Ma Logeuse Ch. 13

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Carole nous quitte.
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Récit n'a pas de balises

Partie 13 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/06/2013
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Ce fut Carole qui nous réveilla le matin pour aller faire son footing. Elle était déjà habillé, avec un legging de coton et un tee shirt échancré sur les épaules.

« Debout là-dedans, c'est dimanche.. »

J'ouvris péniblement les yeux. Hélène avait passée une jambe sur mon ventre et grogna quelque chose d'inaudible.

Je m'extirpais délicatement de l'emprise d'Hélène.

« Tu viens courir avec moi? »

« Euh... non, merci »

« Tu as tort, c'est excellent pour la santé »

Je me mis à regarder Carole, même dans ses habits de sports, elle était désirable et je ne pus m'empêcher de lui dire.

« Vous êtes vraiment une belle femme Carole »

« Merci petit-puceau... mais ne rêve pas, c'est pas pour toi »

Sa phrase me fit l'effet d'un coup de poignard. Jamais avant cet instant, je ne m'étais rendu compte de ce que mon vœu de chasteté allait me coûter, mais depuis quelques jours, autant avec Hélène qu'avec Carole, je mourrais d'envie de leur faire l'amour.

Je l'entendis descendre l'escalier et sortir. J'embrassais Hélène sur la nuque et me levai. J'allais quitter le lit quand Hélène me pris par le poignet.

« Pascal, n'oublie jamais que je t'aime »

Puis elle retomba dans les bras de Morphée. Je me demandais ce qu'elle avait voulu dire par là mais je sentis que la journée allait être belle.

Je descendis préparer le petit-déjeuner de ce dimanche. Hélène adorait les pancakes, Carole préférais les croissants. Je n'avais pas le temps de faire de la pâte feuilletée mais j'en avais congelée et je me mis à la cuisine pour les deux amours de ma vie.

Carole rentra de son footing, couverte de sueur et s'effondra dans une chaise de la cuisine.

« Tu peux me servir un grand verre d'eau s'il te plaît Pascal »

Je lui amenais son verre.

« Tu n'as pas retiré ton collier? »

« Euh, non, vous ne me l'avez pas dit »

Elle me regarda tranquillement, en vidant son verre d'un trait .

« Je peux en ravoir un? »

Ayant finis son deuxième verre, elle me tendit sa jambe.

« Enlève mes tennis »

Je me mis à genoux et défit les lacets qui fermaient sa chaussure, dévoilant son pied dans une chaussette trempée de sueur que je retirais aussi, et, n'y résistant pas, je me penchai et posai un baiser sur ce pied humide. Il avait une très légère odeur de caoutchouc et une saveur salée. Carole ne bougeai pas, me regardant faire avec un léger sourire. Je fis pareil avec sa deuxième chaussure.

Puis, je m'assis sur mes talons, regardant Carole dans les yeux.

« Tu es vraiment un drôle de mec... bon, allez, je vais me doucher »

Elle se leva, pris ses tennis et ses chaussettes, et monta dans sa chambre.

Hélène descendit quelques minutes après et vins me faire une bise tendrement.

« Bonjour Pascal, tu as bien dormi »

« Entre vous deux... j'ai dormi au paradis »

Elle partit d'un grand rire gai.

« Oui, j'ai bien sentis que tu nous collais un peu... et que tu avais parfois les mains baladeuses »

« Je vous ai gêné »

« Non, pas du tout... j'avais oublié ce que c'était de dormir avec un mec amoureux et ce n'est pas désagréable »

« Vous ne dormez jamais avec Bertrand? »

« Si... mais Bertrand n'est pas amoureux... enfin, pas amoureux comme toi tu l'es... et puis tu sais, les hommes, une fois qu'ils ont joui, le corps de leur femme les intéresse nettement moins »

À cette évocation, je baissais la tête... je ne me souvenais même plus quand j'avais eu ma dernière vraie jouissance. Elle du comprendre mon désarroi et me relevant le menton d'un doigt, me fixa dans les yeux.

« C'est pour cela que je ne veux pas que tu jouisses... pour que tu garde ton regard de loup... mais toi, dis moi, sincèrement... tu veux vraiment jouir? »

J'étais retourné pas cette question. D'un côté, tout mon corps réclamait de faire cesser cette tension continuelle. De l'autre côté, l'excitation que j'éprouvais à être en leur présence n'avait jamais été aussi grande et me procurait des plaisirs merveilleux. Avec le temps, j'avais appris à jouir presque physiquement du simple contact de leur corps, de l'odeur de leur peau..et je ne voulais pas abandonner tout cela.

« Euh... je ne sais pas... Non... je ne crois pas Madame, je veux rester comme ça »

Elle me posa un baiser sur les lèvres et me murmura à l'oreille.

« Alors tu risques de ne pas jouir avant longtemps... mais rassure toi, ce ne sera pas notre cas à Carole et à moi »

Carole arriva à ce moment, habillée comme à son habitude le week-end d'un jean et d'un tee-shirt.

Nous déjeunâmes tranquillement, avant notre promenade hebdomadaire. Après mon déjeuner, je m'habillais pour sortir et rejoignis les deux femmes dans l'entrée. Nous allions partir quand Carole nous arrêta.

« Attendez, on oublie quelque chose »

Elle se précipita dans la cuisine et revint avec le sac en plastique contenant l'entonnoir improvisé qu'elle me tendit.

« Tiens petit-puceau, prends ça »

J'étais estomaqué que ce soit Carole qui y ai pensé et j'eus un frisson en pensant qu'elle avait sans doute une idée derrière la tête.

La promenade dans les bois dura une bonne heure et nous étions en train de rentrer quand Carole me prit par le bras et m'entraînât dans les sous-bois.

« Prends l'entonnoir et allonge toi là »

Pendant que je m'allongeai, je la vis descendre précipitamment son jean et sa culotte sur ses cheville. Se plaçant au-dessus de ma tête, elle s'accroupit sur ma figure tandis que je maintenais l'entonnoir en place. Je n'eus pas à attendre longtemps avant de voir son jet puissant et de sentir son urine chaude m'emplir la bouche. Le goût était léger, acidulée et j'avalais sans difficulté les premières gorgées... et cela dura... elle avait très envie et j'avalais gorgée après gorgée du liquide salé. Puis le jet ralentit... et s'arrêta tout à fait. Ayant absorbé la dernière lampée, j'écartais l'entonnoir de ma bouche. Carole s'assit alors carrément sur ma figure, m'inondant du parfum citronné de son savon mélangé à l'odeur plus aigre de l'urine et je léchais docilement les lèvres souillées de son sexe. Prenant appui sur un arbre, elle se redressa et remonta tranquillement culotte et jean. J'allais me relever moi aussi quand Hélène, qui nous avait suivi, m'interpella.

« Bouge pas petit-puceau, tu n'as pas fini »

Résigné, je me rallongeai et replaçait le goulot de l'entonnoir dans ma bouche. À son tour, Hélène s'accroupit sur moi et, écartant sa culotte de la main, se soulagea dans ma bouche. Le goût de son urine était plus fort, plus amer... sa miction dura moins longtemps aussi, comme c'était maintenant devenu une sorte d'habitude, je léchais sur ses lèvres et dans ses poils les résidus de sa pisse.

Je me relevais enfin. J'avais la tête qui tournait et le cœur un peu barbouillé. Ma bouche était imprégnée du goût à la fois fade et acre de l'urine. Je me rendis compte que j'avais appris à accepter cette saveur étrange et que probablement, si j'avais fait ce genre de choses il y a seulement quelques semaines, je n'aurai pas pu m'empêcher de vomir.

Nous reprîmes notre chemin comme si de rien n'était. Carole se rapprocha de moi, me pris pas le bras et murmura à mon oreille.

« J'ai adoré cela »

Je me penchai à mon tour vers elle.

« Moi aussi »

Hélène avait du nous entendre.

« Ça va petit-puceau, nous deux, ça ne te fait pas trop? »

J'eus un flash soudain sur ce que je venais de faire et je me sentis emporté dans une sorte de délire masochiste.

« Non Madame, je suis là pour vous servir »

Elle eut un petit rire badin

« C'est vrai que tu es utile, ça nous évite de polluer la nature... et puis, le recyclage, c'est très écologique »

En rentrant, Hélène me fit me coucher sur le large banc de bois installé dans l'entrée. Il devait faire environ deux mètres de long et une soixantaine de centimètres de large et je tenais complètement allongé sur cette paillasse dure.

Elle ne dit rien et me fit me relever. J'espérais au fond de moi qu'elle n'avait pas l'intention de me faire dormir la-dessus.

J'avais gardé autour du cou le collier d'esclave qu'elles m'avaient passé la veille, personne ne m'ayant dit de l'enlever et moi même ayant résolu, il y a déjà longtemps, d'obéir strictement aux ordres.

Ce fut Hélène qui me le fit remarquer.

« Tu as gardé ton collier? »

« Oui »

« Tu veux le garder? »

« C'est vous qui décidez »

« Qu'est ce que tu en penses Carole? »

« Bof, moi j'y tiens pas, c'est bien de le lui mettre de temps en temps, mais s'il l'a tout le temps »

Hélène passa derrière moi et retira le bracelet de cuir de mon cou.

« Allez, va nous préparer le déjeuner »

Nous déjeunâmes tranquillement... c'était incroyable le décalage entre nos relations de plus en plus marquées dans le monde du D/S, et les relations amicales, voire amoureuses, qui existaient entre nous. Je les aimais et elles le savaient, j'étais sûr que, d'une certaine manière, elles m'aimaient aussi, et je me retrouvais là, à discuter avec elles de tous et de rien comme des amis de longue date, alors que j'étais nu, encagé.

Carole fut de mauvaise humeur toute l'après midi. Je me demandais si mon comportement, ou celui d'Hélène lui avait déplu et je m'en ouvrit à elle au moment où Hélène prenait son bain.

« Carole ça va? »

« Oui, oui ça va, pourquoi? »

« Je ne sais pas, vous semblez énervée... on à fait quelque chose de mal? »

Elle me fixa avec un air bienveillant et posa sa main sur la mienne.

« Non, non Pascal, vous n'y êtes pour rien... si tu veux tout savoir, je vais avoir mes règles... c'est tout »

J'étais décontenancé par cette évidence. Hélène était ménopausée et le problème ne s'était jamais posé... mais bien sûr, à trente et un ans, Carole ne l'était pas.

« Euh... excusez moi... je ne voulais pas être indiscret »

« Indiscret... Pascal, atterrit un peu... nous avons fait ensemble les choses les plus intimes que j'ai fait avec qui que ce soit. Tu connais tout de mon corps sauf le plaisir qu'il peut t'apporter, alors que pour la plupart des mecs, c'est la seule chose qui compte. Il ne peut plus y avoir de pudeur entre nous »

« Oui..ce que je voulais dire, c'est que je n'avais pas compris »

« Ben oui mon petit Pascal, pour les femmes, ça arrive tous les mois... et c'est pas ce qu'il y a de plus marrant... pendant quelques jours, on ne sera plus que de bons amis... mais c'est peut-être le plus important non? »

« Je ne sais pas... je vous aime Carole »

« Je croyais que tu aimais Hélène »

« Oui, j'aime aussi Hélène... je suis amoureux de vous deux »

Elle me fixa un moment, sans rien dire.

« Tu sais Pascal, ce que nous vivons là tous les trois... je n'ai aucune idée de ce à quoi ça va aboutir... mais je peux te dire que quoi qu'il en soit, cela aura été l'une des périodes les plus heureuses de ma vie. »

« Ne partez pas Carole »

Elle eut un rire triste.

« Mais si Pascal, je vais partir... je ne vais pas habiter toute ma vie chez Hélène. Et puis, j'ai aussi ma vie à moi... cela aura été un merveilleux intermède mais cela ne peut être que cela... mais je voudrais que tu saches... je ne t'oublierai jamais Pascal... pas comme d'un petit-puceau, mais comme d'un être extraordinaire d'intelligence et de tendresse. Je ne me suis jamais sentis aimé comme cela auparavant... et je ne suis pas sûre que cela se reproduira un jour. »

Elle avait les yeux embués et les miens ne devaient pas être mieux. Elle se leva, me fit rapidement un baiser sur le front, et couru se réfugier dans sa chambre.

J'étais détruit. C'était le premier adieu de ma toute jeune carrière amoureuse. Et je me mis à pleurer comme un enfant, sans parvenir à retenir mes larmes.

Hélène descendit en sortie de bain et me trouva dans cet état larmoyant Elle me prit contre elle, appuyant ma tête contre sa poitrine et me caressant la tête

« Pascal..mon petit Pascal, qu'est-ce-qui ne va pas? »

Je répondis , incapable de retenir mes sanglots

« Rien... c'est juste que... Carole va partir... »

« Ne pleure pas... nul ne sait de quoi l'avenir est fait... Carole doit partir... ce n'est pas pour cela que vous ne vous reverrez plus »

« Mais ce ne sera plus pareil »

« Pascal, ais confiance en toi... crois moi... on ne t'oublie pas si facilement »

Je m'effondrai en pleurs, la tête sur ses genoux, tandis qu'elle me caressait doucement les cheveux .

Le repas du soir fut triste. Hélène essayait d'alimenter la conversation, mais ni Carole, ni moi n'avions envie de parler. Alors Hélène trancha dans le vif.

« Bon vous n'allez pas faire la gueule toute la semaine quand même... dans ce cas là, on revient aux bases, tous le monde se rhabille et se tient bien »

Nous baissâmes tous les deux la tête, comme deux enfants rappelés à l'ordre par leur mère. Je me sentais infiniment triste.

Et la semaine repris. Je révisai mon examen dans la chambre de Carole mais prenait soin de la quitter avant qu'elle ne rentre pour éviter de rester seul avec elle.

Le matin, elle descendait de plus en plus tard, sans doute pour les même raisons.

Le vendredi soir, après le repas, je regardais la télé avec Hélène pendant que Carole préparait ses affaires dans sa chambre. Hélène de leva et je l'entendis distraitement monter les escaliers. Elle redescendit quelques minutes plus tard.

« Pascal, va voir Carole, elle a quelque chose à te dire. »

Un peu surpris que Carole ne sois pas descendu me le dire elle-même et intimidé à l'idée de me trouver seul face à elle, je montais dans sa chambre. La porte était fermée et je frappais :

« Entre Pascal »

Je restai subjugué.

Carole était entièrement nue, allongée sur son lit. Elle portait autour du cou la chaîne en or d'Hélène où était pendue la clé de ma cage.

« Déshabille toi »

Fébrilement, je retirai mes vêtements, sentant déjà dans ma cage l'effet que me faisait le corps nu de Carole.

Carole se mit à genoux sur le lit.

« Allonge toi là et tais toi »

J'obéissais en tremblant d'excitation. Carole passa la chaîne par-dessus sa tête et, se penchant sur moi, ôta délicatement la cage de chasteté. Mon sexe rougi pas le confinement jaillit immédiatement de sa prison en pleine érection. Après avoir soigneusement posé la cage sur le table de nuit, Carole me fixant dans les yeux saisit mon membre et commença à me masturber lentement. Je sentis rapidement le plaisir monter mais ses mouvements étaient trop lents pour me faire atteindre l'orgasme.

« Plus vite s'il vous plaît »

« Chuuut... tais toi je t'ai dit »

Son mouvement n'accéléra pas pour autant et je commençai bouger pour aller au-devant de sa main. Elle me laissa faire et c'est à moitié par mes mouvements, et à moitié par les siens que je sentis monter en moi la jouissance tant attendue... et au moment précis ou je pensai que j'allais exploser, elle retira sa main, contemplant avec sourire les trépidations désespérées de mon sexe qui recherchait de manière réflexe la stimulation finale, je ne pus m'empêcher de crier ma frustration.

« Non... non... je vous en supplie... continuez »

Elle ne bougeait pas, observant attentivement mes contorsions vaines. Puis le plaisir entrevu reflua et mon corps fut pris de violents tremblement

« Pourquoi vous faites ça? »

« Parce qu'il faut faire durer le plaisir petit-puceau, mais tu m'énerves... je t'ai dit de te taire »

Elle enjamba ma tête et s'assit sur mon visage, m'écrasant sous ses fesses, le nez coincé dans sa chair humide et m'inondant de l'odeur forte de son excitation. Jamais je n'avais été dans cette position et il me semblait que toutes ses senteurs intimes était décuplé par l'enfouissement dans ses chairs. Et elle reprit sa lente masturbation... Elle fit cela encore et encore, m'amenant systématiquement à l'extrême bord du plaisir avant de m'abandonner à mes gesticulations stériles. Je criais mon désespoir dans les profondeurs de sa chatte, maintenant ruisselante d'une mouille huileuse, douceâtre, presque sucrée qui me coulait lentement dans la bouche.

« Bon, maintenant tu vas me faire jouir petit-puceau »

Elle se souleva un peu de ma figure, me laissant admirer à quelques centimètres devant mes yeux les replis compliqués de son sexe... et tout en haut, le bouton charnu de son clitoris. Je commençai à lécher cette vulve offerte. Je rentrai doucement ma langue dans son vagin, y trouvant le dépôt crémeux de ses sécrétions que j'absorbais avec délice, puis je tendis le cou pour atteindre la perle nacrée cachée au confluent de ses lèvres épaisses. Elle eut une sorte de soubresaut quand ma langue atteint le centre de sa féminité. Je m'appliquai dès lors à caresser du mieux que je pus cet organe sensible. Elle commença à onduler lentement du bassin, émettant des gémissements plaintifs que j'entendais assourdi dans l'étau de ses cuisses. Cela dura un moment, ses mouvements se faisant de plus en plus nerveux. Elle passa une entre ses cuisses et introduisant deux doigts dans son vagin, commença à effectuer un sorte de mouvement de massage rapide. Je sentais la tension monter dans son corps, ses gémissements s'étaient changés en petit cris graves. Et soudain, tout son corps eut une brutale crispation tandis qu'elle poussait un feulement profond et qu'elle s'asseyait de tout son poids sur moi, m'écrasant dans la fente spongieuse de son sexe. Mon nez était écrasé par sa chair et j'ouvris grande la bouche pour rechercher un peu d'air... Je reçus soudain dans la gorge le jet abondant d'un liquide chaud, légèrement salé. Je crus un moment qu'elle me pissait dessus mais ça n'avait pas le goût acre de l'urine. Son orgasme dura longtemps avant qu'elle ne finisse par s'écrouler de tout son long sur mon corps, tentant de calmer sa respiration que je sentais affolée. Au bout d'un moment, je le sentis reprendre sa masturbation lente, allongée sur moi. Cette fois cependant, elle accéléra son rythme et je sentis rapidement mon ventre se contracter devant les prémices de la jouissance... et elle n'arrêta pas... et j'explosais... Il me semblait que mon cœur allait s'arrêter tant le plaisir était intense... J'étais en apnée, incapable de respirer devant la convulsion violente qui emportait tout mon corps et je sentais dans ma verge les pulsations rythmées du sperme que j'expulsais... et puis le plaisir se retira doucement me laissant anéanti par la violence de ce que je venais d'éprouver. Je sentis dans une demi torpeur Carole m'enjamber à nouveau pour se mettre à côté de moi, et se retourner. Je la regardais... elle avait le visage et les cheveux couverts de longues traînées de sperme. En me fixant dans les yeux, je le vis essuyer ses joues d'un doigt, et le porter à sa bouche, goûtant ma semence comme si elle gouttait une nouvelle sauce. Elle me dit gaiement

« Tu es trempé de mon foutre... et moi, je suis trempé du tiens »

Elle pris une serviette de toilette dans ses affaires et s'essuya le visage avec, avant d'essuyer le mien. Elle avait comme des étoiles dans les yeux et je savais que je devais avoir les mêmes.

« Ça t'a plu petit-puceau »

« Carole... je ne sais pas quoi dire... je n'ai jamais eu autant de plaisir »

Elle reposa la serviette est s'allongea a coté de moi, me tournant le dos. Je me retournais à mon tour et la pris dans mes bras, sentant ses fesses froides contre mon ventre et nous restâmes là, l'un dans l'autre, sans rien dire... savourant cet instant de pur bonheur.

Au bout d'un moment pourtant, le contact de ses fesses commença à produire son effet et je sentis une nouvelle érection pointer contre mon ventre. Elle ne pouvait pas ne pas s'en apercevoir mais je croyais qu'elle s'était endormie... elle me détrompa

« Tu bandes? »

« Oui »

« Tu veux encore jouir? »

« Oui »

« Alors frotte toi contre mes fesses »

Surpris par cet ordre, je compris que le jeu reprenait entre elle et moi et qu'elle entendait reprendre la maîtrise de nos relations. Alors je me frottais contre elle, comme un chien en rut. Le contact de sa chair ferme, l'humiliation de ce que j'étais en train de faire, tous les ingrédients étaient réunis pour que je ne tarde pas à éjaculer. Elle n'avait pas bouger d'un centimètre. Le plaisir physique fut beaucoup moins fort que le précédent mais la sensation de soumission que j'avais ressenti en faisant ce geste avilissant me le rendait presque aussi bon.

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