Mon épouse Isabelle

Informations sur Récit
20 ans de mariage.
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Toc toc!

J'attends la réponse de ma merveilleuse femme qui est dans notre salle de bains, il y a deux lavabos. J'entends :

« entre mon chéri c'est ouvert!

Je découvre ma charmante épouse en chemise de nuit transparente en train de se laver les dents. Son abondante poitrine frémit dans le miroir aux mouvements de ses bras ; les pointes de ses seins sont saillants. Ses yeux sont lumineux, des mèches de chevelure blonde encadrent son visage délicat adorablement féminin.

-- Merci chérie.

-- Les enfants sont-ils couchés?

-- Oui mon amour je leur ai raconté une histoire.

-- Tu es un mari adorable, un merveilleux père.

Nous nous regardons dans les yeux au travers du miroir. Mon regard glisse sur sa poitrine quand je prends ma brosse à dents. Elle a un beau sourire.

-- Je sais René, nous devons parler ce soir dans notre lit. Si tu me dévores des yeux comme cela, je vais devoir trouver un déshabillé plus épais.

-- Mon amour, ce n'est pas ma faute, comprends bien que je te trouve extrêmement belle, extrêmement femme, extrêmement désirable ; c'est un sentiment tellement délicieux, ce que je ressens pour toi est de plus en plus fort depuis 20 ans que nous sommes mariés.

-- Je commence à m'en rendre compte mon cher mari. Ton comportement a tellement changé depuis cette cérémonie avec nos amis le mois dernier. Tu peux en être certain, rien que cela rend la femme que je suis extrêmement heureuse. Il y a bien longtemps depuis que nous sommes mariés que je ne me suis pas sentie autant, comment dire, femme, féminine. C'est un sentiment délicieux, je voudrais que ça dure toujours.

-- Tu le mérites mon amour, vois comme tu es belle malgré deux enfants! J'adore regarder ta poitrine, tes hanches sinueuses, tes fesses en forme de pomme et tes longues jambes.

-- Chéri, tu me fais rougir, vient allons nous coucher, nous allons parler. »

Je me lave les dents rapidement et retrouve mon épouse dans notre lit. Elle est assise et adossée à ses oreillers. Coquettement elle redresse une mèche de ses cheveux derrière son oreille et croise ses mains devant elle sur la couverture. Elle me regarde fermer la porte, entrouvrir la fenêtre et me glisser dans le lit, mon pénis turgescent, rouge sang, décalotté bat la mesure au rythme de mes pas :

« Tu ne te décides pas à remettre une culotte de pyjama?

-- Je me suis engagé auprès de toi, je ne veux pas retirer la promesse que je t'ai faite. Je suppose que la preuve de mon amour pour toi toujours sous tes yeux doit te rassurer, te réconforter en tant qu'épouse, j'ose imaginer aussi que te montrer en permanence le désir que tu m'inspires te réjouit en tant que femme.

-- Oui c'est vrai mon amour, j'avoue que je commence à aimer ton comportement ouvert envers moi, la preuve indubitable sous mes yeux de ton désir pour moi même si je trouve...

Elle devient toute rouge d'émotion et se cache le visage dans ses mains en étouffant un petit rire gracile.

-- Que veux-tu dire ma chérie? Dis-moi, n'hésite pas, comment est-ce que tu me trouves?

-- Je..., enfin, c'est gênant, je ne sais pas trop comment te dire René...

-- Eh bien dis moi juste un tout petit peu, ce que tu veux... »

Nous sommes maintenant assis confortablement dans notre lit adossés à nos oreillers. Les lampes de chevet diffusent une lumière tamisée ; notre intimité est totale. Isabelle prend une grande inspiration qui fait gonfler ses seins. Sa chemise de nuit de couleur bleue est transparente. J'ai pris soin de laisser le drap découvert pour lui montrer ma virilité tendue qui grimpe le long de mon ventre. Quelques gouttes de mouille s'écoulent par le méat écoulent le long de la hampe...

« Eh bien René, pour tout te dire, j'aime te regarder nu, bien sûr, tu es mon mari et même si ton corps a changé en vingt ans, tu t'es un peu enveloppé reconnais le...

-- oui je sais chérie il faudrait que je fasse un peu plus de sport,

-- oui peut-être mais ce n'est pas ça qui me dérange le plus mon amour,

-- ah non! C'est quoi alors dis-moi...

-- c'est délicat, encore une fois c'est rigolo de te voir tout le temps comme ça nu et tendu pour moi mais...

-- oui, quoi, dis-moi chérie...

-- eh bien, oui c'est sûrement une preuve d'amour pour moi et j'aime ça, ça me rassure et même ça me fait rire un peu mais aussi je trouve ça un peu vulgaire et dégradant. Pour toi je veux dire....

-- Tu trouves? Je ne vois pourtant pas quoi faire de plus pour honorer ma parole que je t'ai donnée il y a deux mois, tu te souviens?

-- Oui je me souviens chéri et en tant qu'épouse je suis comblée, tu as fait le pari devant nos amis de me montrer chaque jour ton amour je t'avoue que j'adore ça,

-- alors, en quoi trouves-tu mon allure vulgaire et dégradante?

-- Et bien c'est que tu me montres tout le temps tes parties génitales dès que possible quand les enfants ne sont pas là, en plus tu t'es rasé, ça ne fait pas très homme même si, je suis d'accord, c'est une preuve supplémentaire pour moi du don de ta personne, de vouloir tout me montrer... mais avec ta veste de pyjama trop petite...

Instinctivement je tire sur les manches de ma veste trop courte, de plus elle s'arrête au-dessus de la ceinture...

-- tu n'aimes pas ma veste de pyjama?

-- Disons qu'elle te réduit à, comment dire, je ne sais pas...

-- quoi, dis-moi mon amour nous somme dans l'intimité de notre chambre nous pouvons tout nous dire ,

-- et bien comme tu es rasé en bas et que ta veste est décidément trop petite pour toi par moments tu me fais penser à un petit garçon. C'est vrai regarde toi, en plus tu coules comme une fille. Avoue que c'est un peu vulgaire tout de même est un peu dégradant pour toi non? Même si encore une fois, entre toi et moi on se dit tout, je ne pourrais jamais me conduire comme tu le fais. J'aime ta franchise, au fond ça me rassure de te voir nu et bandé rien que pour moi mais de mon côté je ne pourrais jamais faire la même chose, je suis plus pudique toi.

-- Oh ma chérie, tu sais, je te l'ai dit, ce que je fais pour toi me demande un grand effort, moi aussi je suis très pudique envers les femmes depuis que je suis très jeune et encore aussi avec toi mon épouse depuis vingt ans. Au fond j'ai honte de te livrer ma nudité avec ma queue toujours bandée qui coule tout le temps...

-- je sais René, c'est aussi la preuve de ton grand amour pour moi j'aime beaucoup cet effort, cette partie de toi qui se donne même si tu as honte, je comprends

-- est-ce que je dois arrêter alors?

-- Non René, maintenant je commence à m'y habituer et j'avoue que j'aime ça de plus en plus même si...

Isabelle mon épouse étouffe un rire en redressant ses cheveux vivement.

... même si je te trouve quand même ridicule. C'est quand même beaucoup de plaisir pour moi, je dirais même d'excitation, presque plus que quand on fait l'amour!

La suite à suivre si vous appréciez ce court texte. Merci.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 6 heures

On se demande quand même où elle veut en venir !?

AnimaLecteurAnimaLecteuril y a environ 16 heures

hohooo vous avez le don d'attiser notre curiosité (enfin la mienne en tout cas).

Le texte est agréable à lire, vivement la suite.

Merci

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