Omar - La Traite des Blanches

Informations sur Récit
Saga d'Omar violeur et traiteur de blanches
5.6k mots
4.21
74.9k
00

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 06/08/2007
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Omar - La traite des blanches.

White Slavery Shipment

Coulybaca / Black Demon

**************

Cette histoire se suffit à elle-même,

Cependant, elle fait suite à :

Omar - Le premier jour de croisière (Cruise Ship -- Day 1)

**************

Cela faisait maintenant deux mois que le couple Walker avait célébré son premier anniversaire de mariage à bord de 'l'Island of Pleasure".

Laurie Walker était pendue au téléphone, c'était un appel de l'infirmière du cabinet de gynécologie qui la suivait.

Assise morose à son bureau dans le quartier des finances de Wall Street, Laurie était toute retournée alors que son coeur battait la cha-made.

Les choses s'avéraient si différentes maintenant, en fait totalement opposées à ses espoirs lorsqu'elle avait embarqué pour cette croisière avec son bien-aimé mari.

La croisière avait bien commencé, un premier repas excellent à bord, et une séance de jeux au casino du bord, tant qu'ils étaient dans les eaux territoriales.

Epuisées par la journée de préparatifs la veille de l'embarquement, ayant longuement voyagé de leur domicile au quai d'embarquement, Laurie et son mari étaient tombés dans les bras de Morphée à la veille de leur premier anniversaire de mariage.

Et Laurie, alors qu'elle somnolait pensait en elle même toute souriante :

- "Et si on profitait de ce premier anniversaire de mariage pour faire un bébé!....".

Et voila que l'infirmière du cabinet de gynécologie lui annonçait les résul-tats du test subi deux jours plus tôt, Laurie frissonna en apprenant qu'elle était enceinte.

Le bébé avait été conçu le premier jour de leur anniversaire de mariage, à bord du navire, mais il n'était pas de son mari!

Au petit matin, au lever du soleil, elle avait décidé de faire ses exercices quotidiens sur le pont extérieur du navire tandis que John restait couché.

Un matelot quittait le pont juste au moment où Laurie se dirigeait vers sa cabine situé au niveau bleu, soudain elle fut assaillie par un homme se tenant dans son dos.

Une grosse main lui cloua le bec étouffant ses cris, Son agresseur la traîna ensuite dans la cabine face à la sienne, elle était obscure.

Dominée par la puissance de son assaillant Laurie comprit très vite qu'elle n'avait aucune chance de lui échapper, qui connaissait très bine la disposition de la cabine et évoluait avec aisance dans l'obscurité, déjà il la dépouillait de ses vêtements.

Ce fut un moment horrible, ses mains se posaient sur elle déchirant ses vêtements, une fois qu'il lui eut arraché son soutien-gorge, impuissante elle dit se laisser sucer les tétons, non seulement il les suçait mais ils les mordillait douloureusement.

Affolée elle sentit ses mamelons darder sous ses caresses non désirées, il mordait si fort qu'elle était sure qu'elle allait avoir des cicatrices de morsures sur ses aréoles.

Il la força brutalement à écarter les cuisses s'imposant entre elles, et il l'avait sauvagement violée la labourant frénétiquement de son énorme bite.

Il butait contre le col de son utérus, il était certain de la meurtrir doulou-reusement c'est alors qu'elle l'avait senti prendre un dernier élan, s'en-fouissant totalement en elle.

La cabine verrouillée par ses soins était étanche et insonorisée, elle pouvait toujours crier, pleure, geindre ... Personne ne l'entendrait.

Laurie n'avait pas connu d'autre homme que son époux.

Mais le pire, c'était que la bite de son violeur faisait au moins le double de celle de son mari, aussi bien en longueur qu'en épaisseur.

Laurie frissonna, se rappelant la douleur intense qui l'avait amenée à le supplier :

- "Arrêtez .... Je vous en prie arrêtez ...... S'il vous plait ..... J'ai si mal .... Si maaaaaaaaaal .... .Si maaaaaaaaaaaal ....."

Il l'embrochait comme jamais elle ne l'avait été, Laurie ne pouvait le re-pousser, elle ne pouvait que pleurer et geindre.

Elle ne croyait pas que cela puisse être pire, elle fut bientôt détrompée alors qu'il grognait à son oreille :

- "Ma ravissante petite américaine ..... Ta peau est si douce, si soyeuse ...... Ta chatte si serrée ..... Autour de ma bite d'africain!......"

C'est ainsi qu'elle apprit que cet homme qui labourait son corps de puis-sants coups de bite était noir, elle se remit à se débattre ...... Mais tou-jours en vain!....

La chatte déchirée, distendue comme jamais, Laurie aurait souhaité mourir à cet instant ce qui la laverait de toute cette infamie.

Mais le douloureux et sauvage viol se poursuivait, son ignoble agresseur se retirait à l'orée de sa chatte, puis d'un puissant coup de boutoir il s'engouffrait brutalement dans sa chatte béante, il était évident qu'il ne la laisserait pas tant qu'il n'aurait pas assouvi ses instincts lubriques et apaisé ses sens.

Comme il la martelait su un rythme effréné, la bite profondément enfouie en elle à chaque pénétration, se grosse couilles venant frapper régulièrement la peau de son cul, Laurie l'entendit soudain grogner :

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ...... Ahhhhhhhhh ..... "

Et jets après jets, il se vida totalement les couilles dans son utérus fertile.

Ce n'est qu'une fois que son violeur eut fini de se vider en elle, alors, que sa bite ramollissait, que Laurie pensa aux éventuelles conséquences de ce viol.

Elle ne prenait plus la pilule depuis six semaines, pendant tout ce temps, John avait enfilé une capote lorsqu'ils faisaient l'amour, elle avait tout programmé pour déterminer le moment où elle serait fécondée par son mari.

Mais ce planning ne concernait que son mari .... Pas un infâme violeur .....

Concevant qu'il se pourrait bien que son ignoble agresseur l'ait engrossé elle se mit à geindre :

- "S'il vous plait ..... Tuez moi .... Tuez moi ...... Je ne veux plus vivre après ça!...."

Elle aurait préféré mourir que vivre après avoir subi cette infâme agression, elle se sentait si dégradée, déshonorée.

Sanglotant d'humiliation, le corps secoué de tremblements irréversibles, Laurie comprit alors que son violeur n'en avait pas fini avec elle.

Dans l'obscurité, il la releva du lit, et la força à s'agenouiller.

Elle avala sa salive, honteuse de se rendre compte que tout était si clair dans sa mémoire, elle rappelait comment il l'avait obligée à manipuler sa virilité, à le branler et à caresser ses couilles velues.

C'est alors qu'il lui avait imposé une dernière humiliation, ses gros doigts lui saisirent les cheveux l'attirant contre son pubis crépu.

Secouée de nausées, elle dut écarter les lèvres et accueillir dans sa bouche la bite qui sortait de son con.

Elle n'aurait jamais pensé devoir se livrer à un acte aussi sordide, aussi dégradant, un geste qu'elle n'avait jamais accompli, même pas avec son mari dans la tiédeur de leur lit conjugal, et maintenant cet homme ..... Un noir lui fourrait sa grosse bite écoeurante dans la bouche!...

Elle était effondrée de voir cet ignoble individu utiliser sa chose pour lui violer la bouche ..... La baiser en bouche ..... Coulissant d'avant en arrière entre ses lèvres ..... Comme un homme qui louerait les services d'une prostituée!.... Mais il ne s'était pas servi que de sa bouche!....."

Il rugit sourdement :

- "Argggggggggggggg ...... Arhgggggggghhhhhhh .... " tout en lui remplissant la bouche de son foutre chaud, elle se mit à tousser, secouée de hauts le coeur.

Il extirpa alors brusquement sa bite de sa bouche lui saisit la tête et la maintint juste en face de lui, alors que jet après jet il giclait sur le visage et les cheveux de la ravissante jeune femme asservie.

Bientôt ses yeux et ses narines furent noyés de foutre alors que des fi-lets de semence s'étalaient sur son menton et dans son cou.

Douchée et rhabillée, se tenant à la balustrade, Laurie regardait fixement les flots bleus.

Si une jeune serveuse ne lui avait pas saisi la main lui demandant si tout allait bien, coupant ses pensées morbides, Laurie en aurait vraisembla-blement fini avec son cauchemar en sautant par dessus bord.

Mais cette interruption avait tout changé, elle repensa à son mari, et se dirigea vers la pharmacie de bord histoire de se procurer de quoi se doucher vaginalement.

Inutile de dire que la suite de la croisière fut douloureuse pour Laurie, qui devait maintenant faire face au programme mis en place à l'occasion de cette traversée ..... Ce qui lui interdisait de garder trop souvent la cabine!....

Maintenant, quand son mari tout frétillant voulait jouer au papa et à la maman, Laurie le refroidissait lui disant qu'elle avait prévu de participer à des activités se déroulant sur le pont lui disant que rien ne pressait, qu'il pourrait bien faire l'amour plus tard.

La dernière nuit de la croisière, Laurie était heureuse d'avoir une nuit sans lune qui laissait la cabine dans l'obscurité, elle n'aurait pas à jouer la comédie pour son mari.

Ses seins lui faisaient mal, elle serrait les dents pour ne pas gémir de douleur, lorsque son mari les suçait tendrement.

Son con avait été largement distendu par l'insupportable viol qu'elle avait enduré, petit à petit son corps de remettait, la taille de ses organes re-prenaient leur taille, Laurie pouvait à nouveau sentit la bite de son homme lorsqu'il lui faisait l'amour.

Trois mois s'était écoulés depuis cette funeste croisière, Laurie était as-sise seule dans une chambre d'hôtel à 150 km de chez elle.

Elle était supposée effectuer u voyage de travail de trois jours, le premier jour de son séjour s'était déroulé comme elle l'avait programmé.

Deux jours seraient consacrés à de courtes vacances, et le dernier à la priorité de son voyage ..... Voir le gynécologue qui lui avait confirmé sa grossesse. Mais cette fois elle était là pour avorter du bébé souvenir de son violeur noir.

Elle y avait ajouté un jour pour récupérer, puis elle rentrerait chez elle retrouver son gentil mari, qui ne contremaître jamais la vérité.

Au long de ces derniers mois, Laurie s'était lancée à coeur perdu dans son travail, cherchant par tous les moyens à oublier cet horrible cau-chemar.

Remplie d'angoisse, elle avait vu arriver la période critique, elle n'avait pas eu ses règles, le médecin lui avait confirmé qu'elle était enceinte.

Elle détestait mentir à son mari, mais elle ne pouvait pas révéler le véri-table motif de son voyage, en lui disant qu'il s'agissait d'un voyage d'affaires elle ne mentait qu'en partie puisque c'était vrai pour le premier jour.

Ce n'était pas vraiment un mensonge! se disait-elle cherchant à se convaincre qu'omettre une partie de la vérité n'était pas vraiment mentir.

Maintenant qu'elle avait avorté de ce bébé qui ne pouvait que lui poser de nombreux problèmes, Laurie laissa échapper un soupir soulagement, elle ne sentirait plus le témoignage de son viol grandir dans son ventre.

Elle avait tout planifié, depuis les visites chez le gynécologue, jusqu'à cet avortement.

Sa vie pourrait reprendre un cours normal à dater de ce jour, du moins c'est ce qu'elle pensait, inconsciente que son agresseur n'avait pas ou-blié cette savoureuse journée ou il s'était délecté de ses charmes dans la cabine en face de celle où son mari récupérait.

Peu de temps après avoir possédé la ravissante jeune femme, Omar pensait déjà au futur :

- "Oh oui ma chère madame Walker ...... Omar t'appellera bientôt lorsque le bateau fera escale près de chez toi!..... Je suis sûr que lorsque je te montrerai les photos de ton viol, tu feras tout ce que tu pourras, tout pour récupérer ces clichés compromettants afin d'éviter que je les montre n'importe qui...."

Tu viendras me divertir dans la luxueuse chambre d'hôtel que j'ai retenu pour passer le temps lors de cette escale.

C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Laurie :

- "Hummmm J'ai une bien meilleure idée .....Je me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or!......"

L'équipage est constitué de centaines de matelots de nationalités diffé-rentes, la majorité sont des mâles, Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante jeune américaine comme l'adorable madame Walker.

Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme vê-tue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.

Omar se remémorant ses performances définit rapidement le temps qui serait alloué aux consommateurs

- "20 minutes ..... Pour chaque groupe de 5!...."

Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul! .... Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes!

Cela faisait maintenant 6 mois qu'il s'était fait cette somptueuse salope, pour la soumettre il possédait des photos prises dans l'obscurité de la cabine du viol, il banda rien qu'en évoquant le plaisir qu'il avait pris à dé-grader cette naïve jeune femme le jour même de son premier anniversaire de mariage, ce qui ajoutait encore du sel à son avilis-sement.

Omar calcula rapidement :

- "21 clients à l'heure ..... pendant 10 heures d'affilée ...... Mon Dieu .... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200 consommateurs en une seule journée!...."

Six mois s'étaient écoulés, lorsque Laurie assise derrière son ordinateur dans son bureau ouvrit sa boite aux lettres de travail son regard se figea immédiatement à la vue d'un message aussi étrange que sinistre.

A la place du nom de l'envoyeur apparaissait une formule lapidaire : Ton violeur Africain ...

Quant au contenu du message, il était indiqué : T'es tu retrouvée enceinte après ton premier anniversaire de mariage à bord du bateau?

La main posée sur la souris, Laurie était figée sur sa chaise, elle se de-mandait si elle oserait ouvrir ce mail. Elle voulait l'effacer et le mettre dans la poubelle, mais; ignorant son contenu, elle n'osait pas le faire. Le coeur battant la chamade, elle plaça son curseur sur le message et cli-qua sur "ouvrir"

La missive débutait par :

- "Bonjour madame Walker ...Tu étais si belle en embarquant à bord du navire avec cette jolie petite robe bleue ornée d'un galon sous la poitrine et tes hauts noirs ....... Je veux te revoir!...... Tu mettras cette petite robe que j'aime tant ......"

Laura se demanda comment ce bâtard avait bien pu dégotter son adresse email au bureau, et elle réalisa alors qu'elle avait effectué les réservations pour cette "croisière romantique" de son bureau, indiquant son adresse email sur la réservation.

Une photo d'elle embarquant à bord vêtue de sa petite robe bleue appa-raissait sous le court texte, une photo pour laqu'elle elle n'avait pas posé, d'ailleurs son époux ne figurait pas dessus.

A coté de la photo, Laurie put alors lire :

- "Le bateau fera une escale technique à Sweetport vendredi prochain ...... Tu me rejoindras au motel de Sweetport à 9 heures juste!...... Je t'attendrai dans la chambre 105 au coin du couloir, elle nous est réservée!..... Réfléchis à la première chose que je veux que tu mes fasses!....."

Elle s'obligea à parcourir le reste de l'email, deux autres images apparu-rent cote à cote, Laurie serra les dents l'estomac soulevé de révulsion.

Elle se rappelait maintenant ces deux éclairs aveuglants dans les ténè-bres de la cabine intérieure, ce devait être à ce moment qu'il avait pris ces instantanés.

Sur la première photo, on la voyait à genoux sa main enserrant la grosse bite noire alors qu'elle avait le gland turgescent en bouche, la seconde était encore plus répugnante, on y voyait son visage strié de deux gros-ses coulées de foutre, la grosse bite noire en arrière plan projetait un jet de semence blanchâtre sur sa figure.

- "Oh mon Dieu ... Mon Dieu ...... Que puis-je faire?.... Il ne faut pas qu'il diffuse ces photos!.... " se disait-elle au fond d'elle même.

Elle prit un jour de congé, et fit croire à son mari qu'elle se déplaçait à nouveau pour son boulot, Laurie portait la robe requise sous un imperméable lorsqu'elle sortit de la chambre à coucher.

Elle avait besoin de s'y prendre d'avance pour couvrir le long chemin jusqu'à la ville de Sweetport, tout au long du trajet elle sentit son coeur battre la chamade tant ce qui allait lui arriver lui faisait peur.

Elle était secouée de hauts le coeur lorsqu'elle se rappelait à quel point le goût de sa bite la révulsait lorsqu'il la lui avait mise en bouche.

Elle avait déjà mal au coeur lorsqu'elle se rangea dans le parking du mo-tel, elle jeta un oeil sur le trajet qui la séparait de la chambre 105 à l'autre bout du motel, sa montre marquait 9 heures moins cinq.

Elle disposait de 5 minutes pour rassembler ses esprits et partir, espé-rant que ce salaud n'enverrait pas les photos de son viol à son mari, son employeur, ses parents et ses amis comme il la menaçait clairement de le faire dans son email.

Cependant les photos étaient si horribles que sa vie serait dévastée si uns seuls de ces personnes venait à les voir!

Des larmes ruisselèrent sur ses joues, elle se força à ouvrir la portière de la voiture et misérablement, sortit de sa voiture, elle se dépouilla de son imperméable et le jeta sur le siège arrière, puis chancelante, elle marcha au supplice.

Sa montre indiquait maintenant 9 heures juste lorsqu'elle tendit la main pour toquer à la porte.

Laurie frissonna en entendant la voix familière crier :

- "Entre ma petite chérie, la porte est ouverte!...."

La porte ouverte, Laurie avala sa salive à la vue de ce colosse noir assis entièrement nu dans un fauteuil, qui branlait paresseusement sa grosse bite érigée.

- "Juste à temps pour me rendre les honneurs, ma chère madame Walker ..."

Interdite Laurie ferma rapidement la porte, ne voulant pas être vue d'éventuels badauds.

Le coeur battant la chamade elle était fascinée par l'énorme bite que caressait machinalement son maître chanteur.

Elle s'agenouilla servilement entre ses cuisses musclées, tendit la main gauche vers la gigantesque virilité exposant ainsi son alliance aux yeux d'Omar qui commenta railleur

- "J'adore voir briller une alliance au doigt de mes victimes, madame Walker, cela me rappelle qu'elles manipulent habituellement la bite de l'homme de leur vie ....."

Quelques secondes plus tard ils avaient tous deux les yeux rivés au diamant qui brillait de mille feux à sa main enserrant la grosse bite noire de son vil suborneur.

Cajoler la grosse mentule lui rappelait la croisière pour fêter son anniver-saire de mariage, mais cette fois, Laurie voyait cette grosse bite qui l'avait violée, elle constatait à quel point elle était grosse et longue.

Le coeur cognant dans sa poitrine, la bouche sèche Laurie entrouvrit ins-tinctivement les lèvres sans même qu'il le lui demanda.

Hypnotisée par l'énorme braquemart, il lui semblait que le gland turgescent et le méat entrouvert l'attiraient comme un aimant, elle ouvrit la bouche en grand.

- "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ..... Doux Jésuuuuuuuuuuuuuus ...." gro-gna Omar alors que ses lèvres se refermaient sur son bourgeon charnu.

Laurie, revenue sur terre au contact de sa grosse bine baignant dans sa salive pensa :

- "Oh mon Dieu .... Je me comporte comme une vraie pute .... C'est de mon propre chef que ... Que j'ai .... que j'ai embouché son énorme virilité!......"

Mais elle ne releva pas la tête pour autant, de toute manière la main po-sée sur sa nuque lui interdisait tout mouvement de retrait alors que son ignoble maître chanteur se mettait à aller et venir dans sa bouche ac-cueillante.

Bien qu'elle n'ait plus accompli cet acte dégradant depuis son viol six mois plus tôt, Laurie l'avait joué et rejoué dans sa tête un million de fois!...

Déjà une vingtaine de centimètres avait disparu dans sa bouche enva-hissant sa gorge, ce qui lui valut les félicitations de son maître chanteur :

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