Mon Connard de Voisin

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Il me vole ma femme.
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Rainett
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J'ai détesté Robert depuis le jour où il a emménagé à côté de chez nous, même si je n'avais pas de raison honnête. Sa façon de se pavaner, sa grosse voiture, sa haute stature, mais surtout ses muscles à des endroits où je ne savais pas qu'on pouvait avoir des muscles. Et bien sûr, la façon dont ma femme l'a regardé quand elle l'a vu pour la première fois.

Il venait d'ouvrir les portes du camion de déménagement et transportait une grosse caisse, presque de ma taille. Nous étions tous deux à la fenêtre pour voir le nouveau voisin. Il portait la caisse facilement. Il l'a posée près de la porte d'entrée et il a quitté sa chemise. Ses muscles brillaient de sueur, son torse pulsait légèrement, et ses bras étaient plus gros que mes cuisses. J'ai voulu faire une blague sarcastique sur le Chippendale qui emménageait à côté, mais quand je me suis tourné vers Charlène, l'expression de son visage m'a arrêté net. Elle se mordait doucement la lèvre, le souffle court, ses beaux yeux écarquillés s'extasiaient sur le torse musclé du voisin. Finalement, j'ai lâché la blague que je trouvais drôle :

"On dirait qu'on a Monsieur Propre à côté!"

Elle n'a pas ri, elle a juste soupiré, tout en jouant distraitement avec ses mèches blondes. Je l'ai trouvée à la fenêtre plusieurs fois dans la journée. Elle s'en éloignait dès qu'elle m'entendait entrer dans la pièce, prétendant être occupée à autre chose. Le gars a passé sa journée à faire des allées et venues entre la camionnette et la maison, en montrant ses muscles absurdes et en s'aspergeant. C'était comme s'il répétait un spectacle.

"As-tu vu des signes d'une femme?" ai-je demandé à Charlène, tandis qu'elle essayait désespérément de donner l'impression qu'il ne l'intéressait pas. Elle semblait agitée, nerveuse ou excitée, et s'enfuyait rapidement de la pièce dès que j'entrais. J'étais prêt à oublier le bodybuilder qui s'installait maintenant à côté, mais Charlène ne semblait pas pouvoir. Le soir, elle a jeté mes chaussures à mes pieds pendant que je regardais la télé :

"Viens, on va faire connaissance avec le voisin."

"Pourquoi? Nous n'avons jamais parlé à l'ancien!"

"Et c'était idiot. Nous devons être amis avec nos voisins. Nous formons une communauté!"

Elle se tenait déjà près de la porte, piaffant d'impatience. Son empressement me donna des frissons. J'ai traîné quelques pas derrière Charlène lorsque nous nous dirigeâmes vers la porte d'à côté. Charlène frappa joyeusement, et il y eut un bruit de tumulte venant de l'intérieur avant que la porte ne s'ouvre. Monsieur Muscle se tenait là, toujours sans sa chemise, la sueur dégoulinant sur ses muscles saillants. Ses yeux se sont agrandis en nous voyant.

"Oh désolé!" il fit une vague tentative pour se couvrir avant de réaliser que c'était inutile.

"J'attends le reste de mes meubles. J'ai cru que c'était eux qui arrivaient. J'ai monté mon banc de musculation, et je le testais. Pour tout dire, j'étais déjà à mi-entraînement."

"Aucun problème" lui répondit Charlène, et il y avait de la séduction dans sa voix.

"Nous sommes vos nouveaux voisins, je suis Charlène, et voilà Louis."

"Robert" dit la montagne de muscles en s'inclinant cérémonieusement sur la main de Charlène, ce qui la fit glousser bêtement. Puis il s'empara de ma main et essaya de la briser.

"Ravi de faire votre connaissance. Donnez-vous la peine d'entrer." Je pense que l'offre était destinée à nous deux, mais il regardait uniquement Charlène quand il l'a dit.

"Non, nous...» J'ai tenté une échappatoire mais Charlène m'a coupé la parole.

"Bien sûr, avec plaisir!" Robert s'est déplacé sur le côté et Charlène s'est glissée, ses seins frôlant son torse. Robert l'a suivie immédiatement, et j'ai été obligé de retenir la porte qui me claquait au visage. Je les ai suivis, contrarié.

La maison était comme on pouvait s'y attendre. Un bric-à-brac de boîtes et de cartons. Un banc de musculation trônait au milieu du salon. Ses meubles étaient poussés aux quatre coins de la pièce. On pouvait voir sa priorité sans peine. Le canapé n'avait que deux places. Robert a invité Charlène à s'asseoir, et s'est assis à côté d'elle. J'ai vainement cherché un siège libre du regard, et je suis resté debout, mal-à-l'aise.

Ils ont bavardé aimablement, oubliant de m'impliquer dans la conversation, à l'exception de quelques brèves mentions. Ils semblaient très copains rapidement, et Charlène s'est même penchée sur lui pour regarder des photos sur son téléphone. Ce faisant, elle a posé sa main sur la cuisse de Robert qui avait un point de vue imprenable sur son décolleté.

Quand nous sommes rentrés, il faisait nuit. Charlène ne parlait que de Robert. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai finalement trouvé le courage de lui dire que je ne l'aimais pas. Elle a ri en me disant que je n'étais qu'un idiot, qu'il était adorable, et que nous avions de la chance de l'avoir comme voisin. Au cours des semaines suivantes, j'ai compris que Robert voulait me discréditer.

Le dimanche, le temps était parfait pour un barbecue, alors j'ai passé ma matinée à le préparer. Je suis allé acheter tout le nécessaire, la viande, le charbon, etc... J'ai bataillé un bon moment pour allumer ce merdier. Et quand tout fut prêt, Robert nous a invités à son barbecue. Charlène a accepté sans même me consulter.

Son barbecue était beaucoup plus moderne que le mien, bien sûr, et il avait beaucoup de nourriture. Je peux jurer qu'il m'avait vu batailler toute la matinée, et voulait juste me diminuer. Charlène a passé toute la journée à plaisanter avec lui. Elle a même touché à plusieurs reprises son bras ou son épaule. Quand nous sommes rentrés, je brûlais de rage et de jalousie.

Il sortait son banc de musculation devant chez lui pour s'entraîner. Il ne mettait qu'un short pour profiter du soleil, et ses muscles luisant de sueur brillaient au soleil. Toutes les ménagères du voisinage profitaient du spectacle. Bien sûr, Charlène passait beaucoup de temps à sa fenêtre pendant qu'il était dehors.

Puis vinrent les bruits de sexe. Exceptionnellement, je ne travaillais pas ce jour-là. Un fournisseur défaillant, et la production était arrêtée pour la journée. Le patron nous a fait cadeau de notre journée en nous renvoyant chez nous. Sympa, je n'allais pas refuser ou discutailler. Charlène était au travail toute la journée. J'aurais pu la prévenir que j'étais à la maison, mais je n'en voyais pas l'utilité. Je pouvais passer une journée paresseuse à me prélasser. Si je l'avais informé de mon temps libre, elle m'aurait trouvé un truc à faire.

Lorsque j'ai entendu de faibles gémissements dans le couloir, j'ai suivi le son. Cela provenait du tuyau de descente des eaux. Intrigué, j'ai collé mon oreille contre le tuyau. Ma maison et celle de Robert étant mitoyennes, et elles avaient un certain nombre de choses en commun, dont ce tuyau d'évacuation. J'avais déjà pu, par le passé, assister à des engueulades entre les anciens voisins. Mais là, à côté, il y avait une femme qui prenait cher.

Effectivement, je percevais les gémissements d'une fille, et des claquements de chair. C'était le début de l'après-midi, et Robert baisait une poulette du quartier! J'imaginais son corps volumineux immobilisant une pauvre fille impuissante sur son canapé à deux places, une main serrant son cou pendant qu'il la pilonnait. Soudain, je fus dur.

Les claquements de peau commençaient à devenir plus forts. Les gémissements gutturaux de l'homme couvraient les cris de la femme qui avait probablement le visage enfoncé dans les coussins. Je pouvais aussi distinguer quelques propos grossiers. J'ai clairement entendu Robert la traiter de pute et la nommer Irène, ou quelque chose de similaire. La fille a dû sortir le visage des coussins car je l'ai entendue réclamer à haute voix:

"Baise-moi plus fort! Oh, putain, baise-moi plus fort!"

Machinalement, j'ai sorti ma bite, et je me suis masturbé au son de mon voisin en train de baiser une salope. C'était si érotique tout ces bruits, ces cris, et ces gémissements. Quelques fois, il y avait un moment de calme, comme s'ils changeaient de position, avant que le tumulte ne reprenne. Mais le meilleur fut pour la fin. J'ai entendu Robert gémir et dire qu'il allait jouir, et la fille a crié:

"Viens en moi, ne te retire pas, balance tout ton sperme dans ma chatte!"

Robert a demandé "T'es sûre?" mais la fille n'a pas répondu. Elle a juste gémi très fort. Un gémissement rauque qui venait du fond de son ventre et qui m'a donné la chair de poule. J'imaginais Robert crachant son sperme épais dans la chatte de la pute. C'en était trop pour moi. Je ne voulais pas jouir, je voulais attendre le retour de Charlène pour lui faire l'amour. Jouir maintenant signifiait qu'il n'y aurait aucune chance que je puisse coucher avec Charlène, mon endurance n'est plus aussi bonne qu'avant. Mais c'était trop tard. Je suis venu dans ma main comme un gamin pendant que mon voisin remplissait la pute.

Il y eut un moment de calme et de silence, pendant un bon quart d'heure. J'ai réussi à nettoyer mes souillures et j'étais allongé sur mon lit, me remémorant ce que j'avais entendu quand soudain les bruits ont recommencé chez le voisin. Des gémissements rythmaient le grincement du sommier. Bientôt, la tête de lit tapait en cadence contre le mur mitoyen. J'étais choqué.

Comment Robert avait-il pu récupérer si vite? Les bruits étaient beaucoup plus audibles à l'étage. Les gémissements, les claquements des chairs, les propos salaces, j'avais l'impression d'être dans la même pièce qu'eux. Et la fille était vraiment affamée. Elle réclamait à haute voix plus de vigueur, en lui jurant que sa chatte lui appartenait. Mais ce qui m'a fait bander, c'est quand elle lui a dit qu'il était bien meilleur amant que son mari!

Ainsi, il était en train de baiser avec une femme mariée! Je ne sais pas pourquoi la pensée d'une femme adultère m'excitait autant, mais j'ai recommencé à me branler furieusement. Il y avait beaucoup de bruits de gifles maintenant, probablement que le cul de la fille devait rougeoyer. Ses gémissements se transformaient parfois en gargouillis désespéré, et je l'imaginais de nouveau la clouant sur le lit en la tenant par la gorge. Il la traitait comme si elle n'était qu'une moins que rien, une vide-couille.

Les bruits de sexe ont duré près d'une heure cette fois. Parfois, ils semblaient s'arrêter complètement, comme s'ils avaient terminé, puis ils recommençaient de plus belle. Mais ils se rapprochaient de la fin, et moi aussi. Je pouvais discerner le désespoir dans les plaintes de la fille, elle voulait jouir encore. Je n'allais pas pouvoir continuer longtemps, j'allais venir. Et puis, en pleine éjaculation, Robert a dit quelque chose qui m'a glacé le sang.

"Je jouis, Charlène!"

Charlène! C'était Charlène qu'il avait dit plus tôt, pas Irène! Je n'ai pas pu m'arrêter de jouir, mais ce fut l'orgasme le plus désagréable de ma vie. J'essayais désespérément d'arrêter le processus, en vain, puis j'ai cherché quelque chose pour me nettoyer, avant d'attraper mon téléphone. J'ai rapidement envoyé un texto à Charlène, aussi désinvolte que possible, lui demandant si ça tout allait bien au travail.

J'ai écouté attentivement, l'oreille collé au mur, mais je ne pouvais percevoir aucun bruit. De temps à autre, quelques murmures, mais la passion étant retombée, le tumulte avait cessé. Après quelques minutes d'angoisse, mon téléphone a affiché:

"Oui, chéri, ça va, mais je suis crevée. Je te parlerai ce soir."

Crevée? Pourquoi crevée? Parce qu'elle venait de se faire démonter? C'était la seule pensée cohérente qui me traversait la tête. J'ai passé le reste de l'après-midi à la fenêtre, terrifié. Je surveillais l'espace entre la porte du voisin et la notre. Mais personne n'est venu par là. La voiture de Charlène n'était pas garée dans la rue, donc il était encore possible que ce ne soit pas elle. Finalement, la voiture de Charlène a tourné le coin de la rue. J'ai soupiré, soulagé. Elle rentrait du travail. C'était merveilleux.

Je suis sorti l'accueillir. Elle était si fatiguée qu'elle a trébuché sur le pas de la porte. Je voulais l'embrasser, mais elle m'a repoussé en disant qu'elle était dégoûtante de sueur, et elle s'est engouffrée dans la douche. Je me suis assis sur le lit pendant qu'elle se douchait, mes pensées encore troublées. Elle a semblé surprise quand elle m'a trouvé sur le lit.

J'ai répondu qu'elle m'avait manqué à sa question muette. J'ai pris la décision de ne pas lui dire que j'étais resté là tout l'après-midi. Elle m'a embrassé sur la bouche. Juste un bisou distrait, du bout des lèvres. Elle sentait bon. Et moi, j'étais tellement mal. Je lui ai posé des questions sur sa journée et elle m'a répondu de manière évasive. Puis elle a ôté sa serviette en me tournant le dos pour enfiler des sous-vêtements propres. Elle avait de grandes marques rouge sur les fesses. C'était clairement des empreintes de doigts.

Les jours suivants ont été une lente agonie pour moi. De jour comme de nuit, au travail ou à la maison, je ne pensais qu'à ça. Comment être sûr que c'était, ou que ça n'était pas ma femme, avec Robert? Quelle autre explication pouvais-je trouver? J'aurais tellement aimé la disculper. Mais la façon dont elle le regardait, elle avait clairement le béguin pour lui. Robert avait crié son nom, sans parler de ces marques sur son cul. Elle lui avait dit qu'il était meilleur amant que son mari. Se pouvait-il que ce soit juste des coïncidences?

J'étais déterminé à obtenir des preuves. J'ai soigneusement planifié les opérations. J'ai pensé que le moyen le plus sûr pour Charlène de voir Robert serait pendant ses heures de travail. J'ai acheté deux mini-caméras de télésurveillance pour surveiller les deux portes de Robert, celle de la rue, et celle du jardin. J'ai pris une journée pour installer le dispositif en l'absence de ma femme. J'ai vérifié que le dispositif était correctement installé, puis j'ai attendu que le poisson morde à l'hameçon.

Le lundi suivant, Charlène est partie au travail le matin, mais elle est réapparue quarante-cinq minutes plus tard à la porte du jardin chez Robert. Ses mèches blondes dissimulées sous un foulard, des lunettes de soleil masquaient son regard, un imper enveloppait sa silhouette. Mais impossible de me tromper, c'était bien ma femme qui se faufilait chez le voisin. J'aurais pu me contenter de ça, quel besoin avais-je de vouloir plus? J'ai pris ma journée pour rentrer chez moi.

J'avais du mal à respirer. Dans le salon, je m'effondrais sur le canapé. Charlène me trompait avec mon connard de voisin. Je ne pouvais pas le croire. Mais ce n'était pas une preuve suffisante. Elle pourrait facilement le nier. Je devais l'attraper en flagrant délit. J'attrapais mon portable et j'ai couru dehors, me faufilant prudemment sous sa fenêtre. J'ai placé mon téléphone sur le rebord extérieur de la fenêtre afin qu'il filme l'intérieur de la pièce. Je suis resté accroupi là, dos contre le mur, pendant que mon téléphone filmait.

J'aurais eu l'air malin si quelqu'un était passé devant à ce moment-là. J'ai jeté un rapide coup d'œil à l'écran de mon téléphone, pour voir ce qu'il avait enregistré. Robert et Charlène étaient assis sur le canapé et discutaient tranquillement. J'ai repositionné mon téléphone, puis je suis rentré chez moi en laissant mon téléphone filmer les évènements. Il n'a pas fallu longtemps avant que les bruits de leurs ébats sexuels ne commencent.

Je me suis assis dans le couloir, dos au mur, écoutant ma femme se faire baiser, en essayant d'ignorer mon érection lancinante. J'étais super excité, même si je ne voulais pas l'être. J'ai fait de mon mieux pour ne pas imaginer ce qui se passait à côté. Je ne voulais pas visualiser ma femme se faisant démonter par mon connard de voisin. C'était douloureusement excitant.

J'ai choisi mon moment pour récupérer mon téléphone. Les bruits avaient cessés quand je me suis précipité vers la fenêtre de Robert. Heureusement, le téléphone était encore là, je craignais qu'il ne soit volé. Je l'ai rapporté à la maison, dans notre chambre, et je me suis assis sur le lit. Les doigts tremblants, j'ai appuyé sur "lecture."

Les quinze premières minutes étaient barbantes. Assis sur le canapé, ils bavardaient. Pas de son, à cause de la fenêtre. Puis ils ont commencé à flirter en s'embrassant passionnément. Ensuite, leurs vêtements ont glissé, Robert est monté sur ma femme, et il a placé sa bite en elle. Scène classique de l'adultère. Un homme au-dessus d'une femme, tous deux nus, la clouant à un canapé, écrasant durement ses seins ronds. Elle semblait si petite sous ce colosse.

Il a commencé par la baiser lentement en surveillant ses émotions. On pouvait voir son visage s'humilier en un mélange de grimaces, de gémissements et de supplications tandis qu'il la souillait. Il a accéléré peu à peu son rythme en heurtant plus farouchement le ventre voluptueux de Charlène. Par moment, elle ouvrait la bouche sur un cri aigu, un cri de douleur et de plaisir mêlés. Elle avait l'air de passer un bon moment.

Au bout d'un moment, Robert s'est retiré et s'est levé. Charlène s'est précipitée pour le prendre dans sa bouche. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé combien la bite de Robert était grosse. En voyant Charlène avoir autant de difficulté à le prendre dans sa bouche, alors qu'avec moi... Ma tendre épouse s'étouffait en bavant, tandis qu'il poussait sa bite en avant, avec ses mains sur la nuque de Charlène.

Son menton était couvert de salive quand elle a été hissée sur ses pieds par Robert. Il s'est assis sur le canapé, et elle s'est lentement accroupie sur sa bite pour le chevaucher. Elle s'est laissé glisser prudemment sur son poteau dressé, par à-coups successifs, jusqu'à la base. Robert lui a claqué les fesses, et elle lui a dit quelque chose qui les a fait rire. Ensuite, il l'a prise par les hanches pour l'aider à le chevaucher durement.

Je ne la voyais que de dos, mais sa tête renversée en arrière se balançait de plaisir. Les doigts enfoncés dans la chair tendre de se hanches, Robert lui imprimait le tempo. J'étais tellement halluciné par la chatte de ma femme, écartelée par cette grosse bite, que je n'ai pas regardé Robert. Quand je jetais enfin un coup d'œil à son visage, Robert fixait le téléphone. Il l'avait repéré. J'ai rembobiné la vidéo jusqu'au moment où il l'avait remarqué.

Ses yeux surveillaient la chatte de ma femme pendant qu'elle s'empalait sur sa bite. Quand il leva les yeux vers la fenêtre, son visage devint perplexe. Ses yeux se rétrécirent en fixant le téléphone. Puis il sembla réaliser et un sourire sournois se dessina sur son visage. Il claqua les fesses de Charlène, les yeux fixés sur le téléphone, et leva son majeur. Pendant que Charlène le baisait, il la tenait par les hanches, mais il gardait son majeur dressé à mon attention.

Puis il l'a installée sur le banc de musculation, au milieu de la pièce, de manière à ce qu'elle me fasse face. Charlène ne semblait rien remarquer de spécial en se penchant pour prendre sa bite. Robert l'a baisée en levrette, et elle creusait ses reins en gémissant. Il a tiré ses cheveux en arrière pour qu'elle lève la tête. Elle regardait droit vers la fenêtre. J'ai failli avoir une crise cardiaque, mais elle gardait les yeux fermés en geignant.

J'ai réalisé que je pouvais entendre les gémissements. J'ai tenu le téléphone contre mon oreille, mais je n'entendais rien. Les gémissements étaient dans le monde réel. Robert avait emmené Charlène dans sa chambre, comme l'autre fois, et il la baisait maintenant sur son lit. Je pouvais l'entendre gémir en direct, en la regardant se faire baiser sur mon écran.

Sur mon écran, Robert fixait le téléphone en baisant Charlène. Il souriait hardiment en brutalisant ma femme. Il lui tirait méchamment les cheveux en lui claquant les fesses, alors que le bruit de la tête de lit cognait contre le mur mitoyen. Il faisait d'elle ce qu'il voulait, elle était en plein délire sexuel. Il lui faisait dire n'importe quoi, elle répétait tout. Qu'elle lui appartenait, que sa bite était meilleure que la mienne, qu'elle ne voulait plus de moi, que lui seul pourrait la baiser dorénavant.

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