Otages des Gitans 01

Informations sur Récit
Bourgeoises dressées par des gitans.
1.9k mots
4.45
30k
8
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 08/24/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
elko
elko
81 Admirateurs

Notre cauchemar débuta lors d'un retour d'une soirée. J'etais au volant de notre Mercedes Classe C et nous n'étions plus très loin de notre pavillon. Je m'appelle François. François de Saint-Cyr, 51 ans. Marié à Delphine depuis 25 ans. Ma femme ne paraît pas ses 49 ans. Blonde, elle a encore un corps svelte grace à ses séances de fitness. Elle ne travaille pas, mes revenus suffisant largement à entretenir le ménage mais elle est investie dans la commune très bourgeoise ou nous habitons. Elle est maire-adjointe chargée des séniors. Nous revenions justement du gala des oeuvres sociales organisé par la mairie. Delphine était somptueuse dans une robe fourreau bleue nuit en dentelle qui s'arrêtait juste au dessus du genou. Ses jambes gainées de bas clairs étaient affinées par la hauteur des talons de ses escarpins à bride.

Je posai une main possessive sur sa cuisse et la remontait lentement faisant crisser le nylon des bas.

Delphine stoppa ma main d'un geste brusque me foudroyant du regard.

- Qu'est ce qui t'arrive? Tu crois que je t'ai pardonné?

Penaud, je retirai ma main.

Delphine me faisait la gueule depuis plusieurs jours. Elle avait découvert que je l'avait trompé avec la femme du maire. Hélène Dupré, que j'avais réussi à séduire lors d'un vernissage. Je suis propriétaire de plusieurs galeries d'art dont une dans la ville et d'autres un peu partout en France.

L'épouse du maire, une splendide femme de 69 ans, était venue, répondant à mon invitation, visiter ma galerie. Elle était resplendissante dans une robe de cocktail rose moulant un corps encore parfait malgré son âge.

Je ne sais pas trop comment, j'avais réussi à l'entrainer dans la réserve ou nous rangeons les tableaux et elle avait fini, robe troussé, debout sur ses talons aiguilles, embrochée jusqu'a la garde, gémissant sans retenue sous mes coups de reins.

Hélène était alors devenue ma maitresse.

Mais Delphine l'avait découvert et maintenant j'essayais sans trop de succés de recoller les morceaux.

Nous arrivons devant l'entrée de notre pavillon. Un silence de mort règne dans l'habitacle de la Mercedes. Je prend le bip et actionne l'ouverture du portail. Je gare notre voiture dans l'allée et descend. J'allais ouvrir la porte à Delphine mais bien sur elle n'attendit pas et se dirigea d'un pas ferme faisant crisser les graviers de l'allée vers la porte du pavillon.

J'aperçu alors un faisceau de lumière surement provoqué par une lampe torche. Je voulu crier à Delphine de ne pas rentrer...

Trop tard : Ma femme venait d'ouvrir la porte de notre pavillon.

Un hurlement me parvint du pavillon et je me précipitais. Je tombe nez à nez avec quatre types et une fille. Certains avec des sacs contenant nos objets de valeurs. Je comprends que nous interrompons un cambriolage. La présence de notre chien ne les a visiblement pas découragés. Il faut dire qu'un caniche n'impressionne pas beaucoup. On fait mieux comme chien de garde.

Trois balèzes tenaient Delphine qui le regard apeuré me fixait. La jeune fille d'a peine l'âge de notre fille lui avait posé un couteau sur sa gorge.

Deux des types se ruérent sur moi et me forcère à m'assoir sur un des fauteuil de notre salon. Je fut vite ligoté avec une corde au fauteuil.

- Qu'est ce que vous voulez? Croassais-je. J'avais essayé d'avoir une voix ferme mais c'était raté.

Delphine se débat dans les bras d'un des cambrioleurs, un homme plus agé que les autres qui en profite pour la tripoter sous le regard ironique de la jeune fille. Mon épouse lance des coups de pieds et pousse des cris. Je gigotte dans mon fauteuil tentant de me libérer mais en vain.

Un grand type vint vers moi.

- Calme toi pépère. On était venus cambrioler ta maison mais comme t'es la maintenant.....

J'observais le jeune. Il était typé mais pas arabe. Je songeais plutôt au camp de gitans qui s'était installé de façons plus ou moins légale sur le terrain qui appartenait à un agriculteur situé un peu à l'écart de la ville.

- Manolo! Mate un peu la bourgeoise!

Le dénommé Manolo, qui semblait être le chef, se retourna d'un bloc furieux.

- Putain Paco! On avait dit pas de nom!!

Il s'arreta net. Paco avait soulevé la robe de Delphine devoillant les bas auto-fixants et le string bleue. Mon épouse, rouge de honte, tente désespérement de rabaisser sa robe pendant qu'un de nos tourmenteurs lui malaxent les seins.

La jeune fille s'approcha et posa une main aux ongles sales sur le mont de vénus de Delphine et la descendit lentement. Ses doigts s'insinuèrent sous le string faisant rugir ma femme. La jeune fille commença à bouger ses doigts caressant le clitoris de Delphine qui poussa de nouveau un cri tentant de se débarraser de ses doigts envahissants . Tout le monde garde le silence fasciné par la scène qui se déroule dans notre salon.

- Vas y Carmen, continue lança Paco à la jeune fille.

Carmen activa ses doigts caressant de plus en plus vite la chatte de ma femme qui pousse des hurlements. Elle gueule tellement qu'un des gitans arracha son string le roula en boule et l'enfonça dans la bouche de Delphine. Ses cris se transformèrents en gémissements. La fille continue de la doigter.

- Elle mouille cette chienne! Lança t'elle triomphalement, elle commence à aimer ca.

Ma femme commença à onduler du bassin en gémissants de plus en plus fort. Paco a réussi à baisser le haut de l'élégante robe de soirée toute chiffonée maintenant faisant apparaître un soutient-gorge bien rempli. Il baissa les balconnets et se pencha léchant et mordillant les pointes des seins arrachant une plainte à Delphine.

Assistant, impuissant dans mon fauteuil, à la déchéance de ma femme. Je suis partagé entre être écoeuré et excité.

Delphine se fait tripoter et doigter par toutes ses mains. deux autres gitans participant à la fête.

Delphine se retrouve accroupie sur ses talons aiguilles devant la bite de Manolo qui, lui agrippant les cheveux, la lui enfonce forçant le barrage de ses lèvres rouges.

Carmen continue de doigter ma femme pendant qu'elle doit branler une autre bite avec ses doigts fins manucurées.

Manolo fait coulisser rapidement sa queue dans la bouche de Delphine qui arrondit les yeux et poussent des gémissements étouffés. Il ne tarda pas à éjaculer dans la bouche de ma femme qui recracha le trop plein de sperme sur le sol de notre salon. Elle tente de reprendre sa respiration mais un autre gitan se precipita et lui enfonça sa bite dans la bouche en la tenant par les cheveux.

Je suis horrifié par la scène à laquelle j'assiste. Mon épouse si distinguée pompe des bites à la chaine depuis presque une demi heure maintenant. Certains ont éjaculés sur son visage fin d'aristocrate lui barbouillant le visage de foutre. D'autres se sont branlés entre ses seins.

Carmen vient vers moi et baisse mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe jaillit comme un ressort, gonflé à bloc.

- Hé les gars! Le cocu bande en regardant sa femme se faire baiser. Lança Carmen, hilare.

C'est vrai que malgré moi je suis terriblement excité de regarder Delphine se faire humilier devant moi.

Celle-ci est à quatre pattes, robe tirebouchonnée autour de la taille, son corps secouée violemment par les coups de pines de Paco pendant qu'elle suce la bite d'un autre gitan.

Les yeux exhorbités, décoiffée, Delphine grogne sous les coup de reins de Paco. Le gitan qu'elle suçait lacha des jets de sperme qui allèrent s'écraser sur son front et sa bouche. Paco se démene violemment dans la chatte de Delphine et je vis le visage de mon épouse se crisper en jouissant. Le gitan se déversa sur les fesses tremblantes de Delphine.

Carmen me branle en me demandant si ca m'excite de voir ma femme se faire défoncer par ses potes.

Je ne répond pas mais le visage crispé, je tente de résister à la masturbation qu'elle m'impose. La petite salope accélère le mouvement de son poignet et je jouie en poussant un petit cri inondant sa main de mon foutre.

Furieuse, elle me donne une gifle et ordonne à Delphine de venir nettoyer.

Ma pauvre femme, le visage ravagée, recouverte de foutre, est contrainte, à grands coups de claques sur les fesses, de venir à quatre pattes et de lécher mon sperme en donnant de petit coup de langue sur la main de Carmen.

Après cette orgie, nos kidnappeurs réclament à manger. Et bien sur, c'est mon épouse qui fait le service. Tripotée par nos tourmenteurs. Juste avant, Carmen l'a emmenée prendre une douche pour enlever le foutre qu'elle avait sur le corps. Des cris venant de la salle de bains m'ont fait comprendre que Carmen en avait profité pour la peloter de nouveau...

Elles ont fait un détour par sa chambre ( nous faisons chambre à part depuis que je l'ai trompé) et la jeune fille qui semble très perverse a jeté un œil à la lingerie fine de ma femme.

Delphine est donc réapparut vêtue d'une guêpière noire, des bas noirs accrochés à un porte-jarretelles et perchées sur des talons aiguilles noirs vernis. Je reconnais ses Louboutin qu'elle n'a du porter qu'une fois.

Morte de rire, Carmen brandit un objet.

- Regardez donc ce que j'ai trouvé dans la chambre de madame.

Les voyous éclatent de rire traitant ma femme de grosse salope.

Je suis effondré de découvrir que Delphine possède un sex-toy. Un gode qui me paraît de dimensions impressionnantes. Je n'aurais jamais cru ça d'elle. Une bourgeoise respectable.

- On va s'en servir! Lança Manolo.

- Ooooh non s'il vous plait geignit ma femme.

Carmen appela notre chien qui vint vers elle en remuant la queue. Elle lui enleva son collier et le passa autour du cou de ma femme. Elle se retrouva à quatre pattes sur le sol de notre salon tenue en laisse par Carmen avec le gode enfoncé dans sa chatte maintenu par le string bleue qu'elle portait.

Manolo décida de me libérer et je fut détaché. Faisant le service à la place de Delphine trop occupé à sucer des bites ou à se faire goder. Elle est en sueur assise dans notre canapé le gode enfoncé dans sa chatte et elle pousse des gémissements plaintifs en ondulant du bassin pendant que Carmen l'agitte furieusement dans sa chatte dégoulinante. Je vois nettement que mon épouse mouille sur le gode. Elle secoue la tête dans tous les sens en se mordant les lèvres. Elle eut soudain un orgasme qui la laissa pantelante et extenuée....Sous les rires des gitans qui vide notre garde-manger et surtout ma cave. Vidant mes bouteilles d'alcool.

Le portable de Delphine sonna et Paco regarda l'écran.

- C'est qui Victorine?

Horreur! Je jette un œil à Delphine qui à genoux était en train de lécher la chatte de Carmen pendant qu'un des gitans, le plus agé qui s'appelait Joseph, la défonçait la tenant aux hanches et la pilonnant violemment faisant sauter ses seins. Manolo filmait la scène avec son portable.

- C'est notre fille balbutiais je, effondré.

Paco eut un sourire bien ignoble.

- Elle vient d'envoyer un sms, elle arrive...

Ma femme tenta de protester mais Carmen l'agrippant par les cheveux la contraignit à continuer son gougnottage...

Manolo prit son portable.

- Si une autre salope arrive, il faut des renforts...

Il me lança un regard ironique.

- T'inquiete pas le cocu, mes gars vont bien dresser ta femme et ta fille...

A suivre....

elko
elko
81 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 jours

A part les mains sales de la jeune gitane, le récit est bien aseptisé et assez conventionnel.

Mais, encourageons l'auteur !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très bon début. Il me tarde de lire la suite….

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

bon récit histoire érotique à souhait

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Lucie : Chantage Total au Bureau 01 Chantage sexuel sans limites d'une jeune femme.
La Soumission d'Isabelle 01 Isabelle prête à tout pour ??
Été de servitude Ch. 01 Une mère de famille soumise à un ado.
Professeures Bizutées - 1/8 Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
Plus d'histoires