Nadine 03

BÊTA PUBLIQUE

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Nadine etait completement desorientee : Jean l'avait sauvee au dernier moment des griffes de cette brute et il la remettait immediatement entre ses mains avec un programme repugnant. En plus, toutes ces nouvelles epreuves, elle ne les avait jamais acceptees. Elle se crut protegee par leur accord.

- Desole, ma cherie, mais je n'ai pas de nouvelles exigences pour toi, la semaine prochaine : tu vas seulement faire la pute comme tu l'as fait ici, il y a quelques minutes. Je n'ai donc pas a te demander ton avis, selon nos accords. Les autres exigences, c'est pour plus tard. Disons que je te donne deux semaines de vacances.

Nadine ne chercha plus a discuter mais se dit :

- Attends, mon gaillard. Tu vas avoir une surprise desagreable le vendredi a la fin!

Dans la voiture, elle repensa a la femme qu'elle avait entrevue pendant qu'elle se faisait baiser par tous ces hommes. Si c'etait bien Carmen, la secretaire de son mari, c'est qu'elle etait avec lui et ils avaient joui ensemble du spectacle qu'elle leur avait involontairement offert. Est- ce que pendant que Frederic essayait de l'enculer, Carmen sucait Jean ou qu'ils faisaient l'amour dans les fourres. Dans ce cas, ils allaient avoir deux semaines pour filer le parfait amour pendant qu'elle allait subir un sort "pire que la mort" comme on disait jadis.

Chapitre 8

Le jour venu, Frederic la ramena ponctuellement a l'endroit prevu. Pendant ses "vacances" avec Frederic, elle n'avait guere chome et ces quelques jours l'avaient bien changee. Le premier soir, Frederic l'avait tringlee par tous les trous pendant deux heures, l'enculant sauvagement sans aucun lubrifiant. Il lui avait ensuite enfonce des godes de plus en plus gros qu'elle avait ete forcee de garder toute la nuit, enchainee au levier du volet, sans couverture, la fenetre grande ouverte. Il avait commence le dressage proprement dit au petit matin par une fouettee severe a la cravache puis il l'avait confiee a une prostituee, Marine, qui travaillait pour lui. Celle-ci l'avait emmenee avec elle sur le trottoir apres lui avoir fait enfiler quelques vetements voyants qui ne cachaient qu'a peine son corps.

Les clients etaient un peu surpris mais Marine avait beaucoup d'habitues qui ne firent aucune difficulte. Elle dut assister a leurs ebats a trois ou quatre reprises sans participer en aucune facon puis sa formatrice lui mit des menottes et des chaines et suggera au client suivant de la caresser. Lorsqu'il vit les marques de cravache, il se jeta sur elle, effleurant ses marques du doigt et de la langue. Toujours enchainee, Nadine dut sucer le client suivant avant qu'il n'encule Marine. Moins d'un quart d'heure apres, elle dut nettoyer la capote d'un client sortant du con de la prostituee. Elle dut insister jusqu'a qu'il se retrouve tendu et dur. Il ejacula dans sa bouche.

Des le lendemain, elle dut s'occuper elle meme des derniers clients, leur mettre leur capote et les recevoir dans la bouche, dans sa moule ou dans son cul, sous l'oeil inquisiteur de la fille. Il avait a nouveau fallu la convaincre a la cravache a toute volee sur les seins qui etaient encore marques deux semaines apres. Avant de rejoindre Frederic pour la comptee, Marine passa un coup de telephone et elles furent rejointes par un grand noir. Il se deshabilla, revelant un sexe prodigieux tant en grosseur qu'en diametre. Il etait nettement plus imposant que le plus gros gode que Frederic lui avait impose jusque-la. Elle eut peur lorsqu'il l'attrapa par les cheveux pour l'attirer vers lui. Il positionna sa bite juste sous l'orifice de son vagin et forca ses jambes a s'ecarter avec ses genoux. Le gland fint cogner contre l'orifice. Elle chercha a se degager mais il insista. Le gland commenca a la dilater lentement.

Voyant qu'elle resistait de toutes ses forces, il eut un grand sourire, appuya plus fortement sur ses genoux, l'attrapa par la taille et la tira vers le bas. Dans un grand cri, elle sentit la mentule monstrueuse s'enfoncer sans merci en elle. Elle fut sideree lorsqu'elle sentit les couilles de l'homme s'ecraser sous ses fesses : elle avait englouti ce chibre gigantesque jusqu'a la garde! Apres quelques mouvements dans son sexe qui declencherent des gemissements de plaisir, il se degagea en la soulevant lentement. Elle sentit alors le doigt de sa formatrice appuyer sur son anus et s'y introduire, couvert de graisse, tournant lentement pour bien la lubrifier et l'elargir.

Nadine fut alors soulevee par la poigne vigoureuse de l'homme. Il quitta rapidement son sexe ravage, la laissant beante et lui arrachant un gemissement de frustration. Elle fut retournee sans menagement et sentit le terrible mandrin appuyer sur son anus lubrifie. Elle eut beau hurler, se debattre et serrer ses fesses de toutes ses forces, elle sentit le sexe s'enfoncer lentement dans ses entrailles, ecartelant sa fragile rondelle.

- Tu sens, je te defonce le cul. Maintenant tu pourras recevoir par la les plus grosses bites. Tu ne pourras plus t'en passer!

Elle s'attendait a ce que la dilatation enorme provoque une hemorragie mais lorsqu'elle sentit qu'il ne pouvait pas aller plus loin, elle ouvrit les yeux pour decouvrir sa compagne devant elle. Elle avait un gode encore plus gros que le sexe qui lui ravageait le fondement fixe par des sangles a ses hanches comme un sexe d'homme. L'objet tout noir luisait lui aussi abondamment lubrifie. Le noir la ceintura par derriere, l'empechant de se liberer. Elle dut subir la double penetration jusqu'au bout en hurlant de toutes ses forces.

Frederic entra a cet instant dans la piece, interrompant un court instant leurs ebats sans que ses deux tortionnaires ne se retirent. Il la felicita pour sa docilite et maintenant pour sa capacite. Il rigola de sa plaisanterie puis prit quelques photos, un grand sourire aux levres. Il lui annonca que, des le lendemain, elle travaillerait en solo et qu'il lui imposait une comptee minimum de huit cents euros, soit huit clients a cent euros la passe. Pas cher pour une pute a sados!

Tout le temps de son stage, elle fit le tapin depuis 16 ou 17 heures jusqu'aux petites heures du matin. Au debut, Frederic ou le noir restaient dans une voiture, la surveillant a distance mais au bout de quelques jours, ils constaterent que la comptee depassait nettement les objectifs de Frederic et la laisserent sans surveillance. Elle avait pris le pli.

Nadine eut un beau succes avec ses marques de cravache et ramena ponctuellement a son mac ses huit cents euros, et souvent plus, chaque soir de la seconde semaine. Apres la comptee, il la ramenait chez lui. Elle le sucait dans son entree, a genoux sur une regle de metal, les poignets menottes dans le dos, ramenes par une chainette courte presque jusqu'a son collier de chien qu'elle ne quittait plus. Elle faisait ensuite sa toilette intime sous l'oeil de Frederic en s'enfoncant dans le vagin et l'anus un gode demesurement long en savon, ce qui lui permettait de se savonner interieurement parfaitement. Ensuite Frederic lui enfoncait a la place une pomme de douche en forme de canule pour bien la rincer de l'interieur. Lorsque le jet concentre frappait le col de l'uterus ou la paroi de ses intestins, elle ressentait un plaisir violent et inavouable.

Frederic interrompait le traitement trop vite pour qu'elle puisse jouir, la mettait a quatre pattes dans la salle de bains, lui menottait les poignets, le visage au sol et alternait les penetrations brutales dans son vagin et son anus. Lorsqu'il avait fini, elle devait le nettoyer avec sa bouche meme si ses intestins parfaitement nettoyes ne laissaient aucune trace suspecte sur la bite.

Ensuite, il la couchait dans un superbe lit a baldaquin sous une couverture pour qu'elle puisse se reposer. Il se bornait a attacher sur le ventre ou sur le dos ses quatre membres aux piliers du lit apres avoir glisse sous elle un gros coussin qui lui rehaussait les fesses. Il la reveillait vers onze heures du matin et recommencait sa penetration alternative sauf que la seule lubrification venait cette fois de son vagin lorsqu'il n'avait pas decide de l'enculer a sec. Il se faisait ensuite sucer mais cette fois des trainees brunes maculaient sa bite.

Pour lui faire accepter cela, il l'avait battue longtemps a main nue, au martinet puis a la cravache. Les marques l'avaient couverte des epaules aux orteils. Elle n'avait pourtant cede que lorsqu'il lui avait enfonce dans la fente des feuilles d'orties qui lui avaient cause une douleur abominable. Les marques fraiches sur son corps lui avaient attire une clientele nombreuse des le lendemain.

Frederic ne lui preparait pas de repas lui-meme. Elle n'avait droit qu'a une boite de nourriture pour chien avec des croquettes dans une ecuelle par terre. Ses mains etaient alors menottees dans le dos pour qu'elle ne puisse pas s'en aider. Elle avait d'abord refuse de manger cette nourriture infame mais il l'avait privee d'eau jusqu'a ce qu'elle mange sa pitance. Il avait pousse le chauffage de sa "chambre" pour accroitre sa soif. Il avait fixe sa laisse a un radiateur et avait pose une bouteille d'eau hors de sa portee mais bien en vue. La soif est souveraine pour faire ceder une fille bien plus recalcitrante qu'elle. En deux jours, elle avait mange sa patee en lechant l'ecuelle et, depuis, elle ne se rebellait plus.

Apres le repas, elle devait aller chez un photographe ami de Frederic pour des series de photos erotiques ou carrement porno. Lorsqu'elle avait refuse tout d'abord, il lui avait montre les photos prises dans la clairiere en faisant remarquer que Jean avait affirme que si elle avait deja fait quelque chose, elle devait le refaire sur simple ordre. . .Elle avait bien du reconnaitre que cela faisait effectivement partie du contrat avec Jean. Pour la punir de son refus, Frederic lui avait rase les levres de son sexe et elle avait pris quinze coups directement sur la fente fraichement degagee. Pendant la correction, elle dut tenir elle meme ses chevilles ecartees au maximum en comptant a haute voix et le remercier comme pour Jean.

Tous ses ebats avaient ete filmes par Frederic ou son ami photographe lequel se payait aussitot sur Nadine, en general en l'enculant a sec sans aucun egard pour elle, ne cherchant que son propre plaisir. Trop plonge dans ses sensations bestiales, il ne se rendit pas compte qu'elle finissait par y trouver son propre plaisir mais elle reussit a lui faire croire que ces gemissements n'etaient que de douleur. Ils monterent les pellicules rapidement et en firent un film X gratine qu'ils visionnerent avec Nadine prise en sandwich entre eux deux et dont ils offrirent un exemplaire a Jean et a Pierre. Ils ne preciserent pas qu'ils en avaient deja commercialise quelques milliers sur le marche specialise. Frederic fit remarquer en la ramenant a son rendez-vous qu'en deux semaines seulement, il avait reussi a lui faire accomplir des progres autrement plus importants que Jean n'avait pu le faire.

En quelques jours de travail intensif seulement, Nadine etait en effet devenue une pute accomplie. Pour Frederic, elle etait faite pour cela. Son cul etait parfaitement decoulisse et ne necessitait plus de lubrifiant pour recevoir les plus grosses pines, elle sucait des bites sortant de son cul, elle posait pour des photos et des films sans rechigner. Son sexe etait totalement rase mais Frederic l'avait terrifie en lui disant qu'elle serait bientot epilee definitivement au laser.

En arrivant au club, elle portait, sans la moindre gene apparente, un collier de chien cloute blanc et une courte laisse en maille d'acier qui pendait ostensiblement jusque sur son ventre. Ses seuls vetements etaient une courte jupe fendue haut devant et derriere et un debardeur de soie tres reduit, avec un decollete large et tres lache. Les deux vetements etaient noirs pour mettre en evidence le collier blanc. Suivant les instructions de Frederic, elle marchait, le ventre rentre, les seins offerts et les fesses cambrees autant que possible. Ses fesses se dandinaient, faisant se dresser la queue de tous les hommes qui pouvaient l'apercevoir. Elle gardait les yeux baisses vers le sol, ne regardant personne en face comme Frederic le lui avait ordonne.

Lorsque Frederic et Jean s'assirent dans un coin, elle ne prit pas l'un des sieges disponibles mais se mit d'elle meme a genoux au pied du fauteuil bas de Frederic, tournant le dos a son mari. Elle ecarta largement les cuisses, attrapa l'extremite de sa laisse et la tendit a celui qui l'avait prostituee pendant ces deux semaines. Elle croisa ensuite spontanement les mains derriere la nuque indifferente aux regards du serveur et des quelques clients. Elle ne jeta meme pas un regard a Jean. Elle avait du encore perdre un ou deux kilos. Sa taille s'etait encore affinee tandis que les massages repetes de sa poitrine lui permettaient de conserver deux mamelles bien fermes. Elle se tenait cambree au maximum, tendant ses seins vers son maitre. Dans le mouvement elle faisait saillir ses fesses et Jean profitait aussi du spectacle.

Les pointes libres des seins de Nadine menacaient de perforer a chaque instant le debardeur minimal ultra collant que Frederic lui avait fait mettre. Il lui caressait les seins sans se cacher et passait le doigt de temps en temps par les fentes de sa jupe tantot par devant et tantot par derriere. Nadine se laissait faire, decollant au besoin les fesses de ses chevilles pour lui faciliter l'acces. Apres avoir renifle son doigt, Frederic le frottait sur ses seins lorsque le doigt sortait de son vagin ou dans sa bouche lorsqu'il sortait de son cul.

Frederic felicita longuement Jean pour sa petite amie (il ne l'appelait plus sa femme ni Nadine), il decrivit a voix haute tout ce qu'il lui avait fait faire. Il fit remarquer comme on voyait bien ses mamelons et proposa de les faire percer ainsi que ses grandes levres pour y suspendre des anneaux ou des poids.

Jean s'extasia sur les progres accomplis. Il decida de continuer la journee chez eux. Il se leva mais Nadine, bien dressee, ne se redressa que lorsque Frederic se leva a son tour et lui donna l'ordre de les suivre toujours tenue en laisse ostensiblement. Aussitot arrives, Frederic lui ordonna de saluer Jean. Nadine se leva, se prosterna devant celui-ci et entreprit de faire briller ses chaussures en les lustrant avec sa langue. Soudain, sans recevoir d'ordre, elle alla a genoux jusqu'au porte parapluie, prit dans ses dents une cravache, puis elle s'agenouilla a cote de son accoudoir, et deposa la cravache dans la main ouverte de Jean sans dire un mot. Elle se deplaca a genoux jusqu'au milieu de la piece, se mit nue, colla sa joue au sol et fit saillir ses fesses en les cambrant au maximum.

Sans un mot, Jean se leva, s'approcha de la victime volontaire et consentante, leva la cravache qui siffla en s'abattant sur ses fesses. Elle recut dix coups qui formerent un reseau boursoufle sur les fesses puis Jean s'ecarta en tendant l'instrument de torture a Frederic qui lui administra encore cinq coups regulierement espaces sur l'arriere des cuisses puis Pierre fit de meme par devant. Toujours muette, se mordant les levres pour surmonter la douleur, Nadine se remit a genoux puis prit ses seins dans ses mains et les offrit a la morsure de la cravache administree avec plus de legerete par Jean. Elle voulut encore offrir son sexe mais il refusa en craignant de la blesser. Par contre, il s'y enfonca, la verge tendue comme jamais par l'excitation. La mouille bavait de sa fente et faisait une petite flaque sous elle.

Elle dut ensuite retourner au club jouer trois parties de tennis totalement nue. Heureusement, le club etait ferme a cette heure la et personne ne pouvait la voir. Pierre les attendait. Handicapee par son corps meurtri, elle perdit tous les sets et dut satisfaire devant les trois hommes les desirs successivement de Pierre, de Frederic et finalement de son mari. Excites par les photographies de Frederic, ils choisirent tous de la baiser puis de l'enculer a sec avant de se faire sucer leur bites souillees d'excrements jusqu'a ce qu'ils ejaculent dans la bouche accueillante. Bien entendu, elle fut obligee de nettoyer les traces brunes avec la pointe de sa langue en gardant les yeux bien ouverts pour pouvoir s'appliquer. Lorsque Jean se vida enfin en elle, elle ouvrit grande la bouche pour que chacun put apprecier le volume de sperme qu'il lui avait mis puis avala le tout a petites gorgees. Elle s'effondra aussitot apres, epuisee par pres de deux heures de baise ininterrompue.

Dompte par Jean, Frederic s'etait montre tres exigeant sans jamais cependant depasser les limites de ce qu'elle pouvait supporter. Elle devait reconnaitre qu'il lui avait donne finalement beaucoup de plaisir. Emportee par la vague d'excitation qui l'avait amenee a se soumettre d'elle meme a la cravache, elle se surprit elle meme en acceptant de continuer, alors qu'elle savait par avance ce qu'elle allait devoir subir a l'avenir. En y reflechissant apres, elle comprit qu'elle avait voulu quelque part se punir de ce qu'elle n'avait oppose aucune resistance a sa prostitution et qu'elle avait d'elle-meme travaille sa facon de marcher ou de se tenir pour aguicher les hommes et augmenter sa comptee.

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