Mes Chères Études 04

Informations sur Récit
Mon premier show et mon second client – un gros de passage.
2.6k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 03/13/2024
Créé 05/09/2013
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Rappel : je suis Charlotte, étudiante parisienne de 22ans qui n'arrive plus à joindre les deux bouts. Pour résoudre mes problèmes d'argent, je me suis résolue à aller travailler dans un bar à hôtesse en Belgique. A peine arrivée, j'ai dû montrer une partie de mon savoir-faire au patron. Après quelques photos pour le site du bar, je viens de passer une heure avec mon premier client, Serge, un copain de Marc le patron, qui est en train de se rhabiller.

***********

J'entends l'eau couler dans la salle et Serge chantonne. Je reste à genoux sur la moquette, un peu tétanisée et en train de réaliser progressivement le pas que je viens de franchir. Il faut que j'arrête de penser sinon je vais craquer. J'ai bien l'impression que je vais me la répéter souvent cette phrase. Je me relève et croise mon reflet dans le miroir sur le mur. Je suis nue, toujours un peu de sperme sur le menton que j'essuie rapidement d'un revers de la main, beurk. Je récupère mes affaires pour pouvoir aller me remettre en tenue de travail dès que Serge aura libéré la salle de bain.

Il sort de la salle de bain, toujours à poil et super à l'aise, beaucoup plus que moi.

- Tu veux pas qu'on remette ça?

- Tu avais demandé une heure, c'est malheureusement fini et faut qu'on redescende

- OK, OK ... tant pis ... parce que t'es assez excitante avec ton air de bourge un peu coincée qui n'a rien à faire là

- Merci ... (pourquoi est-ce que je le remercie pour ça??)

- Et tu suces super bien en plus!

Là je ne réponds rien. Que répondre d'ailleurs? Que je suis ravie que mes compétences soient reconnues? Que je vais pouvoir compléter mon CV avec de nouveaux points forts?

- Bon allez, je descends pendant que tu te refais une beauté!

- OK, à tout de suite

Je le laisse se rhabiller et j'entre dans la salle de bain. Est-ce que je prends une douche? Ça va être trop long et je vais me faire engueuler. Et là, l'erreur fatale ... je me regarde dans la glace de la salle de bain en me disant tout haut « faut que je me lave les dents pour m'enlever ce goût de sperme ». Me voir dire ça me fait fondre en larmes.

Je reste bien cinq minutes à pleurer comme une madeleine en me disant que je viens de faire une grosse connerie et que je suis la dernière des dernières. Ça tape sur la porte de la chambre et c'est Marc qui beugle en me demandant ce que je fous « t'es pas là pour glander dans ton bain! »

Je me lave les dents, me recoiffe et me remaquille. J'enfile mon tanga, mes bas, je remonte sur mes talons aiguilles, j'accroche mon soutien-gorge. Je suis prête. Combien de temps vais-je garder tout ça sur moi?

Je descends l'escalier. Je me fais engueuler parce que je suis restée trop longtemps en haut. Il y a deux mecs en train de boire un verre et une fille se déshabille sur scène. Marc me dit de bien regarder, que je suis la prochaine à passer et que je dois faire pareil. Il se retourne vers Serge et il continue leur discussion :

- Alors tu disais?

- C'est du bonheur les nouvelles un peu timides.

- Et là, pour de la timide un peu perdue, c'est du lourd!

- Tu m'étonnes

- Mais elle suce pas mal quand même non?

- Elle suce hyper bien et son petit air gêné quand tu lui jouis dans la bouche, c'est le bonheur. Après pour le sexe, tu l'as essayée?

- Non, pas encore

- C'est pas mal mais elle manque un peu d'entrain quand même, tu sens que ça n'est pas son métier et qu'elle ne fait pas ça pour le plaisir

Je les écoute parler de moi comme si je n'étais pas là. J'ai envie de leur foutre des baffes mais je me retiens, il me faut ce job et surtout le cash qui va avec. J'observe Carmen pendant ce temps qui est sur scène. Après un déshabillage langoureux mais rapide, elle se frotte contre la barre en métal en tendant ses fesses vers les deux mecs en train de boire des verres avec Charline. Elle s'allonge sur le sol, sur le dos, cuisses bien écartées et commence à se caresser sur scène. Les deux mecs n'en perdent pas une miette pendant que Charline laisse ses mains se promener sur leurs braguettes en prenant des airs de chatte en chaleur. Je vois qu'ils discutent, Charline demande quelque chose à Carmen qui se relève pour aller derrière la scène et revient avec un gros god. Elle s'allonge à nouveau et fait bien coulisser le god dans son sexe. Les deux clients sont aux anges. Charline continue à leur parler. Elle appelle le patron, lui parle. Il acquiesce en riant puis revient vers le bar après avoir dit un mot à Carmen.

Carmen arrête avec le god et le fixe sur la scène avec la ventouse qu'il y a à sa base. Elle passe une lingette dessus, certainement du désinfectant puis je la vois ensuite mettre du gel dessus ... pourquoi fait-elle cela? Le patron est revenu au bar et dit à Serge :

- Tu vas voir la suite, tu vas adorer!

Puis se tournant vers moi :

- Aller ma grande à toi de jouer, tu te fous à poil, tu joues un peu avec la barre et tu t'empales sur le gode, compris? fais-moi bander les clients

Je m'en doutais mais je suis quand même bien tétanisée quand ça devient une réalité. Je me reprends et monte sur scène. Je me déshabille, ce qui est assez rapide vue ma tenue, et je commence à onduler sur scène en essayant d'oublier où je suis. J'entends la sonnette, le patron va ouvrir.

Ça y est je me positionne au-dessus du gode et je descends lentement. Il est énorme. C'est la première fois de ma vie que j'utilise un sex toy (en 2006 c'était moins à la mode qu'aujourd'hui). Grâce au gel et à ma préparation en direct, il entre plus facilement que ce que je pensais. Je suis sur scène, nue, accroupie et les cuisses bien écartées face à deux inconnus. Le patron entre dans la salle avec un mec vraiment pas beau, genre gros lubrique, ils discutent tous les deux en me regardant pendant que je coulisse sur le gode. Je me vois dans les miroirs, totalement indécente, nue, en train de faire aller et venir le gode bien profondément. L'un des clients sur le canapé a sorti son sexe et se masturbe en me regardant.

Charline appelle le patron, conciliabule à voix basse, l'un des clients fait un signe vers moi mais le patron lui fait non de la tête en indiquant le gros au bar. Je pense comprendre que le gros m'a déjà réservée. Il est répugnant vu d'ici. Finalement Charline part avec les deux clients et ils montent tous les trois l'escalier. Le patron me dit d'arrêter et de venir au bar. Je ramasse mes affaires

- Te rhabille pas c'est pas la peine

J'arrive au bar nue toujours perchées sur mes talons. Serge est toujours là et fait ses petits commentaires pendant que Marc me dit :

- Tu montes avec Monsieur, il a demandé une demi-heure avec toi, la même chose qu'avec Serge et n'oublie pas le kiss

- Pardon?

- Tu le suces nature et t'avales comme avec Serge et tu l'embrasses, avec la langue évidemment

- OK

Le mec est encore plus répugnant de près que de loin. Il est gros, mais dans le genre gras et tout mou et il est un peu luisant. Il a de petits yeux qui me dévorent. Je le regarde et me force à lui sourire. Visiblement je n'ai pas l'air très engageante ou très motivée :

- Je ne te plais pas?

Va bien falloir lui mentir sinon Marc va me pourrir ...

- Si, si, au contraire je suis ravie de monter avec vous

Comment est-ce possible de dire ça, beurk! Marc a du décider de me faire chier ou de me pousser dans mes limites et nous dis :

- Passez donc 5 minutes au salon, Charlotte va pouvoir vous câliner un peu avant de monter. C'est toujours bien de s'embrasser sur un canapé pour faire connaissance avant de monter et c'est offert par la maison!

- Allez Charlotte, emmène Monsieur dans un coin tranquille et soit bien gentille avec lui

Je prends le gros par la main et je l'emmène sur une banquette. Il s'assoit et je prends une pause lascive à côté de lui. Je suis déjà à poil et je n'ai plus que mes escarpins. Je me colle à lui et passe une jambe sur la sienne. Il tourne le visage vers moi et m'embrasse immédiatement. Sa langue est énorme et investit ma bouche, il bave un peu. Une de ses mains a déjà trouvé un de mes seins et le malaxe. C'est ignoble mais je ne dois pas craquer et je dois continuer sinon je sens que Marc va me remettre dans le train illico, et j'ai besoin de ce fric, donc je me dis de penser à autre chose et j'enroule ma langue autour de la sienne en commençant à souffler un peu plus fort. Ma main droite descend sur le torse de mon ... de mon quoi d'ailleurs ... de mon client. Je suis une pute maintenant et tout est fait pour me le rappeler. Donc ma main descend, je tente de contourner son énorme ventre pour finalement arriver à sa braguette, je caresse son sexe à travers le pantalon. Sa main gauche lâche mon sein et plonge vers mon ventre pour se caler directement sur ma chatte. Comme je suis nue, l'accès est facile. J'ai encore du gel de ma prestation sur scène et il doit penser que je suis excitée. Il passe un doigt sur ma fente et très rapidement l'introduit dans ma chatte. Ça coulisse sans problème, j'accélère à nouveau ma respiration comme si j'allais jouir. Je commence à descendre sa braguette.

J'entends la sonnette de la porte et au moins deux mecs arrivent. Je ne les vois pas mais je les entends, ils connaissent bien Marc et c'est accolades en demandant si la nouvelle est bien là, ça doit être moi. Pendant ce temps, mon gros continue à faire coulisser ses doigts dans ma chatte, impossible d'accéder plus loin dans son pantalon trop serré par la ceinture. Je vais lui proposer de monter quand Marc arrive à côté de nous :

- Je vois que vous avez bien fait connaissance ... Charlotte vous plaît?

- Elle est très bien et pleine de bonne volonté!

- Parfait! vous voulez monter ou vous préférez rester ici? normalement on ne le fait pas mais ce soir c'est assez calme et les messieurs qui viennent d'arriver sont des amis, donc aucun problème, c'est vous qui choisissez

Tu m'étonnes que je n'ai pas mon mot à dire. Il a dû prévoir le coup avec ses potes. Après m'être donnée en spectacle avec un gode je sens que je ne vais pas tarder à devoir baiser en public.

- On va monter, je préfère profiter de Charlotte tranquillement.

Au moins je sauve un minimum de mon amour propre.

Le gros se lève et me presse pour monter. Il a l'air à l'étroit dans son pantalon! Je me lève pour le suivre, et passe nue perchée sur mes talons devant les deux nouveaux. L'un des deux me fait un clin d'œil en me disant :

- N'oublie pas de redescendre, on t'attend, on est venu pour toi!

Juste avant de monter, le patron me dit d'expédier mon client pour monter ensuite avec ses deux potes. Ça n'est pas très clair si c'est les deux en même temps ou à la suite, mais on verra ça plus tard. Je vais déjà aller m'occuper du gros.

Je repasse devant le gros pour monter l'escalier et je sens son regard sur mes fesses nues qui se balancent devant lui. Ça ne me dérange même pas, comme quoi les barrières de la pudeur peuvent sauter assez vite dans un environnement pareil! J'entre dans la chambre avant lui et m'assois sur le lit. Il me rejoint, m'embrasse à nouveau et son doigt retrouve ma chatte qu'il avait laissé il y a quelques minutes.

- Vas-y, maintenant faut me sucer

Je me décale un peu et parvient à déboutonner son pantalon, il fait voler ses chaussures et je lui enlève son pantalon et son caleçon. Il déboutonne sa chemise et se retrouve à poil avec juste ses chaussettes (c'est bizarre cette manie de garder ses chaussettes pour baiser). Son corps est répugnant, tout flasque, blanc comme s'il n'avait pas vu le soleil depuis des années mais au moins il est clean et sent plutôt bon, Vetiver de Guerlain je crois. Il faut bien penser à des trucs agréables. Cette montagne de graisse va me baiser dans les minutes qui viennent et il faut que j'aie l'air d'aimer ça alors autant se concentrer sur les trucs agréables.

Une fois arrivée là, je ne vois pas comment lui dire de passer dans la salle de bains. Tant pis, je me mets à genoux devant lui et commence à le branler. Il bande assez vite et je l'enfourne dans ma bouche comme si j'avais faim, maintenant que ça a commencé autant que ça se termine le plus vite possible! Je le suce du mieux que je peux en alternant pression et relâchement et en le léchant sur toute la longueur de son sexe. Je suis gênée par son ventre. Il finit par s'allonger et je ne vois plus qu'un tas de chair au-dessus de sa bite ... beurkkkk ... au bout de 5 minutes de ce traitement, il se redresse :

- Vas-y, viens sur moi

Je m'exécute. Je lui enfile une capote et le chevauche. Je sens son sexe entrer rapidement dans le mien. Je me mets à onduler sur lui en poussant de petits gémissements. Il me pétrit les seins pendant que je fais des vas et viens sur son sexe dressé. J'ouvre les yeux et je me vois dans le miroir. Dans cette position, ça n'est plus moi qui me laisse faire en attendant que ça passe, c'est moi qui fais. Je touche le fond. Quand je pense qu'il y a quelques heures j'étais encore à Paris, clean, pas encore souillée par tout ça. Est-ce que le fric vaut vraiment tout ça?

- Mets-toi à quatre pattes

Je m'exécute et me retrouve à nouveau à quatre pattes sur le lit, moins d'une heure après m'être déjà mise dans cette position mais avec un autre mec. Je me cambre et tend mes fesses vers lui. Je sens ses mains me prendre par les hanches et tout de suite il me pénètre. Heureusement qu'il y a le gel car il y va de bon cœur. Il me pilonne avec étonnamment de vigueur pour son gabarit. Je sens son ventre sur mes fesses. Je regarde sur le côté et attrape une image au contraste saisissant ... mon corps très fin soumis à ce tas de chair.

Je sens qu'il commence à se contracter

- Putain ... retourne toi!

Je ne prends pas le « putain » pour une remarque personnelle (quoi que!) et je me retourne. Il arrache la capote et commence à se branler devant mon visage. J'engloutis sa bite et il jouit dans ma bouche en poussant un grand râle.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Wevelgem

Je connais très bien Wevelgem, j'y ai habité juste à côté pendant une vingtaine d'années.

Certains bars ont même un jacuzzi .... c'est extra

trouchardtrouchardil y a presque 4 ans
7 ans après ?

Une suite 7 ans après ? Du coup j'ai relu les trois premières parties.

J'ai bien aimé cette écriture, ce style. Merci.

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