Plaisirs d'Inès - 02 (Dogging et +)

Informations sur Récit
Alex pousse Inès au 'dogging' et plus loin encore.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/24/2024
Créé 01/27/2024
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Plaisir d'Inès - 2 ('dogging' et plus)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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La jeune Inès, peu initiée aux plaisirs du sexe, a apprécié que son mari, de plus de 30 ans plus vieux qu'elle, l'ait poussée dans la voie de ce penchant qu'elle avait depuis longtemps, l'exhibition.

Ce mari, Alex, PDG d'une grande banque, a les moyens d'offrir une vie facile à sa femme, mais il sait bien que cela ne suffira pas à la rendre heureuse. Au plan sexuel, il est loin d'être au top, étant à la fois pas très bien monté et éjaculateur précoce. Il a pour objectif de faire découvrir à Inès tous les plaisirs sexuels dont sa timidité et son éducation la privent. Alex se verrait bien en mari cocufié par une femme libérée.

Alors que, assis sur leur canapé, les deux époux viennent de regarder un film érotique en se caressant un peu, c'est Inès qui lance timidement une conversation :

Inès : « Je me demandais si je ne devrais pas arrêter la pilule ... »

Alex : « Pourquoi? As-tu des problème de santé avec cette contraception? Il y a d'autres moyens ... »

Inès : « Non, ce n'est pas ça ... mais ... enfin ... tu vois? »

Alex : « Pas vraiment. »

Inès : « Bon ... ça me gêne de te dire ça ... mais ... c'est pour ... mon excitation. »

Alex : « Oui, mais je croyais que tu te trouvais trop jeune pour risquer d'avoir un enfant. »

Inès : « Tu pourrais toujours utiliser un préservatif, n'est-ce pas? »

Alex : « C'est moins agréable, mais, oui, je le ferai pour toi. Mais comment auras-tu l'excitation que tu espères? »

Inès : « Pas avec toi, évidemment ! »

Alex : « Être ton mari cocu ne me déplairait pas, mais je croyais que tu ne te voyais pas en femme adultère? »

Inès : « C'est toujours vrai, mon chéri, mais je sais que tu auras de bonnes idées pour moi. »

Alex : « Ne t'inquiète pas. C'est une mission qui me convient bien, crois-moi ! »

Lors de son cycle suivant, Inès arrête sa contraception. Elle se limite à des rapports sexuels protégés avec Alex. Inès y prend encore moins de plaisir car le préservatif réduit ses sensations, bien que cela permette à son mari de retarder un peu son éjaculation. Au bout de quelques jours, elle finit par se confier à son conjoint :

« Tu sais, Alex, le préservatif gâche un peu le plaisir, mais je ne veux pas revenir maintenant à des rapports non protégés. Ce serait trop risqué. Ne le prend pas mal, mon chéri, mais je préférerais que nous ne fassions plus l'amour comme ça. Tu me fais beaucoup de bien avec ta bouche et ça me suffit. Quant à moi, j'aimerais éviter aussi la fellation car ça te fait jouir bien trop tôt. Je pourrais juste te caresser avec ma main en dosant bien mes mouvements pour te faire tenir plus longtemps. Qu'en penses-tu, mon chéri? »

« Faisons comme ça si c'est ton plaisir, ma petite femme », répond Alex.

« Excuse-moi », corrige Inès, « mais mon plaisir n'est pas vraiment là. C'est autre chose que j'attends de toi. Je sais que tu sauras trouver plein de situations excitantes pour moi, pour me faire découvrir des plaisirs inconnus. Tu sera mon initiateur, mais, n'oublie pas, je veux être une coquine très discrète. Je n'ai toujours pas envie de m'offrir à un autre homme comme une vulgaire femme adultère. »

« Peut-être un jour? », questionne son mari à qui le statut de cocu volontaire ne déplairait pas.

« Je ne sais pas », répond sa femme, « pour l'instant je préférerais d'autres plaisirs raffinés. Je suis sûre que tu auras des idées ... »

Quelques jours plus tard, Alex dit un soir à sa femme :

« Inès, j'ai pensé à une petite exhibition intéressante pour toi, ce soir. Je connais un endroit où se trouvent quelques voyeurs, cette fois-ci bien réels. Cela te changerait de tes exhibitions virtuelles. »

« Pourquoi pas? », répond Inès, « Ce sont bien les derniers jours possibles car je devrais être bientôt indisposée. De plus, si tu me veux assez coquine, je ne risque rien en ce moment. Je tiens seulement à ne pas pouvoir être reconnue, donc je mettrai mon masque vénitien. »

Inès part se changer et revient habillée comme pour aller à son travail d'hôtesse. Elle porte son chemisier transparent, sous lequel elle est seins nus, et sa jupe fendue. La veste ne sera pas nécessaire. Alex soulève la jupe et découvre un petit slip en dentelle, qui lui fait dire :

« Ah, non ! Ça n'est pas assorti avec le haut. »

Alors Inès se débarrasse du sous-vêtement, en disant :

« Tu es vraiment un cochon, mais j'aime un homme comme ça ! »

Un petit trajet en voiture sur une grande route les amène sur un aire de parking assez en retrait, jouxtant un petit bois. D'après les recherches d'Alex sur Internet, il devrait y avoir quelques voyeurs à cet endroit. Ce soir, un clair de lune évite l'obscurité totale. Il a semblé à Inès que quelques silhouettes se détachaient en bordure du bosquet. Alex allume alors le plafonnier de sa voiture et Inès réagit alors :

« Oh, non ! N'allume pas ! Ils pourraient nous voir ! »

« Mais on n'est là pour qu'il te voient, ma chérie », la contredit Alex, qui s'étonne de cette demande.

C'est sous une pleine lumière qu'Alex déboutonne le chemisier de sa femme, découvrant ainsi complètement les seins. Sous son masque, Inès se sait non reconnaissable, aussi le laisse-t-elle faire lorsqu'il lui palpe les seins et en fait rouler les pointes entre ses doigts. Tous deux ont remarqué que deux hommes se sont approchés pour regarder Inès, dont le sexe se mouille déjà, d'autant plus qu'elle voit ceux-ci ouvrir leur braguette. Elle ne peut bientôt plus détacher ses yeux des deux mandrins qu'ils branlent tout près de la vitre.

Alex passe sa main par la fente de la jupe en direction de la chatte de sa femme, qui bloque tout de suite le bras de son mari. Mais ce n'est qu'un dernier mouvement de pudeur. Prise par l'excitation du moment, elle le laisse continuer, jusqu'à ce que sa jupe soit relevée jusqu'à la taille. Elle l'accompagne même en plaçant son siège en position couchette et en écartant bien ses jambes. Alex n'hésite pas à saisir la cheville gauche de sa femme pour poser son pied sur le tableau de bord. C'est une chatte toute ouverte et tournée vers eux qui est offerte à la vue des deux hommes.

Inès est excitée à la fois par les deux doigts de son mari qui coulissent dans son vagin et par les sexes qui sont maintenant frénétiquement branlés par les voyeurs. Inès ne peut les quitter des yeux. Elle remarque que les deux membres tendus sont plus longs et plus gros que le sexe de son mari. L'idée que son mari pourrait être sous-équipé lui traverse l'esprit, mais elle est vite ramenée à la situation présente lorsque deux grosses giclées de sperme viennent s'écraser sur la vitre. Inès part dans une jouissance liée à cette vision et aussi au mouvement plus rapide et plus brutal des doigts de son mari.

Sans attendre, Alex fait redémarrer la voiture pour s'engager sur la route. Quelques centaines de mettre plus loin, hors de la vue des voyeurs, il s'arrête de nouveau dans un dégagement. Il n'a pas pris le temps d'éteindre le plafonnier et Inès est restée couchée, dans la même position, son pied toujours sur le tableau de bord. Elle récupère lentement de son orgasme. Lorsqu'elle entend le bruit d'un moteur électrique, son regard se pose sur sa vitre qui descend. Le mouvement fait couler le sperme vers le bas. Lorsque celui-ci se termine, le rebord de fenêtre est couvert d'une épaisse couche blanche. C'est alors qu'elle entend son mari dire :

« Tu sais ce qui te reste à faire, n'est-ce pas? »

« Oh, non ! », répond Inès, dont pourtant l'excitation remonte instantanément.

Alex sait qu'il n'aura pas besoin d'insister.

Alors, avec sa main droite, Inès récolte tout le sperme abondant des deux voyeurs et vient le déposer sur son pubis et sur les lèvres de sa chatte. Sa main engluée vient caresser son clitoris, puis plus bas. De ses doigts, elle enfourne dans son vagin toute la semence des deux inconnus, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus et qu'un nouvel orgasme l'envahisse encore.

Après leur retour, lorsqu'ils sont couchés, Inès remercie son mari par une petite branlette, tout en douceur. Celui-ci la questionne :

« As-tu aimé, ma chérie? »

« Devine ! », répond-elle, « d'ailleurs, ne pourrait-on pas recommencer demain soir? »

C'est peut-être entendre ça qui provoque l'éjaculation d'Alex, à moins que ce ne soit le mouvement accéléré de la main d'Inès, ou ... les deux.

Le lendemain soir, Alex et Inès reviennent au même endroit. Celle-ci a accepté de ne mettre qu'une grande cape sur son corps totalement nu. Dès leur arrivée, des hommes s'approchent, leur sexe en main, car les deux voyeurs de la vieille ont reconnu de loin la voiture du couple. Ils ont dû raconter leur aubaine de la soirée précédente, car d'autres ont visiblement voulu en profiter également. Ce sont plus de dix hommes qui se bousculent pour avoir la meilleure vue.

Inès ouvre complètement sa cape et met son siège en position couchette. Sans que son mari ait besoin de le lui demander, elle écarte ses jambes le plus possible et pose ses deux pieds sur le tableau de bord. Elle est ainsi exposée, intégralement nue, avec uniquement son petit masque qui préserve son anonymat. Le visage tourné vers les voyeurs, Inès ne quitte par les sexes qui bandent pour elle derrière la vitre. D'une main, elle caresse ses seins et de l'autre son clitoris. Bien vite deux de ses doigts viennent pénétrer son vagin pour un lent mouvement qui fait croître l'humidité de l'endroit.

Alex, dont le sexe n'a jamais bandé si durement, veut conduire sa femme plus loin sur le chemin des plaisirs. Il veut, cette fois, donner un accès aux voyeurs, mais il craint une réaction de défense d'Inès. Cependant, il se décide et presse sur le bouton : la vitre du côté passager commence à descendre. Inès, qui vient de s'en apercevoir, laisse échapper un « Oh ! » de surprise comme seule réaction. Par la vitre grande ouverte, plusieurs bras s'introduisent en se bousculant. Des doigts palpent les seins d'Inès et en pincent les tétons. Des mains caressent son ventre. Des doigts viennent remplacer les siens dans son vagin trempé.

« Oh ! Regarde ! Mon dieu, ils me touchent... ils me touchent ! », crie presque Inès.

« Tu peux les toucher aussi, ma chérie », propose Alex.

« Oh, non, je ne pourrais jamais faire ça ! J'aurais trop honte ... », se rebelle sa femme.

Cependant, Inès se laisse faire. Il lui est plus facile de subir que de prendre elle-même l'initiative. Elle accepte alors toutes les caresses et laisse son corps réagir à ces attouchements intimes. Sa chatte dégouline. Son ventre est traversé de soubresauts qui sont presque des convulsions. Elle veut regarder un moment les voyeurs mais sa seule vision est celle d'une forêt de bras qui cherchent à la toucher, à la palper. Cela lui donne l'impression d'être assaillie par une énorme pieuvre dont les tentacules viendraient se coller partout sur son corps. Alors elle tourne la tête vers son mari pour un baiser fougueux, passionné. Elle veut lui montrer tout le plaisir qu'il lui donne en lui offrant cette exhibition et ces multiples caresses.

Puis, de sa main gauche, elle vient serrer le sexe de son mari, qu'elle se met à branler très lentement. Elle le fait pour le remercier. Elle va continuer ses caresses sur la petite bite jusqu'à la fin de son propre plaisir avec les voyeurs. Elle fera tout pour faire tenir son mari jusqu'au bout, jusqu'à sa propre jouissance, pour lui montrer qu'ils sont un couple uni dans le plaisir.

Inès sent bien que les caresses des voyeurs sont moins fréquentes. Des mains se sont retirées pour venir branler des sexes qui n'en peuvent plus. Inès a tourné son visage vers la vitre ouverte pour ne regarder que ces membres qui sont tous durs pour elle. La dernière main qui la caressait vient de prendre la sienne et de la guider vers sa chatte. Elle sait bien ce qu'ils ont envie de voir, alors elle fouille son vagin de deux doigts.

Trois hommes sont plaqués contre la portière, si bien serrés que trois sexes sont posés sur le bord de la fenêtre. Ils sont si poussés en avant que même les testicules reposent sur le bord interne de la portière. Inès accélère les mouvements de ses doigts en elle et voit bien que les voyeurs se branlent alors plus rapidement. Inès remarque que deux des sexes sont particulièrement impressionnants : l'une est deux fois plus long que celui de son mari et l'autre deux fois plus épais. Une fois de plus, elle se demande si le sexe de son mari n'est pas au-dessous de la moyenne, mais elle n'y pense bientôt plus tant elle est attentive à la suite à venir. Elle voit bien qu'ils sont tous les trois proches de la jouissance et qu'ils ne font pas mine de se reculer. Ils vont éjaculer sur elle, c'est certain, et cette pensée fait trembler tout son corps.

Tout à coup, des jets de sperme quasi simultanés atterrissent sur sa poitrine, sur son ventre et en haut de ses cuisses. Inès se met à jouir fortement avec des cris de plaisir, alors que le sperme de son mari englue sa main gauche. Les trois voyeurs sont alors repoussés par ceux qui attendaient leur tour. Ces derniers, très excités par ce qu'ils viennent de voir, atteignent presque instantanément la jouissance et des giclées se rajoutent aux précédentes. Cela se répète plusieurs fois, les hommes se succédant, jusqu'à ce que le corps d'Inès soit recouvert de traînées blanches. Cette vue de son corps si souillé conduit Inès à un nouvel orgasme.

Alors que tous les voyeurs sont partis, Inès récupère lentement. Elle ouvre sa portière car elle a l'intention de se lever pour faire couler au sol tout ce sperme qui la recouvre, mais elle n'en a pas la force tant ses deux orgasmes l'ont épuisée. Elle va attendre encore un moment.

Le départ des voyeurs, avec leurs voitures, a réveillé un SDF qui dormait, à l'abri, dans l'entrée des toilettes du parking. Il s'approche sans bruit de la voiture dont le plafonnier est resté allumé. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'il voit une très jolie femme dont le corps est couvert de sperme ! Inès ne s'aperçoit de la présence de l'homme que lorsqu'il s'agenouille à sa droite, juste au ras de la carrosserie. Comme il empêche ainsi la fermeture de la porte, il n'est pas possible pour Alex de démarrer et partir. Celui-ci, d'ailleurs, n'avait pas l'intention de le faire, car cette nouvelle situation lui a tout de suite parue excitante, comme en témoigne son sexe qui bande de nouveau.

Inès, surprise, reste comme paralysée, ne pensant même pas à refermer sur elle la cape qui est sous elle. Sans dire un mot, elle regarde ce vieil homme dont le visage est ridé comme une pomme cuite et dont la maigreur est impressionnante. Elle voit dans le regard du SDF non seulement une excitation mais aussi une lueur de bonheur, comme celle d'un gamin qui découvre ses cadeaux au pied de l'arbre de Noël. Inès, malgré sa crainte, est heureuse de lui offrir ce moment de plaisir. Lorsque l'homme approche son visage du sien, probablement pour lui voler un baiser, Inès tourne la tête pour lui échapper, car son odeur n'est pas attirante du tout. Cependant, si elle refuse sa bouche, elle ne cherche pas à le repousser. La situation l'excite. Alors, elle reste couchée, sans bouger, les bras le long du corps, offerte.

Inès sait ce qui l'attend, ce qu'elle attend. Une grosse main caleuse et pas très propre se pose sur un sein. Inès sursaute mais se laisse faire. L'homme caresse doucement, lentement et palpe parfois légèrement. Le contact est encore adouci par le lubrifiant naturel qui recouvre la poitrine d'Inès, qui finit par dire :

« Oh, c'est bon ! Là, oui, continue ... »

L'autre main fait les mêmes mouvements sur le ventre d'Inès, qui ronronne de plaisir comme une chatte. Puis, les deux mains du SDF se posent sur la poitrine d'Inès et descendent d'un même mouvement, poussant tout le sperme plus bas, poursuivant de même sur le ventre, finissant par déposer toute la semence sur le pubis. Les mains refont ce même mouvement, cette fois de bas en haut pour faire remonter jusqu'au même endroit tout le sperme qui se trouve sur les cuisses d'Inès. Une grosse masse blanche couvre maintenant tout le pubis.

La main du SDF est évidemment engluée de sperme. Il la pose alors sur la bouche d'Inès et glisse un par un ses doigts entre les lèvres. Inès s'exécute, soumise à cet inconnu. Elle nettoie consciencieusement chacun des doigts de l'homme, comme si elle n'avait pas d'autre choix. Elle n'a jamais eu l'impression d'être aussi offerte. Son excitation lui empêche toute initiative, comme lorsqu'elle avait été surprise par son père. C'est ce souvenir qui fait que les deux mains d'Inès descendent vers sa chatte. Ses doigts se posent sur ses lèvres vulvaires et les tirent pour bien ouvrir son vagin. Son regard croise celui du SDF et elle voit qu'il a compris son attente.

L'homme pousse le sperme vers l'ouverture et l'enfourne avec ses doigts. Il continue ainsi jusqu'à ce que toute la semence ait disparu, remplissant complètement le vagin d'Inès. Elle se met alors à jouir comme une folle !

Alex éteint le plafonnier, signe que la séance est terminée et l'homme retourne vers son abri, après avoir refermé la porte de la voiture. Il aura un beau souvenir pour égayer ses nuits.

Une fois rentrés, Alex et Inès se couchent, mais celle-ci est si perturbée par cette soirée exceptionnelle qu'elle ne trouve pas le sommeil. Il semble qu'Alex soit dans la même situation, aussi ont-ils tous deux envie de revivre ces moments extraordinaires en paroles :

Alex : « J'ai beaucoup aimé cette soirée si excitante ! Tu y a pris beaucoup de plaisir, n'est-ce pas, ma chérie? »

Inès : « C'était bon, si bon ! Mais j'ai honte de ce que j'ai fait ! »

Alex : « Tu n'as rien fait, tu as laissé faire, c'est différent. »

Inès : « Je me suis tout de même montrée nue devant eux ... et caressée, en plus, comme une mauvaise fille, une fille de rien. »

Alex : « Ne dis pas ça. Tu es une femme exceptionnelle, simplement très sensuelle. Tu pourrais aller plus loin, beaucoup plus loin, crois-moi ! »

Inès : « Je ne pourrais jamais. Je me sentirais si dévalorisée. Je ne serais qu'une ... qu'une salope ! »

Alex : « Je t'aimerais encore plus comme ça. Tu serais mon adorable salope. Je voudrais te faire découvrir tous les plaisirs. Allez, laisse-toi guider. »

Inès : « J'ai déjà été très loin, ce soir. Je les ai laissé m'arroser complètement. Ils m'ont souillée de leur sperme, te rends-tu compte? »

Alex : « C'était seulement la preuve que tous t'avaient trouvée si belle et si excitante qu'ils n'avaient pu faire autrement. N'as-tu pas ressenti ton pouvoir sur eux? »

Inès : « Oui, bien sûr, mais je sentais curieusement mon pouvoir sur eux tout en me sentant dominée. »

Alex : « C'était aussi très excitant avec ce SDF ! »

Inès : « Je me suis sentie sale de le laisser faire et c'était en même temps si érotique, surtout lorsqu'il a enfourné tout ce sperme en moi. Je revivais ma première expérience avec mon père, en dix fois pire ... »

Alex : « Pire, vraiment? »

Inès : « Je le reconnais, c'était ... plutôt ... en dix fois mieux. »

Alex : « C'est ce qui t'as faite jouir. Tu n'as rien eu à regretter, n'est-ce pas? »

Inès : « Pour être honnête ... il m'a manqué un frisson ... celui du risque. J'étais juste à la fin de mon cycle et, bien que sans contraception, je ne risquais pas grand-chose. Je ne devrais vraiment pas dire ça à mon mari ! »

Alex : « Je te ferai connaître d'autres expériences excitantes en choisissant des dates plus risquées. »

Inès : « Peut-être ... mais pas trop dangereuses, tout de même ... »

C'est avec cet espoir d'une plus grande perversité qu'ils s'endorment.

Alex se voit bien en cocu volontaire. Il a l'intention de pousser sa femme vers l'adultère qu'elle a refusé jusque là. Il sent bien que, s'il arrive à faire tomber les barrières psychologiques qui la bloquent, celle-ci pourra devenir la reine des salopes qu'il espère. Il sait aussi qu'il doit exploiter ce risque de grossesse qui excite tant Inès mais qu'elle craint également. Il suit donc maintenant l'évolution du cycle de sa femme, qui a arrêté sa contraception, et il va en tenir compte dans ses projets de perversion.