Ma Vie Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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C'est à peu près à cette période que notre sexualité changeât. Elle Je me souviens très bien de ce soir fatidique. Comme très fréquemment, j'avais commencé par la sucer, m'immergeant dans l'odeur musquée de son sexe, et sitôt qu'elle avait été suffisamment excitée, elle m 'avait fait m 'allonger sur le dos pour venir s'empaler sur ma verge rigide. Et comme très fréquemment, j'avais joui en elle avant qu'elle n'est eut son plaisir. Mais cette fois, elle ne se satisfit pas de ce plaisir avorté. Elle se souleva légèrement, laissant sortir d'elle mon membre encore en partie érigé, et se décalant, vint poser sa chatte sur ma bouche, ajoutant d'une voix ferme

« Tu me nettoies et ensuite, tu me fais jouir »

J'étais dégoûté parce qu'elle me demandait de faire. Son sexe avait une odeur chaude d'écuries. Je pouvais voir des gouttes épaisses de mon sperme couler lentement au bas de ses lèvres. Fermant les yeux, je commençais à lécher ce magma infâme. Le goût de nos deux sécrétions mélangées était acre et ammoniacal, mais c'est surtout la texture gluante qui me révoltait. J'avais des haut-le-cœur en absorbant mon sperme qui s'échappait de sa chatte en un filet visqueux. Je finis par introduire ma langue son vagin, y recueillant la liqueur grasse qui s'y trouvait. Cela dura longtemps avant que je ne sente plus que le goût fade de sa mouille. Je commençai alors à passer ma langue sur son clitoris. Je la sentis frémir. Il ne fallut que quelques minutes avant qu'elle se contracte brusquement, poussant un long cri rauque et laissant couler dans ma bouche un liquide épais .

À partir de ce jour, cette scène se renouvela plusieurs fois où Carole me fit ingérer mon sperme après que j'eus jouis en elle. L'humiliation et dégoût que j'éprouvais à cette tâche dégradante ne passa jamais et souvent, je crus vomir. Je n'ai jamais pu m'habituer au goût et à la consistance du sperme.

Un soir que je lui fis part de mon dégoût, sa réponse fut assez sèche :

« Quand je te suce ,moi, et que je te laisse jouir dans ma bouche, tu n'as jamais eu l'air de t'en plaindre »

En fait, depuis presque un an qu'on se connaissait, elle m'avait fait deux ou trois fellations qui, il est vrai, furent des moments de pur bonheur.

« Oui..mais c'est pas pareil »

« Pourquoi ce n'est pas pareil? »

« Je ne sais pas...tu es une femme »

« Et alors, on est censée aimer le goût du sperme parce qu'on est une femme? »

« Non, ...je ne sais pas...enfin je pensais que tu y prenais du plaisir aussi »

« Eh bien dis-toi que j'éprouve du plaisir quand tu me nettoies et que tu me suces »

« Mais moi non »

Elle me fixa d'un air sévère.

« Eh bien il faudra que tu t'y fasses »

La conversation s'arrêta là, elle se retourna de son côté et ne tarda pas à s'endormir, me laissant à mes pensées .

À partir de ce soir-là, ce fut systématique . Chaque fois que je jouissais en elle, elle venait se placer sur ma bouche pour que je la 'nettoie'...et mon dégoût ne passa pas.

Jour après jour, Carole devint de plus en plus autoritaire

Un samedi matin, je sortais de la douche, une serviette nouée autour de la taille. Carole était assise sur le lit, déjà habillée et me regardait avec un air bizarre. La serviette se dénoua et tomba sur le sol, je la ramassai et me dirigeai vers la commode pour y prendre des vêtements.

« Non »

Je la regardais sans comprendre.

« Aujourd'hui, tu ne t'habilles pas, tu restes nu toute la journée »

« ...mais, pourquoi? »

« Parce que je te le dis »

« mais enfin Carole, je ne peux pas faire ça »

« Oh si tu peux »

Je baissais la tête. Le ton autoritaire qu'elle avait pris ne laissait pas de place à la contestation, et à ma grande horreur, je sentis mon sexe commencer à bander. Cela ne lui échappa pas et elle me lança avec ironie »

« Mais regardez-moi ça, ça le fait bander quand je lui donne des ordres...alors je continue, aujourd'hui, je vais faire des courses avec Marie. Toi, pendant ce temps-là, tu fais la lessive comme je t'ai montré et tu fais le ménage. Je veux la maison impeccable.

Marie était sa meilleure amie. C'était une petite brune boulotte de 35 ou 40 , avec un visage agréable,

Incompréhensiblement, plutôt de me mettre en colère, ces ordres injustes ne firent qu'accroître mon érection et c'est avec une immense honte que je me retrouvai là, nu devant Carole, arborant un sexe raide.

Elle se leva et sortit de la chambre, en me donnant une petite tape sur le sexe en passant.

« Et n'oublie pas, tu restes à poil toute la journée »

J'entendis claquer la porte d'entrée tandis que je restais là, hébété, me demandant ce qui se passait. Il me fallut un instant pour sortir de ma torpeur et commencer mon labeur.

Cela faisait un drôle d'effet de faire le ménage nu comme un ver et curieusement, l'idée que je faisais ça pour obéir aux ordres de Carole me maintenais dans un curieux état d'excitation. Il me fallut quatre bonnes heures pour nettoyer l'appartement de fond en comble . J'étais en train de mettre le linge à sécher quand j'entendis la porte d'entrée.

« Pascal »

« Oui, j'arrive »

Quand j'arrivais dans le salon, Carole avait posé de grands sacs en papier par terre et retirait son manteau Elle jeta un regard brillant sur moi. Elle était rouge et une mèche de ses cheveux était collée sur son front par la sueur.

« Pfff, quelle chaleur dans ces magasins, serre-moi une bière tu veux »

Quand je revins avec le bière, elle s'était affalée dans la banquette et avait retiré ses chaussures.

« Tu as mangé à midi?»

« Non, je n'ai pas eu le temps, et puis je n'avais pas très faim »

« Tu ne devineras jamais qui j'ai rencontré »

Elle me fixait, mais elle n'attendait visiblement pas de réponse.

« Ma mère »

« Ta mère »

« Oui Je l'ai invitée à manger ce soir »

« D'accord, c'est une bonne idée. Je vais la rencontrer »

« Tu pourras t'occuper du service? »

J'étais un peu surpris qu'elle me demande ça alors que je n'avais jamais vu sa mère, mais je ne répliquai pas.

« Euh..oui, bien sur »

L'après midi se passa sans événement particulier. Je travaillais sur l'ordinateur pendant que Carole mettait la dernière touche à un projet qu'elle devait rendre le lundi.

Vers 18h 30, j'éteignis l'ordinateur et me dirigeait vers la chambre. Carole m'interpella

« Où vas-tu »

« Ben...je vais m'habiller, elle ne va pas tarder »

« Qui t'a dis de t'habiller »

Je me sentis blanchir en comprenant ce qu'elle avait dans la tête.

« Mais enfin Carole, je ne peux pas recevoir ta mère entièrement nu »

« Oh si, tu peux...et tu vas le faire »

« Non, c'est impossible »

« Écoute-moi bien Pascal, si tu te rhabilles, tu en profites pour faire tes bagages et pour partir d'ici »

Je me sentis pris au piège. Il était hors de question que je quitte Carole que j'adorais

« S'il te plaît Carole, ne me demande pas ça »

« Je ne demande rien Pascal, je te dis de le faire »

Nous nous fixâmes un instant et devant son regard brillant, je finis par baisser les yeux et malgré mon désarroi, je sentis à nouveau mon sexe gonfler.

« Allez, va préparer l'apéritif »

Je me dirigeai vers la cuisine, en proie à une totale consternation., mais content de pouvoir cacher mon incompréhensible début d'érection.

J'étais perdu. Qu'est-ce qui m'arrivait? Pourquoi laissais-je Carole gouverner ainsi ma vie sans réagir? Pourquoi me mettait-elle dans des situations si humiliantes? Et surtout, pourquoi ça m'excitait?

Je restai camouflé dans la cuisine jusqu'à ce que la sonnette de la porte d'entré résonna. J'entendis la voix de Madame Leroy qui rentrais en faisant la bise à sa fille. Je savais qu'il fallait que je sorte, que j'aille lui dire bonjour, mais je n'osais pas. Quelques minutes plus tard, Carole vint me chercher. Elle m'embrassa à pleine bouche, insérant sa langue comme à son habitude tandis que de la main, elle me masturbait. Immédiatement, je rentrai en érection. Satisfaite de son travail, elle s'écarta de moi et dit à voix haute.

« Bon Pascal, tu amènes l'apéritif »

Puis elle quitta la cuisine.

J'étais terrorisé. Je temporisais un instant, espérant faire retomber mon érection mais c'était peine perdue. En fait, plus j'essayais, plus je bandais. Des larmes dans les yeux, je me résolus. Je pris le plateau et rentrai dans le salon, totalement nu et arborant une érection totale. Madame Leroy était une divorcée d'une cinquantaine d'année. Un peu ronde sans être grosse pour autant.Je n'osai pas regarder son visage pour ne pas voir ses yeux. Elle éclata d'un rire de gorge.

« Eh bien, mon gendre, je vois que tu es content de me voir »

Je crois que je n'avais jamais eu aussi honte de ma vie..

Je posai le plateau sur la table basse. Je me tins là un instant, la tête basse, sentant à la chaleur de mes joues que je devais être rouge comme une tomate.

« Eh bien Pascal, tu ne dis pas bonjour à maman »

J'étais passé dans une sorte d'état second . Je relevais la tête, voyant pour la première fois le visage de ma belle-mère. Elle était brune, cheveux courts, les yeux marron brillants, un nez peut être un peu long, des lèvres charnues. Elle n'était pas belle, à proprement parler, mais elle dégageait un 'je ne sais quoi' d'attirant.

« Bonjour Madame Leroy »

« Tu ne vas pas lui faire la bise? »

Incapable maintenant de réfléchir, je m'approchais d'elle. Elle ne fit pas un geste pour m'aider et je dus me pencher pour lui faire une bise sur les joues.

Je m'aperçus alors que, pendant que j'étais réfugié dans la cuisine, Carole avait mis la table. Il n'y avait que deux assiettes et je compris immédiatement ce que ça voulait dire. Je dois avouer que bien que je ressentis l'humiliation de la situation, j'étais un peu soulagé de ne pas à avoir à manger nu, avec ma belle mère.

Carole avait un grand sourire et paraissait s'amuser beaucoup. Je leur servit leur apéritif et me servit une bonne dose de bourbon pour essayer de me détendre un peu. J'allais m'asseoir dans un fauteuil quand Carole m'arrêta.

« Non Pascal, viens t'asseoir là »

Elle montrait le sol à ses pieds. Dans l'état de confusion dans lequel j'étais, je ne réfléchis pas et m'assis docilement sur la moquette. J'aperçus du coin de l'œil le regard goguenard de ma belle mère. Pour ne rien arranger, mon érection ne faiblissait pas et je sentais la pression de ma verge contre mon ventre. Les deux femmes discutèrent de choses et d'autres comme si de rien n'étaient tout en sirotant leur apéritif. Moi, j'étais dans un état de choc, inerte, ne pensant à rien, absorbant par moment une gorgée de bourbon. N'étant pas habitué à l'alcool, je me sentais légèrement gris et ça me faisait du bien.

À un moment, Carole me demanda de les resservir. En me relevant, je pris conscience que j'avais fini enfin par presque débander. Après avoir resservit un verre à chacun, je vins me rasseoir par terre à ses pieds. À peine étais-je que Carole, retirant une chaussure, passa doucement son pied sur mon sexe. Le contact rêche du nylon de son bas était vaguement irritant, mais la chaleur de son pied ne tarda pas à me faire bander à nouveau. Elle faisait ça tout en discutant et ma belle-mère ne pouvait s'apercevoir de ce qui se passait, caché par la table basse. Le frottement de son pied commençait à devenir vraiment agréable et je sentais le plaisir monter en moi. Je luttais pour retarder la jouissance. Il était impossible que je jouisse comme ça sur les pieds de ma femme devant sa mère. Au moment précis où je sus que je ne pourrais plus me retenir, elle retira son pied. Pendant un instant, je crus que c'était trop tard, je sentais ma verge tressauter, j'étais à l'extrême bord de la jouissance...et puis cela passa et je me retrouvais là, la tête sur mes mains. Madame Leroy s'aperçut de mon malaise.

« Pascal, ça ne va pas »

Elle me regardait avec un air vraiment inquiet. Le souffle court après ce presque orgasme, j'essayais de me composer un air détendu.

« Si, si ça va »

Carole rompit cette situation embarrassante en se levant brusquement.

« Bon, allez, on passe à table »

Les deux femmes s'approchèrent de la table et ma belle-mère s'aperçut des deux assiettes.

« Pascal ne mange pas? »

« Non, il a déjà mangé»

C'était faux, je n'avais rien mangé depuis le matin et je commençais à avoir faim. Je me relevais avec la tête qui tournait. J'étais à nouveau en pleine érection, ce qui ne leur échappa pas, mais elles ne firent aucune remarque. Après mes deux verres, je me sentais un peu saoul et la honte continuelle que je ressentais s'était un peu atténuée.

Le repas se passa comme dans un rêve. Je faisais le service, me tenant debout auprès de la table, resservant les verres quand ils étaient vides, débarrassant les assiettes et apportant les plats. Ma nudité était devenue presque naturelle. Elles ne s'intéressaient plus à moi, discutant entre elles comme elles l'auraient fait au restaurant. Après le dîner, elles prirent le café dans le salon, moi à nouveau assis aux pieds de ma femme.

Puis, Madame Leroy partit, faisant la bise à sa fille et me saluant d'un geste de la main.Une fois seule, Carole me fixa.

« C'était très bien Pascal, je te remercie »

Je ne savais pas quoi répondre et elle n'attendait pas de réponse.

« Bon allez, on va se coucher »

J'étais trop brisé émotionnellement pour envisager de faire l'amour et ce n'était pas non plus son intention. Nous nous endormîmes, dans les bras lune de l'autre et pour la première fois, elle me susurra à l'oreille

« Je t'aime »

Le plaisir que j'éprouvais à cette déclaration effaça d'un coup l'enfer que j'avais vécu durant cette soirée

À partir de cette date, il fut convenu que je reste nu quand j'étais à la maison le week-end.

Au lit, Carole insistait de plus en plus fréquemment pour que je la fasse jouir avec ma langue mais était moins disposée à me laisser la pénétrer et je me retrouvais souvent, excité comme un fou tandis qu'elle se retournait pour s'endormir.

Au début, j'essayais de m'endormir également, mais mon excitation rendait cela difficile. Et puis, je pris l'habitude de me masturber pour faire tomber ma tension. Se masturber auprès de sa femme endormie, imprégné de l'odeur et du goût de sa chatte, le visage collant de sa mouille, peut paraître bizarre, mais je m'aperçus que j'en tirai une sorte de plaisir masochiste.

Ma mère et Madame Leroy vinrent manger plusieurs fois à la maison. Carole les invitaient un soir de semaine et tout se passait absolument normalement,. J'étais habillé et je mangeais avec elles, même s'il était évident maintenant que c'est moi qui faisais le service. La première fois que je revis Madame Leroy, je fus un peu intimidé, mais elle ne fit aucune allusion à ce qui c'était passé La connaissant un peu mieux, je découvris une femme intelligente, cordiale...et très proche de sa fille.

La vie semblait être redevenue parfaitement normale, si ce n'est que je passais le week-end nu, week-ends durant lesquels Carole prenait un malin plaisir à me faire bander, et parfois à m'amener au bord de la jouissance sans jamais aller plus loin. Je m'apercevais qu'elle prenait un malin plaisir à m'amener au bord de la jouissance. Elle avait une sorte de génie pour savoir l'instant précis ou il fallait qu'elle arrête et nous regardions tous les deux mon sexe tressauter, au bord ultime de du plaisir sans que l'explosion libératrice ne se produise.

Elle s'était procuré, je ne sais comment, un cock-ring constitué d'une sorte de menotte épaisse en d'acier qu'elle serrait derrière mes testicules. Avec ce cock-ring en place, une fois que je rentrais en érection, j'y restais pendant des heures, jusqu'à ce que ça devienne douloureux et que je la supplie de me l'enlever. Et , bien sûr, elle profitait de mon érection continuelle pour m'amener au bord de la jouissance à de multiples reprises, me laissant en sueur, avec une seule idée dans la tête : jouir. Il est clair que ces soirs-là, j'attendais avec impatience qu'elle s'endorme pour me masturber et jouir enfin.

Notre vie sexuelle était sans doute inhabituelle. Je lui donnais tout le plaisir qu'elle me demandait tandis que, de plus en plus, elle restreignait le mien. Petit à petit, nous avions trouvé une harmonie dans cette relation déséquilibrée. Je me rendais compte au fil du temps de ma part de masochisme...et de sa part de sadisme.

À côté de cela, il arrivait très souvent que nous nous embrassions, que nous nous caressions tendrement, que nous nous endormions dans les bras l'un de l'autre. Je savais qu'elle m'aimait et moi, je ne pouvais pas envisager la vie sans elle.

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