Nuit d'Hôtel (Suite 01)

NUIT D'HÔTEL (suite 01)

Notre deuxième nuit d'hôtel fut semblable à la précédente. Une fois monté dans la chambre, je trouvai ma mère déjà couchée, positionnée en chien de fusil et faisant semblant dormir. Je savais bien sûr à quoi m'en tenir et elle savait tout autant que je ne pouvais être dupe. Le spectacle qu'elle m'offrait, drap mal tiré découvrant à demi son cul tendu comme une invite était suffisamment parlant. En quelques secondes j'avais quitté polo, jean et slip et je me collais contre ses fesses offertes, la bite déjà en érection s'insérant dans sa raie, sans cette fois feindre de dormir. De son côté elle ne continua pas non plus son manège. Nous savions elle et moi que le seul et unique tabou qu'il ne fallait à aucun prix briser, c'était la parole. Aucun mot ne devait jamais franchir nos lèvres, ni au lit ni en dehors.

Je portais la mains à ses nichons quand je sentis la sienne empoigner ma queue. Elle commença à la glisser en un lent va et vient entre les lèvres déjà entrouvertes de sa chatte qui s'humidifiaient peu à peu. Elle prenait son temps, son souffle s'accélérant quand elle frottait mon gland à son clitoris décapuchonné. Que cette femelle en chaleur soit ma mère décuplait mon excitation, et c'est frénétiquement que je triturais ses tétons dressés, lui arrachant des gémissements où le plaisir se mêlait manifestement à la douleur.

Tout à coup elle ne put plus y tenir et, lâchant ma bite, recula brusquement ses fesses pour que je puisse enfin m'enfoncer dans sa chatte, où je ne tardai pas à gicler pendant qu'elle feulait sous mes derniers coups de boutoir.

Je restai un long moment au chaud de son con trempé. Quand je me retirai, elle se leva et gagna la salle de bain. J'entendis couler l'eau et c'est sur l'image de ses cuisses écartées au-dessus du bidet que je m'endormis.

Le lendemain, nous avons pris notre petit déjeuner dans la salle de réception du rez-de-chaussée en parlant de mon concours et de mes espérances, puis nous avons repris la route. Quand nous sommes arrivés chez nous vers midi, mon père nous attendait. Il avait hâte que je lui fasse part de la façon dont les choses s'étaient déroulées à l'Ecole des Chartes et il avait pris un jour de congé, en nous préparant un succulent déjeuner en mari et père attentionné.

Inutile évidemment de préciser avec quelle impatience j'attendis les jours suivants, une initiative discrète, non formulée mais sans ambigüité de ma mère qui m'aurait indiqué qu'elle avait à nouveau besoin d'une saillie filiale. Il m'était impossible de croire qu'elle pourrait se contenter désormais de simples rapports conjugaux. Mais c'est en vain que, pendant quinze jours, je guettai le moindre signe de connivence. J'aurais presque envisagé une réaction de honte ou de remords de sa part si pendant tout ce temps son comportement n'avait été tout à fait conforme à ce qu'il avait toujours été : celui d'une femme respectable, épouse modèle et mère parfaite, uniquement préoccupée de son mari et de son fils. Elle n'éprouvait aucune honte et ne culpabilisait en aucune manière, j'en étais bien certain.

Enfin, un jour que nous venions de déjeuner en tête à tête, elle me dit négligemment, comme si de rien n'était :

« Tu peux débarrasser la table et mettre en route le lave-vaisselle, mon chéri? Je ne sais pas ce que j'ai, je me sens un peu fatiguée. Je crois qu'une petite sieste me fera du bien...

-Bien sût Maman! » m'empressé-je de dire avec un enthousiasme que sa demande ne justifiait pas.

Elle me remercia et monta dans sa chambre. Dans LEUR chambre, devrai-je dire, car ce fut cette pensée qui me traversa aussitôt l'esprit : j'allais baiser ma mère dans son lit conjugal, devant sa photo de mariage, qui trônait sur la commode face à leur lit.

Quand, le lave-vaisselle rempli, je la rejoignis, c'est immédiatement cette image qui me sauta aux yeux : le chambre était dans la pénombre, les rideaux étaient tirés et la seule lumière était celle, diffuse, de la lampe de chevet placée à côté de leur photo de mariage. Je bandai instantanément devant cette mise en scène qui ne devait rien au hasard. Ce fut ce jour-là qu'elle me suça pour la première fois, les yeux rivés sur le visage rayonnant de mon père dans son cadre doré en se branlant avec frénésie sans que, fidèle à notre convention tacite, nous échangions le moindre mot...

(à suivre)