Mon Apocalypse à Moi 07

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Une nouvelle journée de pluie. Farida sortait Suzy pisser et je songeais au nombre de choses à faire. En fait, très peu. Christelle faisait une veille internet pour trouver d'autres survivants, Kévin passait beaucoup de temps sur le toit, pour surveiller les alentours depuis la plateforme déguisée en cheminée que nous avions construit. Katia et Aurélie maintenaient la maison propre. Maman et Priscilla préparaient de bons repas avec le plus possible de produits frais.

Christelle était assise à mes pieds, la tête posée sur mon genou droit. Ses fesses la cuisaient encore de la correction de la veille, je le voyais bien à son attitude, mais elle n'en manifestait aucune rancoeur. La télévision diffusait un reportage inintéressant sur une fromagerie qui commençait à bien produire. Je sortis et inspectait tous mes sex toy. Je me plaçais devant Suzy.

-Allez, avale tout. Dis-je

La bikeuse à la volonté brisée mit ses lèvres autour de mon sexe. Je lui pissais dans la bouche, et elle avala jusqu'à la dernière goutte. Ensuite, je la fis mettre cul en l'air et tête en bas pour passer une crème relaxante et hydratante sur le pourtour distendu de son anus.

Elle se laissa faire sans broncher puis alla boire à son écuelle.

Après déjeuner, je songeais que baiser était ce qu'il y avait de mieux à faire. Après tout, les choses à réaliser étaient essentiellement en extérieur. Je donnais consigne à Farida de dégager le tapis et d'y disposer des coussins; le fauteuil et le canapé délimitaient un espace vaste et agréable, tandis que je reliais la caméra au téléviseur pour montrer à tous ce qui se passait sous un angle différent. Je posais face à la télévision les sextoys et les plugs ainsi qu'une bouteille de lubrifiant. Je sortis ma petite boîte de pilules rouges.

-C'est du viagra? Demanda Kévin.

-C'est bien mieux. Ça n'empêche pas l'éjaculation, mais ça te garde bien dur. Si tu te vides complètement, après trente minutes, au calme, tout revient à la normale.

Les filles se tenaient, toutes nues au bord du tapis, ne sachant que faire.

Je les regardais.

-Allez les filles, on se gouine.

Katia se tourna vers Christelle et l'embrassa profondément, caressant sa poitrine. Priscilla glissa sa main gauche entre les jambes d'Aurélie. Christelle s'allongea et attira la tête de maman entre ses jambes. Aurélie ne tenait plus debout sous la caresse de Priscilla qui lui léchait en plus les seins, alors que deux doigts allaient et venaient dans la chatte de la ronde jeune fille. Katia se positionna derrière lenlarge fessier de maman et commença à explorer ses orifices de la bouche, de la langue et des doigts. Ensuite Priscilla, après avoir fait jouir Aurélie, l'allongea sur le dos et lui présenta son sexe épilé.

La petite colla ses lèvres à la fente de la fille de la maison et émit à partir de là des bruits de succion. Katia poussa un gode rose dans le sexe de maman qui gémit de plaisir. Un concert de souffles rapides, de gémissements et de petits cris montaient de ces femmes emmêlées. Je présentais mon sexe à la bouche de Priscilla et lui baisait la figure alors qu'elle était assise dos au fauteuil. Kévin coulissait dans la fente de Katia. Peu après, je les fis toutes s'aligner,fesses en l'air le long du canapé. Je les prenais toutes, jusqu' à les mener au plaisir et Kévin fit de même. Dans son excitation, il fit crier sa mère et sa sœur sans aucune difficulté. Puis , dans la même configuration, je leur prenais le cul, ce qu'elles subirent avec moins d'entrain. Kévin se joignit à la fête. Là encore le lien de parenté ne le gênait pas. Lorsqu'il sodomisait sa mère , celle-ci se cachait le visage dans les mains, gênée qu'il sente la différence avec les autres et qu'il puissent comprendre qu'elle acceptait ces rapport contre nature depuis si longtemps. (Je le sais, je lui ai demandé après. Se faire enfiler par son fils ne la choquait pas, mais elle tenait à garder une certaine image) , Je fis remarquer que de toutes, c'était encore Aurélie la plus serrée et suggérais aux autres de s'occuper d'elle car c'était le moment de la double. Kévin se posa sur le fauteuil et Katia vint le chevaucher. Elle se cambra impeccablement, caressant le visage du jeune qui ne savait où donner de la bouche, les seins parfaits de la moldave devant son visage. La double fut un vrai régal. Christelle succéda à la professionnelle. Elle aussi accueillit nos deux sexes sans trop de difficultés. Pour maman, ce fut plus délicat. Le volume général était une gêne plus grande. Mais elle reçut une giclée de son fils avec un petit cri. Pour ma part, j'explosais serré par l'anus de Priscilla. Après, tout s'enchaîna, je prenais des sexes ouverts, des bouches parcouraient mon corps. Plusieurs fois des mains écartèrent des culs, m'offrant une oeillet soumis. À la fin, j'éclaboussais le visage de Christelle et Katia qui se partageaient mon gland de la bouche et de la langue. Elle se nettoyèrent le visage de baisers avec des rires de collégiennes perverses. Je me redressais. Aurélie godait le sexe de maman. Priscilla s'étalait le sperme de son frère sur les seins. Kévin était à la limite de l'inconscience, le sexe en pleine retombée. Je me levais et me soulageais dans la bouche de Suzy. Peu à peu, tout le monde arrêta des activités sexuelles et reprenait le cours normal de la journée. Je menais Suzy dans le jardin , qu'elle se soulage. Son anus ne se fermait plus. On pouvait y glisser deux doigts sans difficulté. Je ne la rebouchais pas et la ramenais dans la pièce. Le plug avec une queue était moins gros, mais de forme ovoïde. L'insérer fut facile, et il ne tenait pas mal à la traction.

-Si tu es une bonne chienne, ce sera ta queue. Sinon, tu auras le fouet et celui encore plus gros

Suzy hocha la tête et d'un mouvement rapide, me baisa la main. Maman approchait.

-Je peux? Demanda -t'elle timidement.

-Bien-sûr, répondis je en souriant.

Maman disposa ses cuisses de part et d'autre du visage de Suzy. Son sexe était ouvert et laissait échapper un petit filet de mouille. Suzy ouvrit le bouche et se colla aux grandes lèvres. J'entendis le jet frapper le palais de notre chienne. Celle-ci but interminablement, avant de se reculer et d'avaler une grande goulée d'air.

-Fais des pipi stops, tu vas la noyer. Remarquais je.

Maman rit. Puis elle se dépêcha d'aller en cuisine pour préparer le dîner. Et le fait était que j'avais faim. Il était vingt heures passées. On avait passé l'après midi à baiser. Les filles étaient joyeuses, avec les yeux brillants. Même Aurélie discutait , elle d'ordinaire si réservée. Je m'étais rhabillé avec le jeune Kévin pour aller rapidement faire le tour du pâté de maisons.

Les deux trois zombies qui traînaient là furent envoyés vers la carrière. Ces stupides créatures vont vers une proie visible ou par le chemin le plus facile. Les envoyer vers la cuvette d'extraction de sable n'était que l'affaire de quelques fils de fer et bûches instables.