Ma Belle-Mère, Mon Succube

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Le début de mon parcours avec ma belle-mère, ma muse.
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Alors voilà, je me permets d'écrire cette petite histoire que j'ai vécue, car, bien évidemment, je ne peux en parler à personne de mon entourage...

Cela fait maintenant dix ans que ma femme et moi sommes ensemble. Nous avons de merveilleux enfants et tout se déroule sans accroc.

Cependant, l'élément central de ce que je vais coucher par écrit n'est pas ma femme, mais ma belle-mère.

Pour la petite histoire, il y a toujours eu une attirance physique très prononcée des deux côtés, une espèce de tension sexuelle palpable.

En effet depuis maintenant 10 ans, je côtoie très régulièrement celle que j'appelle mon succube. Depuis le début, elle n'a jamais été avare en compliments à mon égard, et plus d'une fois, je l'ai surprise à me reluquer sans vergogne, et quelques fois même, j'ai pu sentir sa main passer sur mes fesses ou mon entre-jambes, discrètement, comme si c'était le fruit du hasard.

Je n'ai jamais eu un seul geste envers elle, si ce n'est la regarder en coin de temps en temps.

Mais il faut bien comprendre que pour moi, ce n'est pas une femme comme les autres.

Ses traits fins, ses belles dents blanches, ses cheveux noirs de jais et sa peau dorée trahissant son côté méditerranéen lui confèrent une aura toute particulière.

Elle mesure 1m60 et est magnifiquement constituée.

Même si les affres du temps, elle a passé la cinquantaine, se font ressentir sur son visage ou sa poitrine, son fessier est admirablement galbé. J'ai toujours eu un faible pour les arrière-trains pesants et les hanches bien larges, et elle remplit parfaitement toutes ces conditions. Sa poitrine tombante reste malgré tout très belle, opulente et naturelle.

Mais ce qui fait réellement sa force, c'est qu'elle connaît ses atouts, qu'elle sait les mettre en valeur, mais aussi, et surtout, en joué! C'est un domaine où elle excelle, et je mets n'importe quel homme au défi de ne pas avoir une érection rien qu'en la regardant déambuler de sa démarche féline...

C'est très simple, je pense qu'elle est née pour séduire et se jouer des hommes...

Maintenant que le contexte est posé, venons-en au fait.

Étant plus jeune, j'étais très curieux sur tous les sujets attenants au sexe. Aussi, j'ai testé pas mal de choses : SM, BDSM, Bukkake, partouze, échangisme, etc.

Ma femme étant extrêmement fermée à ce niveau, et n'arrivant pas à la décoincer en douceur malgré mes efforts, je décidai de tirer un trait sur tout ceci, me disant que j'avais déjà bien vécu.

C'était sans compter sur ma tentatrice et ses activités sexuelles qu'elle affichait devant moi telle une carotte faisant avancer un âne...

Coutumières de soirées fétichistes et dominatrice à temps plein, je savais ce qu'elle faisait tous les week-ends, et cela, je dois l'avouer, m'excitait au plus haut point. La voir quitter son domicile en minijupe en latex assortis de bas résille parfaitement adaptés à sa morphologie, et de hauts talons noirs me rappelaient toujours ma vie d'avant. Je savais que son mari était son esclave, et j'aurai tout donné pour être à sa place...

Pour être honnête, il n'était pas rare que j'aille aussitôt faire un tour aux toilettes pour me faire du bien sur cette image de femme fatale et parfaite.

Dans le courant du mois d'août, ma belle-mère et son mari partirent trois semaines en vacances arpenter les plages nudistes avec un arrêt prolongé à la baie des cochons. C'est donc tout naturellement que leur courrier fut dévié chez nous. Au début, nous n'avons reçu que le courrier habituel : facture, publicité, etc.

Mais bien vite de petits paquets, des achats effectués en ligne, finirent par arriver.

Ma femme ouvrit le premier par inadvertance, et découvrit de petits clips. Si elle ne reconnut pas ce dont il s'agissait, moi, j'avais tout de suite repéré la forme caractéristique des attaches pour porte-jarretelles. Par la suite, trois autres colis sont arrivés. Je me jetais dessus pour deviner ce qu'il pouvait bien renfermer et je n'étais jamais déçu. Nous avons donc reçu des pinces à tétons, un anneau pénien ainsi qu'une chaîne de buste.

C'est à partir de ce moment-là, en entendant ma belle-mère se moquer de sa fille ne sachant pas trop ce que c'était, que je me décidais à lui faire comprendre que moi, je m'y connaissais. Je n'avais pas d'idées derrière la tête, mais très clairement, je voulais la provoquer à mon tour, comme elle l'avait toujours fait.

Ils rentrèrent donc de vacances, et elle me passa un coup de fil pour me demander quand elle pouvait venir chercher son courrier et passer nous dire bonjour. Je lui donnais rendez-vous un samedi matin, car je savais que je serais seul à ce moment-là. Ma femme étant au sport avec les enfants, cela nous permettrait de discuter plus librement.

C'est donc avec une certaine appréhension, et excitation, je dois bien l'avouer aussi, que j'attendais sa venue. Je vis la voiture se garer et elle en sortit, je ne pus m'empêcher de passer ma main sur mon entre-jambe pour tenter de cacher mon érection en voyant cette magnifique femme en robe bleue courte et volante, dévoilant légèrement ses magnifiques formes ainsi que sa culotte en dentelle noire au moindre coup de vent.

Elle sonna et je lui ouvris la porte, faisant comme si de rien n'était. En passant la porte elle s'étonna de ne voir personne d'autre, ce à quoi je lui répondis que les enfants et ma femme étaient partis à la piscine, mais qu'ils ne devraient plus tarder.

Elle accepta donc d'entrer boire un café, et après avoir discuté de tout et de rien, elle me demanda si elle pouvait avoir ses lettres et colis.

Je revins quelques secondes plus tard et elle relança la discussion sur ces fameux clips en me disant que sa fille l'avait bien fait rire en ne sachant pas ce que c'était. Presque trop rapidement, trop emporté par mes ardeurs, je lui lançai que j'avais tout de suite reconnu l'objet. Je me permis aussi de dire que leurs achats étaient réellement très intéressants et qu'ils ne devaient pas s'ennuyer une fois seul à la maison...

Elle parut surprise, mais je pouvais lire aussi, dans le fond de ses yeux, un intérêt grandissant envers moi. Elle me questionna alors sur mes connaissances dans le milieu de la domination et du fétichisme. Je lui expliquai que j'avais eu les deux expériences, soumis et maître, avec deux partenaires différentes et que nous avions poussé le jeu assez loin. Les bougies, fessées, vacbed et autres humiliations, j'en étais coutumier à une certaine époque. Je n'aurai certainement pas dû lui dire ce genre de chose, mais je ne pouvais me retenir, je voulais l'impressionner et qu'elle me désire autant que je l'eusse toujours désirée.

Elle passait sa fine langue sur ses lèvres, et je sentais qu'elle s'était prise à ce petit jeu. La façon dont elle écartait ses jambes pour attirer mon regard et dont ses tétons pointaient au travers de sa robe ne pouvaient mentir.

Afin de satisfaire sa curiosité j'abordais rapidement ma sexualité actuelle, relativement banale mais plaisante, ainsi que ma vie passée. C'était le moment de passer à l'offensive.

Sans détour je lui demandais si toute sa vie elle avait été une dominatrice. Elle me répondit par l'affirmative. Je n'eus pas besoin de réfléchir plus longtemps. Je la tenais mon opportunité.

Je lui posai une seule question : avez-vous envie de passer de l'autre côté et de devenir pour la première fois la soumise à votre tour?

Elle ne chercha pas d'excuse ni à faire durer la conversation inutilement.

Elle se tortillait, frissonnant de plaisir lorsque ses mains massaient ses seins. Elle n'essayait même plus d'être discrète. Elle était bien trop enivrée par notre discussion pour cela.

Elle me répondit immédiatement en hochant de la tête, préférant rester muette, et je sus dès lors qu'elle allait exaucer le moindre de mes désirs à partir de cet instant.

Je lui proposais de sceller notre lien maitre/soumis en l'immortalisant sexuellement mais surtout psychologiquement. Elle rentra instantanément dans ce jeu vicieux, me chuchotant qu'elle n'avait pas son mot à dire et que seule ma parole avait de l'importance.

Je lui intimai l'ordre de se placer devant moi à genoux. Elle s'exécuta rapidement, pressée de gouter à ce fruit défendu à en juger par le regard avide qu'elle lançait à la bosse qui déformait mon Jeans.

C'était exactement ce que j'attendais d'elle, et je savais que j'allais prendre mon pied, car je comptais bien la priver de ce qu'elle désirait tant. J'allais créer le manque pour marquer son esprit.

Je lui ordonnai ensuite d'ouvrir la bouche, bien grande. Mes mains caressèrent son visage si longtemps convoité et qui était à présent mien, touchant sa peau mate et chaude, presque fiévreuse.

Ses yeux d'ordinaires si perçants et joueurs étaient désormais affolés de plaisir.

Je me redressai et rassemblai ma salive, lorsqu'elle comprit ce que j'allais faire elle poussa un râle de soupir qui me fit frissonner de bonheur par sa puissance. Alors que je tenais son visage entre mes mains, fermement, mais avec douceur, je déversais le contenu de ma bouche dans la sienne. Je vis sa langue se crisper, tentant vainement de saisir la moindre goutte de salive avant qu'elle ne disparaisse dans son œsophage.

Elle était incapable de tenir en place, je pensais que c'était le résultat de l'inconfort de ses genoux nus sur mon carrelage froid, mais non, elle était occupée à se doigter... Son majeur et son annulaire joints avaient repoussé sa fine culotte sur le côté, et pénétraient sans répit cette chatte impeccablement rasée, dont le jus maculait mon sol dans un bruit spongieux.

Mais je devais résister.

Aussitôt, je la rappelai à l'ordre en tirant sèchement sur ses longs cheveux d'ébène. Mon regard sévère lui fit mesurer l'ampleur de son erreur.

À cet instant, je savais que mentalement elle m'appartenait, mais l'heure tournait et je devais me dépêcher pour avoir le temps de réaliser ma dernière petite envie.

L'attrapant par la nuque je la fis se relever, et désigna du menton mon canapé. Elle se léchait de manière incessante ses lèvres minces et strictes. Mon pénis n'allait pas pouvoir rester encore longtemps dans son boxer sans exploser. Et ça tombait bien....

Elle se cala bien dans le fond du divan et je tirai ses jambes vers moi afin de l'allonger un peu plus. Elle ne devait avoir qu'une seule envie : me sentir en elle. Et ce n'était pas son vagin débordant de mouille qui aurait pu me faire penser le contraire.

J'aurais aimé moi aussi, la baiser sauvagement, mais j'avais une bien meilleure idée en tête.

Je la pris par la taille, sentant ses magnifiques poignets d'amour sous mes doigts, et descendit en prenant soin de caresser ses jambes avec délicatesse, m'attardant quelques secondes sur la douceur de ses pieds. Dépassée par ses envies, elle voulut enlever sa culotte, mais j'exerçai une forte pression sur ses mollets qui lui fit reprendre conscience de sa place de soumise. Un léger soupir s'échappa de ses lèvres, et j'entrepris de ramener sa culotte jusqu'à son coup de pied. Devant moi, s'offrait désormais la vue que j'avais désirée pendant toutes ces années.

Cette femme sublime, transpirant la sexualité et la séduction par tous les pores de sa peau était là, devant moi, jambes écartées prêtes à satisfaire mes moindres volontés. Son sexe était très beau, et j'eus envie d'y plonger afin d'en profiter de longues minutes.

Mais ce n'était pas le moment.

Je défis la boucle de ma ceinture et abaissai d'un même geste mon pantalon ainsi que mon boxer à mi-cuisses. Mon membre turgescent fut enfin libéré de son étreinte. Un énorme afflux de sang la fit gonfler de plaisir, et je me rendis compte que je n'avais que rarement été aussi excité.

Ma belle-mère ne put s'empêcher de se pincer les seins, tout en se caressant le bas du ventre, et je ne pouvais lui en vouloir compte tenu des sentiments puissants que je ressentais à l'instant. Elle me complimenta sur ma verge, et me dit qu'elle était prête à l'accueillir en elle, que je pouvais y aller aussi violemment que je voulais, car elle était ma chose, mon vide couille.

Étrangement, je n'avais pas envie que cela se passe comme ça. Je savais que cela viendrait avec le temps, mais j'avais envie d'être doux et de lui montrer que je pouvais la dominer dans le respect et dans la confiance.

J'attrapais mon pénis de ma main droite et commençai à me masturber. Elle parut perturbée au début, frustrée aussi de ne pas pouvoir être possédée par son gendre.

Perdue, elle frissonna en entendant l'explication de la seconde étape de mon plan.

Maintenant qu'elle m'appartenait, je pouvais lui faire ce que je voulais quand je le voulais, mais à cet instant précis, nous n'allions pas avoir de rapport sexuel.

En revanche, elle allait être investie de deux missions.

La première : elle avait toute latitude pour se faire plaisir et se doigter comme elle le voulait, mais au moment de jouir, elle n'avait d'autres choix que de s'arrêter net.

De cette façon, elle allait devoir évacuer sa frustration sur son mari soumis.

Mais à aucun moment elle n'allait pouvoir jouir, car pour cela, elle allait devoir attendre notre prochain moment à deux.

La seconde : j'allais éjaculer à l'intérieur de sa culotte, qu'elle allait devoir continuer à porter le restant de la journée. Le soir venu, elle allait pouvoir l'enlever, et la faire manger à son mari.

Bien entendu sans lui dire que ma semence s'y trouvait.

Prononcer ces deux règles décupla mon plaisir, et le sien aussi visiblement.

Elle haletait, les yeux révulsés tandis que nous masturbions de concert. L'odeur âcre du sexe emplissait mon salon et saturait nos sens. Puis brusquement, elle leva sa main, son vagin distendu laissant apparaitre son petit bouton rose bien gonflé. Elle tremblait et se tordait dans tous les sens, déroutée par ce puissant sentiment de bien-être et de frustration. Je la félicitai pour son obéissance en la serrant contre moi et en déposant un baiser sur son front couvert de sueur.

Excité comme je l'étais, il ne me fallut pas longtemps pour venir lorsque je repris ma branlette. De longs jets bien épais de sperme maculèrent sa culotte noire au point d'en imbiber très rapidement le tissu, formant une petite marre en son centre. Elle regarda avec avidité mon œuvre, mais comprit qu'elle ne pourrait pas y toucher. Je l'aidai délicatement à se remettre debout, remontai sa culotte sur son pubis et la vis presser dessus pour sentir mon liquide encore chaud contre son vagin en pleine ébullition.

Désireux de lui donner un avant-goût de ce qui pouvait l'attendre, je lui proposai de nettoyer mon chibre avec sa bouche ce qu'elle accepta immédiatement. Même si cela ne dura que quelques secondes, je sus immédiatement à quel point elle était douée. Elle se releva, jouant avec ce qu'elle venait de récolter sur le bout de sa langue. Elle me remercia pour cette petite bulle de folie et nous nous sommes embrassés.

Nos langues s'entremêlèrent et pour la première fois j'eus le réel plaisir de pouvoir goûter le baiser de cette femme sublime.

Nous nous quittâmes de cette façon, elle avec ses paquets et ses sous-vêtements remplis de sperme, moi pensant à ma prochaine séance avec ma maîtresse.

Le soir même, ma femme me dit avoir reçu un sms de sa mère, lui disant de me remercier pour les colis, et qu'elle avait fait gouter le café dont nous avions parlé à son mari, et qu'il avait adoré ça.

Elle était à moi désormais, et j'attendais avec impatience notre prochaine rencontre sans limite...

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 21 jours

superbe histoire très bien écrite !!!

on attend la suite avec la plus grande impatience.

AnonymousAnonymeil y a 21 jours

prêt pour une suite...

AnonymousAnonymeil y a 24 jours

Excellent

Rudy

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