Mon Apocalypse à Moi 15

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...des stagiaires chez nous!
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Partie 15 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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15

La maison était isolée. Dans un pré attenant, un cheval paissait. Un homme avec un fusil se tenait dans un mirador. Je garais le break de Bernard et Sylvie devant le portail de bois. Je sortis et levais les mains pour montrer mes intentions pacifiques. Le gars dans la tour hésitait. J'étais en pantalon de treillis et pull en laine. Mais je portais aussi le gilet pare éclat d'un militaire et ma ceinture tenait le fourreau du couteau de chasse et un pistolet automatique.

Un autre homme en vêtements de travail vint se présenter au portail.

-Qu'est-ce que vous voulez? Demanda-t'il d'un ton rogue.

Il portait une barbe touffue et un vieil anorak douteux. Lui aussi avait une vieille pétoire à la main.

-Je viens en paix. Dis-je. Je n'ai besoin de rien.

-Nous non plus. Dit-il.

Je secouais la tête et ouvrais le coffre . Je revins vers lui en lui tendant une tomate.

-C'est une tomate de serre, mais elle est quand même pas mal.

Il me prit le fruit de la main et mordit dedans. Je vis son expression s'adoucir.

-Comment vous faites? Demanda-t'il.

-Ce n'est pas moi qui les cultive. Mon coffre est plein de légumes. Si je peux discuter avec tout votre groupe, je vous l'offre.

-Vous n'avez pas peur?

-Non. J'ai une assurance. Top démo dis-je dans ma radio.

Un drone bourdonnant vint effectuer une boucle au dessus de la ferme, tandis que le buggy se positionnait face à la porte. À cette distance, le claquement du levier d'armement résonna sèchement.

L'homme hocha la tête.

Ils étaient neuf, dans ce groupe. C'était des urbains, et ils devaient, pour assurer le ravitaillement, marcher avec leur cheval sur des distances de plus en plus grandes.

Je n'y allais pas par quatre chemins.

-Vos défenses sont nulles. Vous ne cultivez rien, et votre confort est rudimentaire.

La pièce était éclairée avec une lampe à pétrole, et les ouvertures étaient bouchées avec des planches.

-Si trop de zombies arrivent, on rentre le cheval dans la maison.

Je posais une tablette tactile sur la table. Je l'allumais. Un murmure enthousiaste parcourut l'assemblée. Je fis défiler du bout du doigt les clichés de nos installations. Les femmes, souriantes posaient à côté de leurs ateliers de responsabilité. Quelques exclamations se firent entendre lorsque s'afficha la serre que montrait fièrement Sylvie, une main posée sur son ventre proéminent. Le diaporama se concluait par une vidéo des enfants jouant au ballon. Ils me regardaient avec admiration.

-Vous nous proposez quoi? Demanda Jérôme, un quadragénaire.

-De hausser votre style de vie. Vous avez de quoi vivre mieux par ici.

-On ne peut pas juste vous rejoindre? Demanda Edwige, une femme à lunettes et aux cheveux bouclés

-Non. Répondis-je. Notre but est d'étendre notre zone d'influence.

-Que nous proposez vous? S'enquit Jérôme.

-De prendre des stagiaires. On vous les renverra dès qu'il seront prêts. Dis-je.

Il hocha la tête.

-Ce sera difficile. Je ne peux pas quitter la ferme.

-Cette proposition s'adresse à vos jeunes. Patrick pour la technique et Maeva pour l'agriculture. Corrigeais-je

-Je préfère pas, dit Patrick. Je suis le meilleur tireur. Isabelle a un diplôme.

Je hochais la tête.

-Si vous voulez, je peux mettre les enfants à l'abri. Proposais-je.

Les adieux entre Edwige et ses deux fils, Graham et Robin furent déchirants. Je repris le volant et les ramenais au hameau. Je le contournais par l'ouest, en suivant le sentier gravillonné que nous avions aménagé. La porte de l'enceinte extérieure coulissa sur son rail et après le portail de l'enceinte intérieure, je tournais vers le pavillon des invités. Je les déposais dans la petite maison. Je revins le soir même, avec Maria et un bon petit poulet rôti.

-Les enfants vont venir dans la maison demain, mais vous deux, vous viendrez plus tard. Il y a une formalité.

Elles ouvrirent de grands yeux, en apprenant ce qu'elles devaient faire. À vrai dire, C'était notre motivation principale. Prendre de nouveaux trous, et les rabaisser. Leurs femmes deviendraient nos femelles soumises, et leur jeunes gens apprendraient à mordre l'oreiller sous la férule d'Ernesto. Maeva et Isabelle acceptèrent toutes les deux, à condition que l'on n'en parle pas à leur groupe. Sinon, elle perdrait le respect. Je laissais Kévin baiser Maeva, et prit la bouche d'Isabelle, qui était gênée par tous les regards pointée sur son corps. Les deux filles étaient maigres, les rations n'étaient pas bonnes, à la ferme. Les enfants aussi étaient un peu sous alimentés.

Farida vint me trouver.

-Robin, il est tout dur, le matin, dit elle.

Robin avait treize ans. Avec la bonne nourriture, la douche et les masturbations débridées des filles dans sa chambre, il allait devenir fou.

Je le prévenais le gamin. Toute activité sexuelle lui vaudrait le fouet. Il pouvait se branler tant qu'il le voulait, mais on ne touche pas ni ne se fait toucher.

À midi, je fis mettre Maeva à quatre pattes. Sans autre préparation que la poire d'huile , son cul était tout serré. Mon gland força la petite porte de Maeva , brisant la résistance de son sphincter. Nadia dut la tenir pour qu'elle ne s'échappe pas. Après plusieurs minutes de ce dur traitement, elle cessa de se débattre, et je puis conclure, lui arrosant le colon. Restait le dernier test. Elle recula sa tête lorsque le premier jet lui arrosa le palais. Je lui urinais sur le visage et les seins.

Je la giflais.

-C'est ça? Criais-je en colère. C'est ça ton obéissance?

-Excusez moi. Dit elle en pleurant.

-On va voir. Répondis-je. Tu vas accueillir tous ceux que je te désignerai.

Kévin s'avançait déjà. Elle prit son sexe dans sa bouche, mais il était dur. Il lui baisa le visage, puisqu' elle était menottée dans le dos . Elle avala son foutre, puis fit une horrible grimace lorsque la pisse du jeune homme lui remplit la bouche. Priscilla vint coller son sexe sur les lèvres souillées, après vinrent Christelle, et Sylvie. Je revins vers elle.

-Tu n'es pas prête. Vous allez retourner toutes les deux dans le pavillon. Demain matin, nous verrons si tu es prête à faire ce qu'il faut. Isabelle, ce sera à toi demain soir.

Les filles étaient excitées de l'humiliation de Maeva et Isabelle. Je le voyais dans l'éclat de leurs yeux. La nuit allait être chaude sur le grand matelas.

Je descendis quelques minutes plus tard. La nuit était pleine de soupirs et de petits cris. Dans la pénombre complice juste éclairée par le restes du feu, des corps étaient emmêlés. Les flammes illuminaient par éclat un sein, une fesse ou un sexe caressés par de fines mains. Des baisers humides retentissaient dans la nuit. N'importe laquelle se lèverait pour me rejoindre sur un mot de moi. J'avais provoqué ceci. Un mouvement agita le groupe. Une constellation de visages interrogatifs me regardait, à présent. Je leur souriais. Je leur fis signe de reprendre. Elle le firent avec enthousiasme, mais cette fois-ci, c'était plus un show, elles prenaient des poses impudiques, toutes tournées vers l'escalier. Je les laissais se tordre de cette obscène façon quelques temps puis montait seul me coucher.

Maeva se plaça sur le matelas, la fesse tombante .

-Cambres toi. Ordonnais-je.

Elle creusa ses reins, exposant sa chatte fermée et son anus serré. Je me mis de l'huile sur le gland.mon sexe brillant se posa sur sa rondelle craintive. Je la vis palpiter avant de la forcer. Son cri de douleur résonna comme un chant à mes oreilles. Elle ne cessa de gémir et pousser des plaintes déchirantes tandis que je forçais ses reins. Je me laissais aller, profondément enfoncé dans son cul. Elle tremblait comme une feuille. Je sortis mon sexe de ses reins, et la redressais à genoux. Je présentais mon sexe souillé devant son visage.

Elle ouvrit la bouche et accepta mon membre à demi érigé. Sa langue s'enroula autour de ma hampe. Puis je lui urinais dans la bouche. À longs traits. Elle étouffait et changeait de couleur, mais avalait comme un bon petit soldat. Je la relevais et l'embrassais profondément. Elle tremblait encore.

-Bienvenue, lui dis-je.

Meava partit commencer sa formation avec Sylvie. Je me tournais vers Isabelle. Elle me sourit. Isabelle avait les yeux clairs, mais un visage rond et légèrement marqué de cicatrices d'acnée. Ses cheveux entouraient son visage en un buisson désordonné. Dans la ferme, Maeva se comportait en star, accordant ses faveurs selon son bon vouloir et faisant des caprices. Isabelle m'avait discrètement tuyauté . L'humiliation de Maeva lui plaisait. Ernesto l'emmena pour sa formation.

Le soir, Isabelle s'offrit. Elle se positionna la tête dans ses bras noués. Bien que juste huilé à la poire, l'entrée fut aisée. C'était facile. Son cul était accueillant. Je la pilonnais durement, et elle poussait de petits cris presque extatiques, surtout qu'à deux mètres d'elle, dans la même position, Maeva agonisait sous les coups de reins de Kévin. Isabelle sentit mon foutre chaud lui remplir son petit trou, et elle cria son plaisir. Elle souda ses lèvres autour de mon pénis et but tout ce qu'il en sortait. Je vis Maeva faire la même chose pour Kévin . C'était bien. Je laissais les femmes s'occuper de Maeva, pour apaiser son coeur meurtri, et montais en poussant Isabelle. Elle jouissait du cul, bon sang! Pour elle aussi, c'était légèrement honteux. Elle avait débuté tôt dans la sodomie, avec un cousin. Pour qu'il l'emmène à des soirées. Au moment où les morts avaient commencé à bouffer les vivants, elle suivait mollement un BTS productique. Après une fuite éperdue avec deux camarades de classe, elle avait réussi in extremis à s'échapper d'un bâtiment investi par les morts et à rejoindre le groupe de Jérôme. Les deux jeunes n'avaient pas survécu, mais se relayaient auparavant dans son cul. Sa situation avait évolué. La situation dans la groupe de Jérôme et Edwige était différente, pleine d'hypocrisie. Il fallait éviter de baiser, pour que cela n'entraîne pas de problèmes. Ça n'empêchait pas Bertrand de sauter Maeva. Elle faisait également tourner Patrick en bourrique, lui octroyant une petite branlette de temps en temps. Elle avait prétendu qu'Isabelle avait des morpions, incidemment. Maeva avait tout, et Isabelle presque rien. Edwige veillait juste à ce que Jérôme en reste éloigné. Ce qui ne l'empêchait pas de sucer Tony.

À présent qu'Edwige restait seule à la ferme, Isabelle s'inquiétait pour Myriam.

Pendant une semaine, je donnais Maeva à Kévin. Le premier dimanche, elle prit la première double, et je jouis dans son petit orifice. Isabelle et son fion si docile s'intégrait beaucoup plus vite. Je ramenais les stagiaires dans le break après un mois. Isabelle avait mis au point une pompe pour le puits et Maeva dressé les plans pour préparer la terre. Robin et Graham étaient intarissables sur les merveilles du hameau, et les super copines qu'ils s'y étaient faites. Edwige m'approcha en fin d'après midi.

-Ça se passe comment, avec les filles? Demanda -t'elle.

-Bien. Répondis-je, en toisant Maeva qui donnait des ordres pour aménager le jardin.

-Maeva n'a pas son pas son pareil pour semer la discorde, parfois.

-Il n'y a pas de problème chez moi. Répondis-je.

-Mes enfants sont magnifiques. Dit elle. Merci pour eux. Mais ils me manquent.

-Vous pouvez les garder, cela fera de la peine aux autres enfants, mais je m'arrangerais.

-Ou je pourrais faire un stage, aussi.

Je ricanais. Les cheveux bien coiffés et propre des filles étaient un aimant puissant.

J'appelais Isabelle, qui laissa Ernesto et Magalie quelques instants.

-Explique à Edwige ce qu'il faut faire pour être élève chez nous.

Je me dirigeais vers Jérôme.

-Ça va?

-Oui. Dit-il. Mais sa mine sombre démentait ses paroles.

-Vous vous en sortez, sans les deux filles?

-Pour ce qu'elle faisaient.

Il n'avait pas saisi par quelle magie l'indolente Isabelle et la capricieuse Maeva avaient pu se transformer en abeilles efficaces. Je lui répondis que chez nous, chacun travaillait en responsabilité. D'ailleurs, Robin s'occupait très bien du poney. Edwige serra dans ses bras les deux garçons,mais ils repartirent avec nous. À table, Isabelle expliqua qu'elle avait décrit le rite de passage à Edwige et que celle-ci avait été horrifiée. Même Maeva rit à l'évocation de la mine épouvantée de la mère des garçons. En fait, Jérôme était un voisin d'Edwige et son mari. C'était même lui qui avait tué le père de famille qui cherchait à dévorer sa progéniture. Comme il avait envie depuis longtemps de se faire sa jolie voisine, il avait protégé tout le monde, agrégeant des fuyards au fur et à mesure, jusqu'à ce que son minibus tombe en panne à une dizaine de km de la ferme. Poussé par Edwige, Bertrand attendait son heure pour prendre sa place.

Maeva avait la ferme intention de lui piquer sa place dès son retour. Isabelle était gênée. Contrairement à Maeva, elle n'avait pas songé que ce stage prendrait fin.

Mais c'était une condition absolue. Les stagiaires étaient avec nous pour quelques mois, point barre.

A la fin du second mois, je constatais que les gens de la ferme avaient travaillé. Un poêle de masse chauffait leur gourbi et une vraie palissade entourait le petit domaine. Maeva continuait à leur donner des instructions sur les plantes à virer et celles à laisser quand à Isabelle, elle leur apportait une voiture. Elle avait remis en route la vieille Fiat qui pourrissait dans un garage, l'avait fiabilisée, et surtout rendue compatible avec le carburant de piètre qualité que nous produisions. Edwige vint me trouver après avoir embrassé ses enfants.

-Je veux venir. Dit-elle.

Je la regardais, surpris.

-Maeva nous fera vivre un enfer, si elle revient avec des connaissances qu'elle seule possède.

-C'est probable. Répondis-je.

Je la regardais avec ironie.

Mais c'est trop tard. Au moins, vous savez ce que vous avez raté. Sans oublier une bite bien dure dans le cul.

Je la laissais là, au bord des.larmes, à côté du nouveau poulailler et de ses 4 poules . Ses garçons lui firent de grands signes par la lunette arrière quand je repris la route du hameau. Au repas du soir, la discussion tournait autour de l'installation solaire nouvellement opérationnelle qui, combinée au four dragon, fournissait l'eau chaude. La ferme n'était pas comparable au hameau, mais elle atteignait un niveau de confort agréable. Je fis part de la proposition d'Edwige et de mon refus. Maeva se réjouit de cette exclusion. Je la regardais avec ce que Christelle appelait mon regard de loup.

-Du coup, elle n'a aucune raison de garder le secret sur.les modalités de stage. Lorsque tu rentreras, tout le monde saura que tu t'es faite prendre par derrière et que tu bois de la pisse.

Elle se tourna vers moi, les yeux grands ouverts.

-Le pouvoir, ça ne se décrète pas. Continuais-je. Tu vas mettre le bordel dans votre groupe, alors que tu pourrais améliorer la vie de tous.

-Si tous les membres de votre groupe se complètent, vous arriverez à quelque chose qui ressemble à ici. Dit maman. Tout le monde n'a pas un Xavier pour fédérer, mais je vous vois bien partis.

La veille de leur départ, je passais la journée à les prendre à tour de rôle.

Je ramenais les stagiaires et les enfants à la ferme. J'allais voir Edwige.

-Vous savez, vos garçons, ils ont passé le plus clair de leur temps au jardin avec Sylvie et Maeva . Dis-je. Et ils apprennent vite. Vous avez votre carte à jouer.

La femme me sourit.

Je m'asseyais sur un toit, savourant le frais du mois de février qui annonçait pourtant le prochain redoux de mars. Le hameau s'étendait à mes pieds. Au loin, un mort vacillait de sa démarche incertaine. Je me remémorais l'incroyable enchaînement d'événements qui m' avaient conduit ici, et comme j'avais su en profiter. Je souris. Ma guerre avec les femmes était terminée. J'avais gagné.

Fini pour l'instant.

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