Mes Cousines Sont Deux Salopes 03

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La surprise de mes deux cousines !
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/10/2024
Créé 03/03/2024
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biendur
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Les vacances touchaient à leur fin, et mes cousines et moi faisions pression pour rester encore une semaine de plus. Malgré les contraintes financières et l'obligation pour ma tante de reprendre le travail, nous avons réussi à convaincre nos parents de prolonger notre séjour.

Nous étions tous réunis au restaurant lorsque mon père a annoncé qu'ils avaient trouvé une solution pour prolonger les vacances. Mon oncle amènerait ma tante à la gare pour qu'elle puisse rentrer chez eux et reprendre le travail. Pour réduire l'impact financier, mes parents loueraient un chalet avec une seule chambre, beaucoup moins cher, et je partagerais ma chambre avec mon oncle pour ne pas avoir à déménager toutes mes affaires.

L'effet de cette annonce était comme si je venais de recevoir une gifle en plein visage. J'étais décomposé. Mes cousines, assises en face de moi, me regardaient avec un sourire coquin. Bien sûr, nous pourrions trouver un endroit tranquille pendant la journée pour nous amuser tous les trois, mais c'en était fini de ces longues nuits passées à baiser tous ensemble. Je ne comprenais pas pourquoi mes cousines semblaient prendre la nouvelle avec autant de légèreté.

En sortant du resto, mes cousines accoururent prêt de moi.

"Ne t'inquiète pas, cousin," chuchota Cathie, en me donnant un clin d'œil suggestif. "Nous trouverons un moyen de nous amuser."

Son ton était sensuel, rempli de promesses et de sous-entendus qui faisaient battre mon cœur plus vite. Je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qu'elle avait en tête.

Sylvie, renchérit, "Oui, et qui sait? Peut-être que cette nouvelle situation apportera un peu de piment."

Alors que nous nous retrouvions dans le bungalow, une intense séance de sexe s'en est ensuivie, comme si c'était notre dernière fois. Nos corps s'entremêlaient avec avidité, assouvissant notre soif de plaisir charnel. Après cet épisode torride, nous nous sommes tous les trois affalés sur le lit, essoufflés et repus.

J'ai alors repensé à la décision de prolonger les vacances et de ma déception face à l'impossibilité d'être tous les trois dans ce bungalow. J'ai interrogé mes cousines sur leur apparente indifférence à cette situation. Elles se sont regardées d'un air interrogateur et sont restées silencieuses. Agacé, j'ai haussé le ton : "Vous allez m'expliquer!"

Elles ne se quittaient pas des yeux, puis Sylvie a croisé mon regard et m'a dit : "Tu sais que Patrick n'est pas notre père biologique. Nous n'en avons d'ailleurs aucun souvenir, il était séparé de maman avant notre naissance et il est décédé peu de temps après et notre mère s'est rapidement remise avec Patrick. C'est pourquoi nous l'avons toujours appelé 'papa'."

J'avais complètement oublié cette histoire. Il est vrai qu'au sein de la famille, plus personne ne parlait de cet accident tragique. J'ai fini par leur dire : "J'étais très jeune et j'ai dû entendre une ou deux fois mes parents en parler, j'avoue que j'avais complètement oublié ça, mais je ne vois pas en quoi cela change quelque chose à notre situation actuelle."

Cathie a pris la parole : "Vendredi prochain, c'est notre anniversaire, nous allons avoir 19 ans et depuis nos 18 ans, Patrick nous fait l'amour régulièrement quand maman n'est pas là." Ces révélations m'ont tellement surpris que j'en suis resté sans voix, mais cela expliquait comment mes cousines avaient acquis tant d'expérience sexuelle. Patrick les avait bien initiées.

Je restais muet pendant de longues minutes, les regardant afficher un grand sourire coquin. "Que dois-je en déduire, Patrick ne sait pas que je vous saute régulièrement, il ne sait pas non plus que je connais votre secret," dis-je, un sourire en coin. "Il ne pourra pas vous baiser tant que je serai dans le bungalow et moi non plus, d'ailleurs. Vous devrez vous partager dans la journée entre lui et moi, donc c'est encore pire, je vous verrai encore moins."

Cathie prit la parole, ses yeux pétillants de malice. "Si, et je dis bien si, pour une raison quelconque Patrick t'avouait qu'il nous baise depuis de nombreux mois, on pourrait partager notre lit avec vous. Tu en penses quoi, Sylvie?"

Sylvie, qui avait sa main sur sa chatte, répondit, sa voix mielleuse et pleine de désir. "J'en mouille déjà, avoir deux grosses bites en même temps, c'est un beau cadeau d'anniversaire en avance."

Nous avions envisagé plusieurs scénarios, mais tous étaient liés au comportement de Patrick. Rien n'était moins sûr qu'il me fasse assez confiance pour m'avouer qu'il trompait ma tante avec ces deux belles salopes. Le plan était que mes cousines l'allument au maximum et qu'il finisse par craquer et tout m'avouer. Alors, nous pourrions baiser tous les quatre.

Ma tante était repartie, mon oncle installé dans ma chambre. Les choses sérieuses allaient commencer, du moins je l'espérais. Nous étions, mon oncle et moi, dans le lit, discutant des vacances, de projets pour mon avenir, des études. C'était sympa, mais nous nous éloignions de la partouze que j'imaginais.

On frappa à la porte et mes cousines dirent : "On peut rentrer, vous faire un bisou, on va dormir bientôt." Patrick répondit : "Bien sûr, mes puces."

La porte s'ouvrit, Cathie entra la première avec une nuisette très courte. Elle embrassa mon oncle, "Bonne nuit papa," puis se dirigea vers moi, "Bonne nuit, mon cousin préféré." Sylvie fit de même.

Mon oncle n'avait pas pu louper que ces deux belles salopes n'avaient aucun sous-vêtement et que ça se voyait clairement. Je suivais du regard le départ de mes cousines.

Une fois sorties, je me retournai vers Patrick qui me regardait avec un grand sourire. "Et bien dit donc, tu les mates bien, tes cousines."

Le visage tout rouge, je répondis, "Ben un peu."

Mon oncle releva la couverture sur lui, il faisait très chaud et la seule raison de faire cela était de me cacher son érection. Mes cousines avaient fait mouche. "Tu en penses quoi de tes cousines?" me dit-il. "Elles sont très sympas," je devais me lancer, c'était l'occasion. Alors j'ajoutai, "Et en plus, elles sont très jolies et sexy."

Patrick rigola et dit, "Si ce n'étaient pas tes cousines, tu te les ferais bien." Je pris mon courage à deux mains et dis, "Avec de si beaux culs, cousines ou pas, je ne dirais pas non si elles me le demandaient. Et vu comment tu matais leurs culs, si elles n'étaient pas tes filles et que tu n'étais pas marié, tu ne dirais pas non, non plus."

Mon oncle me regardait, stupéfait. Après quelques minutes de réflexion, il me dit, "Plutôt que d'attendre qu'elle le demande, on va aller leur poser la question, tu en penses quoi?"

Je sautai du lit et bégayai, "Allons-y."

Mon oncle sortit du lit, enleva son short, une épaisse bite à demi molle en sortit. Il me dit, "Pour ça, il va falloir leur montrer ce qu'elles pourraient avoir. Mets-toi à poil." J'enlevai également mon short et mon oncle put voir ma bite à moitié dure.

Dans la chaleur étouffante de la nuit, je me tenais aux côtés de mon oncle, Patrick, nos corps nus et nos érections naissante. Nous nous dirigions vers la chambre de mes cousines, mon cœur battant la chamade, non esprits embrumés par le désir et l'excitation.

Patrick frappa doucement à la porte. "Entrez," chuchota Cathie, sa voix suave et séductrice. Nous entrâmes dans la pièce, nos yeux s'habituant à la faible lumière. Les deux sœurs étaient allongées sur leurs lits, leurs nuisettes courtes révélant leurs corps magnifiques. Leurs yeux s'illuminèrent en nous voyant nus, leurs sourires coquins s'élargissant. Sylvie allumât la lumière

"Eh bien, eh bien, qu'avons-nous ici?" demanda Sylvie, sa voix trahissant son excitation. "On dirait que vous avez quelque chose à nous proposer," ajouta Cathie, ses doigts jouant avec la dentelle de sa nuisette.

Patrick prit la parole, sa voix profonde et autoritaire. "Nous sommes venus vous proposer un marché. Nous savons tous les deux que si vous nous demanderiez de vous baisez, on ne dirait pas non. Alors, nous vous proposons de partager votre lit. Qu'en dites-vous?"

Cathie et Sylvie se regardèrent, un sourire malicieux aux lèvres. "Nous acceptons," dirent-elles en chœur en enlevant leur nuisette. Et c'est ainsi que commença notre nuit de débauche.

Patrick s'approcha de Cathie, ses mains explorant son corps, tandis que je me dirigeais vers Sylvie. "Tu es tellement belle," chuchota Patrick à Cathie, ses doigts pinçant ses tétons durs. "Tes mains sont tellement expertes," gémissait Cathie, ses yeux se fermant de plaisir.

De mon côté, je murmurais à Sylvie, "Ta peau est si douce," mes mains se posant sur ses seins, mes doigts jouant avec ses tétons. "Oh oui," gémissait-elle, sa respiration s'accélérant.

Nos bouches se posèrent sur leurs cous, nos langues léchant leur peau. "Tu sens si bon," dis-je à Sylvie, ma bouche contre sa peau. "Tu me rends fou," répondit-elle, ses mains se crispant sur mes cheveux.

Les gémissements de plaisir remplirent la pièce alors que nous explorions leurs corps, nos mains et nos bouches ne laissant aucun endroit inexploré. "Tu es à moi," grogna Patrick à Cathie, ses mains serrant ses fesses. "Je suis à toi," répondit-elle, ses ongles griffant son dos.

"Tu es magnifique," dis-je à Sylvie, mes yeux parcourant son corps nu. "Tu es le plus beau des mes cousins," répondit-elle, ses mains explorant mon corps.

Patrick s'allongea sur le lit, sa bite dressée vers le ciel. "Je veux te sentir en moi," dit Cathie, s'installant sur lui, sa chatte dégoulinante de désir s'empalant lentement sur sa bite. « Tu es un vrai aspirateur à bite » dit Patrick en lui fessant le cul. « Je sens ta chatte qui coule sur mes couilles, tu es déjà bien dilaté »

Je guidai Sylvie vers moi, ma bite pressée contre son entrée. "Je vais te faire couler de désir, petite salope," dis-je, la pénétrant d'un coup sec, la faisant gémir de plaisir.

Nous commençâmes à bouger, nos corps se cognant les uns contre les autres dans un rythme sauvage. "Tu es tellement bonne," grogna Patrick, ses mains serrant les hanches de Cathie. "Je vais jouir," cria Cathie, ses cris envahissant la pièce, elle eut un énorme orgasme et se roulât sur le côté, elle tremblait de tout son corps, Patrick n'avait lui pas encore jouit, il avait une trique d'enfer.

Je pouvais sentir l'orgasme de Sylvie approcher, ses muscles se contractant autour de ma bite. "Je vais te faire jouir petite pute mais pas maintenant," dis-je, me retirant d'elle, la faisant gronder de frustration. Je la guidai vers Patrick, sa chatte dégoulinante s'empalant sur la bite de mon oncle. Je me positionnai derrière elle, ma bite pressée contre son trou du cul.

"Je vais te prendre le cul, ma salope, tu vas connaitre ta première double" dis-je, la pénétrant lentement, lui laissant le temps de s'habituer à ma présence. Une fois qu'elle fut prête, je commençai à bouger, mes coups de rein se synchronisant avec ceux de Patrick. "Tu es à nous," grogna Patrick, nous la baisons à l'unisson, nos bites allant et venant dans ses trous chauds et accueillants.

Le plaisir montait en nous, nos corps tendus vers la libération. "Je vais jouir," cria Sylvie, ses muscles se contractant autour de nos bites. Avec un dernier coup de rein, nous lui remplissons le cul et la chatte de nos spermes, nos cris de plaisir remplissant la pièce. "Oh oui," cria Cathie, les yeux révulsés, le corps tremblant, s'étalant sur Patrick, faisant ainsi ressortir ma bite de son cul avec une belle traînée de sperme.

Cathy qui était remise avait suivi la scène, et attrapa ma bite et me la nettoya avec sa langue. "Tu es une vraie salope," dis-je, ma respiration encore haletante. Sa soif de jus n'étant pas assouvie, elle allât laper mon sperme qui sortait du cul de sa sœur, qui recommençait à mouiller comme une chatte en chaleur.

Le cul presque propre, Sylvie se redressa et comme sa sœur l'avait fait auparavant avec moi, elle nettoya la bite de Patrick et demanda à sa sœur de venir lui aspirer le sperme qui était au fond de sa chatte. "Je veux tout," dit Cathie, sa bouche se posant sur la chatte de sa sœur, qui commençait à pousser des petits cris.

Après d'avoir bien nettoyé le minou de sa sœur, mes deux cousines s'embrasèrent goulument

Nous nous effondrâmes sur le lit, nos corps transpirants et épuisés. Nos souffles se mêlant dans la chaleur de la nuit. Nous nous endormîmes dans les bras les uns des autres, nos corps satisfaits et heureux.

Comment allait se passer le réveil!

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