Mari Soumis, Femme Sodomisée

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Es-tu sûr de le vouloir?
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« Es-tu sûr de le vouloir? »

« Oui ma chérie, si tu le veux, alors nous ferons selon ton plaisir »

Madame Jones se tourne alors vers son mari et sans autre ménagement lui applique deux violentes gifles, une pour chaque côté de son visage.

« Garde-toi de m'appeler ma chérie quand il sera là, sale chien. D'ailleurs, ça me fait penser à te faire garder silencieux. Et on va faire ça tout de suite. Va t'asseoir sur la Chaise. »

Comme son mari et esclave soumis va s'asseoir sur la Chaise, Madame Jones va chercher son matériel. Dès qu'il est assis, elle prend le bâillon et le lui attache. Ensuite elle menotte ses poignées aux pieds de la chaise en fer. La Chaise est une solide chaise en fer avec 4 pieds et vissée et soudée au sol, donc totalement immobile. Par ailleurs, cette chaise spéciale n'avait pas de véritable siège, mais plutôt quatre barre en fer aussi sur laquelle la personne pouvait s'asseoir. En 10 minutes, son mari était fermement attaché à la Chaise et nu comme un ver.

« Je vais m'habiller ».

Trente minutes après, elle sortir de sa salle de bains portant des bottes noires à talons hauts, à bouts pointus et montant jusqu'aux genoux, une jupe longue en cuir et un décolleté moulant et plongeant.

« On a encore quelques minutes devant nous ». Elle vient derrière lui, caresse son torse et descend sa main sur son ventre. Sa queue commence alors à durcir. Avec l'autre main, elle lui griffe le dos avec ses ongles longs peints en rouge vif. Saisissant sa queue, maintenant plus dure, elle commence lentement à masturber les 17 centimètres de chair. « J'adore la voir comme ça tu sais? Bien dure, bien raide, bien prête. Mais elle ne te servira à rien ce soir ».

A ce moment on sonne à la porte. Madame Jones revient à sa commode et prend la cagoule. Elle la lui passe sur la tête le laissant complètement aveuglé, car la cagoule n'avait qu'un seul trou, pour respirer. Madame Jones sort de la chambre et va ouvrir.

« Nous vous attendions Maître ».

« Oui, je visitais un peu le quartier et ai pris le temps de discuter avec ta voisine ».

« Madame Wilson? »

« Oui, Madame Wilson, charmante. Jeune veuve bourgeoise et américaine aussi, non? »

« Oui Maître »

« Tout est ok par ici? »

« Oui Maître ».

« Bien, très bien, ne perdons pas de temps. Allons-y mets toi à genoux. Et allons rejoindre ton salopard de mari ».

Arrivés dans la chambre. Patrice s'assied sur le lit. Madame Jones est à genoux devant lui. ils discutent comme ça pendant une dizaine de minutes. Le mari, assis dans la même pièce et attaché à la Chaise, écoute sa femme discuter avec un autre homme dans leur chambre. Ensuite il les entend qui s'embrassent. Il entend ses mains sur le tissu de la jupe. Madame Jones est maintenant debout et Patrice assis sur le lit. Il commence à lui caresser les jambes sous la jupe. Ses mains descendent sur ses bottes. « Jolies, très bien choisies ». Il les caresse. Ses mains remontent à nouveau ses jambes. Il commence alors à jouer avec son sexe, déjà bien humide. Un doigt rentre et en ressort lentement. Patrice lui donne ce doigt à lécher et ensuite revient sur le même sexe trempé. Commence alors un va et vient lent mais intense. Madame Jones sent ses jambes faiblir. Elle voulait attraper quelque chose mais il n'y avait rien. De plus, les 12 centimètres de ses talons aidaient à lui donner cette sensation de vertige. Lentement il la dénude complètement et sa langue commence à s'activer. D'abord sur son sexe et ensuite, aussi sur son anus.

« Oh ouiiiii, bouffez moi le cul ». Elle était maintenant debout, penchée sur son mari, la main sur sa queue, seul appui qu'elle a réussi à trouver. Cette queue justement était aussi dure qu'un bâton. « Alors ma petite pute, on aime les grosses queues? » « Oui Maître » « Et tu aimes aussi qu'on te lèche ce cul n'est-ce pas, Chloé? Il est magnifique. Ecarte-le encore ». Chloé s'écarte les fesses au maximum et Patrice y enfila deux doigts qu'il venait de tremper dans son sexe. Ses doigts exécutaient de vigoureux va et vient tout en écartant en même temps l'anus pour le préparer à la suite. Son mari écoutait tout ça, son imagination travaillait et sa queue durcissait encore plus, enserrée dans les mains de sa femme. « Lâche ça, et vient t'occuper plutôt de la mienne ». Madame Jones se remet à genoux et caresse la queue de son Maître à travers le pantalon. « Oui Maître je préfère celle-ci, qui est plus grande et plus dure aussi. Je la veux Maître. » « Alors suce-la, mais à travers le pantalon. » Ce faisant, les seins de Chloé devinrent plus durs eux aussi. Avec l'autorisation de son Maître, elle lui arrache ses vêtements, lui déchirant la chemise avec ses ongles et déboutonnant le pantalon comme une possédée. En une minute la queue de Patrice se dressait devant son visage, à quelques centimètres de ses lèvres. Elle ne voyait plus que ça, mais n'avait pas reçu l'ordre d'y toucher. Une queue noire de plus de 22 centimètres environ, pour au moins 4 de large, dure, raide, avec des nerfs bien apparents et une tête très grosse d'où dégoulinait déjà ces liqueurs un peu particulières. « S'il vous plaît Maître, laissez-moi m'en occuper. Je vous en supplie ». « Tu es bien un pute n'est-ce pas? Avide de baise, de grosses queues bien raides et surtout avide de foutre, n'est-ce pas? » « Oui Maître » « Sors ta langue et rampe comme une chienne, va jusqu'au bout et reviens et bouge bien ce cul salope ». Chloé rampe jusqu'au bout de la cambre et revient vers son Maître, sans jamais quitter sa verge des yeux. A son retour il l'ordonne de commencer à sucer, sans se presser. Au bout de quelques minutes elle s'engouffre une bonne partie de ce bâton. Elle suce comme une vraie salope, sans jamais cesser de le regarder bien dans les yeux. Elle le suce et le masturbe pendant plus d'un quart d'heure, au bout duquel elle prend un premier jet de sperme au fond de la gorge. Sachant qu'il était ok, elle avale un bonne partie de son foutre laissant le reste dégouliner sur ses lèvres, alors que ses seins avaient eux aussi été aspergés. « Va dire à ton mari ce que tu es et ce que tu veux ». Chloé se lève, va s'asseoir sur les genoux de son mari, caresse son visage avec ses seins pleins de sperme et se penche sur son oreille. « Je viens de sucer son énorme queue, elle est très grosse, j'ai bvmerais que tu vois ça. J'ai envie de m'empaler sur son bambou, j'ai envie qu'il me déchire et de devenir sa pute. Qu'il me baise violemment me déchire le cul tellement que je ne puisse pas m'asseoir pendant des jours sans que ça me fasse mal et me renvoie au souvenir de ce qui va se passer. Ma gorge est pleine de sperme, tout comme mes lèvres, mes seins et mes mains qui te branlent en ce moment. Tu vas regretter d'avoir épousé une nympho sans avoir les moyens de m'assouvir. Sa spécialité c'est la sodomie et je vais goûter à ce plaisir. Je te laisse sale con, je crois que la queue de mon Maître a besoin de chaleurs anales ».

Chloé abandonne alors son mari à ses frustrations pour se tourner vers son Maître. Elle suce encore une fois sa grosse queue, puis, se penche sur le lit. Ses talons très hauts font remonter un peu ses fesses, qui sont alors complètement ouvertes lorsqu'elle s'offre au bambou très dur qui allait la pénétrer. Alors qu'elle s'attendait à sentir son anus déchiré d'une minute à l'autre, Patrice la surprend en pénétrant doucement son minou. Très lentement, il commence à faire des va et vient, de façon à ce qu'elle sente chaque centimètre de sa queue. « Aaaaahhhhh, baise moi Maître, fais de moi ta chienne ». Et à ce moment il se met à la pilonner plus vite, en changeant plusieurs fois de position. Après une demi heure de baise intense, Patrice se retire. Sa queue était pleine des liqueurs de Chloé, qui se tortillait sur le lit en caressant ses seins. Sa queue était trempée, mais toujours aussi raide et virile. « Je ne suis qu'une salope, je veux goûter cette verge Maître, je vous en supplie ». « Non, va plutôt soulager ton mari, il est au bord de la crise » « Qu'il se débrouille Maître j'ai encore envie. Ne me laissez pas sur ma faim Maître ». Disant cela, elle se penche et commence à lécher les pieds de Patrice, qui lui enlève ses bottes et ses bas pour en faire de même. Ensuite, ils remontent l'un vers le corps de l'autre pour exécuter mutuellement un 69. Elle s'engouffre sa queue dégoulinante, tandis qu'il se penche sur son vagin mais aussi sur son anus, lui en dessous et elle au-dessus. Chloé le suce comme une sangsue pendant que sa langue la pénètre l'anus de plus en plus fond. La queue de Patrice est alors très très dure. Chloé se lève, sort du lit et lui saisit le dard. « Maitre ou pas, j'en ai envie maintenant, elle est prête et moi je brûle de désir d'etre possédée, ne me faites plus attendre par pitié ». Patrice voit bien le désir dans ses yeux, lui aussi veut son cul. Elle se retourne, masturbe la queue contre ses fesses et frottant aussi contre son vagin. « venez me défoncer Matre, faites de moi votre salope, votre chienne, votre pute. Baisez moi comme si j'étais la dernière des traînées ». Ensuite elle guide sa queue sur son anus faisant rentrer tout de suite la tête de la queue. Bientôt elle sentait chaque millimètre de cette énorme queue dans son cul. Elle était couchée sur le dos et il était devant elle, pouvant ainsi, pendant qu'il lui défonçait le cul, caresser ses seins durs et gros comme des melons. Ses jambes étaient relevées et autour de son cou. Son dos n'avait presque plus de contact avec le lit et bientôt elle s'appuyait sur son cou tandis que Patrice soulevait son corps de plus en plus haut continuant à lui enfoncer sa queue dans le cul. Comme son cou se fatiguait, ils ont changé de position : il se coucha sur le dos et elle debout sur le lit descendit lentement jusqu'à ce que la queue recommence son pilonnage. « Tu la sens cette queue? » « Oh oui défonce moi, baise moi plus fort, plus fort ». A ce moment, son mari éjacule un grand jet de sperme, tellement puissant qu'il lui arriva au visage. Au bout de quelques minute nouveau changement de position. La queue de Patrice ainsi que l'anus et le sexe de Chloé étaient trempés. Elle se couche alors sur le ventre, tandis qu'il vient se poster derrière elle. Il la pénètre à nouveau l'anus et plaque tout son poids sur elle. Pour accentuer la pression, il saisit ses hanches. Lorsqu'elle a senti qu'il allait éjaculer elle lui demande de boire son foutre : « Faites de moi une vraie salope je suis boire votre jus encore un fois ». Et elle a obtenu satisfaction. Patrice se retire d'un coup la couche sur son dos et vient lui enfoncer à nouveau toute sa raideur dans la bouche. A peine une seconde plus tard, il commence à éjaculer, en lui envoyant près de dix jets de sperme au fond de la gorge. Comme la première fois elle avale une bonne partie du sperme tandis que l'autre se répandait sur son corps souillé. Chloé se lève alors, et la bouche pleine de sperme relève la cagoule de son mari attaché, enlève son bâillon et l'embrasse avec ferveur, dans un baiser entremêlé du sperme d'un autre.

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