Nathalie Soumise à son Collègue 01

Mon copain Marc

J'ai été le témoin et l'acteur de cette histoire. J'avais tout juste 20 ans et je venais de m'installer dans une ville moyenne du sud-ouest de la France.

Je poursuivais mes études et en même temps je faisais le pion dans un collège qui partageait ses bâtiments avec une école primaire.

C'est à la cantine que je faisais la connaissance de Marc qui avait 25 ans.

Il était instituteur, grand blond aux yeux bleus, c'était ce que les femmes appellent un cavaleur.

Nous devenions rapidement les meilleurs amis du monde jusqu'au jour ou il m'annonçait être muté dans un joli village à 25 kilomètre.

Nous allions continuer à nous voir les week-ends. Il me racontait ses vacances dans les îles ou il avait deux bons copains et poursuivait avec son quotidien dans sa nouvelle école.

Nathalie et son Mari

En ce samedi de mai il faisait très chaud. Nous étions attablés au frais dans grande salle climatisée de notre bar préféré « Le Parisien ».

C'est à ce moment qu'il à commencé à me parler de Nathalie.

-- Écoute mon Daniel il faut que je te parle de Nathalie, elle est secrétaire dans l'école du village ou je bosse. Elle va fêter ses 50 ans le week-end prochain. Je te jure cette femme est un vrai canon brune aux cheveux courts, des yeux pétillants, une large bouche souriante. Elle à une paire de seins magnifiques et je ne te parle pas de ses longues jambes, de sa chute de reins et de son cul! Mon dieu ce cul à faire bander un régiment.

-- Marc je suppose qu'elle est mariée non ?

-- Oui son mari Pascal est chef d'entreprise il est tout le temps en déplacements

-- Des enfants ?

-- Deux garçons qui vivent leurs vies, reste la petite dernière sa fille Florence qui a fêté ses 18 ans il y a un mois qui est en faculté.

-- Bon et alors ?

-- Il faut que je me la fasse. Tiens-toi bien, normalement elle devrait nous rejoindre ici dans moins d'une demi-heure.

L' Arrivée du couple

Quelques dizaines de minutes plus tard, un couple la cinquantaine pénétrait dans la salle. Au vu de la description que m'avait faite Marc, aucun doute il s'agissait bien de Nathalie.

Elle s'avançait vers nous vêtue d'une jolie robe de printemps.

Ourlet au-dessus du genou, elle dévoilait ses longues jambes et des cuisses manifestement bien ferme. Elle nous offrait également un généreux décolleté dont le fin tissu laissait pointer deux petits bout de seins coquins.

Lorsqu'elle s'était retournée pour regarder l'heure au cadran de l'horloge du café, j'avais eu l'occasion d'admirer le dos nu de la robe et bien sur son joli cul mis en valeur par une cambrure de reins impressionnante.

-- Bonjour, je vous présente Pascal mon mari, Pascal voici Marc mon collègue et son meilleur ami Daniel.

-- Enchanté, ma femme me parle beaucoup de vous, nous n'avons pas beaucoup d'amis dans la région, car je suis malheureusement la majeure partie de mon temps en déplacement.

Ma chaise était largement en retrait de la table et je pouvais voir les jambes de nos invités, le spectacle qui s'offrait à moi à ce moment précis me laissait sans voix.

Tout en entretenant la conversation avec Pascal, Marc s'était libéré de ses sandales d'été et je voyais clairement son pied droit remonter l'intérieur des mollets de Nathalie dont le visage rougissait à mesure que ce pied agile la forçait à écarter les genoux et les cuisses.

-- Mais dites-moi Pascal vous œuvrez dans quel domaine, l'industrie le commerce et vous vous déplacez en France ou à l'étranger ?

Marc était gonflé à bloc ! Le mari relativement bavard lui expliquait en long et en large son job.

Pendant ce temps-là, le talon de Marc reposait à présent au milieu de la chaise de sa femme et ses doigts de pieds taquinaient sa culotte.

-- Hé bien Pascal vous avez un métier passionnant, Nathalie reste très discrète sur votre profession, à l'école elle ne nous a jamais parlé de votre brillante réussite.

-- Ho Marc vous pouvez appeler Nathalie : Nath c'est le petit diminutif que la famille et nos rares amis utilisent.

-- Hé bien Pascal je suis heureux de vous voir me compter parmi vos amis.

Au moment même ou il prononçait ces mots, le gros orteil de Marc s'agitait de haut en bas sur la culotte de la belle Nath. Son excitation manifeste humidifiait le frêle tissu du sous-vêtement dévoilant le dessin des grandes lèvres de son sexe.

-- Mais au fait Nath chérie, tu as invité Marc et Daniel à ton anniversaire samedi prochain ?

-- Ben à vrai mon chéri, nous n'en avons pas parlé.

La belle était rouge comme une tomate.

-- Regardez-moi ça mes amis, ma petite femme est toute intimidée ! Alors ma chérie maintenant c'est chose faite, n'est-ce pas messieurs, nous pouvons compter sur vous, samedi prochain à 19 h à la villa ?

-- C'est toi qui me fais rougir, évidemment si Daniel et Marc sont d'accord je serais heureuse de leur présence à mon anniversaire.

Le pied de Marc était revenu se poser sur son mocassin, je voyais très clairement son orteil luisant de l'excitation de Nathalie. Le tissu trempé de sa culotte ne cachait plus rien de sa longue fente sexuelle.

À ce moment, elle nous demandait de l'excuser et traversait l'immense salle pour se rendre aux toilettes.

Le café comportait deux entrées. Nous étions installé à côté de la principale, mais la seconde se situait à proximité des toilettes que nous ne pouvions voir de notre place.

À peine Nathalie s'était levé que Marc enchaînait :

-- Mon cher Pascal je vais vous laisser en compagnie de mon ami Daniel, j'ai un rendez-vous, mais je serais très heureux de poursuivre notre conversation samedi prochain.

-- Mon cher Marc le plaisir sera partagé.

J'alimentais donc la conversation la conversation avec Pascal et la grande pendule qui me faisait face m'indiquait qu'il s'était écoulé plus de 30 minutes avant le retour de Nathalie ce qui n'avait pas échappé à Pascal.

-- Alors ma chérie tu avais disparue !

-- Tu sais c'est comme sur l'autoroute il faut prendre un ticket pour les toilettes femme pendant que les toilettes hommes sont désertes !

-- Effectivement tu as raison ma chérie c'est souvent le cas.

-- Hé bien Daniel j'ai passé un bon moment en votre compagnie et nous comptons sur vous samedi.

À peine le couple disparu, j'allais en faire de même lorsqu'une main me tapait sur l'épaule c'était Marc!

Nathalie dans les toilettes

-- Alors mon Dan un dernier verre, histoire que je te raconte

J'entre dans la petite pièce qui mène aux toilettes, Nathalie est seule et me tourne le dos.

Sans lui laisser le temps de réagir ma main gauche sur sa nuque je la pousse dans les toilettes hommes en refermant la porte à clef derrière moi.

-- Marc tu es complètement fou que fais-tu

-- Tais-toi tu en crèves d'envie ta petite chatte t'as trahie, tu as mouillé ta jolie culotte il y à quelques minutes.

En lui disant cela je m'étais plaqué dans son dos, mon sexe bandé calé dans le sillon de ses fesses, j'avais baissé les bretelles de sa robe et les bonnets de son soutien gorge. Je massais ses seins volumineux et tirais sur ses bouts qui se dressaient révélant son excitation.

-- Hum ho Marc tu es fou, il ne faut pas, je suis mariée mère de famille.

-- C'est ça qui t'excite petite vicieuse, je le sais, je le sens.

-- Non ho qu'est-ce qui m'arrive Marc non..

J'avais libéré mon sexe, je la retournais et lui imposait de s'asseoir sur la lunette des toilettes.

Les seins à l'air, les yeux grands ouverts elle faisait face à mon sexe qui s'avançait vers sa bouche.

La première pipe de Nathalie

-- Non Marc pas ça, ce n'est pas bien, ça ne se fait pas.

-- Non tu n'es pas sérieuse ! Tu n'as jamais sucé Pascal ?

-- Non jamais

Incroyable, j'avais 25 ans et j'allais apprendre à une femme mariée et mère de famille qui allait fêter ces cinquante ans, comment faire sa première fellation, quel pied !

Je lui relevais la tête je la regardais droit dans les yeux je m'approchais et lui administrait un baiser profond mélangeant nos langues.

J'avais à ce moment-là calé mon sexe en totale érection entre ses deux gros seins brûlant dons les bouts pointaient.

Je poursuivais le baiser profond elle avait ses mains derrière ma nuque et à présent m'offrait totalement sa bouche ample et chaude.

Je pressais ses seins sur ma verge et lui offrait le va et vient de mon gland dans le sillon de ses deux magnifiques seins lourds dont les bout étaient en totale érection.

Elle gémissait, à ses frémissements je comprenais qu'elle commençait à manquer d'air au regard du long baiser que je lui imposais.

Elle se dégageait et ouvrait largement sa bouche pour reprendre sa respiration, ni une ni deux j'en profitais pour introduire mon sexe entre ses magnifiques lèvres charnues.

Mon gland progressait lentement mais inexorablement sur sa langue.

-- C'est bien ma petite Nath, tu apprends vite, tu vas devenir une bonne suceuse, j'étais sûr qu'au fond de toi tu cachais une petite vicieuse. Allez avale ma queue en entier, fait un effort je vais t'aider.

Ma main gauche immobilisait fermement sa tête, ma main droite lui pinçait légèrement le nez.

Elle ouvrait alors son immense bouche. À petit coup de reins je progressais dans ce fourreau chaud et humide.

Ses mains tapaient mes fesses et tentaient de me faire reculer. Elle gémissait, elle me griffait les reins au moment ou je calais mon gland au fond de sa gorge. Mes couilles venaient de claquer sur son menton. Un coup de rein en arrière je libérai sa bouche

-- Marc tu m'étouffes

-- Ma petite Nathalie je veux baiser ta bouche.

Je la pénétrais à nouveau à grands coups de reins, mon sexe allait et venait dans son arrière-gorge que je sentais s'élargir et devenir de plus en plus accueillante.

Mes mains libéraient totalement sa tête et je sortais entièrement de sa bouche. Mon sexe bandé au maximum je laissais simplement mon gland reposer sur son menton.

-- Nathalie si tu veux tu peux arrêter maintenant tu es totalement libre..

Elle me regardait droit dans les yeux et la gourmande avalait mon sexe en entier, ses mains me caressaient les couilles.

Je lui baisais la gorge encore et encore, et j'éjaculais longuement dans cette bouche qui m'avait si souvent fait rêver.

Incroyable, mais elle venait sans aucune contrainte d'avaler l'essentiel de mon sperme. Ses lèvres blanchies luisaient de ma jouissance. Je récupérais sur le bout de mes doigts un peu de ma liqueur que j'étalais sur ses bouts de seins que je massais.

-- Ho Marc qu'est-ce que nous avons fait ! Je suis folle j'ai honte.

-- Ne t'inquiète pas, je vais bien m'occuper de toi, enlève ta culotte et donne la moi. remet de l'ordre dans ta tenue, remaquille-toi et va rejoindre ton mari.

-- Mais Marc pas ma culotte

-- Ne discute pas, de toute façon ce n'est plus une culotte elle est totalement trempée, donne, dépêche-toi.

« Voilà mon Daniel, elle m'a donné sa culotte, regarde » Marc venait de sortir de sa poche le petit bout de dentelle qu'il me montrait comme un trophée.

Et il ajoutait

-- Je vais faire de cette femme bon chic bon genre une sacrée baiseuse crois-moi.

Aller j'y vais de toute façon on se retrouve pour son anniversaire ! Sacré situation non.

Nul doute que ce samedi d'anniversaire allait nous réserver des surprises.