Payer le loyer Ch. 07

Informations sur Récit
Retour au sex-shop et soumission à mon beau-frère.
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 08/24/2018
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Traduction d'un récit de Craig88.

Ceci est une FICTION avec chantage, humiliations et contrainte d'une jeune femme. Certains passages étant très « crades », ils peuvent choquer. Si vous n'aimez pas ce genre, arrêtez de lire.

**************

La prochaine journée me sembla une éternité. M. ALLEN ne m'appela pas et ne vint pas. Steve était toujours au travail et je tournais en rond dans l'appartement. Bien sûr je pouvais descendre et profiter de la grosse queue de Marcus, mais ce n'était pas la même chose sans la présence de M. ALLEN alors je ne profitais pas de l'opportunité.

Nous sommes le lendemain, dimanche matin. Steve est parti à 8 heures pour travailler et il est maintenant 11 heures. Toujours pas de M. ALLEN. Il n'y a rien du tout à la télé et je ne vais pas à l'église. Comment pourrais-je y aller d'ailleurs? Je suis devenue une vraie salope qui aime tout ce qui est pêcher aux yeux de Dieu. J'ai trompé mon mari, je suis sûre d'aller en enfer. Mais est-ce que je m'en soucie vraiment?

L'attente est une longue agonie. Je ne suis pas à l'aise, je deviens irritable, je ne sais pas quoi faire.

« Toc Toc »

- Ah, enfin, merci, s'il vous plaît entrez M.ALLEN. Supplié-je.

- Bonjour Hélène! Contente de me voir?

Je suis tellement contente qu'il soit enfin là que mon grand sourire sur mon visage ne peut cacher ma joie.

- Habille-toi, nous allons faire un petit voyage.

J'aime cette proposition et je demande :

- Que voulez-vous que je porte?

- N'importe quoi, nous n'allons pas dans un endroit spécial. Nous retournons au sex-shop où je t'avais envoyé. Tu te souviens?

Je me souviens très bien de cette boutique où il m'avait envoyé pour acheter du matériel sexy.

- N'est-il pas fermé le dimanche? Demandé-je.

- Si.

Il voit mon regard étonné alors il ajoute :

- La femme qui possède le magasin est une bonne amie. Elle a accepté de l'ouvrir pour nous, pour que nous puissions avoir un peu de calme.

- D'accord. Laissez-moi une seconde.

Je retourne dans ma chambre et j'enfile un jean, des bottes et un tee-shirt. J'attache mes cheveux en arrière. Puis nous partons avec sa BMW.

Lorsque nous arrivons au sex-shop, il est fermé avec un rideau en fer. Nous marchons dans l'allée qui va derrière le magasin. M. ALLEN frappe sur une grande porte en métal. L'allée est jonchée de vieux papiers, de cartons et de détritus. Les murs sont couverts de graffitis.

J'entends un bruit métallique qui indique que l'on déverrouille la porte. Elle s'ouvre en grinçant et je reconnais la femme qui m'a servi lorsque je suis venue la dernière fois.

- Bonjour Jenny!

- Bonjour Maître! Fut la réponse de la femme.

« Maître »? Je pense en moi-même qu'elle aussi doit être devenue son esclave sexuelle comme je le suis.

Jenny me regarde de haut en bas. Je n'aime pas l'air vicieux sur son visage.

- C'est elle alors?

Sa remarque me donne envie de la gifler.

- Tu me désobéis Jenny?

Le ton de M.ALLEN est celui qu'il prend pour avertir avant de donner une bonne claque. La femme baisse les yeux vers le sol et dit :

- Non Maître.

- Laisse-nous entrer alors!

Elle recule et ouvre en grand la porte. M. ALLEN pénètre dans le magasin tandis que Jenny tient la porte. Je le suis, la tête haute, avec un air de supériorité. En réponse elle me lance un regard méchant. « Va te faire enculer salope » pensé-je.

Je suis mon propriétaire dans un couloir obscur. Il est faiblement éclairé, mais je peux voir, au fond, la lumière de la boutique.

Nous entrons dans la partie principale du sex-shop. Rien n'a bougé depuis la dernière fois et il est bien éclairé malgré le rideau en fer. Jenny nous suit puis se dirige vers M.ALLEN. Elle ne dit rien. C'est comme si elle attendait un commandement, comme un chien.

- Jenny, As-tu mis de côté ce que je t'ai commandé?

- Oui Maître

Jenny se déplace rapidement vers la caisse. Je la regarde en détail. Elle mesure environ 1m70, elle a des cheveux blonds qui s'arrêtent avant ses épaules et des yeux bleus. C'est une jolie fille, mais un peu trop maquillée à mon goût. Elle a des piercings sur les paupières ainsi qu'à la lèvre supérieure. Je devine que sa langue doit être percée aussi. Elle porte un petit haut en latex rouge qui laisse apparaître son nombril entouré d'un tatouage. Elle porte aussi un pantalon en latex noir qui moule bien ses cuisses et ses fesses bien rondes. Si j'étais un homme, j'aimerais bien la baiser.

Elle revient avec un grand sac qui semble être rempli. M. ALLEN regarde dedans puis me le tend en disant :

- Essaye ça!

Je me dirige vers les cabines d'essayage mais M. ALLEN me dit que le magasin est vide et que je peux très bien me changer là.

Je regarde Jenny. Son air vicieux revient sur son visage.

- Oui M.ALLEN! Dis-je en souriant.

- Bonne fille! Tu vois jenny ce qu'est l'obéissance!

La femme baisse de nouveau les yeux au sol :

- Oui Maître!

Je fouille dans le sac et j'en sors une sorte de robe noire en latex. Je dis « robe » mais je sais qu'elle ne va pas descendre plus bas que ma chatte. J'enlève mon tee-shirt pour révéler mes gros seins puis je descends mon jean jusqu'aux chevilles avant d'en sortir. Je me tiens debout avec un soutien-gorge blanc et un string. Je dois admettre qu'il ne s'agit pas de mes meilleurs sous-vêtements.

Jenny me détaille de haut en bas. J'avoue que je n'ai pas le plus joli corps du monde. J'ai un peu de ventre et un peu de cellulite sur le cul et les cuisses, mais pour une femme au foyer de 34 ans je suis encore pas mal.

Je me glisse dans la robe et je commence à la tirer. Je remarque qu'elle fait une ou deux tailles en dessous de ce que je porte d'habitude. Mais comme je ne veux pas désobéir à M. ALLEN ou faire face à la colère de Jenny, je lutte pour la faire passer par-dessus mes cuisses et mes fesses. Puis je décide de la retirer et j'ôte tous mes sous-vêtements. Ensuite je réessaie d'enfiler la robe. Le latex frotte contre ma peau alors que je me débats avec.

Jenny me regarde avec un grand sourire sur son visage. Et soudain elle laisse échapper un ricanement.

Immédiatement M. ALLEN la gifle, le claquement sur la peau remplit la pièce. Il dit :

- Jenny sale chienne, à genoux, tout de suite!

Je rigole intérieurement. Bien fait pour cette salope! Je la regarde alors qu'elle obéit et s'agenouille devant l'homme. Elle tient sa main appuyée sur sa joue gauche. Je sais ce que cela fait, mais je n'ai aucune sympathie pour elle.

M. ALLEN déboucle son pantalon et farfouille dedans. Il sort sa bite et demande à Jenny de la sucer.

Elle ne dit rien et la queue est rapidement enfoncée dans sa bouche. Je sais ce qu'elle ressent. Je la voix prodiguer une fellation à mon propriétaire et je ne peux m'empêcher de ressentir un sentiment de jalousie. Je veux être celle qui a sa petite bite sale dans la bouche.

Après beaucoup de tiraillements, la robe finit par me recouvrir le cul. Je la remonte plus haut et je serre mes seins autant que possible. Je passe les sangles sur mes épaules et j'arrange la robe. Je me regarde dans le miroir. J'ai raison, la robe laisse exposée ma petite chatte rasée.

- Super Hélène, ça te va très bien! Mets le reste maintenant.

Je trouve drôle qu'il me regarde m'habiller sans vraiment prêter attention à la garce blonde qui lui suce la bite. Je fouille dans le sac et j'en sors une paire de gants en latex noir qui remontent plus loin que mes coudes. Pendant ce temps, M. ALLEN baise la bouche de jenny.

- Jenny, c'est la pire pipe que tu ne m'as jamais faite! Espèce de salope blonde idiote, essaie de t'appliquer!

Je ricane intérieurement. Ensuite je trouve dans le sac une paire de bottes en latex qui montent à mi-cuisses. Après avoir fini de me vêtir je me regarde de nouveau dans le miroir. Mon Dieu que je suis excitée.

- Sors tes seins Jenny! Espérons que tes nichons serviront mieux que ta bouche!

Je les regarde. Je vois des larmes couler sur le visage de la blonde. Soit il lui a fait mal soit elle a honte. Elle baisse son petit haut. Ses seins bougent à peine, manifestement ils sont faux. Elle les tient serrés alors que l'homme glisse sa bite entre.

- Que ces faux seins sont moches! Regarde Hélène, tu vois ses seins? C'est du 100 % réel, de vrais nichons bien en chair. J'ai l'impression de baiser un trou dans un mur.

Le regard que me lance jenny est méchant, un regard qui tue.

- Et merde!

M. ALLEN retire son sexe de la poitrine de la blonde et se retourne en disant :

- Le seul plaisir que je vais pouvoir tirer de toi est que tu me lèches le cul. Fais-le! Tout de suite!

Lorsque nous partons, la femme me lance un regard que je n'oublierai jamais. Elle est restée agenouillée, un regard méchant et sûrement un mauvais goût dans la bouche. Bien fait chienne!

Nous revenons à mon appartement. Je remarque que mon propriétaire a un autre sac du sex-shop avec lui, mais je n'ai aucune idée de ce qui peut être à l'intérieur. Il s'assoit sur mon canapé et allume la télé. Il est presque 14 heures. Il passe sur une chaîne sportive où un match de football vient de commencer. Il m'ordonne d'aller m'habiller avec ce que j'ai essayé dans le magasin. Je pars dans ma chambre et je prends mon temps pour m'habiller. Je déteste le football.

Je sors de la chambre avec des bruits grinçants dus au latex.

M. ALLEN a posé le sac à côté de lui sur le canapé. Il me regarde et me demande de m'agenouiller. J'obéis. Il tend la main vers le sac et fouille dedans. Il en ressort un collier noir avec des clous d'argent et une chaîne en argent reliée au collier.

- Penche-toi en avant!

Je le fais et il attache le collier autour de mon cou.

- Tu es ma chienne Hélène et tu m'obéiras, Comprends-tu?

- Oui Maître.

- Bonne fille! Maintenant mets-toi à genoux sur le sol et suce ma bite. Tu ferais bien de mieux t'appliquer que Jenny!

- Oui Maître.

Je prends sa bite qui sent mauvais et je commence à le sucer. Pendant ce temps il regarde le match à la télévision. Jenny doit vraiment mal sucer car il ne lui faut pas longtemps avant de se vider dans ma bouche. Le goût de son sperme est toujours aussi fort. Je nettoie proprement sa queue.

- Aaaaahhhhhh... Bonne fille... assis toi!

Je m'assieds sur le sol, toujours tenue en laisse par mon propriétaire. C'est très excitant, mais je n'aime pas trop le port du collier, j'ai l'impression d'être étouffée.

Je reste assise là très longtemps. Le match doit durer encore 20 minutes. Sans prévenir, M. ALLEN tire sur la laisse. Je m'évanouis presque sous la force du coup.

- Hélène, je reste jusqu'à la fin du match donc recommence à me sucer la bite.

Son ton de voix me parait inquiétant donc je commence à sucer sa bite une fois de plus. Alors que j'essaie de lui pratiquer une bonne fellation, je suis soudainement frappé par un liquide chaud dans ma bouche. Il urine dans ma gorge. Ça sort de sa bite avec un grand jet. Je m'étrangle sur le liquide, je n'arrive pas à tout avaler. J'essaie de bouger la tête mais M. ALLEN tient solidement la laisse. C'est long, l'urine s'échappe de ma bouche et tombe sur son pantalon.

Quand il a fini de se vider, il lâche la laisse. Je cours dans la salle de bain en toussant, m'étranglant et essayant de respirer. Je me sens malade, sa pisse chaude est maintenant dans mon estomac. Je vomis dans les toilettes.

Je sais que je suis très excitée lorsque que l'on me baise comme une pute, mais ce n'est pas le cas actuellement. J'ai envie de me révolter. J'ai l'air d'un chien puant qui vit dans la rue. Je suis tombée bien bas.

Je retourne dans mon salon et je me rends compte que le match est terminé. Lorsqu'il me voit, mon propriétaire éclate de rire :

- Ha ha ha ha... Quel est le problème Hélène? Vous avez aimé l'autre jour.

- Oui mais j'étais excitée et je le voulais. Mais pas là.

- Ha ha ha ha... Je m'en fous! Nettoie-toi bien salope, tu as deux visiteurs qui vont venir pour toi bientôt.

- Qui est-ce?

- Juste deux de mes associés. Tu commences à avoir une certaine réputation. Allons dans la chambre maintenant.

Je le devance et je m'assois sur le lit. M. ALLEN me rejoint avec son sac.

- Hélène, où sont les choses que tu as achetées auparavant?

- Sous le lit maître.

Il attrape mon sac sous le sommier et verse le contenu sur le lit.

- Tiens-toi près de la fenêtre!

Je m'approche de la fenêtre et je regarde le parking en bas en entendant l'homme tripoter quelque chose de métallique. Je l'entends approcher derrière moi.

- Peux-tu atteindre le rail du rideau?

Je tends la main vers le haut et le bout de mes doigts arrivent 4 centimètres en dessous du rail. Je sens ses mains me saisir le bras puis une sensation de froid. Il y a un cliquetis alors qu'il referme une menotte sur mon poignet. Une deuxième menotte est attachée à mon autre poignet.

- Ne panique pas Hélène, je gère.

Il saisit chaque double des menottes pour les attacher au rail du rideau. La chaîne entre deux menottes est assez longue pour que je ne sois pas tendue. M. ALLEN recule vers le lit. Je suis contente que nous ayons des rideaux sur nos fenêtres, sinon, quelqu'un se promenant dans le parking verrait une femme vêtue d'une robe en latex, menottée à la tringle à rideau de la fenêtre.

Mon Dieu, j'ai peur. Quel genre de personnes sont-ils? Ma chatte commence à mouiller à l'idée que je suis impuissante et à la merci de deux hommes. J'entends M. ALLEN déposer des choses sur le lit. Il m'est possible de me retourner, mais je n'ose pas.

Mes pensées sont coupées brusquement par le bruit de quelqu'un frappant à la porte. Mon propriétaire quitte la chambre pour ouvrir la porte. J'entends des voix et la porte se refermer. Les voix se rapprochent.

- Mmmmm c'est donc elle! Dit un des deux hommes.

- Bon sang! Regarde-moi ça, tout en latex, je suis impatient. Dit une autre voix qui me semble familière.

- Allons-nous la retourner pour qu'elle puisse voir qui va la baiser?

- Ouais, vas-y Phil, tourne-la!

Je frissonne d'anticipation. M. ALLEN s'approche et me tourne. Je regarde les deux hommes et instantanément je reconnais l'un deux.

- Marc!

Il s'agit de Marc, le frère de Steve, mon mari.

- Je crois que tu as été reconnu mon pote! Rit l'autre.

- Ma chère Hélène, si seulement mon frère pouvait te voir, quel choc ça lui ferait!

Les deux hommes rigolent de leurs paroles.

Je n'arrive pas à y croire. Je ne sais pas quoi faire. C'est mon beau-frère. Que va-t-il faire? Que va-t-il dire? Oh mon Dieu, il va tout raconter à Steve.

- Marc, s'il te plaît, ne...

- Ne dis pas à mon frère que sa femme est une vraie pute? Ne dis pas à mon frère que la femme qu'il aime offre son cul à tous les hommes d'où qu'ils viennent?

- S'il te plaît...

Je le supplie, je ne sais plus quoi faire.

- Tu sais ce qui m'énerve vraiment? Continue Marc.

Je secoue la tête.

- Que mon frère puisse baiser une femme aussi belle que toi et que moi je ne le puisse pas.

Je lève les yeux.

- Maintenant tu as le choix Hélène. Tu peux nous dire d'aller nous faire voir ailleurs et dans ce cas je raconte tout à Steve. Ou alors tu me laisses avec mon camarade Tommy te faire tout ce que nous voulons et je ne dirai rien. Ton choix?

Quel choix ai-je vraiment? J'aime trop Steve pour le perdre. Je me contente de hocher la tête pour acquiescer.

- ah ben voilà! Les garçons, elle est à vous! Rigole M. ALLEN.

Marc est un beau mec. J'ai toujours pensé qu'il avait un peu le béguin pour moi, mais je n'y faisais pas attention. Il est plus jeune que Steve et peut-être un peu plus beau. Il travaille dans une entreprise de construction. Il est assez musclé. Je pense que son ami Tommy doit travailler avec lui car il est aussi musclé. Par contre il n'est pas très beau. Les deux hommes ont commencé à se déshabiller, et j'avoue, honteusement, que ma chatte commence à s'humidifier.

Ils doivent juste avoir terminé un travail car ils sont moites et sales. Quand ils enlèvent leurs chemises, je suis presque sur le point de jouir, tous les deux ont un corps parfaitement ciselé avec des muscles parfaits. Steve n'a pas le même physique que son frère.

Tommy et Marc se déshabillent jusqu'au caleçon. Mon beau-frère s'approche du lit pour voir ce qu'il y a. J'ai été tellement surprise que je n'ai pas regardé les objets posés sur le couvre-lit.

- Tommy, regarde ce truc!

L'homme s'approche et m'obstrue la vue.

- Ah ouais, laisse-moi l'utiliser Marc!

J'ai l'impression que Tommy n'est pas trop brillant et qu'il demande à Marc conseils et idées.

- Vas-y mon pote!

Tommy se retourne vers moi avec un grand sourire sur le visage et une chaîne dans la main. Quand il s'approche je remarque qu'il s'agit de pinces à tétons.

- Oh non s'il te plaît, pas ça!

Il baisse ma robe et sort mes seins. Il les caresse puis passe sa langue sur mes mamelons.

- Tu as des seins magnifiques chéri! Souligne-t-il.

L'odeur de la sueur d'une dure journée de travail émane de lui. C'est très excitant pour moi et ma chatte s'humidifie de plus en plus.

Il saisit l'extrémité de la chaîne et il ouvre une des petites pinces qu'il dirige vers un de mes tétons. Je n'ai aucune idée de ce que l'on peut ressentir et je ne veux pas le savoir.

- AIEEEEE AIEEEE AIEEEEE MERDE AIEEEEE CA FAIT MAL! Crié-je.

La douleur est insupportable. Je baisse les yeux sur ce métal froid qui blesse mon sein. C'est vraiment douloureux. C'est une douleur que je n'ai jamais ressentie. Ce n'est pas du tout comme se faire sodomiser une première fois.

- AIEEEE SALAUD AIEEEE AIIEEEEE!

Tommy a appliqué la deuxième pince sur mon deuxième téton. La douleur s'est dédoublée. Il trouve cela amusant. M. ALLEN aussi qui est en train de tout filmer encore.

- Bouge-toi Tommy, j'ai quelque chose pour elle.

À travers mes yeux larmoyants, je vois ce que Marc tient dans sa main : un chat à neuf queues. Il avance vers moi et approche son visage du mien. Il enfonce alors sa langue dans ma bouche et m'embrasse fougueusement. C'est très excitant. Tout en m'embrassant, il tire sur la chaîne qui relie mes tétons. Je gémis sous la douleur.

Il sort sa langue de ma bouche et me fait faire un demi-tour. Je sens les deux hommes passer leurs mains sur mes fesses et mes cuisses, par-dessus les cuissardes en latex. Les Mains tripotent mon corps et je suis incapable de les arrêter. Je suis impuissante devant ces hommes. Ma chatte est humide et mes tétons se dressent douloureusement.

SCHLACK!

Je reçois un premier coup du fouet. Sur le coup ça me pique fort puis une sensation de chaleur s'estompe assez vite.

SCHLACK! SCHLACK!

La douleur n'a pas le temps de s'éteindre avant qu'un autre coup tombe sur mes fesses.

SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!

Chaque coup est accueilli par un cri de douleur. Mes fesses sont en feu. Ces coups de fouet m'ont fait oublier la douleur dans mes mamelons momentanément. Je respire fort, les coups se sont arrêtés.

- Voyons ce que nous avons d'autre Tommy!

Je me sens si faible que je suis sur le point de m'effondrer. Mes jambes me font mal et la douleur traverse mes seins et mon cul. J'entends les deux hommes chuchoter.

- CLAC!

- OH MERDE! AIIIIIIIEEEE!

Je tourne la tête et je vois Tommy avec une sorte de raquette couverte de tête de clous en métal. Il continue de me frapper avec.

- AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE! AIEEE!

Finalement ils stoppent. Je n'ai jamais eu plus mal qu'aujourd'hui. Tommy me contourne et me regarde. Puis il glisse sa main entre mes cuisses et les lèvres de ma chatte.

- Putain Marc, elle est en train de mouiller!

Il pousse ses doigts dans mon intimité. Je suis si humide qu'ils entrent facilement. Il met trois doigts et les bouge lentement. Puis il les retire et les monte vers mon visage :

- Est-ce que tu veux goûter à quel point tu mouilles?

Je secoue la tête. Alors Tommy tire sur la chaîne reliée à mes mamelons.

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