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- oui! il faut bien qu'on rentabilise ton cul de putain mais avoue que tout le plaisir est pour toi pendant que tu te fais sauter -
- oui monsieur mais mon plaisir est limité car vous ne voulez pas que je jouisse avec les clients -
- une putain donne du plaisir mais n'en prend pas, une jouissance te vaudra toujours une punition -
- je le sais monsieur et j'accepte les punitions car je sais que je ne peux pas toujours me retenir -
- c'est bien tu as compris ce que veut dire le mot obéissance. Je te laisse, j'ai du travail moi pas comme toi qui ne penses qu'à prendre du bon temps avec ton cul -
Manon n'a pas le temps de répondre car l'homme a coupé la communication.
Manon achète un sandwich et une boisson, elle retourne chez elle pour prendre un bain puis elle se maquille beaucoup car elle a le visage défraichi à cause de la fatigue. Aujourd'hui en se regardant dans un miroir elle a conscience de ressembler à une vieille prostituée qui cache son visage ravagé par les longues années de trottoir avec une grosse couche de maquillage.
Elle préfèrerait s'allonger et dormir plutôt qu'obéir aux ordres et aller tapiner.
Mais comme d'habitude, consciente d'être allée trop loin et de ne plus pouvoir se rebeller sans faire de dégâts irréparables dans sa vie de couple, elle se sent prise au piège et ne se sent pas capable de dire non aux deux proxénètes qui la prostituent et lui font faire tout ce qu'ils veulent.
Après avoir mis des préservatifs et des mouchoirs en papier dans son sac à main elle monte dans sa voiture et s'en va gagner les six cents euros qu'elle donnera à ses souteneurs.
Très lasse et pour une fois elle est décidée à abréger le temps qu'elle va passer à tapiner en proposant à ses clients de la sodomiser contre un tarif de cent euros.
Elle ne cherche plus à discuter les ordres, résignée mais se demande souvent si un jour elle arrivera à se sortir des griffes de ses souteneurs, elle fait ce qu'ils lui demandent en essayant d'être professionnelle car elle craint les représailles.
Arrivée sur son lieu de travail habituel elle se gare dans un chemin forestier à l'abri des regards puis dispose ses fournitures au pied d'un arbre là où elle va recevoir ses clients.
Elle se positionne en bordure de la route bien en vue des voitures qui passent.
Rapidement des automobilistes s'arrêtent, elle enchaîne les pipes et se fait pénétrer plusieurs fois en levrette.
Elle explique à ceux qui voient des marques de coups sur ses cuisses et se fesses qu'elle est sous la coupe de proxénètes et qu'ils la battent quand ils ne sont pas content de son travail.
Très lasse, pour une fois elle est décidée à abréger le temps qu'elle va passer à tapiner afin de retrouver le plus rapidement possible son lit. Pour cela elle fait des propositions aux clients.
Une pipe plus une pénétration de sa chatte avec éjaculation à chaque fois pour quatre vingt euros, ce que deux hommes acceptent.
Elle va même jusqu'à dire qu'elle accepte d'être sodomisée pour cent euros, les clients sont souvent rebutés par le prix mais un quidam qui rêve de cette pénétration accepte.
Ainsi elle quitte l'endroit où elle tapine plutôt que d'habitude et retourne chez elle, elle se couche aussitôt arrivée et s'endort rapidement.
