Mélodie, Louisiane,1997. Pt. 12-16

Informations sur Récit
Mélodie prend les choses en main..enfin presque... (FIN)
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/07/2022
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12. Agitation nocturne

Le temps passait et Mélodie ne voyait plus de fin à ces séances de prostitution a répétions au boulot. Elle était devenue l'attraction de la région, et la plupart des hommes venaient régulièrement se masturber devant elle, et lui gicler sur sa belle poitrine de rousse. Ses seins en un mois avaient doublé, pourtant elle savait qu'elle n'était pas enceinte. Tous ses vêtements la serraient, et elle était honteuse de mettre des t-shirts ultra serres qui mettaient en avant ses seins, et dont les tetons pointaient à travers le tissu fin.

Elle avait aussi des « sensations » au niveau du vagin, des secrétions blanches et ressentait aussi une envie de toucher son clitoris la nuit. Au cours de ces matinées de sexe, elle avait aussi eu du plaisir de plus en plus à voir ses hommes même moches, avec leurs queues tendues. Elle était fière de temps en temps de voir tous ces sexes dresses pour elle. Et elle avait trouvé que d'agiter son clitoris devant eux, et d'écarter les lèvres de son vagin accéléraient grandement les sessions. Certains éjaculaient en quelques secondes. Ceux qui la prenaient en bouche, mettaient peu de temps généralement.

Cependant, Gérard s'occupait bien d'elle et bien qu'il continuât à lui verser discrètement un cocktail aphrodisiaque dans son lait tous les matins, il n'en restait pas moins amical et serviable et même empathique. Mélodie redoutait que Theo trouve une nouvelle façon de la torturer et avoir son neveu de son côté pourrait être utile.

Ce soir-là, alors que Gérard la ramenait à la ferme, et après avoir eu une matinée chargée ; près de 70 hommes étaient venus, et elle avait dégusté en bouche pas moins de 50 éjaculations ; il lui proposa de faire un détour chez des copains. Il expliqua très clairement que ses amis de 18 ans et 19 ans rêvaient de mettre leurs mains sur son beau corps de rousse et que Mélodie pourrait se faire payer 50$. Ce n'était pas une fortune mais dans l'espoir de s'enfuir elle aurait un petit magot a son disposition, et puis finalement ce n'était pas si diffèrent des heures dans les toilette du bureau. Elle accepta.

Quand ils arrivèrent, Gérard lui versa les 50$ en avance, ce qui la rassura. Ils étaient chez l'un des amis de Gérard, un grand teenager de 19 ans qui semblait mener l'équipe, il s'appelait Stan. Mélodie passa devant les garçons et l'un lui toucha les fesses, elle portait un minishort et ses belles jambes cuivrées dépassaient. Un autre lui mis la main aux seins et la caressa gentiment.

« Vous êtes sept? » dit-elle un peu affolée

« Huit avec moi « dit Gérard en souriant, il tenait déjà sa queue a la main.

« Ah oui d'accord. Je m'attendais à deux ou trois mecs »

« T inquiètes pas, on va te gâter » dit l'un d'entre eux, un gars aux cheveux courts et au regard un peu menaçant.

Elle rentra dans le living room et un lit y était installé. Presque rien d'autre, tout avait été pousse vers les murs. Les jeunes avaient préparé le terrain.

« Donc les gars, pas plus de trois personnes en même temps sur Mélodie, carte libre, par contre pas dans le cul, elle est vierge » dit Gérard

« Carte libre? » dit Mélodie.

« Oui ton petit minou aussi ma chérie, on t'a payé 50$. » confirma Stan, il avait descendu son short sur ses chevilles, et exhibait une belle queue de 20cm.

L'un des garçons lui retira son t-shirt et ses seins jaillirent de leur étui, rebondissant devant des garçons ébahis.

« Wow man! quelle paire de nichons » dit l'un. Trois garçons tendirent une main rapide vers ces globes de chair si tentant. Malaxant, remuant, et testant la plasticité de ses seins. Mélodie murmura « hmmmm » et cela eut l'effet de voir le reste de la bande se rapprocher d'elle. Touchant un bout de sein, ses mèches de cheveux roux, sa taille, ses jambes, son entrejambe. L'un d'entre eux la poussa vers le lit a deux places, recouvert d'un simple drap blanc.

« Putain j'avais entendu mon père parler avec son pote de cette salope, il ne mentait pas! Quelle belle petite pute, on va la déglinguer » s'empressa de dire un blondinet. Il devait avoir juste 18 ans.

Mélodie avait du mal à contenir autant de mains pressées sur son corps, pinçant ses seins à lui faire un peu mal, mais elle sentait aussi un jus entre ses jambes se former, et lui mouiller sa culotte. Elle s'était assise sur le bord du lit, et avait attrape deux queues qu'elle branlait vivement. Un des gars était derrière elle et lui caressait son dos nu. Un autre s'était agenouille près de ses jambes écartées, et tentait de glisser un doigt entre sa cuisse et son short serre.

Les garçons s excitait visiblement, la belle rousse avait deux queues en main et suçait un troisième. A la différence des ouvriers, ils ne puaient pas, leurs glands étaient tout neufs et leurs bourses presque sans poil. Mélodie se surprit à apprécier ce moment, elle gagnait son indépendance avec ses 50$, qu'elle avait désormais dans sa poche. Le petit roux lui gicla dans la bouche sans prévenir, un sperme très épais de puceau. Elle déglutit rapidement, son estomac était devenu habitue à cette diète de sperme le matin, elle sautait d'ailleurs souvent le déjeuner, et avait remarqué qu'elle avait souvent une diarrhée a force d'avaler tout ce foutre.

« Wow ma première pipe! » déclara-t-il en riant.

Sitôt fini, une nouvelle bite plus petite se présenta à ses lèvres, et Mélodie avala l'engin sans sourciller. Elle le décalotta expertement avec sa langue et l'enroula autour du petit gland nerveux.

Les autres garçons faisaient des rotations, entre ses seins qu'ils molestaient gentiment et ses mains qu'elle branlait habilement.

« Enlèves lui son short, qu'on voit sa chatte » dit l'un deux

A deux ils tirèrent sur son short, et Mélodie se tortilla pour laisser son short descendre sur ses pieds. La petite culotte était trempée, luisante de jus vaginal, et le contour de ses lèvres intimes était très visible.

« Oh la belle chatte, regardez-moi ça »

L'un des garçons passa un doit sous l'élastique et enfonça son doigt dans la vulve légèrement dilatée de la jolie jeune femme. Trempé, et luisant. Un délice de minou.

« Elle mouille bien la petite salope, on va lui faire voir de la route »

Mélodie n'avait pas peur, oui ils étaient huit mais aucun d'entre eux n'avait une bite de compétition sauf peut-être Stan, les autres étaient des jeunes adultes, pour la plupart juste pubères. Sa culotte tomba elle aussi a ses pieds, et Mélodie se mis à quatre pattes, exposant une chatte ouverte et coulante. Autant elle n'avait pas eu de plaisir pendant la matinée, que la, elle prenait son pied à exciter ces gamins. Un des garçons se positionna derrière elle et lui lécha la chatte, en fait elle coulait tellement que cela tombait sur ses mollets dans cette position.

« Elle a un gout de mer, trop bon » dit il

Puis il approcha son engin quasiment sans poil, et la pénétra d'un coup

« Ahhhh » lança Mélodie surprise, la force de la bite lui déchira le ventre. Mais il était déjà au taquet, et elle n'eut pas d'autres inquiétudes, il ramonait avec vitesse, il faut dire que les sept autres le regardaient avec envie. Avec un sexe dans la bouche, un dans la chatte, ils la pistonnaient allègrement, sans effort, car Mélodie avait bien huilé sa mécanique. Deux autres garçons s étaient positionnes sur ses cotes, et malmenaient ses beaux seins qui pendaient, tordant et frappant gentiment ses tetons. Le sentiment d'être littéralement assaillie par ces jeunes était quelque chose qu'elle n'avait jamais ressenti. Etre au centre de tant d'attention et sentir ces corps jeunes réagir autant, c'était comme être drogue.

Au bout de cinq minutes, et presque au même moment, les deux garçons lâchèrent leur foutre, et furent remplaces promptement. Une sorte d'organisation par rotation s'est mise en place, chatte, bouche constamment occupées, mais des mains nerveuses parcouraient sans cesse son corps magnifique. Et en le faisant ces mains envoyaient des ondes érotiques a ces garçons, qu'ils convertissaient en superbe érection a leur en faire mal le pénis. L'un d'entre eux, lui gicla au visage et s en excusa, ils n'en pouvaient plus, et retenir leur éjaculation après autant d'attente n'était plus possible. Gérard jusqu' à présent s'était fait suce 10 minutes, et elle avait pris une attention particulière à le faire frémir avec sa langue devenue experte en la matière. Il la pénétra à son tour par derrière, la route était facile à suivre, une longue trainée de sperme pendait à l entre de son vagin, comme pour rappeler que tout était prêt pour une action sexuelle bien lubrifiée.

« Raahhh » lâchât-il en éclaboussant le dos de Mélodie avec de longues giclées blanches et visqueuses.

« Tu as bien joui » dit elle et elle se retourna, sur le dos, offrant une vue sur ces beaux seins, qui ballotaient de gauche à droite, comme hésitant à choisir leur côté. Au bout d'une heure, ils avaient tous eu leur premier orgasme, utilisant comme ils le voulaient le corps de la jeune femme. Mélodie sentit une baisse d'intensité, du sperme coulait de façon ininterrompue de son vagin, dont les poils avaient été épilés, ne laissant qu'une bande de poil roux au-dessus de son clitoris. Mélodie avait joui deux fois. Sa peau collait de partout. Les parois de son vagin tressaillaient et avaient de petits spasmes.

« Bien messieurs, joli travail! » dit-elle comme pour finir une transaction.

Mais c'était sans compter sur l'énergie de la jeunesse, car comme elle, ils avaient un âge similaire. Ils rechargeaient leur énergie plus vite que ces ouvrier quarantenaires ou même sexagénaires qu'elle avait eu dans les toilettes. La rotation repris, jambes écartées, ils se succédèrent dans son vagin, et se soulagèrent dans sa bouche, leur sperme devenait de plus en plus clair, comme de l'eau, ce n'était pas désagréable, mais cela commençait à la rendre un peu malade. Ils la laminaient de façon maladroite parfois, mais la deuxième rotation fut plus longue, l'érotisme diminuant, et Mélodie eut du mal et ne put jouir à nouveau, elle se sentait comme utilise comme deux trous, et voilà tout. De temps à autre, le même garçon venait lui lécher la chatte, et elle en était reconnaissante, poussant sur son ventre et expulsant des vagues de sperme que le garçon avalait. Il lui nettoyait aussi les lèvres rougies de son vagin, permettant au garçon d'après de repartir d'une belle chatte propre et accueillante.

« Il aime bien la lécher cet enfoiré » Lâcha Stan, un peu railleur.

Il était 22h, et ils étaient toujours en train de la baiser ardemment. Ils n'étaient que deux ou trois en même temps, laissant une demi-heure aux autres pour manger, boire et revenir la baiser à leur tour. L'énergie de Mélodie était au plus bas, cela faisait 4 heures qu'ils l enfilaient, leurs sexes toujours aussi durs, et leurre sperme semblait réapprovisionner leurs testicules à l'infini... Elle suça le dernier d'entre eux pendant une demi-heure, sa mâchoire lui faisait mal, le gars dormait presque. Elle put extraire une dernière giclée de lui qui tomba sur ses seins tout collants, et il s'effondra totalement. Elle aussi, épuisée. Son estomac grognait d'un bon litre de sperme. Elle sauterait son repas, pensa-t-elle.

Vers minuit Stan déclara la partie terminée. Mélodie ramassa ses habits mais n'eut pas la force de les mettre, et c'est ainsi qu'elle traversa le petit parking devant la maison et s engouffra dans la voiture de Gérard, collante, poisseuse, mais radiante.

« Du bon travail! » reconnut il en s'installant au volant du camion.

Elle s endormit et ne se réveilla qu'a la ferme, encore nue elle gravit le perron et s'effondra dans son lit. Elle avait 50$ dans la poche de son petit short, il ne lui restait plus qu'à partir, le plus tôt serait le mieux, mais tout de suite, ...dormir.

13. Sylvia

Pendant tout ce temps, Sylvia enfermée dans le sous-sol avait perdu le sens du temps. Habituée depuis des semaines à recevoir les créditeurs de la ferme, elle payait avec humiliation les dettes. Xavier l'utilisait fréquemment, et tous les jours se succédaient un grand nombre d'hommes qui ne résistaient pas à l'offre si juteuse. Certains exigeaient des punitions plus importantes et le corps de Sylvia attestait de cette violence gratuite.

Elle ne comptait plus les séances de bondage, ou elle recevait sur ses jolis seins de coups de cannes, de fouets, et a certaines occasions, juste des gifles puissantes qui la griffaient. Ses seins rougissaient, et lui faisaient mal, mais elle avait appris à encaisser le pire. Xavier finissait souvent les séances par une sodomie profonde et elle se prêtait à son jeu. Sa soumission la surprenait, mais Xavier avait réussi là où elle avait échoué. La ferme ne serait pas vendue, et ils avaient maintenant du cash pour moderniser.

Sa soumission progressive puis totale, lui avait permis d'améliorer au bout d'un mois son confort, elle dormait au pied du lit de Xavier, sur un matelas qu'il lui avait installé. En journée, elle devait constamment être nue sous sa robe courte, pas de culotte, et pas de soutien-gorge. A tout moment, elle pouvait recevoir une fessée sur ses belles fesses rondes, et Xavier ne s'en privait pas. Un doigt dans sa chatte, pour vérifier son humidité.

Xavier lui faisait aussi porter un gode anal pendant la journée, pour bien dilater son anus, et cela accélérait les séances de sodomie que beaucoup de visiteurs souhaitaient.

Sylvia ne souffrait plus du tout de ces enculages, elle les appréciait même quelques fois quand l'homme savait s'y prendre, et la ramonait gentiment par derrière, en la tenant fermement par ses seins.

Avant de s'endormir, Xavier exigeait une pipe, lentement, pour faire monter son plaisir, ensuite il la prenait soit dans le cul, soit dans la chatte, évitant les parties trop utilisées pendant la journée. Elle lui donnait le plaisir maximum, changeant complètement son comportement sexuel par rapport à sa vie « d avant ». Elle pratiquait son énéma régulièrement pour éviter les déboires rencontrés lors des premières journées de soumission. Son colon était tout propre, et régulièrement bien lubrifie, elle utilisait une huile naturelle qui sentait très bon. Cette pratique avait largement diminué l'horrible sensation d'humiliation quand elle avait dû nettoyer des queues sales après des sodomies mal préparées.

Il était 14h00 le vendredi, quand Xavier lui demanda de se préparer, il lui demanda de s'habiller comme une « dame du sud », grande robe blanche, chapeau de paille, talons hauts, et sous-vêtements, Pour une fois elle ne serait pas nue sous sa robe.

Ils partirent de la ferme en voiture, Xavier lui dit que la situation avec les ouvriers était critique car il avait refusé de leur payer le dernier mois de salaire. Xavier cherchait toujours un moyen d'économiser et il était fin négociateur. Le mécontentement était si fort que Xavier avait pensé logiquement à Sylvia pour atténuer la pression des ouvriers. Quoi de mieux qu'une dame si élégante, rousse et ravissante à baiser quand on est un ouvrier noir? Peut-être un fille plus jeune, sexy et rousse? mais c'est une autre histoire...

« Mais Xavier ces hommes sont tous noirs «

« Oui je sais mais tu as déjà touche une bite noire et tu semblais apprécier, n'est-ce pas? »

Sylvia ne se rappelait pas de la visite du semencier, elle était vaguement droguée ce jour-là. Elle sentit un tressaillement dans tout son corps la traverser, la perspective d être au contact de ces ouvriers la terrifiait. Depuis son enfance, son père lui avait toujours interdit d approcher les baraques, car la jeune demoiselle ressemblait beaucoup à Mélodie maintenant, et les hommes auraient eu du mal à se contenir.

Quand ils arrivèrent devant les baraques, une dizaine d'ouvriers chômaient au lieu de travailler dans les champs.

Sylvia avait du mal à marcher sur les graviers, et maladroitement faillit tomber, Xavier la soutenait sur son côté gauche. Cette gaucherie fit sourire certains des ouvriers, et la rendit encore plus sexy. Ils étaient très muscles, relativement jeunes, et regardaient avec appétit cette femme si sophistiquée. Xavier les salua d'un geste et poussa Sylvia gentiment à l'intérieur de la première baraque, la plus grande.

La ferme comptait près de 250 ouvriers à son maximum mais certains d'entre eux faute de revenus avaient déserté, il y avait aussi trois femmes qui faisaient la cuisine, le ménage et qui servaient souvent le soir de défouloir pour ces hommes seuls. Quand l'une suçait des bites pour 1$, l'autre se laissait enculer pour 5$. Le transfert d'argent était minime et tous vivaient dans une grande misère sociale et humaine. Le moindre $ de plus ou de moins était vital, et les hommes essayaient toujours de négocier le service de ces femmes, mal habillées, sales pour la plupart mais qui avaient gardé leur dignité. Elles pouvaient partir quand bon leur semblait, mais elles ne le faisaient pas, par peur de perdre le peu qu'elles avaient acquis si durement.

Quand Sylvia regarda autour d'elle, elle vit deux de ces femmes qui suçaient deux hommes, et d'autres hommes étaient nus, leurs sexes noirs et longs pendant entre leurs cuisses. La cabane sentait la pisse, la sueur, et le sperme.

« Comme prévenu, je vous ai amené ma femme Sylvia, en paiement de la dette du mois d'avant » dit Xavier.

Les hommes regardaient la beauté rousse, des cheveux bien laves, une peau de rêve qui sentait bon et qui contrastait tant avec les deux vilaines femmes qui suçaient avidement les queues dressées devant elles. Sylvia compta 20 hommes dans la cabane, mais elle savait que plus de 120 hommes seraient intéressé par prendre possession de son corps et l utiliseraient comme ils le voulaient.

« Donc je passerais la prendre à la fin du week-end, Dimanche soir » concluait il

« Mais Xavier ces hommes sont trop nombreux! » réclama Sylvia, soudainement réalisant l'ampleur de la tache devant elle. Elle recula d'un pas, et butant dans un homme grand et muscle, qui l entoura d'un bras.

« On va prendre soin de toi ma belle, ce sera pour toi comme un voyage, comme pour nous » lançât-il.

Les hommes rirent et Xavier prit conges, laissant Sylvia au milieu d'eux. Sa robe si légère autour d'elle, et sur ses talons hauts, elle semblait les dominer.

Les hommes se mirent à déshabiller lentement Sylvia, appréciant chaque centimètre de peau qui se dévoilait sous leurs yeux. Des mains souillées et brutes du travail des champs la parcouraient, ses seins, ses hanches, et un autre s'était accroupi pour lui toucher ses jambes longues et fines. Leur niveau d'excitation grandissait à chaque seconde et quand sa robe tomba à ses pieds, elle fit un pas pour dégager ses pieds, écartant ses jambes légèrement, et dévoilant un slip délicieux et immaculé. Le slip glissa le long de ses cuisses, tire par l'homme derrière elle, dont elle saisit le membre immense et qui se redressait rapidement. Nue, sur ses talons hauts, elle représentait tous ce qu'ils voulaient avoir : cette pureté, la couleur si pale de sa peau paraissait paradoxale au milieu de leurs corps noirs et luisant. Elle s'accroupit comme pour se mettre à sucer mais l'homme devant elle lui dit

« On t enfiler d'abord, laisses les deux autres s'occuper de ça ». L'homme derrière elle, lui écarta les cuisses et elle sentit son énorme gland fouiner sa chatte, comme pour trouver le meilleur angle d'attaque. Elle commençait à mouiller. Elle avait une queue dans chaque main, et par derrière l'homme la pénétra brutalement, sa bite était énorme. Sylvia crut s'évanouir, la chaleur dans la baraque n aidant pas. D'un côté de la pièce, les deux femmes s'activaient en cercle, passant d'un homme a un autre, et préparant les bites à envahir le vagin de Sylvia.

Le premier noir gicla sa semence sans prévenir au bout de 5mn, ils étaient habitués à aller vite en besogne. Elle resta les jambes écartées, debout, et un deuxième vint se placer au même endroit, trouvant vite le chemin de son vagin dilaté et souillé. Au bout de quelques minutes il éjacula à son tour, le sperme en abondance, dégoulinant entre ses cuisses.

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