Madame Parain Ch. 01

Informations sur Récit
Mes aventures avec la mère de mon meilleur ami.
3.5k mots
4.2
30k
4

Partie 1 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 07/30/2019
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Je me présente : Dominique! Et j'ai 42 ans. J'habite une petite ville dans l'ouest de la France. Je n'ai pas eu beaucoup d'aventures dans ma vie mais j'ai fait de très belles rencontres qui, à mes yeux, sont vraiment exceptionnelles, hors du commun. J'aime les femmes. Toutes! Je veux dire qu'il y a de la beauté en chacune d'elle et que les mannequins sont à mes yeux les plus fades et les moins attirantes. Je n'ai rien d'un pervers! Non. Je suis un passionné et j'aime le cul!

Voici le récit d'une de ces belles rencontres...

Chaque fois que je passais voir ma mère, je croisais la mère d'un pote... Elle habitait la cage d'à côté et me faisait toujours la bise... Elle me connaissait depuis plus de 25 ans et nous prenions souvent le temps de discuter, de tout et de rien... Je la faisais rire par mes jugements à l'emporte-pièce ou ma vision des travers des habitants du quartier... Elle était très tactile et me prenait toujours le bras ou la main quand nous parlions... Quand elle ne me couvrait pas de bisous! Mais cela me semblait normal puisqu'elle m'avait quasiment vu grandir ou venir chez elle régulièrement... Elle m'appelait son rayon de soleil! Elle ne sortait que pour faire les courses et passait le plus clair de son temps seule dans son appartement. Elle n'avait pas de contacts non plus avec les voisins, ma mère mise à part... dans les cités d'aujourd'hui, les gens vont et viennent sans que vous ne les rencontriez jamais! Les anciens se comptaient sur les doigts d'une main et nombre d'appartements avaient été rachetés par des propriétaires avides de faire du fric et transformant donc la moindre pièce habitable en chambre pour étudiant qu'ils louaient à prix d'or! Madame Parain n'avait rien de bandant à mes yeux... Je sais que le fantasme de la « mère du meilleur ami », de la MILF est assez répandu, mais je ne l'ai jamais regardée comme un objet de désir... Pas l'ombre d'une pensée impure pour elle... jamais une branlette... rien! C'était juste la mère d'un vieux pote et une dame super gentille... Enfin, jusqu'à ce jour à l'origine de mon récit, jour où je l'ai croisée, comme d'habitude, sur ce parking de l'immeuble où elle et ma mère résident. Elle avait les bras chargés de sacs de courses qu'elles venaient de faire... Son fils ne l'accompagnait jamais, pas plus que son mari d'ailleurs. C'était une femme comme on en fait plus, dévouée corps et âme à son foyer, le parfait bon petit soldat dont tout le monde abuse en trouvant ça normal... Une brave femme... avec ce que cela implique de péjoratif dans l'esprit des gens quand on évoque ce genre de personnage... le simplet du village! Naïf... inoffensif...

Ce jour là elle m'a demandé de monter chez elle pour jeter un œil à sa télé qui déconnait... Aldo, son fils et mon pote donc, était en Suisse pour la semaine et son mari en ville... Aldo, bien qu'ayant 40 ans, vivait toujours chez ses parents... Il n'avait jamais travaillé plus de 2 semaines d'affilée (et probablement pas plus de 6 mois dans toute sa vie...). Il vivait d'expédients, de petits trafics... Quand à son mari, il partait tôt le matin et rentrait fin bourré à la nuit tombée... Je l'ai donc aidée, portant ses sacs de courses jusqu'à son appartement au 5ème étage.

« - Oh Domi... comme je suis contente de t'avoir croisé aujourd'hui...

- Je vous laisserai mon numéro de portable au cas où... C'est vrai que quand Aldo n'est pas là, c'est compliqué pour vous... Allez! Encore un étage et on y est!

- Hihihi! Oui! Tu ne m'as même pas laissé un seul sac à porter...

- Vous plaisantez? Je peux bien faire ça pour vous, madame... Je le fais pour ma mère alors... Ah! Enfin! C'est pas que c'est lourd mais le 5ème... c'est haut!

- Hihihihi! (elle tourne la clé dans la serrure et ouvre la porte de son appartement) Viens, entre... On va tout poser à la cuisine... »

Une fois les sacs déposés, elle m'invite à la suivre dans le salon et tombe la veste en chemin... Je suis derrière elle et la suit dans le salon... Elle pose sa veste sur un des fauteuils près de la fenêtre et se retourne vers moi... Et là, j'ai un choc! Je n'avais jamais fais attention auparavant mais depuis qu'elle me fait face, je n'arrive pas à décrocher mon regard de sa poitrine... Elle porte un pull blanc, très fin et très léger, dont le textile colle irrésistiblement à sa poitrine et aux petits bourrelets sur ses hanches... elle n'a de cesse de tirer dessus pour éviter ce désagrément mais malgré cela, le pull moule immanquablement ses formes...

Je n'avais jamais remarqué qu'elle avait de si gros seins... Avec l'âge, ils semblaient peser lourdement sur le ventre, mais quand même... Elle ne payait pas de mine la mère Parain... petite, un peu boulotte... des hanches très larges et un cul digne d'une mama black qu'elle cachait sous des jupes larges et longues... Un look de bonne sœur et le visage aussi! Des cheveux courts, les traits fins, un nez pointu sous ses lunettes de vue... la peau blanche, comme jamais exposée au soleil, des lèvres fines et de superbes yeux bleus dont son fils avait hérité... On lisait dans ses traits la gentillesse et la douceur qui la caractérisaient... Chaque fois qu'elle passe devant moi dans le salon où trône la télé, je la reluque tel un obsédé...

Madame Parain avait l'âge de ma mère à présent... 70 ans... mais je n'avais jamais prêté attention à ses formes... peut-être était-ce à cause de ce pull... j'avais beau essayé de me concentrer, je ne voyais que ses gros lolos... Si quelque chose devait arriver entre elle et moi, son âge ne me poserait aucun problème! Les femmes de plus de 60 ans aujourd'hui ont des corps très bien entretenus! Beaucoup d'entre elles restent d'ailleurs actives sexuellement bien au-delà de 70 ans! Moi, je n'ai jamais été attiré par les femmes de mon âge, même quand j'étais adolescent... Les femmes de ma vie avaient généralement de 10 à 15 ans de plus que moi... Ce n'est pas un critère que je recherchais mais cela s'est toujours trouvé comme ça au final... J'aime les femmes qui ont du vécu... j'aime les rides... les cicatrices... les corps qui ont une histoire à raconter... Mais revenons au récit!

J'ai vite repéré le problème avec sa télé et j'ai simplement redémarré la Box après avoir rebranché un câble qui s'était détaché entre la Box et la TV... Madame Parain n'arrêtait pas de tourner autour de moi... et chaque fois, je matais ce pull diablement indiscret collant à sa poitrine... Enfin, je regardais plus la poitrine que le pull, vous m'avez compris! Je pouvais même distinguer les broderies de son soutif... et les tétons aussi à présent qui pointaient sous le soutif! Car elle n'arrêtait pas de s'activer, dans tous les sens, comme une abeille dans sa ruche, déplaçant ceci... rangeant cela... époussetant par ici, donnant un coup de chiffon par là... Bref! Ce vêtement coquin et mon imagination firent le reste... Je me suis mis à bander!

J'allume la télé pour vérifier que tout fonctionnait correctement, zappant de chaîne en chaîne... J'ai un message à l'écran me demandant d'entrer un code avant de poursuivre... Je ne lis pas plus que ça et machinalement je lui demande si elle a reçu des codes d'accès de son fournisseur Internet et TV lors de son abonnement...

« - Oh le Dédé (son mari se prénommait André) a noté ce code là... Tiens! »

Elle me tend un carnet qu'elle a sorti du meuble sous la télé et l'ouvre à la première page.

« - Il m'a dit de ne surtout pas le perdre! Je crois que c'est quand on allume la box... pour les chaînes du satellite... ou je ne sais pas quoi...

- OK! Je vais essayé on verra bien...

- Oh mon Domi... heureusement que je t'ai pour m'aider de temps en temps! »

Elle prend mon visage entre ses mains et me donne de gros bisous bien appuyés. Le dernier se fait au coin de mes lèvres parce que je me surprends à me tourner vers elle avec l'idée saugrenue que je lui roulerais bien une pelle! En plus, je sens ses 2 lolos venir s'écraser et frotter contre mon bras... Résultat : le sang afflue un peu plus dans mon bas ventre et je me mets à bander sérieusement à présent! Je porte un survêtement aujourd'hui! Riche idée... moi qui n'en porte quasiment jamais! La mère de mon pote a beau être myope comme une taupe, la bosse qui se forme à mon entrejambe devient difficile à cacher!

J'entre le code qu'elle m'a donné et là, nouveau choc! L'écran contenant le message disparaît et à la place, un film porno s'affiche! Une chaîne à laquelle son mari est abonné probablement... une de ces chaînes payantes avec code parental... Le vieux devait se taper du porno le soir en douce quand il rentrait, pendant que bobonne dormait, j'imagine... Bref! Je veux changer de chaîne immédiatement bien entendu... mais impossible! La télécommande ne répond plus! A l'écran, l'actrice suce la grosse bite de l'acteur... Je suis dans un état... Je ne vous dis même pas!

« - Je... euh... oh! Pardon... ah merde!!!! La télécommande ne marche pas madame Parain!!! »

Je bégaye, je rougis et me précipite sur la télé pour l'éteindre, mais panique à bord! Je ne trouve aucun bouton en façade ni sur le côté... Ils avaient une télé super design dont 99% des fonctions n'étaient accessibles que par la télécommande... Quand au bouton d'arrêt... Madame Parain n'en a aucune idée... Je n'ose même pas la regarder d'ailleurs... c'est atroce. Les images et les scènes X continuent de défiler. Par chance le volume est assez bas et ne risque donc pas d'attirer l'attention des voisins...

« - Hahaha! Et bien... Je n'avais jamais regardé cette chaîne! » Riait-elle.

Je lui demande si elle a des piles de rechange pour la télécommande mais non... Le film se déroule tranquillement et à l'écran on voit maintenant une nana avec de supers gros nichons est en train de se doigter tout en gouinant une autre actrice.... J'ai beau être gêné, je continue de bander... et madame Parain avec ses réflexions m'excite encore plus...

« - Jolies filles, non? Oh mais dites donc! Elle en fait des choses avec un doigt! Hihihihi!! Oh mais qu'est-ce qu'elle cherche avec sa langue, sa copine?? Hihihi!! Elle a du perdre une bague sa copine quand elle avait son doigt à cet endroit!! Hihihihi!! Tu as déjà regardé ce genre de films Dominique?

- Euh... je... oui... mais jamais avec la mère d'un copain, je vous avouerai! Mais oui, ça m'est arrivé...

- Oh moi je suis une vieille peau maintenant... Je n'excite plus grand monde à mon âge, Hahaha!

- Pourquoi vous dites ça? Et puis ça c'est ce que vous croyez!»

Pour accompagner ma réponse, piqué par je ne sais quelle mouche et dans un moment de folie, j'ai pris sa main que j'ai posée sur la bosse de mon survêtement... Elle a sursauté mais n'a pas retiré sa main...

« - Dominique... mais qu'est-ce que...

- Madame Parain... Je... je n'ai pas pu m'en empêcher... vous voyez que vous pouvez encore faire de l'effet...

- Mais.... Je... Oh Dominique!! Nous... tu... mais...»

Je gardai ma main sur la sienne et lui imprimai un léger mouvement de haut en bas, lui faisant ainsi caresser mon chibre si dur... elle restait là, immobile, bredouillant mon prénom d'une voix tremblante, son regard allant de mes yeux à mon bas ventre, de la bosse sous ses doigts fins à mes yeux, avant de finalement se poser définitivement sur cette partie de mon anatomie que je lui faisais tâter...

« - Oh Dominique... je... tu... c'est gros...

- D'une taille normal (riais-je) ce sont vos mains qui sont petites, c'est pour ça!

- Hihihihi! Oh non... ce que je sens est bien plus gros que celle à mon Dédé... c'est le film qui te fait cet effet là?

- Je vous jure que non madame Parain... j'ai commencé à bander quand vous avez enlevé votre veste...

- Mais... ma... (elle a toujours les yeux posés sur l'endroit qu'elle masse) Domi... ma veste? Pourquoi? »

Deuxième piqûre de la mouche folle sans doute, et voilà que je lâche sa main et la pose sur ses seins que je commence à peloter doucement... Je découvre après tant d'années qu'elle a une sacrée paire de nichons, la mère d'Aldo!

« - Vous avez des seins magnifiques, madame...

- Mais! Ouh la la... je... mais tu... Domi...

- Oui... comme vous dites! Comme ils sont lourds...

- Domi... Bon sang!

- Chut... détendez-vous...

- Détendez-vous, détendez-vous... Mais c'est qu'on ne m'a pas remué les seins comme ça depuis tellement d'années... »

Nous restons dans cette position ce qui me semble être une éternité, la télé diffusant ce porno et nous deux debout devant l'écran, côte à côte, elle me caressant le bas ventre et moi prenant la mesure de sa poitrine en la malaxant sous ma paume... Sa main est restée sur ma queue et je constate que bien que rien ne l'y oblige - puisque ma main qui bloquait la sienne est à présent sur ses nichons - elle continue de me caresser doucement... Je glisse sous son pull et remonte vers les 2 boules si généreuses... Elle suit du regard la progression de ma main puis revient à mes yeux...

« - Ouille ouille ouille!! Dominique!! Oh la la... Domi!!! Il ne faut pas...

- Je bande trop madame Parain... Vous le sentez bien, non?

- Euh je... Pffiou! Mais... Oh oui!! Tu... elle est... très... très dure là...

- Je vais dégrafer votre soutien-gorge, madame... je veux sentir vos seins dans mes mains... ils ont l'air si gros...

- Ah bon? Tu... tu veux...? Oh euh oui... ils tombent un peu maintenant tu sais... je n'ai plus 20 ans...

- Je n'aime pas les filles de 20 ans...

- Oh Domi...

- Chut... »

Je dégrafe le soutif qui est un modèle sans bretelles si bien que je peux le lui retirer complètement, d'un geste, bien qu'elle garde le pull sur elle... Ses seins sont si lourds... je les soupèse encore dans mes paumes et frotte lentement les tétons avec le pouce... Ils grossissent immédiatement... Elle soupire...

« - Ouuhhh...

- J'adore vos seins...

- Domi... quelqu'un pourrait rentrer...

- Qui ça? Pas de danger! Aldo est absent pour la semaine! Et votre mari...

- Tu les aimes à ce point?

- Qui donc?

- Mes seins!!! Hihihihi!

- Oh! Euh... Oh oui!! Pardon... Je suis sous le charme, madame Parain... Vous avez des yeux magnifiques... Et la peau si douce...

- Hihihi! Tu me fais rire! Mes yeux, vraiment? Hihihihi! Oh Dominique... Pour ma peau j'utilise une crème tous les jours... Elle est efficace alors? Je ne savais pas trop... tu sais, le ressenti qu'on a est parfois différent de la réalité... Et mes yeux... (elle regarde ses seins rouler sous mes mains)... mes yeux oui... Oh! Je les tiens de ma mère qui avait les mêmes... blablabla... »

Les minutes passent et sa main masse toujours ma verge de plus en plus dure... Elle me regarde et sourit ... Et elle parle... bon sang qu'elle parle! De tout et de rien... Elle semble heureuse de l'attention que je lui porte et de ma présence à ses côtés, rompant ainsi avec cette solitude quotidienne qui est la sienne... le désintérêt des siens...

J'ai lancé son soutien-gorge sur le canapé après l'avoir retiré ; je soulève son pull, et découvre sa poitrine... ses seins sont vraiment gros... je n'en reviens pas... Deux énormes poires avec de larges aréoles rose pâle et au milieu, les plus gros tétons que j'ai jamais vu! Ils culminent à 2 centimètres minimum au-dessus des aréoles... certes sa poitrine tombe un peu mais pas autant qu'on pourrait le penser... J'ai fini par plaquer les 2 mains sur ces prodigieux nichon et je les pétris sans ménagement pendant qu'elle me branle doucement... mais le pull retombe et je dois sans cesse le relever pour continuer de profiter de la vision si excitante de ses bons gros lolos!

« - Madame Parain, vous ne voulez pas relever votre pull et le tenir pour moi?

- Hein? Oh euh... mais je... oui... si tu veux...»

Elle allait utiliser la main qui me branle mais je l'arrête...

« - Non! Avec l'autre main... s'il vous plaît... celle-ci est occupée et bien occupée...

- (elle rougit et semble hébétée... ma demande la ramène à la réalité de l'instant) Oh Domi... mais qu'est-ce que je fais? Je... si Aldo savait ça il deviendrait fou... tu sais comment il est...

- Aldo n'en saura rien! Comment le pourrait-il d'ailleurs? Il n'y a que vous et moi ici... Nous ne faisons rien de grave... Et puis ça fait quand même 5 minutes que vous me caressez la verge pendant que je vous tripote les nichons au cas ou vous n'auriez pas remarqué!! Allez! Le pull... Je peux le faire moi-même mais ça m'exciterait plus si ça venait de vous...

- Je...

- Chut... le pull... s'il vous plaît... pour me remercier de vous avoir aidé...

- Je...

- Le pull... »

Et lentement elle soulève son pull et le maintient relevé sous le menton... Je m'approche, bouche ouverte, je prends un téton entre mes lèvres et enroule ma langue autour... je le suce, le lèche, l'aspire et passe à l'autre... sa respiration devient plus forte et s'accélère... je poursuis mes léchouilles et mes succions tout en la regardant... elle est rouge de honte mais il y a cette lumière dans ses yeux qui fait qu'elle me branle toujours et qu'elle tient son pull relevé pour moi... son souffle devient gémissement quand je mordille délicatement ses gros mamelons.

« - Mmmmm... Dominique... il ne faut pas... »

Elle lâche le pull et sa main vient sur ma tête... elle voudrait la tirer en arrière mais non, ce n'est pas cette volonté qui l'anime...

« - Je ne pourrai plus m'arrêter, madame Parain... Vous me connaissez depuis longtemps... Je ne suis pas un tordu ou un mec qui pense à mal... Je n'ai pas l'intention d'abuser de vous et jusque là vous ne m'avez pas repoussé... Je ne comprends rien à ce qui se passe mais ça se passe... Je bande comme un fou madame... je me fouts de savoir que vous êtes la mère de mon meilleur pote! Je me fouts de la différence d'âge! Je vous trouve magnifique... attirante... votre mari est un con de vous délaisser comme il le fait! Vous trimez comme une chienne toute la journée alors je crois que vous avez droit à un peu de bonheur vous aussi! Je ne vous demande pas grand-chose au fond... juste de profiter de ce moment... Votre vie n'en sera pas bouleversée! Mais pour une fois depuis bien trop longtemps, vous aurez été traitée comme vous devriez l'être jour après jour! Avec amour, avec tendresse... en vous offrant un peu de plaisir pour vous remercier d'être la femme exceptionnelle que vous êtes... Vous n'êtes pas encore morte, vous savez! J'aime ce que mes mains caressent... J'aime ce que vous provoquez en moi aujourd'hui... J'ai envie de vous madame... laissez-moi vous aimer quelques heures... et après vous pourrez reprendre ce que vous considérez être le cours normal de votre vie...

- Dominique... »

Après deux petites secondes d'hésitation, ses doigts s'enfoncent dans mes cheveux... elle a les yeux qui brillent tandis qu'elle approche son visage du mien... elle a retiré sa main de ma verge pour prendre mon visage dans ses mains... et elle commence... elle me donne un premier bisou sur le front... puis un autre un peu plus haut... puis elle baise ma tempe gauche, et la droite... un bisou pour chaque paupière, et chaque joue... elle accélère le rythme et soudain les bisous pleuvent sur mon visage! Ses lèvres disent son bonheur en répétant mon prénom chaque fois qu'elles quittent ma peau... elle respire vite, très vite... sa voix se hachure...

« - Dominique... j'en tremble....

- N'ayez pas peur... laissez-vous aller et profitez de ce moment... nous ne faisons rien de mal encore une fois... nous échangeons juste un peu de bonheur entre adultes... Personne n'en saura jamais rien... il n'y a que vous et il n'y a que moi... le monde n'existe pas... »

Je l'amène à s'asseoir sur son canapé juste derrière nous... nous nous regardons longuement, puis nos visages se rapprochent et nos lèvres se collent... nos bouches s'entrouvrent, cédant l'une à l'autre. Je lui offre ma langue et elle m'offre la sienne... nos souffles se mélangent et l'excitation gagne... nos langues s'enroulent et nos mains se joignent... elle arrête un instant, un très court instant, juste le temps de passer sous son pull, une de mes mains qu'elle tient. Elle la pose sur un sein et tout en revenant à mes lèvres, elle dit :

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