Ma femme devient une pute Ch. 08

Informations sur Récit
La fin de l’histoire.
5.5k mots
4.7
28.1k
3

Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/10/2019
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trouchard
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Traduction d'un texte de Veri.

**********

Je remercie les personnes ayant donné une bonne note pour cette série et, bien sûr, je remercie ceux qui ont pris le temps d'écrire un petit commentaire. J'ai parfois du mal à me concentrer sur ces textes, mais je me motive en pensant qu'ils vont plaire.

Voici la dernière partie de cette histoire, avec une fin digne du récit.

Encore merci à tous.

**********

Michelle passait une mauvaise journée. Elle courut vers James, les seins ballotant.

- Un trou du cul de gamin vient de mettre son doigt dans ma chatte et il n'a pas payé!

Elle montra deux gars assis au bar qui souriait. James rit :

- Calme toi bébé, tu sembles vraiment contrariée.

Michelle alluma une cigarette et posa ses mains sur ses hanches. Elle portait un short serré, tendu sur ses fesses. Elle avait aussi un débardeur serré sous lequel ses seins se balançaient librement.

- Tu dois prendre soin de ta pute. Dit-elle sur la défensive.

James lui lança un regard dur :

- Ma pute ne dit jamais ce que son homme doit faire. Compris?

Michelle baissa les yeux et regarda par terre. Elle ne voulait pas être frappée.

- J'ai compris. Mais quand même...

Il était 19 heures passées. Michelle dansait depuis midi. Ses pieds lui faisaient mal et elle ne s'était pas reposée depuis trois semaines.

Tous les jours depuis que James l'avait emmenée pour la première fois se prostituer dans le club de strip-tease étaient quasiment identiques. Se lever, se laisser baiser par James, faire le petit déjeuner, marcher comme une pute pour aller au travail, faire une pipe pour 10 euros à quelques habitués sur la route, entrer dans le club et danser, baiser ou sucer JJ quand il le voulait, ainsi que Big John, le responsable de l'arrière-salle, danser toute l'après-midi, avoir une pause de seulement 30 minutes pour manger le hamburger que James lui amène, recommencer à danser ou baiser jusqu'à minuit ou plus tard. Le week-end, le club était bondé et Michelle réussissait à gagner beaucoup d'argent dans l'arrière salle avec fellations et baises. Mais les jours de semaine étaient tristes, Michelle passait des heures sans fin à harceler des clients tristes qui venaient simplement pour boire une bière ou regarder des filles nues.

C'était la vraie vie d'une prostituée, réalisa Michelle. Rien d'excitant comme quand elle était volontairement dans la rue pour jouer à la pute. De temps en temps, elle disait à James qu'elle pourrait gagner plus d'argent s'il lui permettait de retourner à son travail d'avocate. Mais l'homme refusait toujours. Ma femme réalisa qu'elle était le seul moyen de subsistance du proxénète. Bien qu'elle puisse gagner plus de 200 000 euros par an en tant qu'avocate, retourner au bureau signifierait que James ne pourrait la garder sous la main 24 heures sur 24.

Donc Michelle se levait jour après jour et se faisait baiser pour son souteneur.

Un jour, un jeudi, alors que Michelle pensait que la journée allait être la même, James l'emmena chez un avocat à qui il lui avait demandé d'établir des documents de divorce. Elle signa en grimaçant sans vraiment les regarder. En guise de paiement, James l'emmena dans un motel bon marché et la laissa pendant une heure avec l'avocat qui put s'amuser avec elle.

Elle ne parla pas beaucoup avec lui car elle ne lui faisait pas confiance pour l'aider. Pour le peu qu'elle avait regardé, elle avait noté de nombreuses erreurs dans les papiers de divorce, si bien qu'elle regretta son ancienne vie. Michelle réalisa à quel point elle était abandonnée. La vraie vie d'une pute était dure, déprimante et n'offrait aucun plaisir et aucun avenir. Il n'y avait rien de sexy à travailler dans la rue pendant des heures avec son proxénète dix mètres derrière. Michelle n'avait pas de récompense : pas de cours de yoga, pas de diner, pas de cinéma. Sa vie était juste manger, dormir, satisfaire James et ses amis et se vendre à quiconque avait dix euros, tout en essayant de ne pas mettre James assez en colère pour qu'il la frappe.

Alors qu'elle était seule avec l'avocat, ma femme pensa brièvement à lui demander de l'aide. Tout ce qu'il aurait eu à faire est de lui prêter son téléphone pendant quelques minutes et elle aurait pu m'appeler pour m'expliquer où elle travaillait et pour prévenir la police. Mais ça aurait été surement une erreur car l'avocat aurait refusé et aurait tout dit à James qui l'aurait battue pour sa tentative d'évasion. James lui avait déjà cassé une dent en lui donnant un coup de poing quand elle lui avait répondu au club un jour.

Ce fut ce jour-là où ma femme fut complètement brisée. Les autres strip-teaseuses du club restèrent silencieuses et aucun client ne bougea alors que Michelle rampait sur le sol en pleurant et en cherchant sa dent pendant que James se tenait debout devant elle en lui criant dessus.

Il la força à se relever et à s'excuser de l'avoir obligé à la frapper. Michelle obéit, la bouche saignante et les larmes coulant sur son visage. Ce fut ce jour-là qu'elle perdit tout espoir. Personne ne l'aiderait et James ne l'autoriserait jamais à partir. Depuis ce jour, Michelle marcha tête baissée, bougeant son cul et ses seins lorsque James le disait.

James était avec JJ quand elle se plaignit du jeune garçon qui l'avait doigtée. JJ était le fils du propriétaire du club qu'elle devait régulièrement baiser ou sucer pour qu'il ne lui facture que 10 euros au lieu de 20 l'heure autorisée à travailler. Elle n'aimait pas JJ qui semblait prendre un réel plaisir à la blesser ou l'humilier lors de leurs rapports sexuels.

Les deux hommes rirent quand Michelle se plaignit. JJ eut une idée. Il sortit quelque chose de sa poche et regarda James :

- Puis-je lui en donner?

James acquiesça :

- Oui, on peut commencer ça.

JJ regarda Michelle.

- Jette cette cigarette à la poubelle et prends ça!

Il tendit un joint et Michelle obéit. Elle inspira profondément et sa tête se mit à tourner. Immédiatement, elle se sentit légère et sa colère s'évanouit. Elle prit une autre bouffée et ne se rappela même pas pourquoi elle était en colère. Elle tendit la main vers JJ et saisit son entrejambe.

- Tu es prêt pour ma chatte bébé?

JJ sourit et tendit le joint à James.

- On se voit plus tard camarade.

Ils partirent dans le petit bureau que JJ avait à l'arrière. Michelle était brulante. Elle pensa qu'il y avait surement autre chose que de l'herbe dans le joint. Il devait y avoir un aphrodisiaque car elle était incroyablement excitée.

JJ jeta Michelle sur son canapé sale et défit son pantalon. Elle rampa vers lui et attrapa sa queue, mais JJ la repoussa.

Michelle avait l'habitude de ce jeu. Mais contrairement à toutes les autres fois où l'homme la faisait ramper et supplier de la laisser sucer sa queue, elle se précipita, fourra le membre dans sa bouche et commença à le sucer. JJ banda très vite. Il rigola.

- Calme toi chienne...

Mais avant qu'il ne puisse en dire plus, Michelle s'était allongée sur le canapé et tirait l'homme sur elle.

- Tu dois me baiser maintenant, j'en ai besoin.

JJ guida son sexe entre les jambes de ma femme. Il trouva qu'elle était vraiment excitée et incroyablement humide. Il la baisa alors qu'elle gémissait, jurait et se tortillait sous lui. Ses mains lui griffaient le dos et elle le suppliait de la pilonner plus durement, ce qu'il fit jusqu'à ce que la tête de Michelle se torde en arrière.

Et même si elle avait un orgasme, la chaleur dans son ventre ne disparut pas. Elle enroula ses jambes autour de JJ et ne le laissa pas se dégager.

- Baise cette pute! Plus fort!

JJ tint le coup aussi longtemps qu'il le pouvait. Finalement il se vida en elle juste au moment où elle avait un nouvel orgasme. Ils restèrent allongés sur le canapé, JJ toujours en elle, pendant quelques minutes. Michelle haleta et essaya de reprendre son souffle tout en se vidant la tête.

Puis elle se redressa et commença à s'habiller en silence. JJ resta allongé sur le canapé et sortit un autre joint.

- Tu le veux? Dit-il en le balançant devant elle.

Michelle voulut le prendre mais il le reprit.

- Dis s'il te plaît! Railla-t-il.

Michelle baissa la voix et frotta ses seins contre sa poitrine.

- S'il te plaît bébé, donne-le-moi.

JJ rigola et laissa Michelle avoir le joint. Mais au bout de deux bouffées, il le reprit.

Michelle fut étourdie par la drogue. Elle sortit dans le club à la recherche de James ou d'un client. Elle ne se souvient pas du reste de la nuit. Le lendemain matin, elle se réveilla dans le même appartement sale qu'elle partageait avec James. « Un autre jour, et la même routine » pensa Michelle, nue dans le bras du proxénète. Elle tendit la main sous les couvertures et trouva la grosse queue noire de l'homme. Elle passa la tête sous les couvertures. James était généralement de bonne humeur s'il se réveillait avec sa bite dans une bouche.

Mais cette fois, ce fut différent. Michelle ressentit une douleur dans le dos et sous les seins. Elle essaya de se mettre à l'aise pour sucer James mais la douleur augmenta. C'était comme une brulure dans le bas de son dos et sous chaque sein. Elle se leva et entra rapidement dans la salle de bain. Ses pires craintes furent confirmées. Alors qu'elle était sous l'effet des drogues qu'ils lui avaient donnés, James l'avait emmené dans un salon de tatouage.

Dans son dos, juste au-dessus de son cul, le nom « James » était tatoué en bleu. Michelle se retourna et fit face au miroir en pleurant. Elle souleva sa grosse poitrine. Le mot « putain » était tatoué en noir sous un sein. Sous l'autre, se trouvait le mot « salope ». Les tatouages ont été faits de telle sorte que lorsque Michelle est nue et debout ils ne se voient pas. Mais lorsqu'elle est allongée, les mots sont bien visibles.

James l'avait marquée de telles façons que chaque fois qu'elle aurait des relations sexuelles, son partenaire verrait qu'elle appartient à James. L'emprise du souteneur sur Michelle était complète. Ma femme se laissa tomber sur le sol da la salle de bain et pleura. James avait fait s'elle sa pute. Il lui avait fait signer des papiers pour divorcer du mari qu'elle aimait. Elle travaillait sept jours sur sept pour lui et il se plaignait quand elle demandait un peu d'argent pour s'acheter une bouteille de shampoing bon marché. Peu importe ce qu'elle gagnait, et certains jours c'était plus de 2 000 euros, il n'était jamais satisfait. Il la frappait quand il voulait. Il l'insultait, la qualifier de pute idiote et lui demandait toujours de s'excuser.

Michelle n'avait plus de vie. Sa carrière n'était plus. Elle pensa que je ne lui pardonnerais jamais et qu'elle n'aura jamais l'occasion de m'expliquer comment James l'avait forcée à signer les papiers du divorce dans lesquels elle renonçait à tous ses droits. L'avocat avait dit à James que s'ils faisaient comme ça, Michelle n'aurait pas à se présenter au tribunal. C'est ce que voulait James. La vie de Michelle fut réduite à sa promenade de prostituée pour aller au club, son travail dans ce lieu pour les noirs, et le petit appartement où elle était esclave de James.

Elle arrêta de pleurer et retourna dans la chambre. En chemin, elle passa devant la cuisine et vit un couteau à steak bon marché sur le comptoir. Elle s'arrêta une minute et réalisa qu'elle était nue. Elle ne pourrait s'en tirer comme ça. James contrôlait aussi ses vêtements et elle n'était pas autorisée à aller se servir dans l'armoire ou se vêtir sans la permission du proxénète. Elle oublia le couteau et retourna dans la chambre. James était réveillé. Il tapota le lit et elle s'assit docilement.

- Finis ce que tu as commencé salope!

Michelle se pencha et commença à sucer la grosse queue de son souteneur.

- Tu as vu tes nouvelles marques? Demanda nonchalamment James en s'allongeant pour profiter de la fellation.

Michelle hocha la tête dans cesser de sucer la queue. Il y a quelques jours, il lui avait posé une question pendant qu'elle le suçait et quand elle avait sorti le membre de sa bouche pour lui répondre, il l'avait giflé d'un revers qui l'avait fait tomber du lit.

- Ne cesse jamais de me sucer sans ma permission! Avait-il crié.

Elle avait gémi, s'était excusée et l'avait supplié d'être autorisée à finir de sucer sa queue. Il lui avait gracieusement permis.

James sourit intérieurement. Il avait finalement réussi à tatouer son nom sur sa pute, et elle ne pouvait se plaindre pendant qu'elle le suçait.

James caressa la tête de Michelle.

- Tu peux me répondre chienne.

Michelle laissa la bite de l'homme glisser de sa bouche. Elle était blessée et en colère mais elle savait que ça n'avait pas d'importance. Elle ne voulut pas être obligée de le remercier alors elle resta la tête penchée, fixant sa queue. James tendit la main et pinça un téton. Michelle se tortilla. Elle savait qu'il pouvait la faire jouir s'il le voulait. Finalement elle leva les yeux et demanda :

- Puis-je avoir un peu de ce joint que JJ m'a déjà donné?

James sourit puis il rigola.

Maintenant, Michelle était à peine consciente du temps qui passe. Elle perdit l'appétit et James dut l'obliger de manger. Elle allait au club et s'arrêtait en chemin pour sucer des clients, mais une fois qu'elle avait fini, elle se souvenait à peine de l'avoir fait. Une fois au club, James lui donnait de nouveau le joint spécial ce qui la gardait hébétée pendant quelques heures. Elle dansait et se faisait baisait. Puis le diner, puis encore le joint pour la fin de soirée. Et ils rentraient.

Même si elle était dans les vaps la plupart du temps, Michelle continuait à gagner de l'argent. Elle fit un très bon week-end lors du début de la saison de football.

Le lendemain, James l'emmena dans un garage de voiture d'occasion. Il négocia pour acheter une Cadillac décapotable de trois ans. Mais comme il lui manquait 500 dollars, il donna une tape sur le cul de Michelle. Elle comprit tout de suite et commença à faire la pute. Elle se blottit contre le vendeur, caressa sa poitrine à travers sa chemise et lui murmura à l'oreille que s'il se mettait d'accord avec son homme, elle prendrait bien soin de lui.

Cette nuit-là, alors que James les conduisait à l'appartement il fit un discours à Michelle.

- Aujourd'hui tu fais un tour en voiture. Mais demain tu marcheras pour aller travailler et je conduirai derrière toi. Tu dois travailler plus dur maintenant. Nous montons dans la société. J'ai une voiture et bientôt tu seras divorcée. Alors on pourra se marier. En attendant remue tes seins et bouge ton cul comme si tu étais née pour ça et nous y arriverons.

Il tendit la main et attira la tête de ma femme sur ses genoux. Il rentra chez lui en profitant de la fellation de Michelle dans sa nouvelle voiture. Elle s'arrêta un instant pour lui demander un joint. James lui donna une bouffée. Ensuite elle reprit la bite de son proxénète dans sa bouche. Pour James tout était parfait.

Les affaires de la nuit suivante au club furent moyennes. Michelle voulait bien travailler aussi dur que possible mais si les clients n'étaient pas là, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Même JJ fut ennuyé. Il ne voulut plus de pipe ou baiser Michelle pour ne pas avoir à réduire le prix de l'heure. Mais Michelle gagna à peine 20 euros de l'heure. James était de mauvaise humeur au moment de partir.

- J'achète une belle voiture et tu fous tout en l'air en devenant une pute paresseuse.

Michelle grimaça. Elle pensa que James allait la frapper.

Pour James, être proxénète était la chose la plus simple au monde quand il avait une femme comme Michelle. Il suffisait de la comprendre. Quand elle pensait avoir fait quelque chose de bien, il fallait la punir, la réprimander et la faire pleurer. Quand elle pensait qu'elle allait avoir des problèmes, il fallait être gentille avec elle, l'embrasser et lui parler gentiment. Avec une idiote comme Michelle, ça avait bien fonctionné et il n'avait pas fallu longtemps avant qu'il ne la soumette. Les tatouages avaient été la dernière partie du plan. Maintenant que son nom était dans son dos, Michelle devait comprendre qu'elle n'avait pas moyen de lui échapper. Il avait parcouru un long chemin depuis qu'il nettoyait le sol du bureau de Michelle pour un maigre salaire.

Il tendit la main et Michelle recula.

- Viens ici, je ne vais pas te frapper.

Elle s'avança et il lui caressa la tête.

- Tu aimes ton homme? demanda-t-il.

Michelle se blottit contre lui et l'embrassa.

- Tu sais bien que oui bébé.

James prit son cul dans la main et le pressa. Même après tout ce temps, il aimait le cul de cette vieille salope et il avait hâte de pouvoir la baiser ce soir.

- Je veux que tu travailles dur avant de rentrer à la maison. Il y a beaucoup d'hommes sur le chemin, essaie d'en satisfaire certains. Tu peux nous gagner un peu d'argent. Puis quand nous rentrerons, tu auras du vin et le joint, ainsi que de la musique. Tu pourras faire la fête avec ton homme. OK?

Michelle sourit malgré elle. C'est le meilleur qu'elle puisse obtenir. C'était presque un rendez-vous et elle n'aurait pas besoin de cuisiner ou de faire le ménage. Elle sourit à James, même si elle était consciente que son sourire était gâché par la dent manquante qu'il lui avait cassée. Elle sortit du club et marcha sur le trottoir avec James conduisant quelques mètres derrière elle. Elle remua le cul autant que possible sur ses talons hauts.

Elle fit des signes de la main à quelques voitures qui la klaxonnèrent. Puis une s'arrêta. Derrière elle, James stoppa aussi. Michelle s'approcha de la voiture où il y avait deux hommes. Elle se pencha à la vitre du passager et dit :

- Hey les gars, vous voulez profiter d'une chatte chaude ce soir?

Le passager regarda ses seins. Elle baissa son haut et un nichon surgit. Michelle le souleva et montra au gars son tatouage « salope ». Les yeux du passager s'élargirent quand il vit le mot.

- Qu'est ce que tu nous offres? demanda le gars.

Michelle pensa à James qui voulait qu'elle gagne de l'argent.

- Je prends généralement 200 pour chacun. Mais comme vous avez l'air gentils, je fais 300 pour vous deux. Mais vous payer la chambre. Je vous sucerai et vous me baiserez.

Michelle remua sa poitrine et passa lentement sa langue autour de sa bouche. Ses grosses lèvres étaient humides et elle savait que le rouge à lèvre donnait envie de glisser son sexe dans sa bouche. Michelle était anxieuse mais elle fit de son mieux pour le cacher. Elle voulait vraiment gagner de l'argent pour James afin de pouvoir passer un bon moment lorsqu'elle rentrerait.

Le passager sortit de la voiture.

- Ok, laisse-moi t'ouvrir.

Il ouvrit la porte arrière de la voiture pour Michelle, mais avant qu'elle ne puisse entrer, elle sentit que l'homme l'agrippait.

- Attends ma chérie, je dois te mettre les menottes avant. Tu es en état d'arrestation.

Le policier mit les menottes tandis qu'une voiture de police tournait au coin avec ses feux clignotants.

Les pensées se bousculèrent dans la tête de ma femme. James connaissait tous les flics de la région. Il demandait souvent à Michelle de leur taille une pipe pour qu'il regarde ailleurs.

- Attendez une seconde. Mon homme prend soin de vous les gars. Je ne peux pas être arrêtée.

Le policier en civil fit tourner Michelle.

- Il est où ton homme?

Elle chercha James, mais il était parti. Elle commença à pleurer. Puis elle vomit. Le policier jura et recula. Et Michelle s'évanouit.

****

Michelle se réveilla dans un lit d'hôpital. Les draps étaient propres, bien blanc et ils sentaient bon. Elle avait une aiguille dans le bras. Elle cligna des yeux plusieurs fois et sa vision s'améliora. Elle me vit assis de l'autre côté de la pièce. Elle commença à pleurer. Elle s'assit alors que je m'approchai.

- J'étais tellement inquiet pour toi. Dis-je d'un ton rassurant.

Ma femme pleura de façon incontrôlable pendant plusieurs minutes. Une infirmière apporta de l'eau et Michelle la sirota. Puis elle réalisa qu'elle avait faim. Elle me le dit et j'allai le transmettre à l'infirmière.

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