Otages des Gitans 02

Je jette un coup d'oeuil à ma montre histoire de savoir depuis quand nous sommes pris en otages par cette bande de gitans.

1h du matin. Cela fait deux heures maintenant que Delphine mon épouse se fait tringler par cette bande de pervers. Assez rapidement, les « renforts » demandés par Manolo sont arrivés. Plusieurs voitures se sont garées devant notre pavillon ou à l'intérieur sur la pelouse de notre jardin. Horrifié, j'ai vu débarqués des dizaines et dizaines de types et aussi quelques filles à l'allures vulgaires.

L'une d'elle portait un sac qu'elle tendit à Manolo.

- J'ai apporté du matos comme tu me l'a demandé...

Manolo sortit le « matos » et l'étala sur la table du salon.

Des godes de différentes tailles, des gode-ceintures, des vibromasseurs, des fouets et des baillons...

Effondré, je me dis que l'horreur ne fait que commençer....

Les hommes se sont rués sur ma pauvre femme. Apeurée, Delphine c'est retrouvée à genoux pompant des bites à la chaine. Ses seins sont malaxés, triturés.

Ils ne lui ont rien épargné. Manolo et ses sbires ont baisé ma femme dans tous les recoins de notre pavillon et par tous les trous sous mon regard impuissant....et excité aussi.

Delphine, toujours en bas et porte-jarretelles, en équilibre sur ses talons aiguilles halète et gémit sous les coup de pines du vieux Joseph. Je ne sais pas qu'elle âge il a mais il a une sacré andurance.

Moi je fais le service apportant des verres d'alcool à nos tourmenteurs.

Les hommes se moquent de moi. Carmen m'a contraint à me déshabiller. Je suis nu et je porte un tablier. Les filles que je sert me branle me maintenant en une constante érection.

J'entends les cris de protestations et les gémissements de Delphine.

Les commentaires vont bon train. On traite ma femme de salope ou de pute et moi je suis le cocu ou la lopette.

Delphine est ammené devant moi toujours emmanchée par la bite de Joseph. Elle me regarde, les yeux fous, haletante, le corps secoué...Un autre gitan lui enfonce sa bite dans la bouche. Delphine lui suce le gland de la pointe de sa langue. Lui léchant la hampe puis les couilles et replonge sur la bite. L'homme ne tarde pas à jouir aspergeant son visage de foutre. Des filaments coulent de son front tombant sur son nez.

Joseph cria et aspergea ses fesses de son sperme.

Un autre gitan le remplaça pendant que Delphine gobait une autre queue...

On positionna ma femme à quatre pattes.

- On va l'enculer! Lança Manolo.

Protestation de ma femme.

- Oh non s'il vous plait, je ne l'ai jamais fait!

Et c'est vrai, Je confirme, je n'ai jamais sodomisé Delphine, elle a toujours trouvé cette pratique avilissante.

Des éclats de rire lui réponde.

Manolo pointa sa queue devant le trou du cul de Delphine. Il pesa et s'enfonça de tout son long faisant hurler ma pauvre chérie.

Delphine ouvrit la bouche recherchant sa respiration.

Agrippé à ses hanches, Manolo commence son va et vient doucement d'abord puis de plus en plus vite faisant coulisser sa bite dans le fondement de mon épouse qui les larmes aux yeux halète et grogne.

Manolo accéléra la cadence et ne tarda pas à jouir dans le cul de ma femme qui s'écroula au sol.

Mais les autres en voulaient plus. Elle fut trainée vers le divan de notre salon. Elle fut contrainte de s'empaler sur la bite d'un des gitans pendant qu'elle en suçait deux autres montés sur le divan alternant d'une bite à l'autre.

Ses seins remues dans tous les sens sous les coups de pines du gitan. Elle pousse des râles et les deux types qu'elle suçaient lui laches des bordées de sperme qui vont de nouveau souiller son visage.

C'est à ce moment précis que la porte d'entrée s'ouvrit....

- Papa? Maman? Que ce passe t'il? Qu'est ce que c'est que toutes ces....

Les mots se bloquent dans la gorge de ma fille quand Victorine découvrit l 'infamant spectacle. Tous ces gens dans notre maison, son père nu bandant comme un fou et surtout sa pauvre mère empalée sur une bite, recouverte de sperme et baisée comme une chienne.

Victorine ressemble à sa mère plus jeune. Elle vient d'avoir vingt ans. Elle était sorti en boite avec des copines.Son combi-short qu'elle porte dévoile des jambes interminables encore plus affinés par les talons hauts de ses sandales argentées.

Affolée, elle voulut faire demi-tour courant maladroitement sur ses talons.

Elle fut vite rattrapée par plusieurs gitans dont Manolo et Paco. Elle poussa un hurlement de terreur. Je tentais d'intervenir mais je fus plaqué au sol par plusieurs de nos kidnappeurs qui me baillonèrent avec un baillon-boule qu'on m'enfonça dans la bouche et je fut ligotés.

Ma femme supplia qu'on laisse sa fille tranquille mais elle dut vite se taire quand on lui enfonça deux bites dans la bouche lui déformant la machoire.

Victorine se débat dans les bras musclés de Manolo. Des mains avides palpent le corps de ma fille. Toute rouge, Victorine supplie pendant que les mains s'égarent dans l'échancrure du décolleté du combi-short.

- Elle a pas de soutient-gorge! Rugit Manolo en empoignant un sein ferme.

Victorine étouffa un sanglot et poussa un grognement en sentant cette main qui lui tordait la pointe de ses seins.

Paco s'accroupit et avec son couteau découpa le short en lambeaux laissant apparaître la fente de ma fille qui ne portait aucun sous-vétements sous son combi-short! Ce qui me choqua mais excita notre bande de pervers.

- Aussi salope que la mère , pas de string!

Manolo obligea Victorine à s'accroupir devant lui et lui présenta une bite bien gonflée. Victorine roula des yeux sans doute impréssionnée par la longueur et l'épaisseur de la queue du gitan. Manolo força les lèvres qui s'ouvrir et il enfourna sa queue dans la bouche de ma fille qui hoqueta.

Lâchement, je veux détourner la tête pour ne pas voir ma fille pomper la bite du gitan mais mon regard tombe alors sur Delphine en train de branler des bites entre ses seins, le visage recouvert de sperme.

Je reviens donc sur Victorine. Ma fille léche les couilles de Manolo pendant que Carmen lui titille son clitoris la faisant gémir. Victorine a les joues gonflés par l'épaisseur de la queue du gitan. Celui ci la tient par les cheveux et fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Carmen continue de la doigter lui arrachant des cris.

Manolo éjacula dans la bouche de Victorine qui fit la grimace.

Carmen poussa ma fille et s'accroupit sur elle.

- Lèche moi salope!

Timidement, Victorine sortit sa langue et commença à lécher le clitoris de la gitanne.

Carmen agite son bassin et commence à gémir.

L'autre fille qui se prénommait Lola arriva avec un vibromasseur qu'elle positionna sur la fente de Victorine.

Toujours bailloné et ligoté , je fut emmené devant ma fille en train de bouffer la chatte de Carmen qui se malaxe les seins en gémissants et en insultant Victorine la traitant de sale chienne.

Delphine, recouvert de foutre, sur les seins, le visage et sur les cuisses, fut emmenée également devant sa fille.

Deux autres filles se jetèrent sur nous. Je fut branlé par l'une d'elle tandis que l'autre avait ramené un vibromasseur et le posait sur le clitoris de ma femme qui ne tarda pas à pousser des gémissements.

Carmen poussa un cri en jouissant barbouillant de mouille le visage de Victorine. Celle-ci râlait en ondulant du bassin et en secouant la tête en se mordant les lèvres excitée par le vibromasseur. Delphine aussi crie de plus en plus fort.

On m'obligea à me branler et à jouir sur le visage de ma fille et mon sperme gigla allant se mélanger à la mouille de Carmen.

Ma fille et ma femme eurent un orgasme au même moment. Leurs hurlements se répercuta dans toute la maison.

Je suis presque tenter de me boucher les oreilles pour ne plus entendre les cris de ma femme et ma fille. Debout sur leurs talons aiguilles, elles sont baisées par Lola et Carmen, qui équipées de gode-ceintures, les défoncent violemments faisant tressauter leurs seins pendant que Manolo et Paco font des films avec leurs portables.

Joseph et un autre gitan sont devant elles et ont posés des vibros sur leurs chattes ce qui fait pousser des hurlements aux deux femmes de ma vie...

Victorine et Delphine, echevelées, en sueur, leurs corps secoués brutalements jouirent soudain une nouvelle fois.

Leurs cris me vrilla les tympans....

A suivre