Ma Logeuse Ch. 05

Informations sur Récit
Ma vie bascule.
5.9k mots
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29.6k
2

Partie 5 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/06/2013
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Bonjour,

Ce texte est mon premier essai.

J'aimerais beaucoup avoir vos impressions, bonnes ou mauvaises.

N'hésitez pas à voter et à me laisser un commentaire.

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Le samedi,vers 19h, Bertrand sonna à la porte. Hélène partit lui ouvrir tandis que je restais tétanisé dans le salon. Ils mirent longtemps à revenir, Bertrand avait un gros bouquet de fleurs à la main.

« Bonjour Pascal, comment vas-tu? »

Je me levai et serrai la main qui m'était tendu

« Bonjour, ça va, j'ai pas mal de boulot en ce moment mais ça va »

« Oui, c'est ce que vient de me dire Hélène. Tu ne seras pas avec nous ce soir? »

Il avait toujours le même sourire amical mais je le sentais soulagé.

« Non, je vous fais faux bond, je vais travailler »

Il me fit un clin d'œil qui se voulait complice.

« Le travail, il n'y a que ça de vrai »

Dans d'autres circonstances, j'aurais sans doute pu apprécier Bertrand, mais à cet instant, il me parut odieux.

Je quittai le salon pour me réfugier dans ma chambre. Je les entendis monter vers 22h, puis je perçus les couinements rythmiques du sommier accompagné de quelques gémissements assourdis. L'idée qu'Hélène prenait du plaisir avec un autre homme était une véritable torture et je finis par m'effondrer en larmes sur mon lit, la tête enfouie dans l'oreiller...

Je me réveillais le dimanche tout habillé, à plat ventre sur mon lit. Il était 9h30 et j'entendais vaguement des bruits dans la maison. Je descendis prendre mon petit-déjeuner, redoutant plus que tout de croiser Bertrand. À mon soulagement, Hélène était seule en robe de chambre dans la cuisine.

« Bonjour Madame »

« Bonjour, tu vas bien? »

« Oui, ça va...Bertrand est parti? »

« Oui, de bonne heure ce matin. »

Je me servis mon déjeuner, elle prit un bol de café et s'assit avec moi pour m'accompagner. En s'asseyant, sa robe de chambre s'entrouvrit légèrement, laissant apparaître la naissance d'une poitrine généreuse.

« Tu as pu travailler? »

« Oui...enfin pas comme je l'aurai voulu »

Elle gardait les yeux fixés sur son bol.

« Pourquoi...quelque chose t'a dérangé? »

Je posai ma main sur la sienne, elle leva les yeux vers moi.

« Madame, s'il vous plaît...Vous le savez bien, je vous aime...Je comprends parfaitement que vous ayez un amant...mais ne me demandez pas de ne pas en souffrir »

Elle me fixa avec une sorte de fièvre dans le regard.

« Je sais Pascal, je t'ai dit que j'aimais faire souffrir les gens qui m'aime...Je vais être franche avec toi...savoir que tu étais là, à côté...a participé à mon plaisir »

J'étais anéanti par ce qu'elle venait de dire.

« Vous l'aimez? »

« Qui? Bertrand? Non, bien sûr que non...et il ne m'aime pas non plus...nous passons de bons moments ensemble, c'est tout »

Et je lâchais enfin la question qui me brûlait les lèvres depuis des semaines.

« Et moi, vous m'aimez? »

Il y eut un silence interminable.

« Oui Pascal, je t'aime d'une certaine manière...disons que j'aime ton amour pour moi...et l'emprise que ça me donne sur toi...si je n'avais pas de sentiments pour toi, je n'éprouverais aucun plaisir à te faire souffrir comme je le fais. »

J'avais à nouveau des larmes dans les yeux.

Elle reprit un ton froid pour ajouter.

« Aujourd'hui, je vais te faire découvrir quelque chose...finis ton déjeuner et allons dans ma chambre. »

Je rentrai dans cette chambre qui m'était interdite depuis des

semaines. Le lit défait et les draps emmêlés me rappelaient cruellement ce qui s'était passé là la veille.

« Déshabille toi! »

Tandis que je retirais mes vêtements, elle quitta la pièce...elle revint un moment après avec une serviette de bain qu'elle étendit sur le lit.

« Allonge toi et tends tes bras »

Sitôt que j'eus obéis, je la sentis passer un bracelet d'acier à mes poignets. Elle me menotta ainsi aux montants métalliques, puis elle fit pareil avec mes chevilles. J'étais complètement immobilisé, en croix sur la serviette de bain. Elle quitta à nouveau la chambre et revint avec une bassine d'eau et une trousse de rasage. Elle ôtât précautionneusement ma cage et, après m'avoir badigeonné le pubis avec du savon, elle commença à me raser. Je ne dis rien. J'étais absorbé pas des sensations inconnues. Être ainsi attaché, à la merci de cette femme que j'aimais plus que tout, tandis qu'elle enlevait mes poils, symbole de ma virilité me faisait éprouver une délicieuse humiliation et mon sexe libre s'érigea devant ses yeux.

« Tu bandes...ça te plaît d'être en mon pouvoir? »

« Oui Madame »

« C'est bien, parce que si tu veux savoir, moi, ça me fait mouiller...nous étions fait pour nous entendre »

C'était la première fois qu'elle évoquait aussi crûment son excitation devant moi, moi qui ne pouvais bien évidemment pas cacher la mienne.

Son rasage terminé, elle ramena son attirail dans la salle de bain. J'essayais de voir à quoi ressemblait mon sexe glabre mais les liens m'interdisaient de me pencher suffisamment.

« Tu bandes toujours...c'est embêtant...ça fait combien de temps que tu n'as pas jouis? »

« Quinze jours Madame »

« Ça te manque? »

Ma réponse fut un cri du cœur, dans l'espoir qu'elle allait enfin me donner du plaisir.

« Oh oui Madame

« C'est bien, j'aime te savoir frustré, en attente de mes caprices »

Elle me détacha de mes liens. En se penchant sur moi pour enlever les menottes de mes poignets, je me retrouvais la tête enfouis contre ses seins dont je devinais la souplesse à travers le satin de sa robe de chambre.

« Viens dans la douche »

Je la suivis en silence, observant mon ventre lisse dont émergeais mon membre en érection.

« Rentre »

Elle ouvrit le robinet d'eau froide dirigea le jet contre mon sexe. Le contact fut très désagréable mais rapidement, je perdis ma bandaison et je me retrouvais grelottant avec le sexe mou. Elle en profita pour me remettre ma cage de chasteté.

Le reste de la journée se passa calmement. J'étais encore sous le choc des sensations que j'avais éprouvé à me sentir attaché, à la totale merci d'Hélène. Et je me remémorais le contact doux de sa poitrine contre mes joues. Cela faisait trois mois que je vivais chez elle et je n'avais encore jamais vu la moindre partie de son corps qui me faisait pourtant fantasmer toutes les nuits.

Vers 18H, j'étais dans ma chambre, nu comme elle me l'avait demandé encore une fois, à revoir mes cours. La porte était ouverte et Hélène entra sans frapper. Elle posa sur mon bureau un grand verre, emplit au trois quarts d'un liquide jaune un peu trouble. La buée sur le haut du verre montrait clairement que le liquide était chaud et je compris tout de suite de quoi il s'agissait. Je ressentis un frisson dans le dos à l'idée de ce que j'allais devoir faire.

« Tiens, directement du producteur au consommateur..écarte toi du bureau que je puisse voir si ça te fait toujours autant d'effet »

Je repoussais mon siège pour exhiber mon sexe encagé. J'appréhendais ce qui allait se passer, la dernière fois, il s'agissait d'un petit gobelet à moitié plein. Ce que j'avais devant moi maintenant était un verre entier d'urine chaude. Je ne savais pas si je pourrais le tolérer.

Je pris le verre à la main et ressentis la tiédeur de son contenu. Je l'approchais de mes lèvres. L'odeur me donna un haut le cœur. Je fermais les yeux et commençai à verser le contenu du verre dans ma bouche. Le goût me parut différent de la dernière fois, plus acre, plus amer. J'avalais une première gorgée de ce liquide chaud...puis une autre...l'odeur de l'urine m'imprégnait. Je réprimais un nouveau haut le cœur et continuait mon ingestion silencieuse. Je bus, encore et encore... cela semblait ne jamais devoir s'arrêter Je m'habituais peu à peu aux goûts et aux odeurs acides. Enfin, le verre fut vide et je le reposais sur le bureau. J'ouvris les yeux. Hélène avait le regard fixé sur mon sexe. Je regardais ma verge, en pleine érection dans l'espace étroit de la cage.

« C'est incroyable...tu aimes boire ma pisse? »

Je reprenais doucement mes esprits, la bouche emplie du goût acre de son urine, la gorge vaguement irritée.

« C'est parce que ça viens de vous »

« Tu ne peux pas savoir comme ça m'excite...un mec suffisamment amoureux pour boire ma pisse et en éprouver du plaisir »

Se levant lentement, elle se dirigea vers sa chambre et en ferma la porte. J'avais toujours ce goût acide/amer dans la bouche quand je cru entendre ses gémissements. J'avais eu du mal, j'avais cru vomir plusieurs fois, mais j'avais bu son urine jusqu'au bout et curieusement, j'éprouvais une forme de fierté à avoir accompli cette tâche dégradante.

Les choses accélérèrent la semaine suivante :

Le mardi, elle rentra tard. Elle m'avait prévenu et j'avais mangé sans l'attendre.

Quand elle rentra vers 22H, elle s'assit dans le banquette, me lança abruptement :

« Pascal, viens me masser les pieds »

Perturbé par cet ordre direct. Je m'asseyais et commençais à masser ses pieds au travers de ses bas, du mieux que je pouvais. Elle avait fermé les yeux et se laissait faire.

« Je voudrais te demander quelque chose Pascal...tu as envie de moi? »

Surpris par la question, je répondis immédiatement.

« Oui Madame...j'ai envie de vous »

« Tu as déjà vu jouir une femme? »

« Non jamais »

« Quand tu fantasmes, tu penses à quoi? »

« À vous Madame »

« Ah oui, et tu me fais quoi? »

« Je vous fais l'amour »

« C'est de ça que tu rêves? »

« Oui Madame »

« Tu te rends compte que ça n'arrivera jamais? »

« Euh...oui Madame »

Elle avait commencé à se caresser fébrilement, une main sous sa jupe.

« Tu sais que jamais tu ne profiteras de moi... alors que d'autres en profiteront »

Je commençais à pâlir devant ses remarques acerbes, et je compris qu'en fait, c'était pour s'exciter qu'elle me disait ça. Je décidais de jouer le jeu.

« Oui Madame, je sais que je ne vous toucherai jamais., même si je rêve de votre corps »

Son souffle se fit plus rapide. Elle murmura d'une voix rauque.

« Tu l'aimes mon corps »

« Oh oui, j'en rêve toutes les nuits »

« Tu es conscient que jamais tu ne me prendras? »

J'étais au moins aussi excité qu'elle. La différence, c'est que pour moi, cette excitation était synonyme de douleur, alors qu'elle se masturbait frénétiquement sous mes yeux.

« Oui Madame »

Elle se raidit brutalement contre le dossier de la banquette...en laissant échapper une plainte sourde.

Au bout d'un moment, elle rouvrit les yeux et me fixa avec un regard brillant.

« Ben voilà, aujourd'hui, tu as vu jouir une femme. »

Elle baissa les yeux pour observer le mince filet transparent qui pendait de ma cage. Comme à son habitude, elle se pencha pour le retirer d'un doigt et l'enfoncer dans ma bouche. Je suçais sans rechigner ce doigt gluant de ma propre sève. Puis elle passa sous mon nez le doigt avec lequel elle venait de se caresser dont je respirais le parfum musqué.

Les jours suivants de la semaine furent sans événements majeurs. Cela faisait bientôt trois semaines que je ne m'étais pas 'vidé', comme Hélène le disait avec un ton volontairement méprisant qui ravivait mes fantasmes masochistes.

Le jeudi, elle rentra tard, mangea sans dire un mot, et s'enferma dans sa chambre J'étais surpris et chagriné par ce comportement inhabituel. En passant devant sa chambre pour aller me coucher, j'entendis des halètements et des plaintes étouffés.

Le samedi matin, après avoir pris son déjeuner en robe de chambre,

elle me demanda d'aller lui faire couler un bain. C'était la première

fois qu'elle me demandait cela et j'étais un peu embarrassé, ne

sachant pas très bien comment m'y prendre Je montais dans la salle de

bain attenante à sa chambre et ouvrais les robinets, mettant ma main

dans l'eau pour en tester la température, Elle me rejoignit quand la

baignoire était à moitié pleine et sans dire un mot fit tomber sa robe de chambre.

Je restais subjugué par la vision de son corps nu. Ses seins lourds mais fermes aux aréoles brunes, son ventre rebondit, son sexe enfoui dans un buisson noir qui en cachait mal les lèvres purpurines. Je restais interdit devant ce spectacle inattendu avant de m'apercevoir du sourire amusé qu'elle me lançait :

« Je te plais? »

Je ne sus pas quoi lui répondre qui exprime ce que je ressentais et ma seule idée fut de m'agenouiller pour lui embrasser les pieds.

Elle éclata d'un rire gai.

« Bon, aller, arrête le...il est plein »

Revenant sur terre, je me redressai pour éteindre les robinets. Hélène entra alors dans la baignoire avec une grâce et une majesté qui m'émut.

« Ça va comme ça, merci »

Je quittais la salle de bain transfiguré par ce que je venais de voir.

Elle redescendit une heure plus tard, préparée comme pour sortir, avec un léger maquillage, vêtue d'une robe gris perle, de bas chair et d'escarpins.

Je me trouvais encore plus ridicule d'être là, nu et encagé en train de passer l'aspirateur devant cette femme élégante.

« Pascal, je sors....Je risque de rentrer un peu tard »

Elle pris son sac à main et claqua la porte derrière elle.

Je restais un moment bouleversé par une multitude de sentiments contradictoires.

Après avoir fini le ménage, Je passais ma journée à faire des exercices de physique. J'avais

beaucoup de mal avec la relativité générale pour laquelle mes connaissances mathématiques se révélaient très insuffisantes. Au début, cela m'avait paru étrange de travailler nu devant mon bureau, mais assez rapidement, j'oubliais ce détail.

Vers 19h, j'entendis la porte d'entrée. Absorbé par un calcul

tensoriel compliqué, je ne réagis pas tout de suite.

Hélène m'interpella depuis le salon :

« Pascal, je suis rentrée... Où es tu? »

Sortant brutalement de mon travail, je descendis quatre à quatre les escaliers pour la rejoindre au salon

Elle paraissait fatiguée par sa journée

« Bonjour Madame, j'étais en train de travailler »

Elle s'affalât dans la banquette.

« Va me chercher quelque chose à boire, un Martini-Gin »

Je me précipitai vers le bar pour lui apporter son apéritif.

« Mets toi à genoux »

Sitôt que je me fus agenouillé, elle me passa distraitement une main

dans les cheveux, tout en sirotant son verre.

« Qu'est ce que tu as fait aujourd'hui? »

« J'ai travaillé, mon examen est la semaine prochaine »

« Ah, et tu es prêt? »

« Ben, pas vraiment, j'ai pris du retard dans mes révisions »

Elle fermait les yeux et je compris qu'elle n'avait pour le moment

rien à faire de mes révisions et de mes études.

« Masse moi les pieds »

Elle avait dit ça comme si c'était la chose la plus naturelle du monde et pour moi, ça l'était. Je retirais délicatement ses escarpins et commençais à prendre dans mes mains ses pieds humides.

Elle ouvrit les yeux et me fixa un moment en silence avec un regard étrange. Puis elle se releva de la banquette, fit coulisser sa culotte noire sur ses cuisses et après s'en être débarrassée, se rassit en écartant les jambes. Je voyais le liseré en dentelle de ses bas, surmonté par ses larges cuisses blanches et, tout en haut la touffe noire d'où dépassaient les lèvres gonflées de son sexe. Elle me dit d'une voie rauque

« Suce moi »

Je m'approchais de sa chatte. J'observai un instant ce sexe de femme que je voyais de près pour la première fois. Un filet laiteux suintaient déjà entre ses lèvres et je m'immergeais dans son odeur fauve. Je passais délicatement la langue sur cette chatte offerte, récoltant cette sécrétion épaisse dont la saveur tiède me transporta. J'avais l'impression de devenir brusquement un homme en m'absorbant dans cette besogne envoûtante.

Mes maigres tentatives hallucinées de lui convinrent pas. Elle me prit par les oreilles pour m'indiquer fermement là ou je devais insister. Assez vite, elle me dirigea vers son clitoris. Elle tressaillit au contact de ma langue tandis que je m'appliquais à caresser cette excroissance rigide

« Oui...c'est bien...là...plus fort...plus vite... »

Je sentais sa respiration se faire plus rapide, j'étais complètement

absorbé par la seule tâche qui donnait à cet instant un sens à ma vie : la faire jouir

« Oh...oui...c'est bon...surtout ne t'arrête pas »

Je commençais à ressentir une certaine difficulté à appuyer ma langue le plus fort possible sur son organe turgescent...mais je n'en avais que faire.

Soudain elle poussa un feulement grave, serrant ses cuisses de toutes ses forces autour de ma tête. Ne pouvant plus bouger, je me contentais de continuer à appuyer ma langue contre sa chair onctueuse.

« Oooooh oui....je jouiiiiis »

Cela dura un instant. Elle avait saisit mes cheveux à pleines mains et s'arc-boutait sur la banquette, puis elle se détendit en laissant échapper un profond soupir. Je me sentais immensément fier de lui avoir procuré du plaisir. Le goût suave de sa mouille dans ma bouche, le parfum puissant de son sexe, tout cela me transportait. Je sentais une douleur vive dans mon membre je baissais la tête pour voir ma verge gonflée et violacée comprimée dans sa prison d'acier. Hélène avait les yeux fermés et tentait de reprendre son souffle.

Elle ouvrit enfin les yeux et posa sur moi un regard brillant

« Oaouh...c'était pas mal du tout pour une première fois ...je crois que je vais y prendre goût...Et toi, tu as aimé? »

« Oh oui Madame, j'ai adoré »

« Bon allez, va nous préparer à manger »

Je me dirigeai vers la cuisine sans discuter en sentant sécher sur mes joues la cyprine qu'elle y avait déposé. J'avais la tête qui tournait et j'étais encore imprégné de ses goûts et de ses odeurs intimes

Ce samedi soir et le dimanche matin, Hélène paru très gaie, riant de tout avec un rire cristallin de petite fille. En début d'après midi, elle décida qu'il était temps que je repasse au rasage.

« Cette fois, comme tu as moins de poils, on va t'épiler....ça sera plus pratique »

Comme la première fois, elle me fit allonger sur une serviette de bain qu'elle avait étendu sur son lit et me lia bras et jambe aux montants avec des menottes.

Après avoir ôté ma cage, elle me badigeonna le pubis de crème dépilatoire. Elle pris même le soin d'en passer dans ma raie de fesse, ce qui me gêna un peu, car c'était la première fois qu'elle me touchait de manière aussi intime.

« Bon allez, je reviens dans vingt minutes...ne te sauve pas »

Le temps me parut long, immobilisé comme je l'étais. Enfin elle revint, me détacha et me conduisit à la douche. Le jet fit partir l'épaisse couche de crème blanche, et mes poils avec et je me retrouvais absolument lisse. Comme chaque fois que j'étais hors de la cage, mon sexe était gonflé et, sans être vraiment en érection, il paraissait obscène sur ce ventre de petit-garçon.

Hélène était habillée comme à son habitude et elle m'avait laissé faire dans la douche, adossée à la porte de la salle de bains, semblant perdue dans ses pensées.

Quand je me fus essuyé, elle m'ordonna d'aller me rallonger sur le lit et me menotta à nouveau. Puis elle saisit mon membre et se mit à me masturber lentement. Très vite, je fus en complète érection et je commençai à sentir les prémices d'un plaisir qui, je le savais, allait être explosif.

Au moment précis où j'allais jouir, elle retira sa main en riant comme un gamine devant mon sexe qui oscillait dans l'air, comme pris d'une vie propre dans la recherche désespérée de la stimulation qui déclencherait l'orgasme tant attendu. Puis le plaisir reflua et je me retrouvais le cœur battant, terriblement frustré de ce plaisir entrevu.

Elle attendit un instant puis elle recommença son lent va-et-vient. À nouveau, le plaisir monta, à nouveau, elle retira sa main au moment ultime me laissant pantelant dans mes liens. Puis elle recommença, et encore, et encore Elle se servait du liquide clair qui s'échappait de mon sexe comme lubrifiant pour ses caresses et à chaque fois, elle s'interrompait juste au dernier moment en éclatant d'un rire gai. Je devenais hystérique, j'étais couvert de sueur, mon cœur battait dans ma poitrine comme après une course. Je finis par craquer et par la supplier

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