Ma Logeuse Ch. 11

Informations sur Récit
Carole prend de l'assurance.
5.5k mots
4.33
17.3k
0

Partie 11 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/06/2013
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
omrouge
omrouge
32 Admirateurs

Le lendemain matin se passa normalement. je descendis faire le déjeuner pendant qu'Hélène se douchait. Carole descendit pendant ce temps là, habillée de pied en cap en jupe et chemisier, comme à son habitude pour aller travailler.

« Bonjour Pascal, tu vas bien? »

« Bonjour Carole, très bien et vous? »

« Hélène n'est pas encore là? »

« Elle est en train de se préparer, elle arrive »

Je sentais qu'elle voulait me dire quelque chose, mais qu'elle n'y arrivait pas, puis enfin, elle se décida.

« Pascal, tu aimes ça ce qu'Hélène a fait hier? »

« Quoi? »

« Tu sais bien, dans les bois »

Je me sentis rougir à l'évocation de cet épisode dégradant qui l'avait peut-être dégoutté...et puis je me rappelais qu'elle se caressait en nous regardant et cela me rassura un peu.

« C'est difficile à expliquer...c'est le sentiment de totale dévotion que cela me procure. Si je peux faire cela, alors c'est que je peux tout faire pour Hélène. C'est venu petit à petit, d'une sorte de mauvaise blague. Mais à présent, je sais qu'Hélène aime ça autant que moi et pour les mêmes raisons. »

« Mais...ça ne de dégoutte pas? »

« Non, pas du tout...au début, j'avais un peu de mal à l'accepter...physiquement, je veux dire...,mais maintenant, je commence à m'y faire. Ça ne m'a jamais dégoutté...au contraire, pour les raisons que je viens de vous expliquer, ça m'excite bizarrement »

Elle eut un petit rire nerveux.

« S'il suffit de te pisser dessus pour t'exciter »

« C'est exactement ce que m'a dit Hélène au début. C'est une excitation très intellectuelle...mais très forte »

Elle me lança un regard voilé.

« Et si moi, je le faisais...tu l'accepterais »

Je la regardais dans les yeux, et je me rendis compte à cet instant qu'en une semaine, nous étions devenu très proche.

« Oui...si vous en avez envie »

Hélène arriva comme une tornade dans cette conversation intime.

« Bonjour vous deux, Carole, ma chérie, dépêche toi, on ne peut pas être en retard ce matin »

Elles déjeunèrent en coup de vent et partirent aussitôt.

Je restais pensif sur ce que m'avait dit Carole...et si elle le faisait, est-ce que je l'accepterais vraiment?

La journée se passa normalement si ce n'est que j'appris qu'un nouvel examen aurait lieu dans 15 jours. Mes notes, pour le moment, étaient plutôt bonnes et je n'avais pas trop à craindre de ses résultats mais il représentait pour moi une espèce de bilan d'étape qui me tenait à cœur.

De ce point de vue, je dois reconnaître que, par rapport à mes camarades qui étaient plus intéressés par les filles que par leurs études, la cage qui m'interdisait le moindre flirt avait un effet plutôt bénéfique. Je passais auprès des mecs de la classe pour un bosseur acharné, à moitié eunuque...s'ils savaient ce que je vivais, ils auraient sans doute été surpris.

En rentrant des cours, je m'allongeai sur la banquette, un casque sur les oreilles, pour me délasser en écoutant de la musique.

Je n'entendis pas les femmes rentrer. La première chose que je vis, ce fut Carole qui, remontant sa jupe, s'assit sur ma poitrine. Je retirai mon casque pour leur dire bonjour sans pouvoir me lever. Elle pesait sur moi de tout son poids et je sentais le contact chaud de ses fesses sur ma peau.

« Bonjour Carole, Bonjour Hélène »

Ce fut Carole qui me répondit.

« Bonjour petit-puceau...et bien alors, tu ne réponds plus quand on te parle? »

« Je suis désolé, j'écoutais de la musique »

Hélène apparut dans mon champ de vision, l'air goguenard

« Bonjour Pascal, la journée a été bonne? »

« Euh..oui, très bonne, et la vôtre?»

Le côté surréaliste de la chose me saisit brusquement. J'étais cloué sur la banquette par le poids de Carole et je discutais avec elles deux comme si de rien n'était.

Hélène vint s'asseoir à son tour sur mon bas-ventre. Mais la cage en métal qui m'enserrait la verge lui était désagréable. Elle la retira donc et s'assit directement sur mon membre, qui ne tarda pas à s'ériger sous ses fesses.

Et les deux femmes se mirent à discuter de leur journée comme si c'était la chose la plus naturelle du monde que d'être assisse sur moi. Je commençais à avoir un peu de mal à respirer sous le poids de Carole aussi, je fus soulagé quand elle se leva pour aller aux toilettes. Hélène ne perdit pas de temps, elle se releva et vint s'asseoir directement sur mon visage. J'étais écrasé sous sa culotte et chaque inspiration m'emplissait de son odeur intime. Je sentis mon érection croître, jusqu'à en devenir presque douloureuse.

J'entendis vaguement Carole revenir, perdu dans cet univers d'odeurs musquées, en revanche je sentis quand elle pris la place d'Hélène sur mes hanches, et quand elle saisit ma queue pour la glisser dans sa culotte, au contact direct avec sa chatte humide. Mon sexe n'avait jamais encore été en contact directe avec le sexe d'une femme et je n'eus plus qu'un désir obsédant, qu'elle me fasse pénétrer dans cet antre chaud dont Hélène me faisait respirer les senteurs.

Cela dura un long moment, j'entendais les deux femmes qui avaient repris leur conversation, j'entendais leurs rires nerveux. Hélène avait passé une main dans sa culotte et se caressait doucement et j'étais bien placé pour sentir monter son excitation. Carole devant faire de même bougeait doucement son bassin, frottant mon gland contre ses lèvres grasses et faisant monter inexorablement mon plaisir. Je savais que ma jouissance n'allait pas tarder à l'espèce de tension délicieuse qui irradiait dans tout mon bas ventre.

Brusquement, Hélène se releva et rabattit sa robe. je m'aperçus seulement à cet instant combien ma respiration était devenu difficile, écrasé sous ses fesses. Carole sorti doucement ma verge tendue de sa culotte et se leva à son tour. Les deux femmes me regardaient, un sourire narquois sur les lèvres.

« Et bien petit-puceau, ça t'a plu »

Je regardais Hélène sans trop savoir quoi lui répondre, elle fixa ostensiblement mon érection avant de reprendre.

« Apparemment oui, en tout cas, moi, ça m'a bien plu, et toi Carole »

Carole avait le regard trouble, comme perdue dans une rêverie

« Oui, c'était...c'était très excitant »

« Oui, d'ailleurs ça m'a donné une idée... »

« Quoi? »

« Je te raconterai ma Chérie »

Je me sentais à nouveau complètement exclu de leur conversation.

« Et moi, je n'ai pas le droit de savoir »

« Toi, petit-puceau, tu verras bien...bon, allez, va nous faire à manger »

Je me relevai péniblement de la banquette et partis dans la cuisine, totalement nu pour la première fois depuis longtemps. Je passai ma main sur ma queue encore en érection, rien que pour en sentir le contact et je la trouvais légèrement poisseuse.

Nous mangeâmes de manière décontractée mais je sentais une sorte de tension sensuelle entre nous et nous nous touchâmes les mains les uns les autres pour appuyer ce que nous disions sans doute un peu plus souvent que d'habitude.

Le soir, Hélène pris ma verge pour la remettre dans la cage de chasteté. Je la vis un peu surprise et elle sentis sa main après m'avoir encagé.

« Dis donc, tu sens la femme...Carole ne t'aurait quand même pas dépucelé? »

« Non Madame, elle s'est juste frottée contre moi »

« Celle-là, décidément, elle est encore plus vicieuse que moi »

Le lendemain, soir, Carole rentra seule. Je fus surpris de l'absence d'Hélène

« Elle ne rentre pas ce soir...elle est sortie baiser avec Bertrand »

J'étais déçu qu'Hélène ne m'est pas prévenu elle-même et la crudité de ces propos retourna le couteau dans la plaie. C'est la rage au cœur que je préparais le repas.

Nous mangions en parlant peu, malgré les tentatives de Carole d'entretenir la conversation en me posant des questions sur mes études auxquelles je répondais laconiquement. À un moment, elle posa sa main sur la mienne et me fixa dans les yeux.

« Pascal, tu es si triste que ça? »

« Euh...oui Carole...ça me fait du mal de savoir Hélène avec Bertrand, de les imaginer faire l'amour »

« Mais tu sais qu'elle ne l'aime pas »

« Oui, c'est ce qu'elle me dit, n'empêche qu'elle lui offre son corps...ça ne peut pas se faire sans sentiments »

« Elle te l'offre aussi à toi...bien sûr d'une toute autre manière...mais au moins aussi intime »

« Oui, mais moi je ne l'ai jamais possédé »

« C'est pas ce qu'elle m'a dit »

Je rougi à l'évocation de cet épisode et fus surpris que Carole soit au courant.

« Enfin, je veux dire que nous n'avons jamais eu de plaisir ensemble, que je n'ai toujours fait qu'être un jouet pour elle...lui, c'est différent »

« Oui, lui c'est différent...mais crois tu qu'il la connaisse si bien que toi? »

Je fixai un instant Carole. Elle montrait une réelle compassion pour mon chagrin

« Carole, J'ai peur qu'elle tombe amoureuse »

« Mon petit Pascal, la peur n'évite pas le danger...Bertrand est bel homme, sympathique et il paraît qu'il baise bien. Mais ce n'est pas en te morfondant que tu vas changer les choses. Tu veux que je te dise ce que je crois, je crois qu'Hélène a au moins autant besoin de toi que de ce lui...vous êtes complémentaires en quelque sorte...et elle serait malheureuse si elle devait choisir entre vous deux...et n'oublie pas, c'est toi qui vis avec elle et qui partage sa chambre, si ce n'est son lit"

Puis elle sembla se reprendre et pris un ton autoritaire pour me dire :

« Bon, maintenant tu débarrasses la table »

Et elle se leva et partit s'asseoir dans la banquette.

Quand je revins dans le salon, Carole zappait sur les différentes chaînes de télé.

« Couche toi là »

C'était la première fois qu'elle prenait un tel ton avec moi et je me posais une seconde la question de savoir si j'allais lui obéir. Mais je savais que je n'avais plus le choix. j'étais dorénavant soumis aux femmes et j'aurais bien du mal à en réchapper, à supposer que je le veuille.

Je m'allongeai donc à ses pieds, comme je l'avais fait tant de fois devant Hélène. Comme elle, elle ôta ses bottines et posa ses pieds humides sur ma figure. C'était la première fois qu'elle faisait ça. L'odeur de ses pieds m'inonda, une odeur forte, un peu aigre. Je me noyais dans ce monde olfactif en fermant les yeux pendant qu'elle regardait son émission de télé.

À la fin de l'émission, elle éteint la télé, enleva ses pieds de mon visage, et se pencha pour me regarder dans les yeux.

« Alors petit-puceau, ça t'a plu mes pieds qui puent? »

« Euh..oui Madame »

« Bon, ce soir, Hélène n'est pas là, alors tu vas aller prendre ta couverture et ton oreiller et tu dormiras dans ma chambre »

J'arrivais dans sa chambre tandis qu'assise sur son lit, elle envoyait un SMS avec son téléphone portable.

« Installe toi là »

Je posai mon oreiller et ma couverture à côté de son lit et m'allongeai sur le tapis.

Ayant fini son message, elle se leva, se mit devant moi et commença à se déshabiller.

Hypnotisé par son strip-tease, je la vis enlever son chemisier, puis sa jupe, puis ses bas, restant devant moi en culotte et soutien-gorge. Elle ôta son soutien-gorge, laissant apparaître sa poitrine ferme dont les tétons se dressait fièrement au milieu de larges aréoles roses. Puis se tournant, elle descendit sa culotte, dévoilant de larges fesses fermes. Enfin, elle me fit a nouveau face, me fixant dans les yeux tandis que je ne pouvais détourner mes yeux de sa chatte épaisse surmontée d'une épaisse toison brune.

« Voilà, comme ça tu me vois à poil, ça t'évitera de me lancer des œillades, quand tu crois que je ne te vois pas »

Dans sa nudité insolente, ses yeux verts fixés dans les miens, elle était somptueuse et je ressentis douloureusement l'excitation que ce strip-tease avait fait naître en moi. Je devais lui dire ce que je ressentais.

« Vous êtes belle Madame »

« Merci petit-puceau...ça fait toujours plaisir...allez, il est l'heure d'aller au dodo »

M'enjambant, elle monta dans son lit, se tapit sous sa couette et éteint la lumière.

« Bonne nuit Pascal »

« Bonne nuit Carole »

Je me réveillais le lendemain sans trop savoir où j'étais. J'entendais le souffle régulier de Carole. Elle avait passée une jambe en dehors de la couette et son pied était à quelques centimètres de mon ventre. Je me levai sans bruit et descendis préparer le déjeuner. Pendant que je faisais mes préparations, J'entendis le bruit de la douche et Carole descendit un quart d'heure plus tard, apprêtée pour le travail.

« Bonjour Pascal, tu as bien dormi? »

« Oui, merci, et vous »

« Oui ...qu'est ce que tu nous as fait de bon à manger »

« Des œufs, du bacon, du jus d'orange maison »

« Très bien »

J'étais déçu de ne pas voir rentrer Hélène pour se changer, comme chaque matin après qu'elle soit sortie. Je m'en ouvrait à Carole.

« Hélène de rentre pas? »

Elle me fixa un instant.

« Non, en fait elle ne sera pas là ce soir non plus »

« Mais...enfin je ne comprends pas...pourquoi elle ne me l'a pas dit? »

Carole paraissait un peu gênée.

« En fait, elle ne le savait pas vraiment. Ne t'inquiète pas Pascal. Tout va bien. Elle m'a dit de te dire qu'elle pensait à toi »

Je sentis les larmes me monter aux yeux.

« Tu parles qu'elle pense à moi quand elle s'envoie en l'air avec ce mec »

Carole me leva le menton d'un doigt et me fixa dans les yeux.

« Pascal, je connais bien Hélène...est-ce qu'elle t'a déjà menti? »

« Non, mais elle n'était jamais parti sans me le dire non plus »

« Enfin, je ne comprends pas...C'est ta femme, ou ta Maîtresse? »

« Oui mais... »

Elle m'interrompit

« Alors si c'est ta Maîtresse, elle n'a pas à te rendre de compte. Tu lui dois tout et elle ne te doit rien »

C'était la première qu'on détaillait de manière aussi précise les relations qui s'étaient nouées en Hélène et moi et je fus obligé d'admettre que c'est ainsi que je vivais.

Elle ajouta alors quelque chose qui me hanta longtemps

« Pascal, Hélène est ta Maîtresse, et dorénavant toutes les femmes à qui tu vas t'attacher seront tes Maîtresses. Hélène a vu ce que tu étais au fond de toi, et elle te l'a montré. Tu ne pourras plus jamais avoir une vie pépère avec une femme aimante. Il te faut autre chose. Il te faut la morsure de l'amour. Il te faut te soumettre à la volonté d'une femme pour son seul plaisir. Tu es ainsi fait. tu dois le comprendre...et en souffrir parce que c'est ce que tu souhaites profondément »

Je me mis à fondre en larmes, pas par tristesse ou désespoir, mais parce qu'elle avait raison et que je me rendais compte que je ne pourrais jamais plus me passer de ce que j'avais éprouvé durant ces quelques mois. Et que l'accepter m'enlevait un poids considérable. Je n'avais plus à faire semblant d'être comme tout le monde...je ne le serai jamais.

Elle me prit dans ses bras et serra ma tête contre sa poitrine en me caressant les cheveux, comme Hélène le faisait pour me consoler et je me noyais dans cette chair souple, respirant son odeur fraîche et trempant son chemisier de mes larmes. Elle murmura d'une voix maternelle

« Pascal, mon Pascal, je serai toujours là pour toi »

La journée passa tristement. J'essayais de penser à autre chose mais je ne pouvais pas cesser de penser que, quelque part, Hélène m'avait trahi en ne me parlant pas de son absence et en laissant Carole me tenir informé. La soirée avec Carole se passa normalement. Elle essayait visiblement de me changer les idées et je me laissais aller à sa conversation agréable.

Au moment d'aller se coucher, Carole me posa la question :

« Tu veux dormir où? »

J'hésitais un instant, mais je n'avais pas envie de rester seul.

« Je préférerais dormir dans votre chambre »

« D'accord, amène tes affaires »

Carole était déjà en train de se déshabiller quand j'arrivai avec mon oreiller et ma couverture et m'allongeai sur le tapis. Entièrement nue, elle m'enjamba et se plaça debout jambe écartée, au-dessus de ma tête. J'avais une vue directe sur sa chatte, sur l'anneau brun de son anus au milieu de ses fesses charnues, puis, plus haut, sure ses yeux verts qui me dévisageaient par-dessus sur sa poitrine lourde. Elle ne dit rien mais passas lentement une main sur les lèvres gonflées de son sexe, les écartant pour y glisser un doigt. Elle vit ma grimace.

« Ça te fais mal petit-puceau? »

« Oui Madame »

« Tu bandes? »

« Oui, enfin j'essaie »

Elle eut un sourire carnassier. Puis elle monta dans son lit, m'enlevant ce spectacle sublime. Elle n'éteint pas toute de suite la lumière et je restais dans la pénombre du lit. J'entendis ses mouvements, ses discrets bruits de clapotis, sa respiration qui se faisait plus forte, je savais qu'elle était en train de se masturber.

« Pascal, viens là »

Je me levais et contemplait un instant le spectacle de cette femme nue, yeux fermés, jambes écartées, en train de se caresser violemment le clitoris. D'où j'étais, je sentais légèrement l'odeur suave de son plaisir

« Suce moi les pieds »

Déconcerté pas sa demande, je pris un de ses pieds dans la main et me penchai pour passer doucement ma langue entre ses orteils, percevant le léger goût salé de sa sueur. Ma position me donnait une vue privilégiée sur son sexe entrouvert et sur le mouvement frénétique de ses doigts sur son clitoris qui, de temps en temps, descendait sur ses lèvres luisantes pour y reprendre un peu d'humidité.

Elle poussait des petits gémissements plaintifs et sa respiration se faisait de plus en plus courte. Je savais que l'orgasme n'allait pas tarder à l'emporter. Quand il arriva, elle poussa un long cri et se tendit de tous son corps. Puis son cri se changea en une sorte de lamentation grave, tandis que tout son corps était agité de tremblement.

Je restai là à lécher le pied que j'avais réussi à conserver malgré ses convulsions, sentant une douleur vive dans mon membre comprimé.

L'odeur musquée de son sexe se faisait plus fort dans la petite pièce et je me repaissais de la vue de ce corps alangui, maintenant que l'orage était passé. Elle reprenait lentement son souffle, les yeux fermés, le visage rougi par le plaisir, sa main toujours négligemment posée contre son sexe.

Elle ouvrit enfin les yeux et me regarda avec dans les yeux cette espèce de plénitude qu'on souvent les femmes après un orgasme.

« Merci Pascal, tu peux aller te recoucher »

Puis son regard se posa sur mon ventre.

« Tu as coulé sur mes draps »

Je me baissais pour observer le mince filament transparent qui s'échappait de mon sexe martyrisé. Elle me fixa à nouveau, avec un regard pensif.

« Aller, va te coucher »

Je descendis du lit et me réinstallais sous ma couverture. Elle éteint la lumière

« Bonne nuit Pascal »

« Bonne nuit Madame »

La douleur fut longue à se résorber et je finis par m'endormir longtemps après elle.

Je fus réveillé par un pied se posant sur ma poitrine. Carole était debout à côté de moi, en peignoir.

« Allez petit-puceau, il est l'heure de se lever »

Je m'assis, cherchant un instant à reprendre mes esprits. J'avais fait des rêves étranges ou je me voyais entraîné dans un monde de femmes géantes qui me considéraient comme leur jouet.

« Va préparer le petit-déjeuner pendant que je file à la douche »

Je descendis dans la cuisine et lançait le café pendant que je pressais les oranges. J'étais déjà attablé quand Carole descendit. Elle était vêtue d'une robe bleue nuit serrée à la taille par une ceinture dorée qui mettait ses formes en valeurs, de bas chair et de ses éternelles bottines. Elle était légèrement maquillée. Je la trouvais éminemment désirable ainsi apprêtée et la vision de son corps alangui me revint en mémoire. Elle remarqua mon regard et fit une volte pour se faire admirer sous tous les angles.

« Je te plais? »

« Oui, Carole, vous êtes une très belle femme »

Elle eut un regard étrange, et, s'approchant, saisit ma cage sans quitter mes yeux.

« Ça fait combien de temps? »

« Ça va faire 10 jours »

omrouge
omrouge
32 Admirateurs
12