Mon Apocalypse à Moi 08

Informations sur Récit
Une gentille famille de survivants se présente.
2.6k mots
4.3
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Partie 8 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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8

La voiture avançait doucement. Je distinguais quatre passagers. Une femme et un homme devant et deux petits derrière. Je me plaçais au milieu de la route, juste à côté d'une des épaves qui constituaient les chicanes. Je fis signe de stopper. La voiture s'arrêta.

Une grande femme descendit du côté passager , et un homme dégarni d'aspect falot de l'autre côté. Il avait coupé le moteur. Deux visages d'enfants chiffonnés de sommeil apparurent entre les deux sièges avant.

-Bonjour. Dis-je.

-Bonjour, répondit la femme.

-Qui êtes vous?

-Nous sommes une famille, en route pour la zone safe. Nous n'avons pas mangé depuis deux jours, et nous voudrions aussi un peu de carburant, si vous en avez

-Pourquoi voulez-vous aller vers la zone gouvernementale?

-Pour que les enfants soient en sécurité.

-Vous avez des qualifications?

-Je sais jardiner et mon mari est comptable.

-Vous n'êtes pas dans les qualifications recherchées. Vous allez être placés dans la zone d'attente.

-Qu'est-ce que c'est?

-Quarante km de no man's Land sous la lois des gangs. Et qui attire les morts comme le miel les mouches.

-C'est horrible.

-Vous avez plus que six cents bornes, mais faut reprendre la nationale.

-Elle est bouchée par un accident.

-La route est bonne jusqu'à Bermigny village. Vous revenez avant les épaves et vous tournez à gauche.

-Il nous faut à manger et du carburant.

-Navré, on garde ce que l'on a pour ceux d'ici.

Le soupir du petit homme donna l'impression qu'il rétrécissait. Je ricanais. La femme le fusilla du regard.

-Vous avez peut être besoin de quelque chose que nous avons. Dit elle.

-Nous avons tout ce qu' il nous faut.

Un silence accueillit ma réponse.

-Si vous savez jardiner, vous pourriez être utile. Dis-je.

-Vous nous proposez de rester.

-Pas du tout. Vous ne connaissez pas les règles,ici.

-Et quelles sont les règles?

-Les femmes ne me disent pas non. Et c'est une fille de treize ans qui organise les tâches domestiques.

-Et comment dois-je prouver que le suis ok?

-Par un golf à trois trous. Maintenant.

-C'est quoi?

-Bouche chatte cul. Ensuite, on prend votre voiture, on vous bande les yeux et on vous emmène là où on vit.

-Et il y a quoi, là bas?

-Eau courante, électricité, cinq femmes et un homme. Les femmes sont nues à l'intérieur et on ne touche pas aux mineurs. Sexuellement, je veux dire.

-Mais c'est honteux, s'indigna le monsieur. C'est hors de question.

La femme le regarda avec mépris.

-Tu peux dire non, Bernard. Mais les enfants n'ont rien mangé depuis deux jours et la jauge essence est au quart. S'il faut juste me faire sauter pour obtenir un abri, ça vaut le coup.

-Mais Sylvie...

-Rien. Casse toi si tu veux, mais j'en ai marre. J'ai faim, j'ai soif, je suis sale. Et on n'arrivera jamais chez ta mère non plus.

-Ils ont de l'eau et des engins agricoles. Et...

-Et ta mère qui joue à la cheftaine, ton père qui essaye de tripoter la gamine et ton frère débile qui se branle dès que je vais aux chiottes.

-J'ai des choses à faire. Vous dites quoi? Demandais-je avant que cela tourne à la scène de ménage.

-On dit oui. Bernard, tu te casses si tu veux. Moi, je reste. C'est ici que ça va se passer?

-Oui.

-J'ai pas pris de douche ni changé de slip depuis une semaine. T'es pas dégoutté?

-J'y ai pensé. Bernard va te nettoyer

-On a plus d'eau

-Avec sa langue.

Elle eut un drôle de sourire, tandis que Bernard baissait la tête. Elle dit à ses enfants de se cacher et dégrapha son jeans crasseux. Sa culotte de coton avait été rose et était à présent grisâtre. Elle la baissa aussi. Son sexe était poilu, mais entretenu. Vu son caractère, je me serais attendu à un buisson désordonné. Elle fit un signe à Bernard, qui se mit à genoux sur l'asphalte, et se mit sur le capot, les pieds posés sur le bouclier avant. Bernard posa sa bouche sur le sexe de sa femme. Il émettait des bruits humides, nettoyant de son mieux l'intimité de Sylvie. Après quelques minutes , elle le repoussa. Je remarquais la bosse sur le devant du pantalon de toile de Bernard.

Sylvie s'accroupit pour me sucer. Elle prit ma bite avec une certaine rudesse, un peu mécanique. Elle aurait besoin de leçons et de pratique. Après une ou deux minutes de pipe, je la relevais. Elle portait un t-shirt sale et sentait la sueur. Elle se mit sur le capot. Je la pénétrais sans difficulté, elle était bien humide. Je la besognais longuement, faisant osciller les suspensions. Elle hoqueta un peu, mais c'était un premier coup, et je ne voulais pas qu'elle y prenne du plaisir. Je me reculais et la toisais dans les yeux. Elle se plaça, les pieds à plat sur le sol, et les seins écrasés sur le capot.

-Doucement, s'il vous plaît. Dit elle.

Son cul était serré, comme une étoile sombre. Il y avait des poils épars autour. Je mouillais un doigt dans son sexe et l'introduisis, en m'y reprenant à plusieurs fois tant son anneau était serré. Je dus mouiller encore plusieurs fois mon doigt, puis j'ajoutais mon index à mon majeur. Je l'entendis plusieurs fois jurer sous le coup de la douleur. Je plaçais mon sexe lubrifié de sa mouille. Je poussais, tandis qu'elle criait sa peine. Dans le pare brise, je voyais le reflet de sa détresse et sa douleur. Le sphincter capitula et le gland franchit son fragile barrage.

-Aah! Salaud! Ça brûle! Cria -t'elle.

Je m'arrêtais, pour lui laisser le temps de s'habituer à mon intrusion. Elle cria.

-Bourres moi, qu'on en finisse, salaud!

Je m'enfonçais dans son anus, jusqu'à la garde, puis commençais les va-et-vient, de plus en plus rapides. Elle était diablement serrée pour un femme de son âge, largement trentenaire. Un coup de feu discret claqua et un zombie s'effondra à quelques mètres de nous . Kévin et Christelle veillaient.

Je continuais encore un peu, avant de me lâcher dans son fion.

Bernard hoqueta ridiculement.

-Ça t'as plu,connard? Ça t'excites de voir ta femme, la mère de tes enfants humiliée et baisée comme une chienne? Hurla Sylvie

Il balbutia une réponse inaudible. Elle le gifla.

-On fait quoi, maintenant?

Je sortis de ma veste quatre masques pour dormir en avion. Je les posais sur les Martin et les assurais avec un scotch. Puis Bernard s'installa à l'arrière entre les gosses et Sylvie à l'avant La bagnole puait la crasse et la sueur. Je fronçais le nez de dégoût, la voiture accepta de démarrer et après vingt minutes de route par tout un tas de détours, j'arrivais à la maison. Maman serviette les attendait à la porte et envoya Sylvie, Théo six ans et Margot douze ans dans la salle de bain du bas et sa douche à l'italienne, tandis que Bernard restait dehors avec nous pour inventorier son apport à nos stocks. Ils avaient une tente et du matériel de camping, ainsi qu'une glacière vide. La seule chose qui ressemblait à une arme était une petite hachette un peu rouillée.

-Tu fais quoi avec cette merde? Demandais-je.

-C'est pour couper du bois.

-Tu allais vraiment crever, mon pauvre. C'est déjà un miracle que tu sois arrivé jusque là. Commentais-je.

-C'est que...

-Laisse. T'as pas la loi à la maison, n'est ce pas?

Il soupira. Ce gars, c'était le pro du soupir désespéré.

À table, les enfants en short et t-shirt, Sylvie nue, avec ses seins tombants (elle avait perdu 29 kg l'année d'avant) et Bernard; pantalon ,chemise, mocassin à gland nous racontèrent leur périple.ils étaient restés enfermés trois jours dans leur appartement de Seine saint Denis avant de trouver le courage de se sauver dans le break familial. Depuis, ils avaient eu des aventures avec des zombies qui avaient failli les bouffer au moins vingt fois. Sylvie avait fait un stage de trois mois dans une ferme de permaculture, et depuis enseignait cette technique dans sa commune aux portes des grandes cités pourries de la banlieue nord. Je connaissais la région. J'avais chassé par là, quand le loto des affectations ne me favorisait pas. Les négresses sans papier étaient un met de choix, puisque personne ne les cherchait jamais. Je serais sans doute devenu imprudent, si je n'avais pas été muté dans cette lointaine banlieue sud. Quand mamanvaisselle et sa fille eurent terminé, Sylvie coucha ses enfants dans la chambre d'amis.

-Et maintenant? Demanda-t'elle en se posant dans le canapé.

-Maintenant, Bernard se déshabille, dis-je.

-Mais, protesta-t'il , non.

Je le regardais droit dans les yeux et pris ma badine dans la main. Il baissa la tête et commença à enlever ses vêtements. Je remarquais avec satisfaction qu'il arborait une mi molle.

-Priscilla, assied le sur le carrelage

La fille de la maison le guida.

-Pisse lui dans la bouche.

Il émit un son, mais un coup sec de la badine sur la cuisse lui fit pousser un glapissement aigu.

Priscilla lui colla la bouche sur sa vulve rasée et commença à se soulager. Il tétait l'urine comme un nectar et arbora bientôt une magnifique érection. Je donnais le martinet à Christelle, et sur mes indications, elle lui fouetta l'intérieur des cuisses. Quand une lanière toucha le sexe bandé, il lâcha un couinement de plaisir.

-Je peux? Demanda Sylvie.

Je m'inclinais de manière exagérée.

-Sale porc! C'est comme ça! Cria -t'elle en abattant le fouet .

Elle continuait à l'insulter et à le frapper, et toutes ses insuffisances ressortaient. Mauvais mari, mauvais amant, mauvais père, fils à sa salope de mère et minable aide comptable au boulot. Il émit un hoquet, alors qu'il s'était mis en chien de fusil pour échapper à l'Avalanche de coups. Une belle éjaculation s'étalait sur le carrelage et il tremblait de plaisir.

-Ton mec est un gros maso, Sylvie. Tu n'avais jamais réalisé?

-Je croyais que c'était juste un bande mou. Répondit-elle. Il a pris son pied, là?

-C'est même une révélation,pour lui.

-Comment as tu deviné?

-Tout à l'heure, quand tu étais sur le capot, il bandait. Pas parce que la situation l'excitait, mais à cause de l'humiliation.

-Ça l'excite de me voir humiliée?

-La sienne, d'humiliation. Il n'est même pas capable de défendre la mère de ses gosses.

-Quel taré.

-Non, il va donc prendre sa place, juste au dessus de Suzy. Lèche tes cochonneries, Bernard.

Je regardais Sylvie.

-Tu sais, le premier zombie, tout à l'heure . Dis-je.

-Oui.

-C'est Kévin qui l'a abbattu. Et Kévin, c'est un garçon.

Sylvie lui jeta un coup d'œil et revint vers moi, effrayée par le regard du garçon.

-Quand Kévin a bien travaillé, il a droit à une récompense. Et là,ce soir, la récompense,c'est toi.

Elle hocha la tête.

-Comment? Demanda -t'elle

-Par derrière, répondis-je.

Elle hocha la tête de nouveau, mais avec moins d'assurance, et davantage de peur.

-Mais mamanbouche va te préparer. Ajoutais-je.

Maman se plaça derrière Sylvie qui attendait passivement, la tête rentrée dans les épaules et le regard fixé au sol. Maman passa sa langue sur le petit trou frémissant. Elle massa le pourtour du petit orifice serré de la langue et des lèvres, tandis que sa main papillonnait le long de la vulve toute proche. Des sons positifs sortaient à présent de la bouche de la grande femme aux formes lourdes. Elle haletait à présent que deux doigts oints d'huile allaient et venaient dans son rectum un peu élargi, tandis que du pouce de l'autre main, maman flattait son clitoris. La mère au foyer se releva un peu et fit signe à son fils . Sylvie se tendit lorsque le gland du jeune homme pressa sur sa petite porte . Je fis signe à Kévin d'y aller cool. Il progressa lentement dans le fondement offert et ouvert. Elle grimaça douloureusement mais se détendit ensuite. Il pouvait aller et venir souplement dans le rectum de Sylvie. Il ne s'en priva pas, d'ailleurs, la prenant vigoureusement tandis qu'elle ahanait sans réellement se plaindre. Quand enfin, il se vida dans ses entrailles, elle soupira et poussa un cri de soulagement ou s'entendait aussi un peu de plaisir. Elle leva les yeux sur maman.

-Merci, quel est votre prénom?

-Maman. Tout le monde m'appelle maman. Je fais à manger et la vaisselle. Et aussi la lessive, mais les filles ne salissent pas beaucoup...

Sylvie hocha la tête.

-Faut que je pisse. Dit elle.

-Fais dans Suzy. Répondis-je.

Elle hésita,puis fit boire son urine à notre chienne ,avec un petit rire , quand Suzy lécha les dernières gouttes.

-Comment elle tient, sa queue?

-Avec un plug qui lui obstrue le rectum.

-Mais elle ne peut pas chier?

-On la sort régulièrement.

J'avais envie d'un petit trou serré. Je dis à Aurélie de se huiler le cul et de venir s' asseoir sur mon sexe. La jeune dodue prit de l'huile avec la poire à lavement et s'introduisit l'embout métallique dans l' anus. Elle pressa le corps souple du petit objet. Elle se doigta le trou avec l'index, et un peu d'huile coula sur le sol. Je lui fis signe d' approcher. Elle vint en baissant la tête. J'avais les jambes serrées. Elle posa ses pieds de part et d'autres des miens, présentant au reste du salon le spectacle de son intimité obscènement exposée. C'était un délice. Elle plaça ma bite sur son petit trou. Et elle laissa la gravité faire. Sur la télévision, l'écran était splitté en deux. À gauche, je voyais en gros plan mon sexe entrer dans l'anneau rétif et à droite, un plan moyen, moins explicite, mais où son visage défait était bien visible. La honte de s'exposer ainsi se mêlait de la douleur physique de mon sexe dur entrant dans son cul. Elle tentait de ralentir sa chute mais sans trop y parvenir. Ses cuisses se tétanisaient et elle finit par se laisser tomber. Mon gland fit un bond en avant dans son rectum. Elle cria de douleur.je lui empoignais ses gros seins et jouait avec. Elle se retrouva basculée légèrement en arrière. Sur l'écran, son petit trou était dilaté par la base de ma bite. J'étais entièrement enfoncé. Mon dieu, que c'était bon. Elle pleurait. Elle fit un effort pour remonter un peu. Elle n'avait que peu de force. Elle retomba avec un nouveau gémissement. Je l'empalais littéralement . Je regardais les autres filles.

-Venez l'aider, voyons. Fis-je

Katia et Christelle vinrent de chaque côté empoigner les épaules d'Aurélie. Elle la soutenait pour monter et la ralentissait en descente.

La dodue jeune fille se laissait guider , en pleurant. Je me lassais de ce jeu. Je dis aux filles de la tenir vers le haut et commençais à la bourrer à grand coup de reins. À chaque fois que mon pubis heurtait son anus, elle criait sa douleur. Elle sanglotait à présent, avec de gros reniflements de gamine. Je me tendis en arc pour lui déverser un long jet dans le colon. Puis je la repoussais. Elle resta debout, le visage dans les mains, pleurant sur son honneur perdu. Un liquide huileux coulait le long de ses jambes. Je me levais pour que Suzy me nettoie avec sa langue. Après le dernier coup de propre mis par la chienne, je me tournais vers Aurélie.

La jeune fille n'avait pas bougé. Elle continuait à pleurer. Je la décalais un peu, qu'elle ne ruine pas le tapis avec le filet d'huile souillé qui lui coulait du cul et me penchait sur elle en prenant son visage en coupe dans mes mains.

-Tu as pris une leçon, ce soir. Dis-je. Farida s'est plainte que tu esquivais le travail. Demain, tu iras avec Sylvie pour commencer le jardin. Je ne veux plus entendre de reproches à ton sujet, sinon ce sera le fouet. Je me fais bien comprendre?

Elle opina du chef.

-Vas te doucher. Concluais-je, et elle se hâta vers la salle de bain.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Toujours aussi addictive cette histoire

Il vient de gagner un maso qu'il va pouvoir prendre plaisir à torturer ou à faire torturer par les femmes.

vivement la suite

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