Mireille à la Campagne

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Une bourgeoise des villes confrontée à la rude vie des champ.
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Jipai
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Le texte qui suit est la correspondance d'une femme avec un homme à qui elle confie ses secrets d'alcôve.

10 nov. 2012

Juste un petit mot pour ce soir, je vous écrirai plus longuement demain matin pour vous raconter les turpitude de mon amie, pas avare non plus de ses confidences envers moi. Elle m'a dit comment elle appréciait la rusticité de Norbert, son homme de main qui s'occupait de sa propriété; un être frustre, aux gestes rudes pour la mettre à sa disposition, l'odeur d'étable qu'elle prenait à plein nez quand il la serrait contre lui, sa barbe éternelle de trois jours et ses grognements de désir quand elle le sentait frotter son bas ventre contre sa belle robe de parisienne.

Elle me racontait comment il la culbutait sur le lit dans sa chambre et comment il lui arrachait le collant. Mireille est assez salope pour apprécier ces gestes violents, ces bras puissants qui la poussaient vers le lit et puis qui la maintenait les bras en croix tandis qu'il sortait sa belle bite de sa combinaison de travail assez douteuse et sentant la vache. Il aimait la monter sur le lit qui grinçait sous les coups de reins du rustre qui ahanait sur elle. Il lui racontait comment l'étalon du voisin avait sailli la jument la semaine dernière et que bientôt il avait deux génisses à mener au taureau. Mireille pendant ce temps, écrasée par Norbert, ne pouvait que subir les assauts puissants d'une queue violacée et tendue qui lui labourait le ventre. En fin de compte Norbert grognait plus fort, il pesait plus lourdement sur elle et se plantait au fond de son ventre pour lui décharger de grands jets de sperme pour lui inonder l'utérus, en lui disant qu'il aimerait tout comme le taureau, l'engrosser.

Mireille frémissait rien qu'à cette idée mais cela faisait partie de leurs jeux, des mots grossiers, des envies exprimées et le fantasme faisait le reste.

Une fois pourtant, Norbert qui s'était aventuré dans la salle de bains de Mireille pour se laver le sexe après une baise mémorable, lui avait subtilisé sa plaquette de pilule.

il était revenu le lendemain et l'air sournois il avait sailli Mireille malgré les dénégations de celle ci, lui attachant les mains au lit pour qu'elle ne puisse se défendre, il avait abusé d'elle pendant toute l'après midi.

Mireille était affolée, elle le suppliait d'arrêter, de ne pas jouir en elle mais toutes ses suppliques avaient pour résultat de stimuler Norbert qui dans l'après midi lui déversa sa semence dans le ventre au moins trois fois.

Mireille fut inquiète une quinzaine de jours, jusqu'à l'arrivée de ses règles qu'elle accueillit avec grand soulagement. Mais depuis le fantasme c'était installé et elle frémissait de se donner à Norbert, prenant soin de cacher à ses yeux ses plaquettes de pilules.

Bonne soirée à vous.

M

11 nov. 2012

L'histoire de Mireille que je vous contais hier soir avait eue lieu à Pâques et heureusement pour Mireille elle était rentrée rapidement à Paris et il n'y avait pas eu de suite à l'incident.

Aux grandes vacances, ils sont revenus en Bretagne en famille: Mireille, son mari et puis son frère Roland. Ils se sont installés pour le mois d'Aout comme à chaque année. Au début, cela s'est bien passé, Norbert s'est tenue tranquille et Mireille n'est allée à la ferme de Grégoire que pour faire ses achats.

Mais après une dizaine de jours de vacances son mari a du rentrer sur Paris à cause de ses affaires. Il en était très contrarié mais dans le milieu des affaires est impitoyable et donc il est parti en urgence sans pouvoir dire s'il pourrait revenir retrouver Mireille. Et puis tout s'est précipité quand Roland a voulu aller passer quelques jours chez les parents de Mireille.

Elle s'est retrouvée seule dans la grande maison devant la mer, et malgré sa solitude elle a continué à se rendre à la plage tous les jours. Le temps était beau et Mireille voulait en profiter au maximum, aussi, elle laissait les clés à Norbert quand celui ci s'occupait du jardin. Mais à peine avait elle tourné les talons, que ce grand vicieux se précipitait dans la maison pour fouiller la salle de bains, à la recherche de ses plaquettes de pilules. Mais Mireille avait pris ses précautions et Norbert cette fois ne trouva rien. Désappointé, il fouilla la cuisine sans plus de succès. Comme Norbert n'était guère futé, il en fut perplexe, il se posa mille questions: La bourgeoise ne prenait plus sa foutue pilule? Son mari ne la baisait plus? Ou bien avait elle décidé autre chose?

Il eut soudain l'illumination: la chambre, il n'avait pas fouillé la chambre, était il bête! Il s'y précipita le cœur battant de se retrouver dans ce lieu où il avait coincé Mireille pour la sauter. Il était la, tournant en rond, ne voyant rien, fébrile, énervé de ne rien trouver. Il ouvrit les tiroirs, regarda le linge fin de Mireille, ses culottes, ses soutiens gorge et tout bazar d'une salope de parisienne, il ne voyait toujours pas ce qu'il recherchait. Ses mains tremblaient en touchant la dentelle accumulée dans le tiroir. Pourtant quelque chose lui disait que...

Mais Norbert n'osait pas trop, impressionné par les choses fines, se contentant de les caresser, il tata bien une culotte ou deux, en fin de compte il souleva la pile mais il ne voyait toujours rien. En fin de compte il s'en prit aux soutiens gorge de mon amie qu'il prit en tremblant tant l'émotion était grande. De prime abord il ne vit rien non plus mais Norbert insista jusqu'à ce qu'une plaquette des précieuses pilules tomba d'un bonnet du soutien gorge noir qu'il tenait dans ses mains rudes. Il en rigola de satisfaction en empochant la plaquette à moitié utilisée. Puis il remit tout en place et revint au jardin pour finir de tondre la pelouse.

Le soir, Mireille revint de la plage et elle s'enferma dans la salle de bains pour prendre sa douche. Norbert la suivit dans la maison et il l'attendait quand elle est sortie de son bain. Le sourire fourbe il s'est avancé vers elle, Mireille en a frissonné, ce moment la, elle l'attendait tout en l'appréhendant. Elle a serré sa serviette autour d'elle mais Norbert n'a eu aucun mal à la lui arracher des mains et à la pousser jusqu'au lit où elle est tombée. Après ça, il lui fut facile de la prendre et la besogner jusqu'à prendre son plaisir quand il se raidit en elle et que son corps se fit lourd sur le sien. Sa bite palpita dans le ventre de Mireille, il grogna et son sperme jaillit en saccades pour inonder l'utérus de sa proie.

"T'en voulais hein? tu voulais de la bite à Norbert!" l'apostropha t-il quand il eut fini. Mireille était clouée au lit sous lui, les bras en croix, maintenus par ses poignets dans les mains rudes de son jardinier.

Ainsi commença le début de son calvaire, parce que le soir même elle comprit ce qu'il avait fait. Elle en fut paniquée, il avait recommencé. Elle fut tentée de repartir aussitôt, mais ce n'était pas si simple. Son mari avait pris la voiture pour rentrer, et en principe, Grégoire était chargé de l'amener à la gare pour son retour.

Aussi elle n'en dormi pas de la nuit et le lendemain quand elle vit Norbert revenir elle en fut tétanisée sur place. Elle essayé de le raisonner, elle le supplia de lui rendre sa pilule, elle lui proposa de l'argent, elle finit par le menacer mais rien ne le faisait reculer quand il s'avançait vers elle sa grosse corde à vache à la main.

Elle se défendit à peine quand il lui prit les poignets pour les nouer à la corde, ensuite elle fut couchée sur le lit et attachée aux montants. Ses pieds furent tirés sans ménagement pour être noués eux aussi aux montant du lit. quand il eut fini, Norbert recula pour apprécier la scène: Mireille attachée nue au lit les bras en croix et les cuisses bien ouvertes. Elle pleurait mais Norbert n'en avait cure, les bêtes qu'on envoie à l'abattoir pleurent aussi.

Il défit sa combinaison de travail et s'abattit sur Mireille qui cria de douleur en le sentant peser de tout son poids sur elle. Sans trop se préoccuper de sa prisonnière, il l'empala sur son sexe. Mireille cria, elle se raidit et se tordit dans ses entraves mais elle ne réussit qu'à se faire mal aux poignets et aux chevilles sur la corde rude qui l'enserrait. Elle dut subir le rut de Norbert qui avait planté sa bite bien au fond de son ventre. Mireille sentait le gland qui lui buttait tout au fond contre l'utérus, le membre lui labourait le vagin, étirant les muscles vaginaux. Elle cria encore, elle le supplia de la lâcher mais elle n'arrivait qu'à l'exciter davantage et chacune de ces tentatives ne faisaient que durcir sa queue en elle, elle était épinglée la sur le lit comme un insecte.

Le rustre finit par jouir, elle sentit la bite tressaillir dans son ventre et puis les spasmes sont venus, les secousses qui ont secoué son ventre avant qu'elle ne sente le sperme brulant se répandre en elle. Elle a crié, elle a serré les dents, son bassin s'est tordu dans tous les sens mais Norbert la clouait de tout son poids, la maintenant dans une position où elle ne pouvait qu'accepter.

Ce jour la, elle a du le subir trois fois de suite, Norbert ne la libéra que le soir, quand vint pour lui l'heure de la soupe. Mireille était ravagée par cette aventure. Encore une fois, elle supplia Norbert de lui rendre ses pilules et il lui promit de revenir le lendemain avec la précieuse plaquette.

A suivre?

Bien à vous.

M

12 nov. 2012

Pour une fois, permettez moi de vous contredire. Norbert n'est jamais venu à Paris, par contre bien des femmes ont fait le voyage pour la Bretagne.

Mais revenons si vous le voulez bien à Mireille en proie à bien des ennuis durant ses vacances dans sa maison de campagne. Norbert l'avait donc privé de ses pilules et l'avait abusée pendant tout l'après midi. Mireille tablait sur le fait que sa dernière pilule datait d'hier et qu'elle se sentait encore protégée. Aujourd'hui, elle ferait tout le nécessaire pour récupérer son bien, quitte à le menacer de le licencier. C'est ce qu'elle s'est dit en se réveillant ce matin la, furieuse de ce qui s'était passé la veille, mais dans le même temps en se souvenant que les saillies de Norbert avaient fini par lui tirer des soupirs. Elle connaissait depuis déjà pas mal de temps les coups de bite de son jardinier, mais de la à en venir à une telle situation, elle devait réagir sans attendre.

Aussi quand Norbert apparut en cet après midi ensoleillé, elle vint à lui d'un pas ferme et lui intima l'ordre de lui rendre ses pilules. Norbert la regarda surpris de cette réaction il semblait ne pas comprendre cette soudaine colère de Mireille, elle qui lui ouvrait si complaisamment les cuisses, qui prenait du plaisir à se faire besogner par un homme de la campagne. Il prit Mireille par le bras de façon si violente, qu'elle en poussa un cri et il l'entraina sans attendre dans la maison. Norbert était quelqu'un de simple voir simplet, pour lui un accouplement, qu'il fut entre des bêtes ou entre hommes et femmes devait se terminer toujours de la même façon: la femelle devait se retrouver grosse. Or depuis le temps qu'il saillait Mireille, rien de tel ne s'était produit et il ne trouvait pas cela normal. Il avait entendu dire que les femmes, surtout celles de la ville, avaient recours à des pilules qui empêchaient d'enfanter et cela ne lui plaisait pas du tout, il ne comprenait pas qu'on contrarie ainsi le nature.

Avec ses mots à lui, il l'a fait comprendre à Mireille qui tout à coup se trouvait devant un male bien décidé à la prendre. Elle a essayé de lui expliquer que les choses n'étaient aussi simples, qu'on ne pouvait avoir d'enfants qu'avec son mari...Enfin toute sa morale bourgeoise mais lui pendant ce temps l'avait déjà troussée et jetée sur le lit. Puis il s'est abattu sur elle et l'a couverte de son corps. Il a grogné en la sentant se débattre et s'est vrai qu'elle a tout fait pour se libérer de ce rustre qui pesait sur elle. Bien trop lourd, il était bien trop lourd et elle s'est épuisée à ce qui devenait un jeu pour lui. En lui tenant les poignets il riait de la voir vainement se tortiller pour essayer de lui échapper. Mireille paniquait de plus en plus, elle savait maintenant qu'il ne la lâcherait pas, elle a mis toutes ses forces à le repousser, en vain.

Norbert a sorti son sexe tout en lui souriant. D'un coup de genou qui lui a fait mal, il lui a écarté les cuisses. Mireille, épuisée n'a pu s'opposer et elle sentit qu'il se glissait entre ses cuisses, écartant sans ménagement les jambes de sa prisonnière. Il n'a pas eu à chercher le chemin, un vigoureux coup de rein l'a propulsé dans le ventre de Mireille qui a poussé un long cri qui était aussi du désespoir.

Un cri qui stimula Norbert.

Il s'est mis à s'agiter sur elle et elle subissait ses coups de boutoirs qui déclenchaient des douleurs au fond de son vagin quand le gland violacé de Norbert lui repoussait l'utérus au fond du ventre. Elle prenait sa bite sans pouvoir la refuser et les contractions de ses muscles vaginaux n'y pouvaient rien, sinon exciter encore davantage un male en rut qui n'avait pas besoin de cela pour être excité.

Comme la veille, Mireille a subit Norbert pendant deux bonnes heures. Après qu'il eut joui pour la première fois, elle a voulu se précipiter vers la salle de bains pour se laver mais Norbert l'a maintenue sous lui en ricanant, la forçant à garder sa semence dans son ventre. Quand il s'est senti à nouveau gaillard, il a recommencé à s'agiter dans son vagin jusqu'à l'éjaculation. Cette fois, Mireille, au bord de l'épuisement n'a pas bougé et Norbert en a été satisfait. Pour son plus grand plaisir, il l'a prise une troisième fois, mais il n'avait sous lui qu'une poupée désarticulée qui ne remuait plus. Norbert en a été frustré, lui qui aimait la lutte avec la femelle rétive.

Il l'a donc laissé la sur le lit. Il a remonté sa combinaison de travail tout en la regardant affalée en travers du lit, satisfait d'avoir dominé cette bourgeoise qui l'avait si souvent regardé de haut.

Quand il est parti, Mireille s'est relevée difficilement, la tête lui tournait, elle était au comble de l'épuisement d'avoir lutté et au désespoir d'avoir perdu la partie. En titubant elle est allée à la salle de bains et elle s'est frictionné la fente avec le reste d'énergie qu'elle avait. Elle s'est lavé l'intérieur avec la douchette mais elle avait le sentiment que c'était déjà trop tard.

Enfin elle s'est endormie sur son lit où elle avait subi les derniers outrages.

Le lendemain, Norbert est revenu et le même scénario s'est produit. Mireille ne pouvait plus lutter contre les bras puissants de l'homme. Ses cuisses étaient couvertes de bleus et lui faisaient mal. En un mot elle ne luttait plus et les deux semaines qui suivirent elle ne lutta pas. Norbert en avait fait sa chose, il venait pour la prendre, la saillir comme une jument, lui flattant la croupe, palpant ses nichons qu'il espérait bientôt plein de lait, lui prodiguant de vigoureux coups de bite en éjaculant bien au fond de son ventre et la maintenant ainsi l'utérus inondé de sa semence.

Affolée et hagarde, Mireille subissait les assauts vigoureux, son sexe lui faisait mal à force d'être ramoné par le dard puissant qui s'imposait chaque jour dans son intimité.

Elle vit la fin des vacances arriver avec soulagement, Grégoire la conduisit au train à Quimper, il l'aida à monter sa valise et il prit congé.

Mireille s'isola dans son coin pour repenser à ces deux dernières semaines alors que le train la ramenait vers la capitale. Est ce le balancement du train? soudain elle sentit monter en elle une envie de vomir. elle se leva, se rendit aux toilettes et penchée au dessus de la cuvette elle vomit sans retenue, étourdie par les spasmes de son ventre.

En revenant à sa place, elle se demanda si cette soudaine nausée n'était pas les prémices d'une grossesse, il lui faudrait consulter d'urgence.

Bien à vous.

M

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