Ma mère Martine 10

BÊTA PUBLIQUE

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- Même les chiens sont excités par cette salope.

Ma mère, tout en se faisant lécher le visage, le nez et ses lèvres pulpeuses, accélère le mouvement de ses seins autour du sexe du clochard. Elle les prend par les tétons qu'elle pince. Cela lui procure beaucoup de plaisir et les léchouilles du chien aussi. L'homme éjacule comme jamais. Ma mère reçoit une giclée en pleine poitrine. Ses seins sont inondés et elle se les tartine avec ses mains tout en gémissant de bonheur.

Voilà que le chien, visiblement amateur de sperme, se met à lécher à grand coup de langue la poitrine de maman. Il atteint le bout de ses tétons qu'il lape avec avidité. La sensation de cette langue chaude est si excitante qu'elle se laisse choir au sol, sur le dos, et s'abandonne à l'animal. D'autres chiens, intrigués par la découverte de leur congénère entourent ma mère, la reniflent un peu partout, et se mettent à lui lécher tout le corps. Ils sont quatre et la nettoie de tout ce foutre accumulé par leur maître. Ma mère a les bras en croix et respire de plus en plus vite. Les chiens lapent ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses énormes seins et son visage : bref, tout son corps est exploré par ses longues langues dégueulasses. Excitée comme jamais, elle se met à suer et à se tortiller dans tous les sens en tentant de se masturber. Elle sent venir l'orgasme. Le summum est atteint lorsqu'un berger allemand bâtard lui lèche avidement le sexe. Elle ne comprend plus ce qu'il lui arrive, elle sent une bouffée électrique remonter de son bas ventre. La longue langue lape son vagin et s'insinue à l'intérieur en lui procurant des sensations terriblement excitantes. Il lui fait un cunnilingus bien involontairement mais cela marche. Elle ne peut s'empêcher de pousser un long râle de jouissance et plaque ses deux mains sur la tête du chien pour l'inciter à continuer à lui procurer du plaisir.

La scène est vraiment terriblement perverse, au-delà de tout. Je suis là, en train de voir ma mère totalement nue et souillée, se faire lécher l'ensemble de son corps par ces animaux devant les yeux de ces pervers de clochards. Certains se sont branlés et même moi, j'ai du mal à me retenir. Un ivrogne appelle deux de ses amis pour l'aider à relever ma mère. Mais ce n'est que pour la retourner et la mettre à quatre pattes.

- Tenez les chiens, voici votre chienne : elle est en chaleur.

On place le chien sur ma mère et sans se poser la question, il la chevauche vigoureusement, par instinct. Le chien la besogne et ma mère ne réalise même pas, du fait de son extase et de son ivresse, qu'elle se fait baiser par un chien. D'ailleurs, il finit rapidement et finalement, tous les chiens de la salle, conduits par leur maître et sans exception, baisent ma perverse de mère qui se prête volontairement à ce jeu des plus lubriques. Elle est à quatre pattes et se comporte elle aussi comme une femelle en chaleur. Ses gros seins pendent et ballottent à chaque assaut des animaux.

Pendant que leur congénère la pénètre, d'autres chien la lèchent à nouveau. Un chien passe sous son ventre et lui lape longuement l'abdomen et son nombril tandis qu'un autre s'occupe de lui nettoyer les nichons qui n'arrêtent pas de bouger. Son visage est pris d'assaut par les grands coups de langue du berger bâtard.

Quelle scène de débauche absolue! Jamais je ne l'aurai crue capable d'aller aussi loin dans sa dépravation. Quelle image honteusement dégradante de la femme! Mais ça, elle s'en fiche pas mal et seul son plaisir compte. Les clochards se mettent à la saillir maintenant et même en sachant que leurs chiens sont passés avant eux.

Ma mère est remise sur le matelas et on la fait boire encore et encore. Elle se fait baiser par le reste de l'assemblée. Elle est enculée à plusieurs reprises tout en taillant des pipes de folies. Elle se sent à l'aise dans toute cette débauche et cette saleté. Ma mère est en train d'atteindre un haut degré de dépravation. Ses gros nichons sont triturés, malaxés et même gobés par des bouches à l'haleine putride.

Finalement, tous et d'un commun accord sortent leur sexe et l'inonde d'urine. Une urine qu'elle accueille avec un bonheur inouï tentant de boire chaque goutte. La pisse lui coule sur tout le corps et se dilue au reste de la souillure. Jamais son corps n'avait été souillé de la sorte et elle souhaiterait que jamais ce moment cesse. Les hommes repus, les couilles et la vessie vidé se retirent laissant cette femme dans les immondices en train de gémir de plaisir. Elle se masturbe tout en se caressant les seins. Le proxénète reprend ses esprits tant il est surpris de la perversité de ma mère.

- Incroyable! Eh bien, je crois que t'as atteint des sommets ma salope.

Il demande à deux clochards de la relever.

- ' On est en retard et il faut une fois de plus te remettre propre. Bon, pour le bar, on laisse tomber car il est trop tard mais on a un rendez-vous bien plus important. Celui-là, on n'a pas intérêt à le louper.

Maman n'écoute pas, elle s'est endormie, bien pleine et les clochards la transportent vers le véhicule, l'un lui prenant les jambes et l'autre les bras. Pour ne pas salir les sièges du véhicule, car je le rappelle, elle est enduite de sperme, d'alcool, d'urine et de poussière, elle est mise dans le coffre. Je commence à m'insurger mais le proxénète me dit qu'il ne fallait pas s'en faire, il conduirait bien. Ma mère est endormie, ivre et mise dans le coffre. Puis les clochards nous remercient en faisant promettre à ces salauds de voyous que ma mère reviendrait les voir le plus souvent possible.

Le véhicule démarre et le proxénète tient parole pour ne pas abîmer sa précieuse passagère. Il passe un rapide coup de fil. Au bout de 10 minutes, il s'arrête dans un parking d'un hôtel qu'il connaît. Un fourgon l'attend et il y a des hommes et deux jeunes filles qui en sortent. Il ouvre le coffre en leur montrant ma mère endormie à cause de l'alcool. Il murmure des instructions que je n'entends pas et me somme de monter dans le véhicule. Je désire rester avec ma mère mais le basané me force à rentrer dans le véhicule. Ils rentrent tous et moi je leur demande ce qu'ils vont faire d'elle. Le proxénète me dit tout en démarrant :

- T'inquiète, on va lui faire faire un brin de toilette et la remaquiller en pute. Sa nuit n'est pas finie.

Je le regarde d'un air méprisant mais lui s'en fiche et il poursuit :

- Ce soir, tu vas avoir une petite surprise mais ta mère aussi et surtout elle.

Le véhicule s'éloigne et je regarde les voyous extirper maman du coffre du véhicule. Je ne savais pas à quel point la surprise serait si choquante mais finalement cela devait arriver. Ma mère a abusé et tôt ou tard il lui faudrait rendre des comptes, payer le prix de tant de débauches et dépravations.

Ma mère se réveille enfin. Elle émerge lentement de son demi sommeil, elle a un peu récupéré. Elle se sent bien, allongée mais à l'étroit, elle ne peut plus bouger. Ses yeux s'habituent peu à peu à l'obscurité et elle s'aperçoit qu'elle est dans un hangar. Elle sent également qu'elle a subi une toilette assez intensive. Tout son corps suinte le parfum et on l'a remaquillé comme une pute, cela va de soi.

Elle ne peut remuer sa tête et tout son corps est comme compressé, emprisonné. Elle sent également une fine couche de plastique qui lui recouvre la peau car elle est toujours nue. Ma mère ne peut voir que cette pellicule est en fait du film plastique transparent. Elle ne peut voir qu'elle est allongée sur du polystyrène qui épouse parfaitement son corps. Elle est en fait empaquetée comme un poulet sous-vide que l'on trouve dans les supermarchés. Elle a juste deux trous au niveau de ses narines pour qu'elle puisse respirer. Ne pouvant relever la tête, elle ne peut voir que sur ses gros seins et spécialement sur son téton droit, une grosse étiquette collée avec marqué dessus « colis à livrer pour trois heures quarante-cinq ».

Ma mère réalise alors qu'elle est dans un sacré pétrin mais trop tard, elle entend du bruit derrière elle. Elle ne peut plus s'enfuir. Les battements de son cœur s'accélèrent et elle aimerait bouger mais elle ne le peut pas car elle est trop compressée par le film. Ce sont des bruits de pas qui se rapprochent. Elle s'imagine le pire et hélas pour elle, elle est loin de se douter que cela pourrait être la plus terrible de toutes les nuits qu'elle ait jamais passées, peut-être même la dernière

A suivre....

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