Otages des Gitans 05

Informations sur Récit
Soumission de la femme du maire.
2k mots
4.6
12.5k
3
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 08/24/2022
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Je suis au volant de notre Mercedes essayant de me concentrer sur la conduite ce qui n'est pas si facile vu que ma femme n'arrête pas de me déconcentrer en criant et en gémissant à l'arrière de la voiture.

Il a été décidé que Carmen et Manolo nous accompagnerait à l'inauguration. Victorine est restée dans notre pavillon avec Lola et Paco.

Depuis le départ, Carmen n'arrête pas de jouer avec la télécommande du sex-toy arrachant des plaintes à Delphine. Elle a même ouvert la veste du tailleur porté à même la peau sans soutient-gorges et forçe ma respectable épouse à exhiber ses seins aux autres automobilistes qui klaxonne furieusement....

Manolo est à côté de moi. Il porte un de mes costumes et Carmen a piqué une robe bustier à ma fille.

Je porte toujours le string de Victorine qui me compresse les couilles.

Nous arrivons devant l'Etablissement d'hébergement pour personnes âgées et dépendantes. Nous nous dirigeons vers l'entrée. Un ruban bleu blanc rouge est tendu et une jeune fille attend l'arrivé du maire en portant un coussin rouge sur lequelle est posé une paire de ciseaux.

Le maire arrive enfin et se dirige, fendant la foule en serrant des mains, vers ma femme qu'il embrasse. Il commençe un discours sur l'importance de protégés nos séniors. A côté de lui, son épouse,Hélène, ma maitresse, fait comme si de rien n'était mais je vois bien qu'elle me jette discrétement des coups d'oeuil. Elle est très virginale portant un tailleur blanc très ajusté. Ses talons aiguilles ivoires nacrés allonge encore plus ses jambes gainés de bas blancs satinés.

La connaissant c'est surement un porte-jarretelles qu'elle porte sous sa jupe.

Manolo me donne un coup de coude.

- C'est qui cette salope qui arrête pas de te regarder.

- Hélène Dupré, la femme du maire lui soufflais je.

- Pas mal la femme du maire...murmura Manolo.

- Surement une vraie chienne sous ses airs de bourgeoises...Renchérit Carmen.

Fin du discours...Applaudissements, flash du photographe du journal municipal. Le maire coupe le ruban et pénètre dans l'EHPAD suivi par sa cour.

Manolo et Carmen se goinfre de petits fours et éclusent les coupes de champagne. Moi, je ne peux rien avaler. Delphine tente de faire bonne figure et de faire la conversation avec des administrés mais ses sourires sont parfois crispés et elle bafouille devenant par moment rouge écarlate...Quand Carmen actionne le bouton déclenchant le sex-toy... Delphine sursaute à chaque fois, ferme les yeux, se mord les lèvres et jettent des regards implorants à Carmen qui lui répond avec un sourire ironique.

On la laisse un peu tranquille et elle se rapproche de nous en titubant à moitié.

Elle s'agrippe à la table et supplie dans un souffle.

- Je vous en supplie, arrêtez, je vous en prie, je vais...

Elle sursaute encore plus violemment. Manolo a posé sa main sur ses jambes et commençe à la remonter lentement se faufilant sous la jupe de son tailleur. Heureusement, cette scène surréaliste est en partie cachée par le monde. Manolo écarta le string et plongea son index et son majeur dans la chatte dégoulinante de ma femme qui fit une grimace. Les efforts conjugés des doigts du gitan et des vibrassions du sex-toy eurent raison de la volonté de mon épouse qui étouffa un cri en jouissant....

Le souffle court, Delphine tente de récupérer de son orgasme. Hélène Dupré s'approcha alors de nous. Très mondaine. Foudroyé du regard par Delphine qui n'a pas oublié mon coup de canif dans le contrat.

L'épouse du maire me fait remarquer avec une hypocrisie remarquable que cela fait longtemps que je ne l'ai vu

Très géné, je lorgne du coté de Delphine qui semble prête à lui sauter à la gorge. Manolo, lui, mate sans vergogne les seins de la femme du maire que l'on aperçoit par l'échancrure de la veste du tailleur.

Je constate que Carmen et Delphine s'éloigne un peu et discute comme deux vieilles copines.

Manolo, charmeur, fait des compliments à Hélène. Lui disant qu'elle ne fait pas son âge et qu'elle est très sexy dans ce tailleur. Madame Dupré rougie comme une collègienne.

La prenant par la main, il l'entraine alors hors de la salle de réception. Surprise par cette familiarité, Hélène se sent rassurer de voir que je leur emboite le pas. Je les suis mais moi par contre je ne suis pas du tout rassuré....

Dans un cliquetis de talons hauts, ces dames avancent dans le couloir conduisant aux chambres des pensionnaires de l'EHPAD.

Carmen chuchote dans l'oreille de Manolo qui a un sourire bien ignoble.

Avisant une salle qui paraît déserte, Carmen poussa brutalement l'épouse du maire qui poussa un cri de protestation.

- Mais...Mais...Enfin...Qu'est ce qui vous prend.....

Nous nous retrouvont dans la pénombre de la salle.

Carmen s'approcha d'Hélène qui voulut reculer mais elle se retrouva coincée contre le mur de la salle.

- Alors comme ça, tu baises avec monsieur de Saint Cyr? Lui susurra t'elle. C 'est pas bien du tout ca. Si ton mari l'apprenait... et les habitants?

Rouge pivoine, Hélène Dupré se mit à bafouiller.

- Oh non, s'il vous plait, ne dites rien, je vous en supplie...

- Il va falloir être gentille alors et nous obeir. Es tu prête à nous obeir?

Hélène chercha du secours en me regardant. Penaud, je baisse les yeux, excité comme toujours par le spectacle qui s'offre à moi. Après ma femme et ma fille j'assiste à la soumission de ma maitresse. Quand à Delphine, elle jubile carrément. Quelle vengeance!

La main de Carmen se faufila soudain dans l'échancrure de la veste du tailleur emprisonnant un sein de la main qu'elle pressa violemment arrachant un cri à Hélène. Affolée, elle tenta de fuir mais Carmen et Manolo la contraignirent à se mettre à quatre patte sur le carrelage froid de la salle. Carmen troussa la jupe du tailleur dévoilant un string et les attaches du porte-jarretelles.

Les coups tombèrent sur les fesses de la femme du maire qui poussa un cri qui se répercuta dans la salle.

Manolo enleva le string, le roula en boule et l'enfourna dans la bouche d'Hélène qui écarquilla les yeux, ses cris se transformant en gargouillis.

La gitanne plongea son index et son majeur dans la fente d'Hélène qui rugit dans son baillon improvisé.

Je bande comme un fou en voyant Hélène se faire humilier. Delphine respire un peu plus vite et j'ai bien l'impression qu'elle est aussi excitée que moi.

Carmen agite ses doigts faisant couiner la femme du maire.

- Elle mouille cette chienne! Rugit Carmen.

Manolo arracha le string. Hélène prit une goulée d'air et commença à geindre.

Les cheveux dans les yeux, elle supplie :

- Oh mon dieu! Je vous en supplie, arrêter...Aahhhh

Carmen secoue ses doigts de plus en plus vite dans le vagin d'Hélène qui secoue la tête tentant d'empêcher Manolo de lui enfonçer sa bite dans la bouche.

Elle eut soudain un orgasme. Son corps se crispa, elle poussa un feulement rauque et s'affala au sol.

Manolo agrippa ses cheveux la relevant et lui enfourna sa bite forçant le barrage de ses lèvres rouges. Hélène roula des yeux et grogna.

- Delphine, tu veux venir te venger de cette salope? Lança Carmen.

Delphine, qui semblait n'attendre que ça, se précipita. Elle claque les fesses de la femme du maire la faisant crier. Ma femme, complêtement tranformée, devenue hystérique, frappe violemment le cul d'Hélène.

La tenant par les cheveux, Manolo fait coulisser sa bite dans sa bouche. Ma maitresse, la mâchoire déformée par l'épaisseur de la bite, hoquête et a les larmes aux yeux. Derriere elle, mon épouse la pistonne de ses doigts. Elle a déjà enfoncé son index et son majeur et elle introduit maintenant l'annulaire. Puis, elle termine avec l'auriculaire. Carmen filme en gros plan avec son portable. Hélène poussa un rugissement et ondula du cul. Toute la main de ma femme était enfonçée dans la chatte d'Hélène. Delphine fait tourner sa main arrachants des hurlements étouffés à la femme du maire.

La distinguée bourgeoise se crispa en jouissant et ses cris résonnèrent dans la salle...

Manolo se rua à la place de Delphine et prit Hélène en levrette. La baisant sans retenue, la faisant couiner et gémir sous ses coups de pines. La respectable femme du maire se comporte finalement comme une chienne.

Son corps secoué brutalement par Manolo, madame Dupré halète et secoue la tête.

Carmen m'obligea à me mettre devant elle. Je lui présente ma bite gonflée à bloc. Elle semble hésiter et me regarde avec un air outré.

N'en pouvant plus, je m'enfonce dans sa bouche et fais coulisser ma queue entre ses lèvres pulpeuses.

Elle me lèche le sexe avec de petits coups de langues, me pompant, salivant sur la hampe, titillant le gland.

Manolo accéléra la cadence la martelant et la faisant gémir. Il se vida sur ses fesses tremblantes alors que j'éjaculais sur son visage l'aspergeant de foutre.

Hélène effondrée par terre tente de récupérer de ses orgasmes. Une exclamation nous fit soudain tourner la tête vers la porte d'entrée. Un petit vieux en fauteuil roulant d'au moins 90 ans nous regardaient. Stupéfait.

- Qu'est ce que vous faites? Demanda le vieux d'une voix chevrotante.

Manolo et Carmen l' invitère à entrer.

- Tu la reconnais? lança Manolo en désignant Hélène toujours affalée sur le sol, exhibant ses jambes, jupe relevée, porte-jarretelles apparent.

- C'est pas la femme du maire? demanda le vieux tout en matant les jambes de ma femme.

Carmen l'obligea à trousser la jupe de son tailleur et elle dut s'approcher du vieillard. Carmen guida la main ridée du petit vieux et il enfonça ses doigts dans la chatte de ma femme qui poussa un soupir.

La femme du maire fut trainée, le visage ravagé, barbouillé de mon sperme, devant le papi. Elle s'accroupit et dut, à grand renfort de claques sur ses fesses, dégagé un sexe flasque et mou.

- Suce le salope! Ordonna Manolo d'un ton autoritaire.

Il appuya sur la nuque de la femme du maire. Ecoeurée, elle prit en bouche la bite à demi-bandé.

Elle lui lécha timidement le gland avec un air de dégout. Delphine se fait toujours doigter par le papi pervers. Il agite son index et son majeur en tremblottant.

Hélène s'escrime à faire bander le petit vieux sans grand succès. Donnant de petits coups de langue sur le gland. Le vieux lacha quelques gouttes de sperme que l'épouse de l'Edile dut avaler sous l'oeil de la caméra de Carmen.

Il branla mon épouse encore un peu la cyprine coulant sur ses doigts puis ils les retira et contraignit Delphine à les lui nettoyer en les suçants...

Le sénior roula jusqu'à la sortie soulagé et satisfait.

La très chic épouse du maire avait repris figure humaine. Hélène avait un peu pleurniché quand Manolo lui avait dit que désormais elle était leur esclave sexuel et qu'elle devrait venir nous rejoindre demain dans notre pavillon mais elle avait acquiescé.

Elle s'enfuit littéralement allant rejoindre son mari cul nu sous la jupe de son tailleur...

Je gare notre Mercedes dans le jardin. Je suis étonné d'y découvrir plusieurs autres véhicules. Je fut stupéfait en découvrant l'orgie qui se déroulait dans le salon de notre pavillon. Une dizaines de jeunes que je connaissait pas avait pris leurs aises dans notre pavillon.

Paco vint vers nous.

- C'est les potes de Rachid, ils n'on pas eu la patience d'attendre demain...

Le livreur de pizza avait rameuté tous ces potes de la cité...

Ma pauvre Victorine, le collant en lambeaux, empalée sur une bite, enculée par une autre, la machoire déformée par deux autres queues. Le corps secoué, recouverte de foutre poisseux, haletante et gémissante, hurlaient sans discontinuer.

Un jeune cria soudain :

- Hé les gars, la daronne est la!!

Horrifiée, Delphine fut trainée vers la table de notre salon.

Debout sur ses talons aiguilles, elle fut penchée en avant, la jupe tirebouchonnée autour de la taille.

Un jeune s'enfonça de tout son long commençant à la pilonner en la tenant aux hanches pendant qu'un autre monter sur la table lui enfonçait sa bite dans la bouche...

Lâchement, je sortis de la pièce poursuivi par les cris et les gémissements de ma femme et ma fille.....

A suivre...

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2 Commentaires
LucasDehiLucasDehiil y a plus d’un an

La fille et la mère doivent tomber encore plus bas !

trouchardtrouchardil y a plus d’un an

Ah ce monde de bourgeois dégradés, j'aime toujours autant. Merci Elko.

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