Ma Vie Ch. 01

Informations sur Récit
Je découvre ma mère dans une situation embarassante.
3.8k mots
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2
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/15/2016
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Cette histoire a commencé le jour de mon 18eme anniversaire. Ma mère avait fêté ça en me faisant un gâteau d'anniversaire et en m'offrant une montre. Nous avions un peu abusé du champagne et je me sentais un peu saoul à la fin de la soirée. Cela avait été un bel anniversaire

Ma mère et moi étions très proches. Nous vivions seuls depuis la mort de mon père quand j'avais 4 ans. Ma mère est une belle femme de 54 ans qui en faisait facilement 10 de moins. Je le sais par les blagues douteuse de mes copains et elle devait alimenter les fantasme de certains d'entre eux. Moi, j'ai du mal à juger, c'est ma mère. En entendant mes copains parler d'elle, j'avais essayé de la regarder avec les yeux d'un étranger. C'est vrai qu'avec ses yeux verts, ses cheveux auburn encadrant un visage agréable, et sa poitrine généreuse, elle devait plaire aux hommes. Pourtant, je ne lui avais jamais connu d'aventures depuis presque 15 ans qu'elle était veuve.

Moi même, je ne suis pas très grand et assez frêle, ce qui ne facilitait pas mes relations avec les filles, et les quelques flirts que j'avais eu n'avaient jamais été très loin. Ça ne me manquait pas vraiment. Ce qui me gênait le plus, c'est que mes copains commençaient à se foutre de moi à ce sujet. Je compensais cette insignifiance physique par un don pour les mathématiques qui me procurait l'estime de mes congénères dont avait besoin mon ego.

Le lendemain de mon anniversaire, Sonia vint à la maison. Sonia était une amie de ma mère. Elles s'étaient connues quelques mois auparavant et depuis, elles étaient inséparables. Elle devait avoir une quarantaine d'année et faisait au moins 1m80. Le mélange étrange de son corps de sportive et de ses formes pleinement féminines dégageait une sorte de 'puissance animale' qui me mettait toujours mal à l'aise en sa présence. Pour ne rien arranger à mon malaise, les relations entre Sonia et ma mère étaient étranges. Ma mère lui parlait toujours avec une sorte de déférence que Sonia avait l'air de trouver tout à fait normal, n'hésitant pas, parfois, à lui demander des choses avec un ton qui s'apparentait plus à un ordre qu'à une demande, bien qu'elle y mit toujours les formes. Bref, je n'aimais pas beaucoup Sonia.

Elle vint me féliciter pour ma toute nouvelle majorité, me serrant longuement dans ses bras. Je me sentais comme un enfant, écrasé contre sa large poitrine. Elle ne portait visiblement pas de soutien gorge et je sentais légèrement sa sueur. À ma grande surprise, je me mis à bander. Elle ne me lâchait pas, me tenant toujours serré contre elle et je commençais à craindre qu'elle sente mon érection contre son ventre, et plus j''appréhendais ça, plus je durcissais. Enfin elle me lâcha et s'écarta de moi. Je ne sais pas combien de temps son embrassade avait duré, sans doute moins d'une minute, mais ça m'avait paru une éternité.

Je me retrouvais là, comme un couillon , debout au milieu du salon avec un membre en pleine érection, devant ma mère et Sonia assises sagement sur la banquette. Elles reprirent leur discussion, comme si de rien n'était tandis que je me précipitais dans la cuisine pour fuir cette situation embarrassante.

Une fois à l'abri de leur regard, j'essayais de comprendre ce qui m'était arrivé. Je n'avais jamais vraiment été attiré par Sonia, bien que parfois, elle avait alimenté mes rêveries érotiques. Mais là, le contact de ses seins contre ma poitrine, son odeur féminine vaguement aigrelette... Jamais je n'avais bandé aussi vite et sans stimulation particulière. J'en avais encore le cœur qui battait. Je me sentais comme saoul et n'avait qu'une envie, c'était de me réfugier dans ma chambre. Mais je ne pouvais pas faire ça, Sonia était venue exprès pour moi elle n'était pour rien dans mes réactions physiques. J'attendis un moment pour reprendre mes esprits et débander suffisamment, et je repassais au salon, en amenant le plateau d'apéritifs que j'avais rapidement préparé.

Les deux femmes papotaient, parlant de choses et d'autres comme seules les femmes savent le faire, discutant des derniers potins, éclatant de rire par moment. Apparemment totalement insensibles à ma présence. Je posais le plateau sur la table basse et les interrompis pour leur demander ce quelle voulait. Après les avoir servis, ma mère me regarda, les joues rouges et des larmes dans les yeux

« Merci chéri »

Je me servis un whisky et m'assis dans un fauteuil tandis qu'elles reprenaient leur papotage.

Le reste de la soirée se passa normalement, moi transparent comme d'habitude quand Sonia et ma mère étaient ensembles. Mais je sentais sans savoir pourquoi que les relations de copines qu'elles avaient eu ensemble en début de soirée avait basculé dans quelque chose d'autre, une sorte de tension bizarre, pas agressive, pas conflictuelle, plutôt une tension complice et pour la première fois, je commençais à me demander si les relations entre ma mère et Sonia étaient seulement amicales.

J'y réfléchis toute la nuit, perturbé par les événements de la soirée. Et si ma mère était homosexuelle. Enfin, j'étais la preuve vivante que, ans ce cas , elle ne pouvait être que bisexuelle. Mais quand même, ça me perturbait complètement. En fait , c'était la première fois que je m'interrogeais sur la sexualité de ma mère et ça me mettait très mal à l'aise.

Quand le réveil sonna, je l'éteins immédiatement. Je n'avais pas dormi de la nuit. Pour la première fois de ma vie, je me sentis gêné en prenant le petit déjeuner avec ma mère. Elle se rendit compte que quelque chose n'allait pas et me demanda à plusieurs reprises ce que j'avais, je lui répondis que j'avais mal dormi, sans autre explication.

Des semaines passèrent sans autres événements notables. Mes relations avec ma mère étaient redevenues normales, même si, au fond de ma tête, sa sexualité était devenue un élément troublant de la vision maternelle que j'avais d'elle.

Sonia passait toujours aussi souvent à la maison, et là aussi, mes sentiments avaient évolué. D'une part, je ne pouvais pas ne pas me souvenir de l'excitation qu'elle avait provoquée chez moi, d'autre part, l'idée qu'elle puisse être l'amante de ma mère me turlupinait. Mon malaise quand elle était là s'étaient encore accrus, mais quelque part, ce malaise avait pris une connotation sexuelle. Je rêvais d'elle de plus en plus souvent...parfois d'elle et de ma mère ce qui me laissait toujours le matin avec une gêne coupable.

Et puis, un jour de juillet, toute ma vie bascula.

Je rentrais de l'université vers 19 h, en entrant, comme à l'accoutumé, j'appelais ma mère. Ce ne fut pas elle qui me répondit. Je reconnus la voix de Sonia.

« Descends, on est là »

La voix venait de la cave. Sans comprendre, je posais mes affaires et descendis l'escalier abrupt qui y menait. Ce que je vis alors me laissa sans voix.

Ma mère était ligotée sur une chaise avec un regard terrifié et des larmes plein les yeux., Elle était bâillonnée, les cuisses écartées, vêtue seulement d'une culotte. Je voyais pour la première fois sa poitrine pleine, avec de larges aréoles brunes traversée par la corde blanche qui la maintenait fermement sur la chaise. Je pouvais même voir la tâche brune de ses poils pubiens à travers la dentelle de sa culotte

Avec n'importe qui d'autre, cela aurait été une vision extrêmement érotique...mais c'était ma mère. Je n'avais jamais vu ma mère nue. Elle s'était toujours montré très pudique avec moi. En fait, en dehors des films porno, je n'avais jamais vue une femme nue en vrai, Et je la voyais là ligotée sur une chaise dans une position plus qu'impudique Nous nous regardâmes. Elle pleurait doucement en gémissant à travers son bâillon. Son regard était paniqué et je vis la honte qu'elle ressentait à s'exhiber ainsi et malgré moi ce spectacle incroyable la commençait a m'exciter. Gêné par cette excitation malsaine, je détournais mon regard et aperçus Sophia. Elle était habillée comme à son accoutumé : jupe grise et un chemisier beige. La seule chose peut-être qui était inhabituelle est qu'elle avait déboutonné le haut de son chemisier, laissant apparaître le début de sa poitrine contenue dans un soutien-gorge blanc. La voir ainsi habillée si normalement accentuait encore la gêne que j'éprouvais la situation scabreuse de ma mère. Elle tenait à la main une sorte de bâton reliés par un fil électrique .

Je sortis enfin de la sidération que ce spectacle avait provoqué.

« Mais..qu'est-ce-qui se passe?, qu'est-ce que vous faites? »

Je n'avais pas fini ma phrase quand elle me retourna un claque énorme qui m'envoya valser et je me retrouvais sur les fesses, étourdi et me tenant la joue.

« Écoute-moi bien Pascal, ici c'est moi qui parle, toi tu te tais et tu m'obéis, c'est bien compris?

J'étais assez intimidé par le ton de sa voix, mais je me rebellais contre ce diktat

« Qu'avez-vous fait à ma mère »

Elle approcha son 'bâton' d'un téton de ma mère, il y eut un claquement sec, et ma mère se crispa brutalement sur sa chaise en hurlant à travers son bâillon, en proie visiblement à une douleur insupportable.

« Tu n'a pas bien compris, si tu ne m'obéis pas, c'est ta mère qui va payer »

Je commençais à avoir vraiment peur. J'envisageais un instant de me jeter sur elle et de la maîtriser, mais je compris instantanément la stupidité de cette réaction. Sonia devait faire vingt bons kilos de plus que moi et je savais qu'elle faisait du Krav Maga

Elle me fixait, tenant son 'bâton' à quelques centimètres d'un téton de ma mère et je compris aux yeux terrifiés de celle-ci que la douleur que ce truc devait infliger.

Vaincu, je me relevais péniblement. J'avais maintenant vraiment la peur au ventre, cette femme était folle et j'étais impuissant à sauver ma mère. J'en ressentais une sorte de honte qui me faisait oublier ma propre situation.

« Déshabille-toi »

Docilement, je commençai à me déshabiller quand je me rendis compte avec horreur que je bandais. C'était incompréhensible, mais indubitable, je bandais. Ce qui me gênait le plus, c'était de m'exhiber ainsi devant ma mère. Elle ne m'avait bien sûr jamais vue en érection mais en plus, cette érection prouvait l'excitation que sa torture me procurait et je sentis des larmes me monter aux yeux. Complètement ruiné, je basculais dans une sorte d'état second ou plus rien n'avait d'importance et je retirai lentement mon boxer-short, dévoilant aux yeux des deux femmes mon sexe rigide.

Je regardais ma mère et vis dans ses yeux le désespoir et la honte, deux sentiments que je partageais . Sonia passa derrière moi, me demanda de mettre mes mains dans le dos , et me mit des menottes. Dans l'état ou j'étais, cela ne me fit ni chaud, ni froid. J'étais déjà à sa merci.

« A genoux »

Ayant déjà perdu toute dignité, j'obtempérais sans réfléchir. J'avais l'impression curieuse de n'être plus moi-même, de voir toute la scène comme un spectateur.

Ma mère me regardait dans ses liens en pleurant. Sa détresse me crucifiait.

« C'est la première fois que tu vois ta mère nue? »

« Oui »

Je ressentis brutalement une douleur atroce à l'épaule qui envahit l'intégralité de mon corps et je m'entendis hurler

« La prochaine fois, ce sera sur ta queue...quand tu me réponds, tu m'appelles toujours 'Madame' . Je répète, est-ce la première fois que tu vois ta mère nue?»

Je baissais la tête pour cacher la honte que je ressentais.

« Oui Madame »

« Lève la tête, regarde la. C'est ça qui te fait bander? »

« Je ne sais pas Madame »

« Approche-toi d'elle »

Je jetai un regard à ma mère, elle pleurait doucement avec un air désespéré qui me fit du mal»

En me dandinant, je m'approchais de la chaise.

« Sens-la »

Je ne comprenais pas ce quelle voulait dire

« Je ne comprends pas Madame »

La douleur me saisit à nouveau et je sentis le salive m'emplir la bouche

« Tu poses ta tête entre ses cuisses et tu lui sens la chatte! »

J'entendis le sanglot de ma mère, à travers son bâillon . Je m'approchais encore et posai mon nez sur sa culotte. Son odeur, fauve, musquée vaguement aigre m'envahit. Mon excitation monta d'un cran et je restai là longtemps, à m'imprégner de son odeur intime. J'entendis à nouveau le claquement sec et je la sentis se raidir en poussant un cri étouffé. J'avais dépassé tous les niveaux de honte. J'aurais voulu que tout cela s'arrête, que je meure là, maintenant. Et en même temps, jamais dans ma vie, je n'avais été autant excité.

Sonia me fit reculer en me tirant par les cheveux Elle découpa la culotte avec une paire de ciseaux et je vis, pour la première fois de ma vie dans la réalité un sexe de femme : celui de ma mère .

Des poils noirs drus couvraient la motte. Sa vulve était exhibée, ouverte, les lèvres rouges sombre luisantes d'humidité.

Sonia me plaqua la tête contre sexe offert.

« Suce »

Sans réfléchir, je me replongeais dans cette odeur puissante et passais timidement ma langue sur les lèvres gonflées. Je n'avais jamais vu un sexe, mais comme tous les garçon de mon âge, je m'étais documenté sur le cunnilingus et quitte à être obligé de le pratiquer dans ces conditions dégradantes, autant essayer d'appliquer ce que j'avais lu. Je m'appliquai à lécher les lèvres doucement de bas en haut , goûtant leur humidité salée Je regrettai mes mais attachées dans le dos qui m'empêchait d'écarter son sexe pour me donner un meilleur accès à sa partie le plus intime. Au bout d'un moment, je rentrai ma langue dans son vagin. J'y recueillis une mouille glaireuse au goût fade, légèrement métallique.J'alternais ai le léchage lent de sa vulve avec la pénétration de son vagin pendant longtemps. je sentais ses tressaillements et la mouille se fit plus abondante, plus odorante. Je sentais qu'elle commençait à se laissait aller. Son bassin se mit à onduler doucement, venant à la rencontre de ma langue malgré les liens qui la maintenait fermement sur la chaise.

Elle poussait des petits gémissements étouffés. Ayant dépassé la honte elle commençait à éprouver du plaisir et quelque part malgré ma propre gêne , j'en ressentais un certaine fierté, Au fil du temps, je sentais sa respiration accélérer, ses ondulations se firent plus rapides. Je posai ma langue sur son clitoris. Je la sentis tressaillir et je me concentrai à présent sur ce bouton sensible. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais là. J'étais totalement absorbé dans un monde d'odeur et de goût que je découvrais et qui m'excitait au plus haut point. J'avais la bouche engluée par ses sécrétions et ma langue commençait à fatiguer de ce léchage appuyé. Les mouvements de son bassin se faisaient frénétiques et ses gémissements s'étaient transformés en un sorte de plainte rythmée.

Et puis brusquement, elle poussa un sorte de soupir profond tandis que son corps se raidissait dans ses liens. Je ne bougeais plus, maintenant ma langue fermement appuyée sur son clitoris Au bout d'un moment elle se détendit complètement et je crois qu'elle serait tombée de la chaise si elle n'était pas ligotée Je passai doucement ma langue tout le long de sa chatte, récoltant un dernier filet de cyprine.

J'étais complètement débordé par mon excitation et je sentis que j'allais jouir sans même me toucher. Me baissant, je vis ma verge tressauter, un long filament transparent s'écoulant au bout du gland. J'attendais le spasme libérateur ...mais finalement le plaisir reflua et je restais là, le cœur battant et le souffle court

Et à nouveau, Sophia me retira du sexe de ma mère en me tirant par les cheveux.

« Ouah....ben pour une première fois, c'était pas mal »

J'étais imprégné de l'odeur musquée et du goût du sexe. .

Elle me fit me relever. J'avais mal aux genoux et les jambes flageolantes

« Viens, il faut que l'on cause »

Je jetais un regard sur ma mère. Elle avait les yeux fermés ,les joues rouges, les cheveux collés sur le front par la sueur. Je me sentis à nouveau un fils qui s'inquiète pour sa mère. Sonia dut comprendre mon sentiment et elle me rassura

« Ne t'inquiète pas, elle va bien »

Nous remontâmes au salon. Elle me fit m'asseoir et se servit un apéritif.

J'étais dans un fauteuil, nu, menotté, avec une érection qui ne faiblissait pas, respirant encore l'odeur de sexe, et la honte de ce que je venais de faire me submergea..

Sonia était calme, sirotant son apéritif. Puis elle prit la parole

« Première chose :, n'aie pas peur, je ne suis pas un monstre, ta mère et moi avons une relation S/M parfaitement assumée et elle en tire autant de plaisir que moi. Je suis sa Maîtresse, elle est mon Esclave.

Seconde chose : elle ne savait pas que j'allais te mêler à nos relations et elle ne l'aurait sûrement pas acceptée. Mais moi, je savais que tu étais prêt et que ça allait amener des choses intéressantes. Je ne ma suis pas tromper

Dernière chose : Elle a joui aujourd'hui comme je ne l'avais jamais vu jouir et je crois que le fait qu'elle se sente coupable de se faire bouffer la chatte par son propre fils n'y était pas pour rien.

La crudité de ses paroles accentua encore ma honte si c'était possible. Jamais plus je ne pourrai voir ma mère sans repenser à cet épisode incroyable et le fait de savoir qu'elle faisait du S/M, elle qui était si prude, me stupéfiait

« Pascal, je vais te demander quelque chose. Réfléchis bien à ta réponse. Est-ce que tu veux 'jouer' avec nous? Je dois te dire que ça ne sera pas facile tous les jours. En fait, il faut que tu acceptes de souffrir...et pour ça, il faut que tu en tires un certain plaisir, comme ta mère le faits si tu as un doute, mieux vaut refuser! »

J'hésitais longuement. C'est indéniable que ça m'avait excité de me soumettre à Sonia, et la perspective de partager ça avec ma mère ne me déplaisait pas, mais d'un autre côté, je n'avais aucune envie de souffrir

« Madame, je peux vous poser uns question »

« Vas-y »

« Je voudrais savoir? , c'est quoi exactement vos 'jeux', vous torturez ma mère c'est ça? »

Elle éclata d'un rire cristallin..

« Non...non, on est pas du tout dans ce trip-la. ..C'est surtout un jeu subtil d'humiliation. Il y a quelque fois un certaine douleur, mais c'est toujours secondaire ..on n'est pas du tout dans la 'torture'. Tu sais Pascal, il faut que je t'avoue quelque chose, j'aime beaucoup ta mère...peut-être même un peu plus que cela, et il ne me viendrait pas à l'esprit de lui faire du mal.. Tout ce que l'on fait, c'est en accord mutuel...à une exception près : toi »

Je voyais Sonia brusquement sous un nouveau jour. Elle était joviale, presque amicale. J'avais envie de lui faire confiance...

« D'accord Madame »

« Tu es sûr?»

« Oui Madame » . « Ok, bon, Je vais aller détacher Hélène parce que ça va devenir pénible pour elle».

Quelques minutes plus tard, ma mère revint dans le salon. Elle s'était rhabillée, refait une beauté , mais elle restait écarlate. Je sentais, à la chaleur de mes joues, que je devais être dans le même état .Nous n'osions pas nous regarder..Plus rien ne pourrait être jamais pareil entre nous..Et j'en éprouvais du regret.

Sonia reprit la parole.

« Hélène, ton fils est puceau tu le sais? »

Ma mère baissa la tête.

« Oui Madame, je le sais »

« Il t'a fais jouir? »

« Oui Madame »

« Tu as envie qu'il te baise? »

Elle releva brusquement la tête, avec un regard horrifié

« Oh Non! »

« Tu es sûre? »

Le ton de ma mère se fit suppliant

« Sonia s'il te plaît...ce serait trop...ce n'est pas possible...je ne peux pas »

Elle avait quitté le « Madame »cérémonieux pour s'adresser à son amie

Sonia parut réfléchir un instant, puis pris sa décision

« Écoute-moi bien Hélène, la première femme qu'il baisera, ce sera toi, et à mes conditions . Il faudra que tu me supplies pour ça »

Les larmes revinrent aux yeux de ma mère

« Sonia, je t'en supplie, laisse le tranquille »

Sonia devint plus ferme :

« Arrête Hélène, ma décision est prise »

Elle se leva, fouilla la vaste bourse de cuir qui lui servait de sac à main, et en sortit une boite en carton qu'elle posa sur la table. Puis elle partit vers la cuisine.

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