Mon Apocalypse à Moi 11

Informations sur Récit
Dressage de monture et discipline.
1.3k mots
4.42
10k
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Partie 11 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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11

Tania gisait sur le côté. Elle était déshydratée. Pas étonnant, avec le soleil de juillet. Je la redressais d'un coup sec sur sa laisse et la fit boire à la bouteille.

-Voilà. Maintenant, si tu en reveux, il faut boire ma pisse. Dis-je.

Elle acquiesça des yeux.

-Tu tires ta langue, et tu te concentres. Faut bien tout avaler. Je ferai des pauses pour que tu respires.

Elle accueillit le premier jet avec un haut le coeur qui la secoua toute entière. Je n'en tins pas compte et finis de me soulager.

Je lui versais ensuite sa purée. Moins riche que celle de Suzy, et surtout plus salée.

Je rentrais dans la maison pour le petit déjeuner.

-Tu sais , Farida, tu m'as souvent parlé de ton envie d'avoir un poney. Et bien on va dresser Fanny.

Les enfants de Sylvie étaient enthousiastes également, et tous voulaient savoir s'il pourraient la monter.

-Bien sûr, dis je. Mais il faut la dresser, d'abord.

Je sentis une pression le long de ma jambe. Suzy me regardait avec de grands yeux.

-T'inquiètes pas, tu restes ma préférée,je n'aime pas les poneys.

Suzy fit le tour de la table en s'agitant avec inquiétude. Farida comprit et l'enjamba. Suzy but son urine et lui passa un petit coup de langue sur l'entrecuisse.

-Je pense que notre chienne est jalouse. Dit maman. Elle a peur que vous l'oubliez au profit du poney.

Tous les enfants se recrièrent Puis emmenèrent Suzy pour aller jouer dans le jardin.

Katia me regardait.

-En fait, ça vous amuse Dit elle.

-Pas toi?

-Si. C'est excitant.

Je revins auprès de Fanny. J'enlevais le gode de son cul et la prenais à sec. Elle hurla par l'anneau que j'avais débouché. Kévin lui viola ensuite la bouche, puis je lui laissais la place. Lubrifié par nos deux spermes, le trou n'avait pas besoin d'huile pour accepter le gros plug destiné à le rendre plus accueillant. Elle hurla tout au long de l'intrusion. Puis plus fort encore quand je la fouettais avec le fouet de Farida. Ensuite, je lui battis les flancs et les côtes avec une spatule en bois, qui gifflait très fort sans laisser de traces durables. Et puisque cela m'avait excité, je lui violais encore la bouche. Je plaçais le parasol pour qu'elle ne grille pas au soleil, et l'abandonnait à quatre pattes. Dès le lendemain, Farida la nourrit, et lui fit faire sa crotte dans le seau. Je posais un verre plein sur le dos de Tania et lui fit faire quelques pas en rond avec une longe attachée à son collier. C'était compliqué, car si je voulais qu'elle se déplace avec le dos plat, il ne fallait pas qu'elle adopte la même démarche que Suzy, qui se déplaçait en se propulsant avec ses jambes, effectuant des bonds ,un peu comme un lièvre. Suzy n'avait pas besoin d'avoir le dos plat pour diriger les moutons, par contre, elle devait être rapide. Fanny devait,elle, avoir le dos bien plat. C'était essentiel. Au bout de deux tours, alors que j'accelerais le rythme, le gobelet tomba. Je rouais Tania de coups de spatule. Puis je recommençais l'exercice. Maria m'amena une bière fraîche. La portugaise avait maigri et bronzé. Elle restait grosse, mais était plus tonique. Elle me regardait en souriant.

-Qu'est ce qu'il y a? Demandais-je.

-Vous me protégez, vous me baisez bien. Je suis plus heureuse ici que je ne l'ai été depuis des années.

-Je suis un homme aux joies simples, répondis-je. Il faut juste obéir.

-Séverine veut vous parler.

-Va la chercher.

Séverine était nue, avec juste des tongs aux pieds.

-Je veux rester. Dit -elle. Je serai à vous.

Je la regardais en souriant.

-Bien, nous procéderons à votre entrée dans le groupe ce soir. Mais cela risque d'être difficile.

-Pourquoi?

-À cause du dressage de Tania, je m'appuie davantage sur Kévin et Ernesto. Ils vont devoir être récompensés. Même si je ne crois pas que vous êtes le type d'Ernesto.

-Ils vont me prendre aussi? S'inquiéta -t'elle.

-Sans aucun doute, au moins Kévin. Ernesto préfère les garçons.

Au repas du soir, tout le monde avait remarqué que Séverine était nue. Je laissais un peu mijoter tout le monde en parlant des progrès de Tania, puis annonçais la nouvelle. Les filles vinrent embrasser Séverine l'une après l'autre, et maman la serra bien fort dans ses bras. Le dessert servi et mangé, la table basse fut enlevée du tapis et toutes les filles se placèrent autour du salon. Je les regardais avec fierté. Mes soumises étaient émoustillée par la perspective de l'entrée de Séverine dans la communauté. J'avais demandé à Ernesto s'il voulait se joindre à la fête et il avait répondu "juste la bouche et le cul". Je me dénudais et vins me placer devant Séverine. Elle me prit doucement dans sa bouche et commença à descendre et monter avec un rythme lent. Elle avalait de plus en plus profondément mon membre, jusqu'à ce que son nez touche mon pubis et vint même s'écraser dessus. Je la laissais faire trois ou quatre fois, puis la contournais. Son sexe était assez fourni en poils mais pas entretenu, ce qui faisait bazar. Par contre, il luisait d'humidité. Je la pénétrais, écartant ses muqueuses de la pointe de mon gland. Après quelques coups, elle se mit à pousser de petits cris, et eut un même un discret orgasme. Je quittais presque à regret ce sexe accueillant pour poser mon chibre sur le petit trou inviolé de Séverine. Elle avait avoué toujours refuser ce rapport qu'elle considérait dégradant. J'avais saisi l'opportunité de la position pour la doigter et l'huiler pendant le rapport vaginal. Je lui déflorais l'anus avec un grognement. Elle cria de douleur et ne cessa de geindre que lorsque je jouis. Je sortis et constatais que son anus reprenait très vite son aspect initial. Kévin se présentait déjà devant les lèvres de Séverine. Elle le suça à son tour, avant qu'il ne se place derrière elle et commence à la baiser , tandis qu'Ernesto lui prenait la bouche. À mon signal, Kévin la fit le chevaucher. Elle s'introduisit le jeune homme et comprit ce qui allait se passer quand Ernesto lui caressa la fesse gauche.

-Non. Dit elle, le regard affolé.

-Règle numéro une, dis-je. On ne me dit pas non.

Elle laissa retomber sa tête au dessus du visage de Kévin et se cambra un peu. Ernesto entra dans son fondement avec la douceur nécessaire. Et elle gémit de douleur. Ils commencèrent à la baiser, alertant l'entrée et la sortie de leurs membres pour ne pas trop la heurter. Pourtant, son visage grimaçant et ses petits cris montraient sa souffrance. Elle fit une grimace encore plus marquée lorsque les deux lui inondérent ses orifices de leurs jutes. Des qu'ils furent sortis , Suzy se précipita pour les nettoyer et lècher les trous de Séverine qui avaient été mis à dure épreuve. Je souris et aidais la nouvelle à se relever.

-Bienvenue. Dis-je.

Elle afficha un pauvre sourire

-Vous n'avez jamais songé à une cérémonie,style collier de fleurs, plutôt? Dit-elle avec humour.

Les filles rirent à cette répartie. Elle vinrent tour à tour l'embrasser, avec la langue. Séverine fut surprise au départ, mais répondit rapidement aux baisers profonds. Maman et Maria, peu adeptes des jeux saphiques se contentèrent d'un léger baiser.

-Oui, dis-je. Nous ne sommes que deux, avec Kévin, et même si Ernesto rend parfois service , vous devrez aussi compter sur les filles pour faire redescendre la tension.

Elle eut le rouge qui lui monta aux joues. Avant d'aller me coucher, je remarquais que Christelle avait quelque chose à dire. Je lui fis signe de parler.

-Je voudrais me dénuder et être avec les autres, dit elle.

-Pourquoi, tu as quelques privilèges à être là première. Et tu m'aides à commander.

-Plus depuis qu'Ernesto est là. Du coup, je me sens seule.

-Kévin va te vouloir dès qu'il saura.

-Je sais.

Elle baissait la tête. Je haussais les épaules. Après tout, pourquoi pas. Je pourrais ainsi changer de compagne au lit et susciter des rivalités.

-D'accord. Mais il n'y a pas de retour possible.

- Je sais. Répondit-elle.

Je la regardais se dévêtir. Elle avait les yeux brillants, et me sourit.

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AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Episode toujours aussi excitant, le groupe semble avoir trouvé son rythme de croisière, les femmes ont bien accepté les règles du maître de maison et même Suzy semble y être heureuse.

Petite remarque, il y a un meli mélo avec le prénom du nouvel animal de compagnie en cours de dressage, Tania se transforme en Jenny plusieurs fois dans cet épisode

OlivX

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