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Cliquez iciJ'ai toujours été cocu, et je dois avouer que j'aime ça. Je me suis marié pour la première fois à l'âge de 20 ans, et ma fiancée en avait 17. Elle avait pour habitude de "faire des vieux" dans sa boîte de nuit favorite. Quand je dis des vieux, ça veut dire que du haut de ses 17 ans elle se faisait du septuagénaire.
Son expérience lui a permis de me dépuceler dès le jour de notre rencontre. Une fois mariés, elle s'est fait monter par tous les mecs qui passaient, surtout par mes camarades de travail. Quand je l'ai su, il y a eu une période pendant laquelle je la baisais encore plus fort qu'avant, et je l'insultais copieusement mais elle semblait apprécier.
Après notre divorce, j'ai connu celle qui est devenue ma seconde épouse. Belle à en faire bander un impuissant, je faisais des envieux partout où nous allions. Je l'ai dépucelée sur le carrelage de la salle de bain chez ma mère, et ensuite nous avons vécu ensemble deux ans. Je l'ai prise dans toutes les positions et dans bon nombre d'endroits insolites, mais elle était cependant trop prude et je m'en lassais très vite.
J'ai connu ma troisième épouse au début des années 80. A cette époque, pas encore de SIDA (du moins il n'était pas connu), et donc on pouvait tirer qui on voulait "à cru" sans aucun risque, à part de foutre la nana en cloque. Elle avait 23 ans, moi 27, alors autant vous dire que ça y allait à couilles rabattues au moins trois fois par jour. Au bout de trois ans à peu près, ce qui devait arriver arriva : elle était pleine jusqu'aux yeux. Comme ça ne rigolait pas dans la famille, il a fallu organiser le mariage vite fait.
Le jour J arrive, et nous voici tous à la mairie : la famille, jusqu'aux cousins éloignés, les amis des parents et les nôtres, et les voisins. Au total, une centaine de personnes, tous endimanchés et prêts à faire la fête. A la mairie, je remarque que mon oncle, qui a 68 ans à l'époque, regarde ma chérie avec des yeux brillants. Elle est enceinte de 8 mois, et sa poitrine énorme se devine bien sous la robe de mariée pourtant très sage (il faut cacher le ventre énorme lui-aussi).
Arrivés à l'église, tout le monde s'installe vite fait et le curé fait son office (c'est le cas de le dire). Il n'est pas très vieux, disons la bonne quarantaine, et lui-aussi ne quitte pas des yeux le renflement de la poitrine et du ventre de ma promise. Après la bénédiction, je suis assailli par tout le monde, à celui qui en rajoutera le plus sur les félicitations.
Au bout de quelques minutes, je ne vois plus plus ma nouvelle épouse. "Elle t'a déjà oublié", croient intelligent de remarquer quelques invités grivois. Je décide de la retrouver pour partager la lourde tâche de remercier tous ces gens qui défilent en nous félicitant (de quoi, d'ailleurs?). Je quitte donc l'attroupement et fouille derrière les piliers de l'église. En passant devant la porte de la sacristie, j'entends des cris et des grognements, ce qui me paraît bizarre dans ce lieu. Je pousse la porte, ma curiosité en avant. Et là, un éclair me foudroie. Ma petite chérie, enceinte jusqu'à la gorge, je le rappelle, est allongée sur une table, la robe relevée sur son énorme ventre. Elle a les jambes en l'air, et entre ses cuisses blanches je vois les fesses noires du curé se crisper en cadence pendant qu'il pousse aussi loin qu'il le peut dans mon épouse un chibre comme mon bras! Passé le moment de stupeur bien compréhensible qui m'a assommé, je me camoufle comme je peux derrière le buffet et continue à assister au ravage. Ma salope de femme gémit en cadence, et le fumier ahane en transpirant et en insultant celle qu'il est en train de faire jouir : " T'en as déjà vu des comme ça? Ton cocu doit être monté comme un asticot, ça te change, hein, sac à bites? " Ma chérie répond entre deux cris de jouissance : "Oh oui, mon père, vous avez raison. Défoncez-moi avec votre manche de pioche. Et surtout, ne retenez pas votre sperme, je ne risque plus rien! "
En entendant ça, le curé ne peut plus se retenir. Je le vois serrer les dents, et je vois aussi ses couilles se rétracter pendant qu'il insémine ma femme déjà pleine à craquer. "Tiens, prends ça, saloooooooooope!"
Je m'éclipse discrètement, avec une trique comme je n'en ai jamais eue. Je sors de l'église, traverse la place et m'engouffre dans les toilettes publiques. Là, je me pignole comme ça ne m'est jamais arrivé, à me faire des ampoules dans les mains. De retour dans l'église, ma femme est là, au milieu des invités qui continuent à nous féliciter. "Le bisou, le bisou, le bisou, " crient tous ces cons en cadence. Je roule une pelle à cette salope, et tous nous envient. Même le curé, héhé!