Nedjma - Chapitre 05

Informations sur Récit
Je montre à Nedjma la video de Sophie me sucant au bureau.
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Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/08/2019
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Le matin est vite là... j'ai passé une nuit merveilleuse entre les cuisses de Françoise, dans ses fesses aussi. Nous nous préparons doucement à l'étage... c'est là que se trouvent les chambres, la sienne -- siège de nos ébats - et celles de ses 2 mômes... il y a aussi un grand bureau, une salle de jeu et un deuxième salon où la famille passe habituellement ses soirées, celui du premier niveau servant généralement à l'accueil des amis et autres visiteurs... mais bon, je ne suis pas venu pour l'architecture intérieure et je n'en ai pas fait le tour! J'étais, je crois, passablement occupé à soulager mon envie gargantuesque de faire l'amour ainsi qu'à combler Madame dans son lit conjugal! Madame, qui je le précise, était toute aussi affamée que moi en la matière!

Nous respirons le bonheur et nous sentons bon le gel douche... autour de moi, le parfum de Françoise vient par vagues légères et subtiles emplir la pièce d'effluves délicats, mais trop légers cependant pour effacer l'odeur prégnante de cul qui règne dans cette chambre où nous avons passé la nuit à baiser! Je vaporise un peu de Ted Lapidus piqué à Christian sur mon torse, j'enfile un de ses T-shirts aussi et le pantalon de survêtement que j'avais en arrivant. J'ai la bite à demi-molle, prête à se dresser à la moindre sollicitation, des papillons dans le ventre et une putain d'envie de café! Je quitte donc la chambre à coucher, direction la cuisine qui se trouve au premier niveau, ramassant au passage ma paire d'Adidas jetée la veille aux pieds du grand lit... il faudra que je taxe une paire de chaussettes à son mec... je demanderai à Françoise... je n'ai pas à fouiller dans leurs affaires! Le parfum était sur une petite table près du lit, et quant au T-shirt, il était sur une chaise, repassé et plié sur une pile d'autres affaires... j'aurais aussi besoin d'un slip! Ma demi-molle ajoutée au frottement incessant du survêtement sur mon gland, je risque d'avoir la trique rapidement!

En quittant la pièce, je me retourne pour jeter un dernier regard sur ce lit où nous avons pris notre pied près de 4 heures durant, lit qu'elle partage avec son mari depuis leur nuit de noces... Le matelas a changé plusieurs fois bien sûr, mais le cadre en est toujours le même, un grand lit d'époque qu'elle a reçu de sa mère... mais de quelle époque? Pffffiou! Pas le genre de détail dont je me souvienne même si je peux affirmer par contre qu'il est vraiment ancien puisque je n'ai pas oublié que ce lit a accueilli les amours de sa mère avant les siennes et celles de sa grand-mère également! Je souris... chaque fois qu'une femme mariée est entrée dans ma vie, j'ai toujours essayé de lui faire l'amour dans son propre lit, là où le mari dort chaque nuit -- quand il ne délaisse pas son épouse... Oui, c'est mon côté cérébral! Cela contribue à mon plaisir et démultiplie le plaisir que je peux éprouver... et quand cette femme connaît son premier orgasme dans mes bras alors que son mari ne lui a jamais fait plus d'effet que le chatouillis d'une fourmi grimpant le long de sa jambe, j'exulte! Je me sens le plus comblé des hommes! C'est important de donner du plaisir.... Plus important que d'en recevoir à mes yeux... Oui! Je sais... si je suis là c'est parce que je voulais satisfaire mes propres besoins! Mais je n'ai pas baisé en égoïste! Loin de là! Quand je passe la porte, j'entends Françoise chantonner tout en finissant de se préparer dans la salle de bains qui jouxte la chambre, et je me dis naïvement (pompeusement?) que j'ai du assurer au pieu pour qu'elle soit aussi détendue ce matin! Elle a pris son pied tout autant que moi! Plusieurs fois! Tout comme moi... de toute façon je ne quitte jamais une femme sans l'avoir satisfaite... question de principe!

Dans les escaliers, j'entends à nouveau ce vieil air que Françoise étrille dans un mauvais anglais! Le son passe via les hauts parleurs fixés un peu partout dans le loft, tous reliés au système audio que son mec a installé... super rendu sonore et bonne installation, d'ailleurs! Christian est ingénieur du son dans cette radio locale dont on entend la programmation musicale en ce moment même... la chanson et l'allégresse de Françoise me font sourire et je me mets à fredonner le même air qu'elle moi aussi, un vieux tube des années 80, Matt Bianco, More Than I Can Bear... un titre entraînant, plutôt dansant, une musique en contraste absolu avec les paroles plutôt tristes! La chanson raconte l'histoire d'un type qui un jour croise son ex aux bras d'un autre homme... et il imagine cette femme qui a partagé sa vie en train de faire l'amour avec ce nouvel amant... voilà un truc que devrait chanter le mec de Françoise s'il me croise avec elle! Il la trompe allègrement! Mais vous savez comment les gens peuvent réagir en de telles situations... c'est toujours quand l'amour nous abandonne et que l'autre nous échappe que l'on se met soudainement à enrager et à hurler qu'il ou elle nous appartient pour la vie et qu'il ou elle n'a pas le droit de nous quitter! Hélas! C'est seulement quand on perd ce qui fut autrefois si cher à nos yeux que l'on réalise et se rappelle de sa valeur...

Mais si vous connaissez la chanson, vous devez également en connaître le refrain, non? Celui qui dit que ce n'est pas une fois qu'on a chié dans son froc qu'il faut serrer les fesses!

On ne peut pas faire plus clair!

Je ne sais pas... je n'ai pas de leçons à donner quoi qu'il en soit! Ni à jouer les philosophes de l'amour à 2 balles! Je viens de trahir Nedjma et l'amour qu'elle me porte! Et je recommencerai dès ce soir! Nedjma ne m'appartient pas, et je le sais pertinemment au fond de moi! Tôt ou tard, elle réintégrera docilement son foyer et elle m'oubliera... c'est la vie! Et c'est ce qui nous attend elle et moi! Elle peut se persuader du contraire ou me le faire croire, je ne suis qu'un moment dans l'histoire de son couple... un moment très agréable, certes! Mais juste une parenthèse qu'elle a ouverte, mais qu'elle refermera de la même manière! C'est une loi universelle à laquelle Nedjma ou Françoise ne dérogeront jamais! C'est une question d'équilibre... je sais que j'ai pas le poids nécessaire et suffisant pour faire pencher la balance de mon côté... le plateau sur lequel elles se tiennent reprendra donc sa place initiale à la fin de la pesée! En attendant, je rends Nedjma heureuse la journée, et ce soir je redonnerai du plaisir à Françoise!

Et moi dans tout ça?

Je me sers à tous les étages! Voilà tout!

Dois-je m'en sentir coupable?

Je ne crois pas... au nom de quoi?

Je n'ai aucune bague au doigt, je n'ai fait aucune promesse par devant Dieu, ni signé un contrat devant un élu de la République! J'ai simplement promis d'aimer... et j'aime Nedjma de tout mon cœur! Sincèrement! Quand elle est avec moi, elle seule existe! Mais quand elle rentre chez-elle, moi je disparais de sa vie! Je n'existe plus! Croyez-vous qu'elle parle de moi à ses filles? Allons... elle se doit de rester la femme et la mère exemplaires que les siens connaissent! M'admettre plus avant dans sa vie, ce serait reconnaître qu'une part d'elle n'est pas aussi belle que sa façade l'annonce! Personne n'est prêt à se dévoiler si ouvertement ou accepter son côté obscur... une femme comme Nedjma encore moins! Vous pensez qu'elle aimerait se faire traiter de pute par ses filles, son mari ou sa famille? Voyez jusqu'où elle pourrait aller pour effacer cette insulte dans la bouche de Sophie! SI elle pouvait la détruire, elle n'hésiterait pas une seule seconde... pourvu que l'injure disparaisse avec elle à jamais... Je ne dis pas que Nedjma est une garce parce qu'elle trompe son mari invalide avec moi... mais c'est ainsi que les siens la jugeraient...

Pour ma part, je poursuis un chemin qui me correspond totalement! J'aime les femmes, j'aime le cul! En fin de compte, je suis le seul à respecter mon moi intérieur, ce qui me définit... le seul à être fidèle à mes valeurs et à respecter mes engagements ou la morale que j'affiche!

Oh la... je suis allé si loin avec ce vieux tube de Matt Bianco! J'avais le sourire aux lèvres et me voilà bien pensif d'un coup!

Je regarde l'heure, ça va... Françoise et moi avons encore près d'une heure devant nous... alors je vais nous préparer un petit café! Le temps que sa machine à expresso remplisse nos deux tasses, je vais m'asseoir sur un de ces hauts tabourets de bar et m'accouder au plan de travail devant moi en essayant de me vider la tête! Allez, Dom! Laisse ton esprit flotter, n'écoute que ton cœur léger et ne sent que ton ventre encore bouillonnant des sensations éprouvées depuis ton arrivée ici ...

Françoise me rejoint. Elle est radieuse! Elle passe une main dans mon dos qui vient rapidement sur mon ventre, puis plus bas...

« - Mmmmm... tu nous fais du café! Merveilleux... avec du lait pour moi, s'il te plait, Dom!

- Euh... (je tourne la tête dans tous les sens à la recherche du frigo)

- Ce lait là! (Dit-elle en désignant ma queue d'un regard coquin) »

Sans plus de mots, elle se plante face à moi, pose ses mains sur ma taille pour tirer et baisser sur mes genoux mon bas de survêtement. Je lève mes fesses pour l'aider...

Sa petite main enserre ma verge qui durcit déjà à ce doux contact. Sa bouche vient sur la mienne puis sur mon gland qu'elle avale et la hampe toute entière... ma bite double de volume d'un coup quand je sens sa langue s'enrouler et coller à la peau fine de mon chibre. Penchée devant moi, elle commence à me sucer goulûment, faisant aller sa tête de droite à gauche et plaquant sa langue sur ma grosse veine qu'elle cajole généreusement en remontant.

Je l'ai bien léchée moi aussi quelques minutes plus tôt tandis qu'elle se coiffait devant le grand miroir de sa salle de bains Nous venions de prendre une douche ensemble puis elle avait passé ce peignoir qu'elle gardait ouvert, ce qui m'excita terriblement, allez savoir pourquoi! L'intimité à laquelle il renvoyait peut-être... la sensation de vivre un instant privilégié auquel je n'aurais normalement jamais été convié... oui, cela devait tenir à quelque chose dans ce genre là... je contemplais son reflet dans le miroir et je bandais... tantôt je pouvais apercevoir un sein ou les deux, ses cuisses pleines ou la fente de son con au bas de son petit ventre rond... elle se tenait là devant moi, debout face à cette large vasque étincelante en forme de coquille st jacques, une brosse à la main et chantonnant déjà en coiffant ses cheveux courts devant ce grand miroir art déco... et moi je la regardais comme j'aurais regardé une Vénus à son bain, profondément ému de pouvoir partager un moment de la vie d'une femme que j'admirais pour son intelligence et son parcours, une femme qui m'avait donnée ma chance quand je démarrais dans la vie active et grâce à laquelle j'avais pu m'élever socialement... bien évidemment, je savourais avec délice aussi, les mouvements de son beau petit cul rond qu'elle tortillait au rythme de la chanson qu'elle fredonnait! Elle ne se privait pas pour évaluer du coin de l'œil, le niveau de mon érection et l'effet bœuf qu'elle me faisait!

D'abord appuyé contre le mur derrière elle et encore nu après cette douche que nous venions de partager, je m'étais rapproché jusqu'à sentir l'odeur enivrante de sa peau propre, puis la douceur de son peignoir contre ma peau, et la chaleur enfin de sa peau contre ma peau, à l'instant où j'avais commencé à me frotter contre son beau gros cul bien rond après avoir relevé sur ses hanches larges, le peignoir immaculé... mes mains que j'avais autour de sa taille étaient venues par devant caresser son ventre et ses petits seins... puis je m'étais assis par terre sur le carrelage embué, ma tassant un peu pour avoir la bouche pile à hauteur de sa vulve, me délectant du panorama sublime qui s'offrait à moi, là au creux de ses cuisses, entre ses jambes qu'elle prenait soin de bien écarter, mon dos appuyé contre le meuble sous la vasque et dardant ma langue de son anneau caché au cœur de ses fesses rondes, jusqu'à son clitoris durci par une nuit de jouissance et pointant sous sa hotte ... j'ai longuement léché sa fente, ouvrant le passage humide de ses petites lèvres avec ma langue épaisse avant de m'y enfoncer profondément jusqu'à sentir le fond de son vagin... mes mains collées à ses belles fesses rondes, je lui dévorais la chatte! Ma bouche plaquée à sa vulve couvrait l'espace de la commissure antérieure de la grande lèvre à la commissure intérieure, et au milieu, ma langue tournoyait et retournait toute la chair de son con, labourant amoureusement le profond sillon de sa grosse chatte d'où exhalait l'odeur hygiénique du savon intime qu'elle venait d'utiliser sous la douche pour se nettoyer de tout le sperme et de toute la mouille que notre nuit d'amour avait accumulée au plus profond de ses entrailles...

Le ventre pris de spasmes, elle avait soudainement resserré fortement ses cuisses sur mon visage et tiré sur mes cheveux dont elle avait saisi une touffe sur ma nuque!

« - Doooooom!!!! » Cria-t-elle tandis qu'à la même seconde, un flot chaud de sa cyprine se mit à couler sur ma langue, emplissant ma bouche avant de verser généreusement dans ma gorge...

Pour seule réponse, je lui pétris le cul un peu plus fort en régalant son vagin poisseux de profonds coups de langues plus appuyés. J'adore sa chatte! Ses grandes lèvres bien épaisses encadrent deux petites lèvres adorables qui font comme un chapeau pour mon gland quand je pénètre son vagin! Comme 2 mèches de cheveux! Je n'ai pas arrêté de mater son bas ventre quand j'allais et venais en elle! Et chaque fois que mon gland ressortait, ses deux petites lèvres venaient l'envelopper et le coiffer de part et d'autre, comme deux franges sur chaque côté d'un front!

Françoise me suce avec ardeur... a-t-elle faim de ma viande ou a-t-elle soif de ma semence? Les 2, mon Capitaine! Elle me suce et m'aspire le chibre sans jamais relâcher la pression de ses lèvres... jusqu'à ce que j'éjacule enfin... quand elle sent que je suis sur le point d'envoyer, elle se redresse et saisit une des tasses pleine de café derrière elle et la place juste en dessous de mon gland! La chaleur de ce café fraîchement coulé me fait sursauter! C'est sensible une bite!

« - Vas-y doucement, Françoise! Je n'ai pas envie de finir grand brûlé! LOL

Loin de moi cette idée! Oui, je fais bien attention, Dom! Je veux juste que tu éjacules dans mon mazagran...

- Ne dis pas des trucs comme ça! C'est un coup à me faire bander pour des heures!

- Mmmmm... je pourrais passer te voir dans la journée... (Elle me fait un clin d'œil)

- Pas facile avec Nedjma juste en dessous de mon bureau...

- Ah bon??? En dessous de ton bureau?!?! Carrément!!! C'est vrai que la place d'une bonne secrétaire, c'est entre les cuisses de son patron! Hahahaha!

- Mort de rire! (Si tu savais, Françoise... si tu savais!) En tout cas, merci pour cette nuit! (Lui dis-je tandis qu'elle déglutit mon sperme)

- J'ai hésité jusqu'à la dernière minute, tu sais! J'ouvre la porte... je n'ouvre pas... (Elle se relève et je la prends dans mes bras)

- Je peux comprendre... je me suis sauvé comme un voleur la dernière fois...

- C'était vraiment ta mère au bout du fil?

- Qui d'autre?! A choisir, j'aurais préféré passer la semaine avec toi! (Je pelote ses belles fesses rondes) Le lendemain quand je t'ai appelé au boulot, j'ai bien senti que tu étais énervée... (Je l'embrasse dans le cou et déboutonne le haut de son chemisier) et comme tu m'as dit que c'était une erreur entre nous, je n'ai pas insisté!

- Mmmmm... Contente que tu aies pensé à moi cette nuit en tout cas! Pourquoi cet intérêt soudain d'ailleurs?

- Oh... j'étais hyper chaud!!! J'avais passé la soirée à mater des vidéos pornos... quand je me suis couché, je n'arrêtais pas de tourner sous les draps... j'avais envie...

- De moi ou simplement de baiser?

- Les 2 mon Capitaine! Quand l'ampoule « Cul » s'est allumée dans ma tête, la seule image qui est venue en même temps c'était la tienne! Enfin, pour être honnête, je te voyais en position de levrette, ton super cul en l'air!

- Hahahaha! Au moins c'est franc, oui!

- Tu es une femme magnifique, Françoise...

- Mais en position de levrette uniquement c'est ça? Hahahaha!

- LOL! Dans toutes les positions! J'ai pris un pied monstrueux cette nuit... et dans ta bouche encore, il y a 2minutes à peine... mais oui, quand tu étais à 4 pattes devant moi sur ton lit, ou quand je suis arrivé et que je t'ai prise dans l'entrée... tu tendais les fesses vers moi... (je revois les images dans ma tête) Wow!!! Ça ferait mal que ton mec trouve une femme avec un cul aussi bandant que le tien! Perso, je n'en ai jamais vu!

- (Elle sourit... elle rougit aussi) En tout cas, ma proposition tient toujours si tu veux passer la fin de semaine ici... Christian ne rentre que dimanche matin avec les enfants... Ça nous laisse cette nuit et demain...

- Euh... samedi matin je ne suis pas dispo... un truc prévu de longue date... je ne sais pas combien de temps ça me prendra mais je pourrai passer la soirée et la nuit de samedi à dimanche avec toi oui... la petite famille rentrera vers quelle heure?

- Oh... normalement ils seront là dimanche midi... au plus tard vers 14h00 si les routes sont encombrées...

- Alors parfait! (J'ai toujours les mains rivées à ses fesses et je les malaxe sans arrêt)

- (Elle m'embrasse) Monsieur Dom, il va falloir se mettre en route...

- Déjà?

- (Elle m'embrasse à nouveau, plus longuement) Hélas...

- Tu pourrais me prêter un des slips de Christian, ou un de ses caleçons? Je me vois mal sortir dans la rue dans cet état!

- Mmmmm... je te sens bander sur mon ventre depuis tout à l'heure! Hahaha! Oui! Je vais te trouver ça! »

Mais elle reste collée à moi et nous nous embrassons à nouveau... elle a glissé une main sous mon survêtement et caresse ma verge qui ne débande pas... j'ai aussi une main passée sous la ceinture de son pantalon, dans sa petite culotte, et je sens son clito gonfler sous mes doigts et sa fente humide...

« - Dom...

- Je vais te mettre en retard, Françoise...

- Je suis Directrice après tout! Mmmmm... j'aime comme tu bandes pour moi, Dom...

- 2 jours avec toi... entre tes cuisses... Françoise?

- Oui, Dom?

- Dis-moi où tu me veux... devant toi ou...

- Ou... oui... ouuuuu... (Lâche-t-elle comme un gémissement)»

Et nous nous roulons une pelle monstrueuse, soufflant et respirant fortement, mon ventre collé à son ventre, nos mains s'activant à baisser nerveusement nos pantalons respectifs... nos corps s'électrisent, nos langues fouillent nos bouches en gémissant... rapidement, elle se tourne et mon bas ventre se frotte à la rondeur parfaite de ses fesses si fermes... mes mains caressent ses hanches, son ventre, descendent le long du chaud sillon de sa fente puis remontent sous son chemisier jusqu'à ses seins nus que je prends en coupe, les enveloppant de mes paumes pour en faire rouler leur chair élastique et sentir les tétons durcir entre mes doigts... Françoise a gardé une main autour de ma verge et elle ondule telle une algue dans le courant de mes ardeurs...

Prenant appui sur le plan de travail devant nous, elle doit se reculer pour me permettre de la prendre... elle se cambre, secoue la tête... ma main remplace la sienne autour de ma queue et je pousse lentement... elle m'offre à nouveau la caresse intime de son anneau qui s'écarte sans peine et se referme sur moi...

« - Françoise...

- Vas-yyyy! Doooommmmmmmouiiiiii!!

- Françoise... (Je vais et je viens dans son divin fourreau, lentement d'abord, sans la pénétrer entièrement, regardant sa peau coller à ma bite et former comme une bouche, se distendant au passage de mon gland violacé) Christian et toi, vous...?

- (Elle pige ma question avant même que j'ai fini de la poser) Nhhhaaaaan...

- Mmmff... alors qui?

- Chuuuut... Dhhooohhhmm... plus viiiiite!!

- (Je n'apprendrai pas aujourd'hui qui a défloré et élargi ce cul fantastique! J'accélère la cadence) Françoise!! Ton cul!!!! Mmmff... je vais y penser toute la journée!

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