Ma Logeuse Ch. 12

BÊTA PUBLIQUE

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J'étais humilié de devoir demander pour une chose aussi triviale mais cette journée était étrangement dérangeante et je ne reconnaissais plus les rapports que nous vivions tous les trois.

Je passais donc les vingt-minutes suivantes, à nouveau enchaîné sur le lit, avec de la crème dépilatoire sur le bas-ventre. Puis Hélène vint me détacher, et je m'immergeai avec délice dans un bain chaud. La douleur de la fessée avait pratiquement disparu et il me restait juste une sorte de chaleur intense dans tous le bas du dos.

Ce fut Carole qui vint me sortir du bain. Elle me regarda m'essuyer, adossée au chambranle de la porte, puis quand j'eus fini, elle me remit une culotte dans la bouche tenue pas l'éternel bout de scotch. La culotte avait un goût bizarre, plus fort, plus aigre, plus ferreux que d'habitude. Elle me remit mon collier d'esclave et la laisse qui allait avec, et s'employa à remettre ma cage.

C'était la première fois qu'elle le faisait et elle eut un peu de mal à trouver le bon serrage pour l'anneau qui m'enserrait le scrotum, et à faire coulisser la cage métallique sur mon membre qui, avec ses manipulations maladroites, commençait déjà à reprendre une certaine tonicité, malgré l'effet lénifiant du bain chaud. Je la regardais faire, à genoux devant moi, et je me pris à rêver qu'elle prenne mon sexe dans sa bouche, sachant que cela n'arriverait jamais.

Quand nous sortîmes de la salle de bain, moi à quatre pattes et Carole me traînant par ma laisse, Hélène nous attendait, à côté du lit.

« Assieds toi sur le lit »

Une fois assis, elle me mit un bandeau sur les yeux, et des boules Quies dans les oreilles, puis elle me fit m'allonger et elles m'attachèrent à nouveau. J'étais complètement coupé du monde, immobilisé, aveugle et sourd.

Et le temps passa... il me parut interminable... puis je dus m'assoupir... je me réveillais toujours dans mon océan vide. Je pensais à toutes sortes de choses, mes rapports avec Hélène, avec Carole qui occupait une place de plus en plus importante dans ma vie et dans mes fantasmes, mes examens à venir, l'étrange plaisir que j'avais ressentis au cœur de la douleur.

Brutalement, je sentis des mains chaudes sur moi. On me retira mes boules Quies et ce fut la voix de Carole que j'entendis

« Alors petit-puceau, on a pas été trop longue? »

Elles me détachèrent et me firent asseoir sur le lit. Puis elles enlevèrent mon bandeau. Elles étaient en face de moi, apparemment trempées de sueur. Leurs cheveux étaient collés à leur front et leurs chemisiers montraient de large auréoles sous les aisselles. Elles me firent descendre du lit, raccrochèrent la laisse sur mon collier et me firent mettre à genoux.

Puis je vis Carole se déshabiller, enlever ses bottines, son jean, son chemisier. puis son soutien-gorge et enfin sa culotte de coton. Elle s'assit sur le lit, s'adossant aux gros oreillers, jambes écartées, exhibant impudiquement sa chatte. Je contemplais un instant les détails de sa vulve, les petites lèvres luisantes déjà gonflées qui ressortaient des grandes, et plus bas, l'anneau brun de son anus. Je sentis une douleur familière dans ma verge. Hélène arracha mon bâillon, et me tirant par ma laisse, me fis monter sur le lit, à genoux en face du sexe exposé de Carole.

« Suce là... et tu as intérêt à la faire jouir. »

Je me penchai sur ce sexe offert, l'odeur forte, marine, iodée, m'emplit et je commençais à lécher doucement ses petites lèvres exhibées, les écartant doucement avec ma langue. Le goût de sa mouille m'inonda, salé, ferreux. Je léchais ainsi un moment pendant qu'elle posait ses mains sur ma tête, sans insister, juste comme une caresse. Je glissais ma langue dans son vagin, absorbant avec délice ses sécrétions liquoreuses. Elle n'avait pas le même goût qu'Hélène, plus prononcé, plus métallique aussi. Enfin, je plaçais ma langue contre le pivot rigide de son clitoris. Elle eut un soubresaut. Elle murmura d 'une voix plaintive

« Oh, oui... va-s-y, là... maintenant »

Je m'immergeai complètement dans ce monde de goût et d'odeurs tandis que je m'appliquai à faire tourner ma langue sur ce bouton érigé.

« Plus fort... plus vite »

Je tentais de respecter à la lettre ses directives et je sentais sa mouille se faire plus abondante, sa respiration plus rapide. Et elle explosa en poussant un hurlement, se recroquevillant sur le côté, m'emmenant dans son extase. J'avais la bouche grande ouverte contre ses lèvres et je sentais des sécrétions s'écouler en moi. Je restais un moment ainsi, tordu par ses cuisses dans une position inconfortable. Puis elle se remît sur le dos, me libérant de son emprise. J'étais inondé des son humidité, de ses goûts et de ses odeurs intimes.

Hélène tira sur ma laisse, m'obligeant à me redresser. Elle m'introduisit dans la bouche le cône épais du godemiché et le sangla fermement sur ma tête. Je me retrouvais à nouveau avec un membre noir, dressé devant ma bouche.

Carole rouvrit les yeux, et me vit avec mon masque phallique.

« Oh oui,... va-s-y, prends moi »

J'approchais le gland synthétique de sa chatte ouverte. Elle commençait à se caresser le clitoris avec deux doigts. Je fis pénétrer doucement le godemiché dans son vagin, puis je commençai mes allers-retours. Cela faisait des bruit de clapotis obscènes et l'odeur forte de son sexe m'inondait. Je ressentais maintenant une douleur vive dans mon membre. Elle se caressait de plus en plus fébrilement, émettant des gémissements plaintifs... et puis soudain, elle appuya de toutes ses forces sur ma tête, m'obligeant à pénétrer entièrement en elle, tandis qu'elle poussait un cri grave, animal.

Enfin elle se détendit en se mordant le dos de la main avec une espèce de sanglot.

Je restais là, fiché au plus profond de son corps. Savourant cette odeur suave qui m'imprégnait à chaque inspiration et ce goût salé qui m'emplissait la bouche. Elle rouvrit des yeux embués.

« Woaouh... c'était super, sort doucement »

Je ressortis le phallus noir luisant d'une mouille blanchâtre de son sexe.

Hélène se rappela à moi en me tirant par ma laisse pour me faire me redresser.

Elle retira le gode de mon visage, me fixa dans les yeux un moment, et m'embrassa fougueusement et serrant ma tête dans ses mains tandis que je sentais sa langue s'enrouler contre la mienne.

Je ne pus m'empêcher de penser qu'elle devait goutter aussi en moi la saveur de Carole dont j'étais encore empli.

Carole se leva du lit et pris ma laisse des mains d'Hélène tandis que celle-ci se déshabillait à son tour.

« À mon tour maintenant petit-puceau »

Carole profita de cet intermède pour m'embrasser à son tour. C'était la première fois qu'elle faisait ça et je m'abandonnais à la volupté d'une femme qui vous embrasse, goûtant sa langue comme un mets exquis.

Hélène se mit à quatre pattes sur le lit. Carole me força, avec la laisse, à me mettre à genoux derrière elle. Quand Hélène écarta ses fesses des deux mains, me révélant la fleur brune de son anus, je sus ce qu'elle attendait de moi. Écartant moi même ses fesses, je m'approchais de son cul et m'immergeais dans son odeur aigre, terreuse. Je passai ma langue sur l'anneau fripé, goûtant la saveur acidulée et amère en fermant les yeux. Je léchais un moment, sentant Hélène se caresser en même temps, et puis j'essayais de faire entrer ma langue... cela ne fut pas long pour que le sphincter s'ouvrit, me laissant pénétrer dans cette chair onctueuse, la saveur y était plus forte, plus amère et je m'absorbais complètement dans ma tâche. Je sentais son bassin onduler, sa respiration devenir haletante et elle poussa un feulement sourd, immobilisant sa main contre son sexe et serrant brusquement son sphincter en rejetant ma langue qui était profondément en elle. Nous restâmes comme ça un instant, puis je sentis sa main rependre doucement ses mouvements.

« Va-s-y, rentre ta langue »

J'obéis à ce nouvel ordre, réintroduisant ma langue dans son anus entrouvert, y trouvant à présent plus d'aigreur que d'amertume... cela durait depuis un moment quand elle repris d'une voix cassée

« Mets moi un doigt »

J'écartais mon visage de ses fesses et suçant mon index, l'enfonçait doucement. Je la sentais à nouveau sur le point de jouir et c'est d'une voix anxieuse qu'elle me demanda de mettre un deuxième doigt. J'étais là, à genoux derrière elle, manipulant mes deux doigts dans son derrière. Les mouvements de sa main sur son clitoris avaient ralentis comme à regret.

« Carole... vite, mets lui le gode »

Carole m'enfonça à nouveau le cône épais dans le bouche et boucla les lanières derrière ma tête. Puis je la vis enfiler un préservatif sur le phallus de plastique, tandis que je continuais tant bien que mal à bouger mes doigts dans Hélène. Elle étala une pommade transparente sur le membre de latex, et me posa le tube dans la main.

« Va-s-y, encule moi petit-puceau »

j'eus un frisson dans le dos à l'idée de ce que j'allais faire Je retirais mes doigts et, posant une noix de pommade sur l'un d'eux, je me mis à en badigeonner largement le cul d'Hélène. Puis, me penchant, j'approchai le sexe noir de cet anus palpitant. Je posais doucement le gland contre

le sphincter entre ouvert et j'appuyais... la verge rigide pénétra doucement. Je vis l'anus s'ouvrir, se dilater, accueillir en lui cet intrus.

« Doucement... va doucement »

Je ne bougeai plus un instant, observant halluciné ce tableau incroyable d'une femme qui se faisait sodomiser devant mes yeux. Puis je m'enfonçai un peu plus. Elle avait repris sa masturbation effrénée et poussait son bassin vers moi, s'enfonçant elle-même sur ce dard épais. Je commençais de lent va-et-vient. Elle se mit a gémir plus bruyamment.

Je voyais les chairs qui ressortaient un peu avec le membre chaque fois que je le retirais. Et plus ça allait, et plus je m'enfonçais en elle, jusqu'à arriver bientôt a avoir mon visage contre ses fesses, la verge noire complètement entrée en elle. Elle elle se mit à pousser une énorme plainte tout en s'écrasant sur mon visage. Je ne pouvais plus bouger et restait, enfoncé dans son rectum tandis que tout son corps était agité de soubresauts et que son cri hystérique se transformait en un sorte de long sanglot.

Puis elle s'écroula sur le lit, me tordant douloureusement la nuque dans l'obligation qui me fut faites de suivre son mouvement.

Elle resta ainsi un long moment, à reprendre son souffle, puis elle réagit.

« Retire toi tout doucement »

Je retirais ma tête doucement d'entre ses cuisses, emportant avec moi le membre qui venait de la fouiller. Je me redressais et me tournait vers Carole. Elle s'était caressée pendant notre délire et reprenait à peine son souffle, une main négligemment posée sur son pubis. Je me retrouvais là, à genoux, avec un godemiché planté fermement dans le bouche, mourant d'envie de jouir alors qu'elles deux n'arrivaient pas à récupérer de leurs orgasmes multiples.

Enfin, Carole se redressa et défit les lanières qui maintenaient en place le sexe artificiel.

« Va le laver et reviens là »

Je partis dans la salle de bains. Le préservatif qui avait pénétré Hélène portait quelques traces brunes mais je n'en éprouvait absolument aucun dégoût. Je le retirais du membre de plastique et le jetais dans les toilettes, comme je l'avais fait la veille pour le mien. Puis je nettoyais soigneusement l'objet de silicone. J'étais fier du plaisir que j'avais donné à ces deux femmes et je me sentais heureux.

Quand je revins dans la chambre, elles étaient allongées nues sur le lit, côte à côte fermant les yeux.

Je restais un instant en arrêt devant ce spectacle merveilleux de deux belles femmes comblées qui se reposent. Hélène ouvrit un œil.

« Tu t'es lavé la bouche? »

« Euh, non Maîtresse »

« Va te laver les dents et revient »

Quand je revins, elles m'invitèrent à m'allonger entre elle deux. Je me retrouvais entouré par la chaleur des deux femmes, encore odorantes de leur suées passées, et se frottant contre moi. Ce fus presque trop pour moi.

« Arrêtez... vous allez me faire jouir »

Hélène me prit au mot.

« Je croyais que tu ne pouvais pas jouir dans ta ceinture »

« Non, mais ça fait mal »

Hélène m'embrassa comme une amoureuse, et sitôt qu'elle me lâcha, ce fut au tour de Carole de faire la même chose. Les deux femmes embrassaient très différemment et je compris que les femmes étaient toutes différentes... et je compris que j'étais amoureux d'elles deux et je compris que j'étais au paradis... une seule chose me manquait peut-être, assouvir enfin cette tension sexuelle qui ne me quittait pas, mais je savais que ce serait abandonner une partie du paradis.

Nous nous endormîmes ainsi, dans les bras l'un de l'autre, moi m'enfouissant tantôt dans l'odeur fauve d'Hélène, tantôt dans l'odeur plus acidulée de Carole, toujours la tête entre deux seins et la main sur une chatte. J'aimais ces femmes à en mourir, et je sentais qu'elles m'aimaient aussi. Que pouvait-il m'arriver de mieux?

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Histoire magnifiquement écrite. Merci. Il n'y a pas de honte à avoir ce fantasme, sauf à ne pas aimer les femmes, ou à avoir une vie sexuelle plutôt triste. Le plus gênant est qu'elles ne fassent pas jouir Pascal. J'en souffre pour lui. Perso, hormis cet aspect, j'aurai bien aimé être à sa place.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Très bien !

L'aventure se termine au chapitre 13 ?

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Du boulot pour les psy !

Voilà un texte manifestement écrit par un homo honteux ! Dommage car, pour une fois la syntaxe et l'orthographe sont presque corrects..

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