On va nager, Belle-maman ?

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La suite de mes aventures fiévreuses avec ma Belle-Mère..
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KathAnA
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Depuis quelques semaines, j'avais entamé une relation particulière avec ma belle-mère ; mélangeant au petit bonheur tendresse, soumission, un brin d'humiliation parfois aussi...

Après lui avoir dérobé un soutien-gorge (voir « Le Soutien-gorge de ma Belle-mère »), je développai une stratégie -risquée- le soir du réveillon pour finalement l'amener à se compromettre avec moi.

Stratégie expliquée en détails dans la série « Sous la robe de ma Belle-Mère », d'ailleurs..

Mais, depuis cette fameuse soirée, je ressentais une certaine relâche... Il était en effet difficile de nous voir, son compagnon étant souvent présent chez elle, tandis que sa fille -forcément- habitait avec moi. Nos horaires de travail respectifs ne nous laissaient pas le loisir de nous voir ailleurs en journée...

Bien sûr, nous alimentions de furieux & torrides échanges via les réseaux sociaux... Je ne compte plus les photos & vidéos scabreuses que nous nous échangions, parfois agrémentée d'un petit gage de ma part...

Aller bosser sans soutif et sans pull, un jour d'été, et me faire une photo de ses petits tétons durçis juste avant qu'elle ne donne cours... Lui faire porter une robe sans culotte alors qu'elle est au boulot... Se filmer en train de retirer son soutien-gorge aux toilettes de son taff...etc...

Elle était parfois récalcitrante, mais ma petite technique de manipulation fonctionnait toujours. Je lui envoyais en effet une photo ou vidéo de ma bite surgonflée et Marie Christelle, comme envoutée, exécutait mes ordres...

Sa vie sexuelle était, avant nos petits jeux, totalement au point mort et le fait que j'étais plus jeune qu'elle -et que je bandais sincèrement en la matant- la boostait et, après les moments sensuels passés ensembles précédemment, elle ne voulait plus retomber dans cette routine..

Or, risque de routine, il y avait. Je ne l'avais toujours pas sautée, faute d'opportunité, et il fallait que je trouve très vite une solution pour me retrouver avec elle et pour retomber dans mes petites manipulations.

C'est une pub pour un produit d'entretien de jardin qui me donna une idée : dans le clip promotionnel, une belle villa, agrémentée d'un grand jardin et d'une piscine, était présentée.

Bingo ! Aller nager avec elle ! Cela ne susciterais pas, ou très peu, de suspicion de la part de nos compagnons respectifs ; et la perspective de la mater en maillot et de jouer un peu avec elle me fit bander rien qu'en y pensant.

Je lui proposait donc l'idée. L'été pointait le bout de son nez. Les hautes températures et l'humeur estivale achevèrent de la convaincre.

Nous fixâmes donc notre rendez-vous pour le samedi en huit, vers 10 heures, sur le grand parking de la piscine..

Je lui précisait également que, vu la météo, je lui serais très reconnaissante de bien vouloir mettre une jupe, et d'aborder une tenue légère.

A sa grande surprise, je ne lui demanda pas d'oublier son soutif ; tout simplement car j'avais des petites idées pour plus tard, idées que je gardai soigneusement pour moi bien sûr...

Le jour J, je descendis de ma voiture, sur le parking en gravier de la piscine.

Le parking était vaste car la piscine l'était également : un bassin pour la nage, un espace plus ludique avec tobogan, rapides où glisser, espace sauna & jacuzzi, piscine à vagues...etc...

Pour mon plus grand bonheur, en cette période de vacances, il n'y avait pas beaucoup de voitures sur le parking, laissant augurer peu de monde à l'intérieur.

J'avisait Marie Christelle debout, près de son véhicule. A mon grand ravissement, elle portait ce jour-là une longue paire de bottes brunes que je ne lui connaissait pas, un Tshirt vert au col large, qui laissait entrevoir une bretelle de soutien-gorge blanc, ainsi qu'une magnifique jupe en cuir assez courte, jupe que je lui avait offerte d'ailleurs !

Dans mon jeans, ma queue pulsa légèrement...

« Waow » fis-je, sincère ! « Tu es très belle Marie Christelle » déclarais-je en l'embrassant sur la joue. Nous ne pouvions en effet pas, à regrets, nous embrasser comme nous l'eussions voulu, en public.

« Salut mon beau-fils » me fit-elle en souriant.. « J'ai hésité à la mettre car je n'ai plus vraiment l'âge de.. »... Je l'interrompis d'une claque bien sèche sur son cul..

« Aïe ! » s'exclama-t-elle, surprise. Puis, regardant autour d'elle avec inquiétude, elle ajouta « Mais t'es fou ? Si quelqu'un me reconnait je.. »..Je l'interrompis de nouveau en posant ma main sur son épaule nue, goutant au passage la matière soyeuse de la bride de son soutif.

« Désolé, mais si tu débites des conneries je me dois de te le faire savoir » dis-je, faussement sévère.

« Elle te va super bien cette jupe » affirmais-je avec vigueur..

« Elle te fait un de ces petits culs » continuais-je en faisant la moue..

Puis, profitant du fait que nous étions partiellement masqué de vue depuis la piscine de par sa voiture, j'empoignai sa petite main que je plaquait sur ma queue déjà bien raide :

« Je te sauterais volontiers dedans, en levrette, pendant que tu la portes sans culotte » lui murmurais-je d'une voix chaude..

Marie Christelle retira vivement sa main tout en me jetant un regard fiévreux...

« Ooh n...non, ne m'excite pas avant d'aller nager » me dit-elle en tremblant...

« C'est pas du jeu de me frustrer ainsi...Je veux rester concentrée sur la natation aujourd'hui, allez ! » me dit-elle en s'éloignant...

En mon for intérieur, je me réjouis de voir qu'elle essayait une fois de plus de garder le contrôle... Encore une fois, cette petite matinée allait s'avérer intéressante..

Après avoir payé, laissé nos chaussures dans le hall, nous nous dirigeâmes vers les cabines.

Bien sûr, nous étions censé nous changer en cabine individuelle, mais au moment où Marie Christelle allait refermer la porte de la sienne, je m'engouffrai avec elle, refermai la porte et la plaquai contre le mur, ma main sur sa bouche, pour étouffer ses protestations naissantes...

Je lût la surprise dans ses yeux, et aussi un peu de peur ; elle se demandais surement ce que j'avais en tête et m'exprima ses craintes en chuchotant « Mais t'es pas bien ? » commença-t-elle.. « Si on nous voit ? Tu imagines le scandale ? Et...et la publicité ? Je perds mon job, je perds mon compagnon.. » commença-t-elle affolée..

Je l'embrassai à pleine bouche. Puis je posai mes mains sur ses épaules..

Je plongeai mes yeux dans les siens, en lui parlant le plus bas possible :

« Mmmh.. Je te prendrais volontiers ici, dans cette cabine tu sais ? »...

Elle me fît un faible sourire, je lu dans ses yeux l'angoisse d'être surprise tout en étant tentée d'enfin copuler avec moi, devinant la fougue que j'allais mettre dans l'acte..

« J'en ai tellement envie » chuchota-t-elle... « Mais allons à l'hôtel ou ailleurs mais pas ici, tout le monde peut nous entendre... » m'expliqua-t-elle, fiévreuse et passablement inquiète.

Je décidai de ruser.. Car j'avais déjà une petite idée en tête...

« Ecoute » commençais-je, « je vais avoir besoin d'un petit substitut car sinon je serai condamné à être raide dans mon slip de bain, bien plaqué contre ma queue »...

Afin de la préparer à me requête, je plaçai à nouveau sa petite main contre ma bite, qui pulsait de désir.. Technique que j'employais à chaque fois avec succès, pour la pervertir et plier sa volonté ou son côté raisonnable... A ma grande joie, elle ne retira pas sa main.

« A quoi penses-tu ? » fit-elle, un peu perdue par le déferlement de testostérone que j'abattais sur elle...

« Tu vas me prêter ton maillot...et je vais me soulager »....

Avant qu'elle ne puisse répondre, je lui donnai quelques garanties : « je vais juste le frotter contre moi, t'inquiètes.. Je ne vais pas jouir dedans, cela se verrait et je ne veux pas t'embarrasser »... Je vais peut-être aussi l'enrouler autour de ma queue et t'imaginant dedans... Allez » fis-je, en tendant la main, « aide-moi à décharger cette tension »...

Je lui fit un sourire charmeur, tout en me disant que j'étais un bel enfoiré d'égoïste vu qu'elle devait être quelque peu excitée également... Et ma conscience hurlait d'avance du mauvais tour que je m'apprêtais à lui jouer.. 

Marie Christelle sorti son maillot de son sac. Comme je m'y attendais, il s'agissait d'un maillot une pièce bleu, d'aspect fatigué. Une sorte de grosse bande bleue foncée ornait le décolleté et les bords du maillot. Visuellement pas top, je me dis presqu'inconsciemment que j'allais devoir le remplacer par un modèle plus sexy.

Je le pris en main, agréablement surpris par la matière très douce ainsi que par la finesse du tissu.

J'embrassai Marie-Christelle avant de sortir de la cabine furtivement, pour m'enfermer dans celle d'à côté.

Comme je m'y attendais, son maillot était doublé au niveau de l'entrejambe et de la poitrine par une sorte de tissu blanc épais, cotonneux, cousu partiellement dans le maillot, sauf au bas.

Or, je voulais la mater, moulée dans son maillot, en faisant en sorte qu'elle en montre un maximum...Même contre son gré.

Je sorti de mon sac une petite paire de ciseaux que j'avais emportée, et -très méthodiquement- je m'employai à découper les tissus blancs destinés à protéger son intimité. Je devais découper au ras du maillot sans bien entendu découper le maillot lui-même, et je devais le faire proprement dans l'espoir que Marie-Christelle ne remarquerait leur absence que trop tard. Pas facile.

J'avais presque fini lorsque je l'entendis me demander à voix basse, depuis sa cabine, « si j'avais bientôt fini ».. Je terminai consciencieusement mon travail, le maillot ne comportant plus le moindre doublage, et je simulai -par un bruit de bouche étouffé- un orgasme, regrettant en effet ne pas avoir pu me branler.. La vue qu'elle allait offrir dans ce maillot tout fin promettait d'être très excitante !

Je balançai son maillot par-dessus la fine paroi respective de nos cabines adjacentes, avec un « merci » discret.

J'avais déjà mon propre maillot sur moi pour gagner du temps. Comme prévu, j'étais prêt avant elle ; je frappai légèrement à sa cabine en lui précisant que je l'attendrai dans l'eau, et qu'elle prenne son temps.

Douche rapide, passage par le pédiluve toujours glacial, et je descendis avec une joie mauvaise dans le grand bassin, en début de profondeur.

D'ici, j'avais une vue parfaite sur le pédiluve et je ne manquerais pas de la voir sortir, seulement vêtue de son maillot trafiqué par mes soins...

J'attendis de longues minutes, je craignis qu'elle ne se fût aperçu de mon sabotage et qu'elle ne se soit ravisée. J'allais sortir de l'eau pour aller voir lorsqu'elle apparut.

Toute mouillée, ses cheveux courts plaqués sur sa tête, elle abordait une expression de mauvaise humeur marquée. Et pour ma grande frustration, elle se croisait les bras nerveusement sur sa toute petite poitrine. Elle me chercha des yeux, me vit, et marcha d'un pas rapide et nerveux vers la petite échelle pour me rejoindre dans l'eau...

Je profitai de la vue : ses longues jambes fines, et surtout une vue parfaite sur sa chatte, le plis de ses lèvres parfaitement visibles à travers le fin tissu trempé. Vu qu'elle ne couvrait que ses seins, elle n'avait pas dû remarquer l'absence de doublure au niveau de son sexe et je m'en réjouis...

Elle se tourna pour descendre la petite échelle, je me délectais de son petit cul que j'avais toujours convoité, lui aussi totalement révélé par le maillot.

Arrivé près de moi dans l'eau, toujours les bras croisés (malédiction) elle s'accroupi rapidement dans l'eau et me dit, sur un ton de confidence :

« Je...je ne sais pas ce qui se passe avec mon maillot aujourd'hui... » me fit-elle, toute gênée..

« D'habitude, il n'est pas aussi collant que ça...J'ai failli ne pas venir car on voit mes seins comme si je ne portais rien » précisa-t-elle, catastrophée...

Puis, comme je gardais le silence, elle leva les yeux et vit mon sourire ironique..

La compréhension la saisit soudain ! « Qu'est-ce que tu as fait avec mon maillot ? » s'exclama-t-elle ? Je la senti assez nerveuse, gênée (comme je le souhaitais) d'être ainsi exposée par ma faute...

« Moi ? Rien.. » fis-je en tentant de garder mon sérieux... Puis, hilare, je rajoutais « à part découper les doublures de ton maillot, bien sûr » expliquais-je, moqueur.

Marie-Christelle eut un net mouvement d'humeur, toujours accroupie dans l'eau, elle me projeta de l'eau à la figure et la colère la saisi :

« Ah mais c'est vraiment un sale tour ça, salaud » fit-elle... « Toujours à me mettre dans des situations pas tenables... Déjà à la soirée de nouvel an (je vous invite à voir « Sous la robe de ma Belle-mère), maintenant je vais passer à poils en public t'es vraiment un salopard » s'exclama-t-elle... « Pourquoi tu fais ça ? » continua-t-elle, semblant cette fois au bord des larmes...

Je tentai de dédramatiser... « Je suis désolé » commençais-je, m'efforçant d'être sincère car, je dois bien l'avouer, sa gêne et son exhibition forcée m'excitait.. Et je prévoyais encore mieux pour la suite... « tu es super bandante et je voulais que ce maillot te rendre justice, car je sais que tu te sous-estimes alors que tu ne devrais pas... »...

Je tentai d'être conciliant... « Je vais être en feu de te mater tu sais ? Et si d'autres mecs te matent, cela m'excitera encore plus » fis-je avec un sourire...

Elle sembla se calmer un peu, je poursuivi : « Penses à la joie que tu procurera à ces mecs qui se branleront en imaginant te sauter, ou en repensant à toi dans ton petit maillot tout collant, mmh ? »

« Allez Marie Christelle, pardonne moi et profitons de cet instant ludique et lubrique » concluais-je...

Profitant que les quelques nageurs du grand bassin se trouvaient à l'autre bout, je m'approchais d'elle, m'accroupissant moi aussi, et je lui pris sa petite main pour, une fois de plus, lui faire sentir mon ardeur..

Elle sourit timidement, et décroisa enfin ses bras...

« On voit tant que ça ? » fis-je innocemment, connaissant bien évidemment la réponse...

« Allez, lève toi ! » lui commandais-je... « Montre-moi comme tu es belle...Et bandante, jolie Belle-maman... »..

Hésitante, avec son sourire juvénile qui me faisant craquer, Marie-Christelle se redressa lentement, de l'eau jusqu'au nombril.

Je dus faire un réel effort pour rester stoïque. Marie-Christelle n'avait, pour ainsi dire, pas de poitrine à part deux faibles petits renflements. Par contre, ses tétons étaient plus longs que la moyenne, et incroyablement durs lorsqu'elle pointait...

La vue était presque obscène : son maillot était tendu par ses mamelons au points qu'on aurait facilement pu croire qu'elle avait placé deux vis sur son torse. Grace au tissu hyperfin, on devinait également la forme et la taille de ses aréoles, légèrement gonflées..

Comme précédemment dans sa robe de soirée lors du réveillon où tout avait commencé, je fantasmais sec à l'idée de prendre ses tétons en bouche et de les sucer, tels de petits bâtonnets de glace... J'avais envie de les presser, les tordre, tirer dessus ou encore les lui punir à l'aide de pinces à linge... Bref, j'avais l'esprit en feu.

« La vue te plait on dirait » fit-elle, retrouvant sa bonne humeur, et me tirant de mes fantasmes... « Mais gaffe à toi, tu vas te faire expulser de la piscine » me fit-elle rieuse, désignant du menton mon entrejambe...

Je m'aperçus que le bout de ma queue décalottée, rouge et douloureusement surgonflée, dépassait de mon slip de bain...

Nous partîmes d'un grand éclat de rire complice, pendant que j'essayais maladroitement de corriger ma tenue, sans réelle discrétion...

L'alerte avait été chaude, mais Marie-Christelle était revenue à une humeur complice & joyeuse. Il allait me falloir jouer de finesse et d'hypocrisie pour la suite...

A SUIVRE...

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AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Toujours aussi pervers !

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