Otages des Gitans 03

Après cette nuit de débauche ou ma femme et ma fille ont été baisé comme des chiennes, tout le monde est aller se coucher. La pluparts des gitans sont retournés au campement nous laissant avec Manolo, Paco, le vieux Joseph, Carmen et Lola.

J'émerge péniblement d'un sommeil tourmenté.

Je sors de ma chambre et passe devant la chambre de ma femme dont la porte est ouverte. Delphine, à quatre pattes sur sont lit, vétue d'une nuisette, se fait défoncer par Manolo avec qui elle a passé la nuit.

- T'es réveillé la lopette! Me lança Manolo en continuant de limer Delphine qui se mord les lèvres et ondule du bassin frétillant sur la bite du gitan.

- Va donc préparer le petit déjeuner, ta chienne de fille est déjà en bas. On descend des que j'ai fini de baiser ta salope de femme...

Penaud, je m'éloigne poursuivi par les gémissements de Delphine....

Je retrouve Victorine dans la cuisine. Accoudée à l'évier, elle se fait doigter par Lola pendant qu'elle prépare le petit déjeuner sortant les tasses.

Ma fille chérie est particulièrement indécente vétue simplement d'un bikini et perchée sur ses sandales argentées. Ses seins sont triturés par Lola en même temps qu'elle continue de la doigter lui arrachant des plaintes.

- Tiens voilà le cocu! Ironisa Lola en me voyant.

Je ne porte qu'un caleçon que Lola m'ordonna d'enlever.

Ma bite jaillit déjà en érection.

- Regarde ton pauvre papa, il bande. Sussura Lola dans l'oreille de Victorine qui tourna la tête dans ma direction.

- Il faut faire quelque chose, tu peux pas le laisser dans cet état...

Elle agrippa Victorine par les cheveux et la contraignit à s'agenouiller devant moi.

- Allez salope! Suce ton père...

Ma fille me jeta un regard par en dessous chargé de reproches comme pour me dire « Comment peux tu bander en regardant ta fille se faire humilier? «

Mais elle prit ma queue à pleine main me masturbant un peu puis elle avala ma bite. Lola la guidait faisant coulisser mon sexe entre ses lèvres en la maintenant par les cheveux.

Au même moment débarqua dans la cuisine Carmen et Joseph suvi de Delphine, toujours vétue de sa nuisette rose quasi transparente faisant claquer les talons aiguilles de ses Louboutin sur le carrelage.

Horrifée, Delphine s'arrêta contemplant notre fille me faisant une fellation avec entrain. Victorine léchait la hampe de ma bite, me léchant les couilles, remontant et me titillant le gland en me donnant d'habiles petits coups de langues puis replongeant dessus avalant ma queue entiérement.

Carmen ricana et s'approchant de mon épouse lui murmura dans le creux de l'oreille.

- Tu vois ta fille? Il ne faut pas la forçer beaucoup pour qu'elle se comporte en vrai chienne...Comme sa mère...

Delphine rougit violemment. Derrière elle, Joseph avait soulevé la nuisette et avait introduit son index et son majeur dans la fente dégoulinante de ma femme les agitants faisant entendre des petits clapotis...

Elle ne tarda pas à pousser des gémissements. Paco arriva alors et se positionnna devant mon épouse, il lui enfourna sa bite dans la bouche...

Je n'en pouvait plus et je sentais que je n'allais pas tarder à jouir trop excité par le spectacle qui se déroulait sous mes yeux.

Le vieux Joseph avait relevé Victorine qui, debout sur les talons de ses sandales, penchée en avant me pompait furieusement la bite en poussant des plaintes sous les coups de pines du gitan.

A côté de moi, Delphine grognait, le corps agité de soubressauts provoqué par les coups de reins de Manolo pendant qu'elle suçait la bite de Paco...

Je poussais alors un cri et éjaculait dans la bouche de ma fille deversant un torrent de sperme qu'elle recracha avec dégout...

Toujours nu et vêtu de mon tablier, je fais le service du petit déjeuner. Il semble que je sois devenu la soubrette de nos tourmenteurs.

Je tourne le regard vers ma femme et ma fille. Les gitans ont eu une idée terriblement perverse. Delphine et Victorine sont à genoux sur la table du salon l'une à coté de l'autre et chacunes doit doigter l'autre. Ma femme titille donc le clitoris de sa fille avec ses doigts manucurées pendant que Victorine fait pareille avec sa mère.

Elles agitent toutes les deux leurs doigts furieusements en poussant de petits jappements.

Les cris montèrent d'un octave quand Carmen et Lola posèrent un vibromasseur sur le clitoris de Delphine et Victorine. Les cris se transformèrent en hurlements et elles jouirent violemments s'affalant sur la table du salon haletantes...

Nos tourmenteurs prennent visiblement un plaisir pervers à humilier une famille bourgeoise jusque la respectable et respectée. Et des idées perverses ils en ont à revendre surtout les filles. Lola et Carmen ont ordonné à ma femme et ma fille à nouveau de se donner en spectacle. Delphine et Victorine sont allongées sur le sol de notre salon en « ciseaux » ondulants du bassin et se frottant le clitoris en criants sans aucune retenue et en se tordant la pointe des seins. Je me masturbe comme un fou en assistant à la déchéance de ma femme et ma fille. Lola et Carmen s'accroupirent sur le visage de Delphine et Victorine et leurs ordonnèrent de les lécher. Ce qu'elles firent sans trop protester. Gigottant sur leurs visages, les langues fouillant leurs intimitées, Lola et Carmen jouirent rapidement en poussant des hurlements. J'éjaculais au même moment libérant une giclée de foutre qui alla s'écraser par terre.

Notre pavillon résonnait des râles et des gémissements de plaisirs de ma femme et ma fille qui cuvaient leurs orgasmes. Excités par la scène à laquelle ils venaient d'assister, Paco et Manolo se ruérent sur elles. Delphine se retrouva à quatre pattes la bite de Manolo bien emmanché dans son cul la tenant aux hanches et la pilonnant sans vergogne. Ma pauvre fille dut subir le même traitement. Paco pointa son gland sur l'ouverture des reins de ma fille. Victorine sursauta et blémit. Elle supplia, pleurnicha mais rien ne fit fléchir Paco. Il força de tout son poids et s'enfonça d'un coup dans le rectum de Victorine qui poussa un hurlement démentiel qui me fit frémir. Déchainé, Paco les mains crispés sur ses hanches, lui donnait de violents coups de reins. Son ventre venant claquer contre ses fesses. Le regard fou, bavant, haletante, Victorine ouvre la bouche sur un cri muet. Ses seins ballotant dans tous le sens.

Delphine poussa un cri et les yeux révulsés, elle eut un orgasme qui la laissa pantelante.

Paco accéléra la cadence et ma fille, ondulant du cul, allant à la rencontre de la bite qui lui perforait l'anus, se mit à bafouiller des mots sans suite et à râler de plaisir.

Paco lacha plusieurs giclées de sperme dans le fondement de ma fille qui s'ecoulèrent lentement sur ses cuisses....

Manolo se soulagea sur le visage ravagée de mon épouse qui ouvrit la bouche attendant le foutre de son suborneur. Le gitan éjacula barbouillant de sperme le visage de ma femme.....

Je suis en train de débarraser la table du petit-déjeuner. Delphine et Victorine sont dans la salle de bains pour prendre une douche mais comme Lola et Carmen les accompagne, je doute que cela soit rapide...D'ailleurs, j'entends venant de l'étage leurs cris et leurs supplications.

Manolo s'approcha de moi. Il tient dans la main un carton d'invitation émanant de la mairie qu'il a trouvé posé sur notre guéridon. Le conseil municipal m'invite à l'inauguration du nouvel EHPAD.

Je constate que l'inauguration est prevu pour cet après-midi.

- Dis donc la lopette, tu es invité à ce truc?

Je réponds que oui et Delphine est obligée d'y être étant maire-adjointe chargée des séniors.

La lueur lubrique qui passa alors dans le regard de Manolo me fit penser que le pire n'était peut être pas encore arrivé....

A suivre