Mon Apocalypse à Moi 02

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Il est temps de posséder de nouveaux survivants.
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Partie 2 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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C'était une journée moche, ce second jour. J'allumai la lumière. Bon, encore de l'électricité. Au moins, quelque chose marchait encore quelque part. J'allais dans la salle de bain. Le robinet coulait. Je descendis faire chauffer un café. Elle descendit et vint chercher des bols. Je lui servis son déjeuner. Elle sucrait son café. Je commençais à préparer le nécessaire pour notre sortie. Je lui donnais un treillis trop petit pour moi, une veste de cuir,et elle avait ses baskets. Elle avait remis son t-shirt de la veille. Je lui réglais son sac à dos et en avant Guingamp. Je traînais le cadavre de la terrasse dans le coin où je brulais mes herbes à l'automne. Christelle s'étonna des plaies et des traces de coup sur le corps nu de la morte.

-Vas savoir. Dis-je.

Elle ne posa aucune question au sujet de la présence d'un zombie dans mon jardin.Elle ne venait pas de dehors. Je ne l'avais pas reconnu la nuit, mais à présent, je voyais bien que c'était Karima. Elle s'était relevée, ce qui prouvait que cette épidémie affectait les morts récents. Karima avait été pendue par un pied dans mon cabanon pour que son sang soit drainé convenablement. Son corps s'était réanimé et après s'être agitée frénétiquement, elle avait brisé ses liens.

Ma camionnette ronronnait sur la route. Je me garais devant un petit pavillon de banlieue typique de l'île de France. Je forçais la porte avec un pied de biche et on pilla les réserves de non périssable. Elle faisait des aller retours entre l'entrée et la camionnette. Les provisions s'empilaient. Et une petit groupe de zombies rapprochaient. J'épaulais la 22. Je superposais le guide, le viseur et la tête d'une jeune femme. La détonation était ridicule avec ces armes. Mais l'effet radical. Pas de grande gerbe de sang. Juste elle tombe à genoux puis face contre terre, comme une marionnette dont on aurait coupé le fil. J'aligne encore cinq autres grogneurs avant qu'un groupe plus important ne commence à d'approcher. Deux autres sortirent en grignant et au pas de course des fourrés derrière moi. Le fusil à pompe explosa leurs crânes avec des détonations tonitruantes . Je fis signe à Christelle de rembarquer et démarrais vers chez moi.

Elle prépara le déjeuner. Mon frigo était plein de yaourts. J'adore les yaourts. Cela allait me manquer. Ce qui m'aurait manqué vraiment,je l'avais. Sur un mot de moi,, elle s'agenouilla entre mes jambes écartées et s'escrima sur ma braguette à boutons. Elle noua ses doigts autour de la base et arrondit ses lèvres pour emboucher mon vit. Elle commença à monter et descendre.

-Sers toi de ta langue. Tourne autour. Masse les burnes. Hésite pas à baver, j'aime ça.

Elle appliquait, maladroitement, mes consignes mais s'en acquittait au mieux. Je me vidais avec un profond soupir. Elle déglutit, mais avec toute sa bave, se fit une barbichette gluante . J'éclatais de rire. Elle rit aussi. Je lui caressais la tête, comme un animal familier. Elle s'essuyait avec une serviette en papier et me sourit. Elle avait un joli sourire. On était soulagés d'avoir réussi cette première sortie.

-Viens, lui ordonnais je.

Depuis mon bureau, on pouvait escalader le fait du toit. Je la posais devant moi, à califourchon. Je braquais les jumelles vers une maison un peu plus loin. Le portail était fermé. Le gros pickup était garé dans la cour. Je fouillais l'espace du regard. Le coupé de papa connard n'était pas là. Je souriais. Les ouvertures avaient l'air intactes. Je passais le binoculaire à Christelle.

-Tu vois la maison avec le lierre? Demandais-je

-Oui. Qu'est-ce qu'elle a?

-C'est la maison d'un survivaliste. Un de ces gars qui se préparent à ce qui se passe en ce moment. Il est loadé en armes, vivres,et tout le nécessaire. Le seul bémol, c'est qu'il pensait que la fin du monde arriverait un week-end ou un jour férié. Du coup, papa connard est au boulot à Paris et fifils connard est à son école d'Orléans.

-Et tu vas faire quoi?

-Lui piquer sa femme, sa fille, sa maison et son trésor.

-Pourquoi tu ne l'as pas fait tout de suite?

-Je voulais être sûr que le mec ne revienne pas. C'est un ex para avec une arme dans sa bagnole. Il aurait fallu une approche différente. Et puis je t'ai, toi. Je voulais profiter d'abord. Monter au carton avec les couilles pleines, c'est le meilleur moyen de faire une connerie.

-Tu vas y aller, maintenant?

Je n'arrivais pas à savoir si elle l'espérait ou le craignait. En tout cas, elle en éprouvait une vive émotion.

-Nous allons y aller. Mais d'abord, je dois t'enculer.

Elle ne dit rien.

-Ainsi, tu seras à moi, complètement. Je saurai que je peux compter sur toi.

Elle se mit à trembler.

-Ne dis rien. C'est inévitable.

-Tu iras doucement?

-Avec toi, oui. Mais cette salope de bourge et sa greluche vont connaître la douleur.

En fait, je n'ai rien contre infliger la douleur. Mais si vous cassez violemment le cul d'une salope, elle va avoir des pertes pendant plusieurs jours et j'avais pas envie d'avoir Christelle qui lâche des petits paquets de merde un peu partout chez moi. Et la pose de couches, que j'employais avec mes autres victimes demandait du temps et du matériel, et j'étais un peu à court.

Pour une bonne pénétration anale, la préparation et le lubrifiant sont l'Alpha et l'oméga. J'avais dit à Christelle de bien chier et de se laver ensuite. Je la plaçais à quatre pattes sur le tapis du salon J'inondais littéralement son anus de lubrifiant, introduisant deux doigts à demi pour m'en servir comme gouttière. Je m'appliquais quelques gouttes sur le gland et me plaçait contre son étoile serrée.

-Prouves moi ta soumission, dis-je. Enfonce toi ma bite.

Elle commença à reculer ses fesses. Le bout de mon gland s'introduisit, tandis que le pourtour froncé devenait peu à peu lisse. Quand mon gland fut englouti, elle s'arrêta. Elle tremblait comme une feuille, paralysée par la douleur que je voyais déformer son visage dans le miroir en face de moi.

-Je suis à peine à moitié. Dis je.

-Je , je ne peux pas.

-Tu veux que je termine?

Elle ne put qu'agiter la tête, sans vraiment rien signifier de précis. Je crochais mes mains dans ses hanches et poussais. Elle poussa un petit cri de douleur quand mon sexe butta au fond de ses entrailles. L'anneau était presque disparu dans son cul sous la pression. Elle gémissait en tremblant de plus belle. Je restais buté dans le fond de son anus quelques secondes puis commençais les aller-retour. Elle criait"ho!" à chaque fois que je la pénétrais à fond. Sous ma poussée, elle s'effondra et je continuais à la pilonner étendue sur le sol alors que des sanglots la secouait. Le plaisir m'arracha un cri, et je demeurais un instant étendue sur elle à digérer mon orgasme. Puis je me relevais , les jambes flageolantes. Je me laissais tomber cul nu sur le canapé. Elle se redressait doucement, le corps meurtri par l'accouplement brutal.

-Tu m'as fait jouir, petite.

Elle le regarda avec surprise. Puis elle me sourit.

-Tu es gentil.

C'était trop. Je partis dans un fou rire irrépressible. Lorsque je fus enfin calmé , je m'habillais et l'emmenais à la cave. J'ouvris la porte secrète de la cuve à fioul. Il y avait là un ensemble de colliers et de chaînes pour immobiliser les captives.

Je fis pivoter le meuble à côté de l'armoire forte, et pris l'un des nombreux dvd qui s'y trouvaient.

Elle était assise dans le canapé quand je lançais le film. C'était Nathalie, une de mes préférées. Après quelques clichés de paparazzi, elle apparaissait dans ce même salon, bras bloqués dans le dos et jambes écartées à la barre fixée dans ses anneaux de cheville. Le son était meilleur que dans les premiers dvd grâce à la perche. Et elle, je l'avais vraiment saccagée. Les plans se succédaient. Nathalie en gorge profonde, les yeux exorbités et la bave mêlée de mucus déferlant sur son menton. Nathalie hurlant , le cul forcé à sec. Nathalie gémissant, un gode dans la chatte. Nathalie essayant de plus en plus gros plugs anaux. Une heure dix huit durant , les scènes s'enchainaient. Nathalie, la bouche tenue ouverte par un anneau, buvant mon urine. Nathalie s'éclaboussant les jambes de diarrhée. Nathalie criant quand je la lavais au jet. Nathalie suppliant sous le fouet. Nathalie hoquetant de douleur lors d'un double fist. Nathalie, enfin, subissant un enculage dans un état semi comateux. À la fin, Christelle me regardait avec des grands yeux ronds.

-C'est ce que tu veux me faire? S'enquit elle.

-Non. Toi, tu as eu la bonne réaction. Quand j'ai placé ta main sur ma bite. J'ai su que tu cherchais un maître. Tant que tu resteras à ta place, tout ira bien.

Elle opina du chef.

Ce visionnage m'avait excité. Je la fis se placer face à moi, à cheval sur mon sexe dressé. Elle s'enfila ma bite dans son sexe et commença à monter et descendre. Au fur et à mesure que sa mouille lubrifiait son vagin, elle s'agitait avec de plus en plus de vigueur. Je léchais ses seins et empoignais ses fesses pour accompagner ses montées et descentes . Elle gémissait de plus en plus fort et finit par avoir un soubresaut orgasmique qui la ramollit. Je la secouais encore , comme une poupée de chiffon pendant quelques minutes avant de la laisser tomber pubis contre pubis et d'inonder sa féminité.

Elle eut un petit rire de contentement.

-J'ai joui. Dit elle.

-J'ai remarqué.

Le programme télé ressemblait à présent à celui de la défunte RDA. Un présentateur débutait des informations convenues devant un écran montrant des reportages sur les camps de réfugiés mis en place par les forces armées dans les provinces. Des familles épuisées exprimaient leur soulagement d'être enfin en sécurité. Des patrouilles d'intrépides policiers et militaires intervenaient pour libérer des malheureux des griffes de morts vivants hideux.

-Ils reprennent le contrôle, dit Christelle.

-Ils recrutent. Les gars tirent des dizaines de balles pour libérer quelques pelos. En plus leurs blindés sont fragiles et demandent de l'entretien. L'armée, ou plutôt des groupes armés vont régner sur un bout de territoire. Mais leurs bordels militaires sont fragiles, et leurs stocks limités. Ils doivent chercher à récupérer des VIP, et c'est tout. Tu crois que nous, on les intéresse?

-Mais il y a de l'eau et de l'électricité,pourtant.

-Ça ne durera pas toujours. C'est surtout parceque le château d'eau est plein et qu'il y a un champ d'éoliennes pas loin. Mais tu peux être sûre que ça va pas durer.Non, je pense toujours qu'il faut récupérer la maison de papa connard.

Elle hocha la tête.

L'alarme de papa connard était un modèle assez récent, et plutôt performant. Elle était reliée à un centre de télésurveillance en banlieue qui envoyait un sbire en cas de déclenchement intempestif.

Et ce sbire avait une télécommande universel. Cette boîte était leader sur le marché, donc posséder une de ces télécommandes était une ardente nécessité. Le détenteur initial et j'ai envie de dire, légitime ,de ce petit objet ayant brûlé dans un accident de voiture, elle n'avait pas été désactivée. D'une pression sur le bouton idoine, je désactivais l'alarme et la porte d'entrée se débloqua avec un bourdonnement. J'entrais silencieusement dans la maison. Un rapide tour du propriétaire au rez de chaussée montra un salon salle à manger cossu s'ouvrant sur une cuisine américaine. L'escalier qui montait au premier était en pierre, ce qui évitait les grincements. J'entrouvrais la première chambre. Un mâle ronflement retentissait . Fifils était à la maison. En raison du décalage des zones de vacances entre l'île de France et le 45. Je me glissais à la tête du lit. Je serrais mon poing gauche autour de sa gorge et comme tout le monde, en pareil cas, il attrapa mon bras gauche. Mon poing droit put ainsi être décoché à pleine force dans sa tempe. Il s'évanouit instantanément. C'était ironique de réveiller quelqu'un pour le rendormir instantanément.

La mère et la fille se partageaient les autres chambres. La fille d'abord . Elle ouvrit des yeux terrifiés devant la lame et hocha la tête quand je lui ordonnais de rester silencieuse. Je lui menottais les mains dans le dos et lui reliait les chevilles avec du duck tape . Bâillonnée avec le même scotch, elle était neutralisée. J'allumai la lumière dans la chambre conjugale. La mère se redressa en sursaut.

-Salut, dis-je. Il est l'heure de se lever.

-Qui êtes vous? Demanda -t'elle.

-Les nouveaux propriétaires. Répondis-je. Allez, debout.

Les réunir tous les trois dans la pièce principale fut chose aisée. Ils étaient; la mère dans un fauteuil, les jambes entravées; la fille sur le canapé, toujours ligotée, et enfin le fils; juste menotté au radiateur, mais également bâillonné. La mère ne cessait de poser des questions stupides, genre " que voulez-vous?" ,ou de faire des propositions d'arrangement" prenez tout ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal."

-En fait, nous allons faire tout cela. Nous allons prendre tout ce que nous voulons, et vous faire du mal. Ou du bien, ça dépend comment vous allez le prendre .

-Vous êtes des monstres! S'exclama -t'elle.

Je la gifflais d'un revers de la main droite. Mais j'avais oublié que je portais mes gants de motard renforcés au kevlar, comme le demande la loi. Sa lèvre inférieure éclata sous le choc et j'ai dû lui ébranler les dents. Elle gémit.

-Parfait, puisque tu as une si grande gueule, tu vas me sucer en premier.

Elle secoua la tête avec rage, projetant de petites gouttes de sang de ci, de là .

-Comme tu veux.

Je me dirigeais vers son fils.

-Ne touchez pas à Kévin, hurla-t'elle.

-Trop tard.

Je travaillais au niveau des flottantes avec des petits crochets. Le gamin criait de douleur. La mère suppliait que j'arrête. Je laissais Kévin s'effondrer au pied de son radiateur.

-Bien, à nous, donc. Si je sens les dents, je pète celles à ton petit chéri.

Elle se pencha avec un air dégoutté et je m'enfoncais entre ses lèvres ensanglantées. Je lui bloquais la tête et commençais à lui baiser la bouche. Ses hauts le coeur répétés étaient une musique enchanteresse à mes oreilles. Ses borborygmes inarticulés retentissaient dans la pièce.

Je grognais et me vidais sur son visage. Elle avait du vomi sur le menton..

-T'es belle, madame. Je vais t'appeler "bouchemaman". Ton prénom m'intéresse pas. Tu t'appelleras par le nom du trou que je voudrai.

Je me tournais vers Christelle.

-Tu t'attendais à ce genre de festivité?

-Un peu.

-Mais tu n'as rien eu, ma chérie. Ce n'est pas juste.

-Je veux la fille.

-Tu la connais?

-Non, mais c'est le genre de pétasse friquée qui se croit mieux que tout le monde.

Je me dirigeais vers la fille, je la tirais sur le bord du canapé, le visage vers le haut. J'arrachais le bâillon de la belle qui gémit"non".

-Si tu résistes je te rentre mon poing dans le cul. Avertis je.

Elle hocha la tête en tremblant.

Christelle avait enlevé son treillis et sa culotte. Elle posa son sexe sur la bouche de la jeune fille.

-Tu t'appelles comment? Demandais-je

-Priscilla.

-Hé bien, lèche Priscilla. Ordonnais-je.

Des bruits de succion retentissaient entre les jambes de Christelle. Elle rit.

-Qu'est-ce qu'il y a? Demandais-je.

-J'ai envie de faire pipi.

-Ouvre grand Priscilla. Dis-je.

-Non, c'est dégoutant. Dit Priscilla.

-Putain tu m'énerves, dis-je.

Je posais mon poing fermé entre ses fesses et exerçais une légère pression sur sa rondelle. Elle ouvrit la bouche le plus grand possible. Christelle lâcha sa vessie . Le jet se déversait entre les lèvres .

-Fais un pipi stop. Conseillais je. Tu vas la noyer.

Priscilla respira deux fois encore avant de lècher la dernière goutte.

-T'as vu, ça plaît à Kévin,dis je.

Effectivement une bosse déformait le caleçon du gamin. Christelle rit et baissa le short . Le garçon avait une belle bite, faut avouer,bien droite et plutôt grosse .

-Christelle, souviens toi à qui tu appartiens. Rappelais je

-Pas de danger. Répondit elle.

-Dis moi, Kévin, tu préfères baiser ta mère ou ta soeur? Lui demandais-je en le mettant accroupi devant lui.

-Laissez nous. Dit il dans un souffle.

Mauvaise réponse, commentais je en abattant mon poing ganté au même endroit que tout à l'heure .

-Prends moi, Kévin, prends moi! Cria sa mère.

-Tu vois, maman est raisonnable.

Je la fis pivoter, ainsi, elle tendait son cul, un peu gros, j'avoue, mais bon. J'entravais les pieds de Kévin et lui détachais une main. Il avança à pas ridiculement petits jusqu'au fauteuil où pointait le fion maternel et se plaça à genoux derrière la chatte qui l'avait fait naître. Il entra dans la grotte familiale et commença ses va-et-vient. Cela dura fort peu. Avec un grognement, il éjacula.

-Un peu décevante, la performance , Kévin. Dis je.

La mère me regarda avec son visage au bas croûté de sperme et de vomi. Des larmes coulaient en rivière sur ses joues. Comme je lui avais lié les mains derrière le dossier, elle était bloquée en position de levrette. Avec Priscilla étendue à plat dos sur le canapé et Kévin effondré au pied de son radiateur, ils formaient un sacré tableau. Je manquais soudainement d'inspiration. Ou peut-être même de désir. Je revins vers Priscilla. Je la plaçais à genoux.

-Tu la prends dans ta bouche.

Elle prit mon sexe flasque dans sa bouche.

-Colle bien tes lèvres. Tu est pisse Priscilla. Ne bouge plus.

Le premier jet la fit avoir un haut le coeur, mais elle se reprit, car j'avais pincé la base de mon sexe. Puis je repris et mon urine se déversa dans sa gorge. Je la voyais rouler des yeux effarés, mais elle me but jusqu'à la dernière goutte.

-Parfait, maintenant suce. Et fais moi une bite bien baveuse. Que ça glisse dans le cul de ta mère.

-Je me demandais laquelle tu enculerais en première. Remarqua Christelle.

-La fille est encore pure de ce côté et j'ai remarqué que la mère a l'air d'avoir déjà été élargie. Papa connard a dû en profiter. N'est ce pas maman cul?

-Vous êtes un monstre. Répondit elle.

-Si tu préfères,je peux demander à un de tes gosses de te préparer.

Elle eut un gros sanglot. Elle allait se déshydrater , à force.

-Il me prend par là la semaine de mes règles. Avoua -t'elle.

Je ricanais. C'est plus fréquent qu'on ne croît.

-Tu as du lubrifiant, alors! M'exclamais-je.

-Non. Il met de l'huile.

Sur un signe de moi Christelle ramena une bouteille. C'était l'une de ces nouvelles bouteilles, avec le système pour en mettre une petite giclée, et seulement une petite giclée.

-Mets lui en un peu, dis-je à Christelle.

Elle enfonça l'embout dans le trou du cul de mamancul.

-Une giclée suffira?

-Largement.

Je repoussais Priscilla. Je m'installais derrière le fessier confortable de sa mère. Je posais mon gland sur l'ouverture de ses reins et poussais. Le gland fut englouti en un instant. Effectivement, elle avait été bien enculée. Son trou était accueillant et moelleux comme une bouche, avec juste la sensation d'un anneau un peu plus serré au bord. C'était une sensation inédite pour moi. Je suis plus habitué à forer mon chemin dans des orifices rétifs et serrés de terreur. Cette mère de famille avait un trou accueillant et chaud. Je la pilonnais longtemps, avec une forme de rage. Et elle exprimait une émotion compréhensible. Elle prit même un certain plaisir, qui se manifesta par une giclée de liquide. En plus mémère était une femme fontaine! Je lachais finalement quelques giclées au fond de son cul. J'étais crevé. En même temps, il était près de trois heures du matin.

je laissais la petite famille menottée. Maman n'avait pas besoin d'être rattachée. Elle était dans une position humiliante et impossible à changer sans briser le fauteuil. Priscilla était liée en boule sur le canapé, avec la chaîne prise dans le pied du meuble. Kévin était juste entravé par les mains en position agenouillée. Je ne les baillonnais pas. Je leur dis juste de bien se mettre d'accord sur la suite prévisible des événements.

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AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Un peu mieux que moyen, fait des histoires plus longues.

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