant l'impression que j'étais là depuis une éternité ; je devins folle à l'attendre ainsi. Si quelqu'un ouvrait, j'aurais bien du mal à expliquer pourquoi j'étais dans cette position scandaleuse. Malgré tout, je me résignai. Une à une, les briques de ma volonté et de ma résistance s'évanouissaient.

Que faire d'autre à part obéir du mieux possible pour éviter les conséquences? Avais-je vraiment le choix? Après tout, je devais juste tenir deux mois. Qu'est-ce que deux mois dans une vie?

Un sentiment plus troublant se mélangeait à mes pensées : je sentis qu'une partie de moi éprouvait du plaisir à être traitée ainsi. Il est vrai que j'avais souvent rêvé d'être attachée et soumise, mais il ne s'agissait que de fantasmes comme tant d'autres en ont!

À force de me visualiser ainsi, des petites vagues de plaisir me parcouraient. Un sentiment discret, fort, mais enfoui, ancré au plus profond de moi qui ne demandait qu'à sortir.

Je repris mes esprits. Ce n'était pas possible d'avoir du plaisir dans une situation pareille! J'étais les fesses à l'air dans le bureau de mon ennemie, à l'attendre. La chaleur qui irradiait mon sexe se propageait lentement dans tout mon corps. Comment pouvais-je aimer cela?

Lorsque Cécilia entra, je ne me retournai pas. Je tendis du mieux possible mes jambes et ma croupe, docile, pour ne pas la décevoir. Quelques secondes passèrent, je patientais.

Un petit clic d'appareil photo se fit entendre, suivi d'autres. Je me retournai vivement pour confirmer ma crainte : elle me prenait en photo dans cette posture!

Elle était à moins d'un mètre de mes fesses, essayant plusieurs angles de vues pour trouver le meilleur et le plus indécent possible pour ses clichés. Un sourire narquois, trahissant un certain plaisir, s'affichait sur son visage. J'imagine que ma position devait être ubuesque et complètement avilissante. Jambes écartées, rougies par la fessée, le pubis et l'anus dévoilés, les coudes au sol, les seins tombants, je devais être ridicule.

— Tu n'as pas le droit... murmurai-je, la larme à l'œil.

— Si tu veux me dire quelque chose, parle plus fort, je ne t'entends pas bien! répliqua Cécilia en jubilant. Oublie tous tes repères et ta pudeur, tu m'appartiens désormais! C'est clair? Ose dire que tu n'aimes pas montrer ta chatte! Hé, j'y pense! Ne t'avais-je pas dit de ne pas tourner la tête? Tu sais ce qu'engendre la désobéissance, dit-elle en faisant parcourir sa règle sur mon dos.

Ce bout de plastique se baladant sur mon échine me terrorisait, j'étais pétrifiée...

— Et ne t'avise pas de te protéger ou d'esquiver, ajouta Cécilia.

Avant que je puisse la supplier, plusieurs coups claquèrent sur mes fesses. Mon cul me brûlait! La règle remonta ensuite lentement sur le sillage de ma colonne vertébrale puis Cécilia se mit à frapper de manière précise et sèche sur mes flancs.

J'en arrivai à anticiper la douleur à chaque fois qu'elle soulevait la règle. Elle jouait avec moi. La règle se posa doucement sur mon dos et redescendit. Elle passa entre ma raie, je priai intérieurement pour qu'elle ne me frappe pas à cet endroit si délicat. Elle continua à descendre à l'intérieur de ma cuisse, puis d'un coup frappa de gauche à droite entre mes deux cuisses. Un bruit spongieux se fit entendre à chaque coup. Mon Dieu, mes cuisses étaient trempées de mouille.

— Mais quelle salope! Je me demande si c'est vraiment une punition ce que je te fais. J'ai plutôt l'impression que tu prends ton pied! Tu vas saloper la moquette à ce rythme! fit Cécilia tout en continuant de taper.

La douleur était forte, toute cette partie de mon corps était en feu. Je me concentrai pour ne pas bouger ni crier. Je savais que, si je flanchais, la punition ne ferait que s'éterniser. Sa règle remonta en effleurant mon ventre pour rejoindre ma poitrine. Elle passait tout autour, glissait sur les côtés, effleurant mon téton, c'était doux et pas si désagréable pour le coup.

Soudain, la règle s'écarta de mon corps et s'abattit rudement sur mon extrémité dressée. Une décharge électrique émanant de mon sein parcourut tout mon corps, tout s'embrouillait en moi. La douleur se mélangeait au plaisir, je ne parvenais plus à faire la différence sous tous ces coups. J'étais incapable de contrôler mes pulsions, j'abandonnais petit à petit ce qui me restait de dignité.

Les coups continuaient à pleuvoir avec précision. Impossible de savoir où aurait lieu le prochain contact, le prochain choc, s'il serait doux ou fort. Ses mains entrèrent en action, elles me tripotaient sans vergogne, malaxant mes seins, tirant mes pointes, écartant sans douceur les lèvres de mon sexe, caressant puis frappant mes fesses endolories. Elle étalait mon jus intime sur mon périnée et ma raie. Chaque passage m'obligeait à refouler des gémissements.

Mon corps aimait être maltraité, la boule de chaleur à l'intérieur de mon ventre s'intensifiait et se répandait dans tout mon corps. Ma chair était brûlante, à fleur de peau, et cette sensation m'effrayait. Cécilia avait peut-être raison : étais-je une salope refoulée?

« Non, ce n'est pas possible, c'est juste elle qui sait y faire », me rassurai-je en pensée.

Mais l'excitation s'emparait de mon être plus que de raison. Je n'étais concentrée que sur le tactile. Ce moment semblait ne jamais devoir finir...

Sa règle remonta encore une fois vers mon entrejambe, et frappa d'un coup sec mon sexe complètement dilaté. Le bruit de ma chatte trempée me fit tellement honte. Elle continua à m'administrer des coups de règle. Quand elle s'attaqua à mon clitoris, des contractions incontrôlables se déclenchèrent dans mon vagin et des décharges de plaisir m'envahirent. C'en était fini, toute raison m'avait quittée, j'adorais cela...

— Je n'ai jamais vu autant de mouille! Écoute-moi ce bruit! Tu n'es vraiment qu'une sale vicieuse. Et que fait-on aux salopes dans ton genre? se moqua Cécilia. On s'amuse avec elles, bien sûr! ajouta-t-elle en m'enfonçant deux doigts sans scrupule.

Elle ne rencontra aucune résistance, évidemment, et je ne pus retenir un gémissement bien audible cette fois-ci. Cécilia s'esclaffa et enchaîna des va-et-vient pendant plusieurs minutes. Mon excitation était à son comble, je n'en pouvais plus, je voulais jouir, j'allais jouir!

— Comprends-tu que tu m'appartiens désormais? As-tu encore un doute sur ta condition? demanda Cécilia.

— Non, maîtresse, plus de doute, je vous appartiens! répondis-je sans réfléchir, haletante...

Elle s'arrêta net, me laissant au bord de la jouissance.

— Ça suffira pour aujourd'hui, lança Cécilia.

Elle ne pouvait pas s'arrêter maintenant! Tout mon corps attendait un orgasme, rien d'autre ne comptait pour moi à ce moment précis!

— Je... heu... S'il vous plaît... murmurai-je, embarrassée.

— Ah, tu veux quelque chose peut-être? Alors, demande gentiment à ta maîtresse! ironisa Cécilia qui avait très bien deviné l'objet de ma requête.

Je n'allais quand même pas m'abaisser à lui demander de me faire jouir, je ne pouvais pas être descendue si bas... Cécilia reprit ses caresses très lentement, caressant ma corolle de son pouce à chaque passage. Je tressaillis et mon corps fut parcouru de spasmes de plaisir.

— J'attends, petite pute!

— Faites-moi jouir, je vous en prie, maîtresse! dis-je, m'abandonnant à ce plaisir malsain.

— C'est bien, tu commences à comprendre! Je veux bien répondre favorablement à ta demande, mais ça ne sera pas si facile, s'amusa Cécilia.

Elle reprit ses va-et-vient avec vivacité, m'enfilant de ses doigts intrusifs, poussant sur mon fondement avec son pouce. Cécilia s'amusait véritablement à m'amener au bord de la jouissance, gémissante, pour s'arrêter juste avant que je n'atteigne l'orgasme, m'abandonnant chaque fois un peu plus frustrée pour recommencer ensuite.

Déconnectée de la réalité, j'oubliais tout, je ne pensais qu'à mon plaisir. Mes sentiments refoulés avaient pris les commandes. Cette position obscène, ces caresses sans douceur, j'étais prête à tout pour éteindre le feu qui brûlait mon bas-ventre.

— Tu vas répéter tout ce que je te dis si tu veux pouvoir jouir, m'invectiva Cécilia. « Je suis une grosse salope qui aime qu'on la tripote. »

— Je suis une grosse salope qui aime qu'on la tripote.

Et cela continuait, ces phrases s'imprégnaient petit à petit dans mon subconscient.

— Je suis Lucie et j'aime exhiber ma chatte en chaleur.

— Je suis Lucie et je suis la bonne chienne de ma Maîtresse.

Cécilia me récompensait en enfonçant profondément ses doigts dans mon sexe à chaque répétition. J'éprouvai, malgré moi, un plaisir démesuré à me faire humilier de la sorte.

— Je ne suis qu'une poupée sexuelle, tous mes trous appartiennent à Cécilia.

Annihilant les dernières réticences de ma conscience, je répétais le plus vite possible ce qu'elle me disait, je voulais vraiment qu'elle me fasse jouir. Je hurlais presque, entraînée par la situation.

— Je mouille comme la dernière des putes à la moindre excitation... Je vénère ma Maîtresse pour parfaire mon éducation... Pitié, fais-moi jouir! Je ferai tout ce que tu voudras! criai-je.

— Voilà ce que je voulais entendre! s'exclama Cécilia.

Elle accéléra encore ses mouvements, pinça mon clitoris, mes seins, et arriva le plus bel orgasme de ma vie dans un cri de délivrance rageuse. Un plaisir énorme et libérateur.

C'en était fini de moi, je m'écroulai au sol, tremblotante, vaincue. Elle avait gagné, je n'avais à ce moment-là plus aucune volonté de résistance. À peine consciente, haletante, je l'entendis ricaner.

— Tu as conscience que tu es pire qu'une chienne en chaleur? Tu n'es vraiment qu'une pute prête à tout pour jouir! Tu n'es pas d'accord? Nettoie mes doigts, je suis toute sale à cause de toi.

Elle présenta ses doigts à l'entrée de ma bouche. Alors que j'étais complètement sous le choc, mes lèvres s'entrouvrirent et ma langue lécha avec minutie les deux doigts qu'elle me présentait. Ils étaient trempés de ma cyprine, c'était bien la première fois que je me goûtais.

Elle ramassa mes vêtements et me les jeta à la figure, tout en gardant le soutien-gorge et la culotte.

— Rhabille-toi, il est déjà 10 heures, bonne à rien! À partir de maintenant, tu ne porteras plus aucun sous-vêtement et tu ne mettras que des jupes courtes. Si je t'appelle sur ton portable, tu devras venir immédiatement dans mon bureau. Et n'oublie pas ton engagement : à la moindre opposition, je balance tout. Maintenant, dégage.

— Oui, maîtresse, répondis-je en baissant les yeux, toute penaude.

Une fois rhabillée, je rejoignis mon bureau, toute bouleversée. J'avais encore du mal à comprendre ce qui venait de se passer. Comment avais-je pu en arriver à supplier Cécilia de me faire jouir? Comment avais-je pu avoir du plaisir dans une telle situation?

J'étais mortifiée, et si quelqu'un nous avait surpris, si Mike apprenait cela, ça serait la fin pour moi.

Pendant de longues minutes, j'étais à l'affût du moindre signe montrant que mes collègues m'avaient démasquée. J'espérais de toutes mes forces que personne ne m'ait entendue crier...

Je n'avançai pratiquement pas sur mes dossiers ce matin-là. Au lieu de cela, des pensées angoissantes tournaient en boucle dans ma tête. Est-ce que Cécilia tiendrait sa promesse à la fin de ma période d'essai? Que me réservait-elle encore? Pouvais-je me sortir de ce chantage? La réalité me rattrapait...

A suivre, toujours plus de chantage et de contrôle mental.

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Axel Maubuisson, écrivain, une nouvelle vision de l'érotisme. Pensez à lire ma biographie!

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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10 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

très excitant, mais j'aurais aimé plus de gradation que le calvaire de la salope dure plius longremps ;....

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

très excitant j'en ai mouillé ma petite culotte, humm!!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Jusqu’où va-t-elle accepter sa domination? That is the question ? La suite, la suite !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Récit très bien écrit et mené ! Excitant à souhait

Hâte de découvrir la suite

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J'adore

Rudy

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