Plaisirs d'Inès - 05 (Enceinte)

BÊTA PUBLIQUE

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- Inès : « Mon ventre a commencé à grossir, je ne vais plus pouvoir cacher que je suis enceinte. »

- Alex : « Et c'est un problème pour continuer tes relations sexuelles? »

- Inès : « Tu me vois trouver des amants avec le gros ventre que je vais avoir? »

- Alex : « Détrompe-toi, ma belle. Beaucoup d'hommes font une fixation sur les femmes enceintes. Il y a même des sites spécialisés sur Internet. »

- Inès : « Vraiment? Tu blagues, n'est-ce pas? »

- Alex : « Pas du tout, ma coquine. Je peux même te dire que certains hommes paient cher pour ça. »

- Inès : « Veux-tu dire que je pourrais avoir des hommes pour me satisfaire ... et me faire payer en plus?

- Alex : « Bien sûr. »

- Inès : « Ça ne te choquerait pas d'avoir une femme qui se prostitue? »

- Alex : « Si c'est pour ton plaisir et dans la discrétion, non. En aurais-tu envie? »

- Inès : « Je ne veux pas te répondre, mais, si tu veux vraiment savoir, touche-moi au bon endroit. »

- Alex : « Et bien, j'ai ma réponse. Je vais te montrer sur quel site tu peux trouver des clients. Tu devras être très discrète, conserver l'anonymat et même choisir un autre prénom, évidemment. Dans ma position, je ne voudrais pas risquer de tomber pour proxénétisme simplement parce que ça t'amuse de faire la putain. Je jetterai fréquemment un coup d'œil via les caméras pour assurer ta sécurité ... et aussi un peu pour mon plaisir de voyeur.»

- Inès : « Oh, merci ! Mais tu es tout de même un gros pervers ! »

- Alex : « C'est ce qui convient pour une salope comme toi, ma petite pute adorée. »

Dès le lendemain, Inès s'inscrit sur un site Internet spécialisé dans toutes sortes de perversions. Elle choisit 'enceinte&perverse' comme pseudonyme et n'affecte son profil qu'à la catégorie 'femmes enceintes', car c'est déjà assez dangereux comme ça. Elle y joint des photos nues assez explicites sans que son visage soit visible. Elle demande à ses correspondants des photos de leur sexe en érection. Ce n'est pas seulement pour s'exciter en les regardant mais pour s'assurer qu'ils sont de taille moyenne, car, dans son état, il sera plus prudent d'éviter les énormes sexes.

Après les nuits où des hommes l'ont prise à plusieurs ou se sont suivis en grand nombre, Inès choisit maintenant de n'accueillir qu'un seul homme chaque soir, mais pour toute la nuit. Elle espère ainsi une relation plus sensuelle et érotique qu'expéditive. Son mari lui a conseillé de demander 500€ pour une nuit complète, ce qui lui a paru déraisonnable, mais elle est surprise, dès son premier échange à ce sujet, que son premier client soit prêt à payer cela sans discuter.

L'homme a bien trente ans de plus qu'elle et n'est pas très beau. Inès, prenant son rôle de prostituée au sérieux, se dit qu'elle n'a pas le choix. Son client déshabille Inès qui, cette fois, a mis des sous-vêtements. L'homme paraît prendre un plaisir particulier à faire glisser sa culotte sur son ventre déjà un peu rebondi. Puis, alors qu'Inès vient de se coucher sur le dos sur le lit, offerte, il se met à caresser ce ventre avec beaucoup de douceur avant d'y poser ses lèvres et de le couvrir de petits baisers. Cela dure un bon moment avant que sa bouche ne descende jusqu'entre les cuisses. Il suce alors les lèvres et aspire le clitoris, toujours tout en douceur. Inès, heureuse de cette attitude si flatteuse, sent sa chatte se mouiller abondamment, ce qui semble exciter encore plus son client. La bouche remonte vers ses seins, dont l'homme suce les pointes comme si son envie était d'en aspirer un lait qu'Inès ne produit évidemment pas pour l'instant, mais l'imaginaire de son client est pour elle un fort excitant.

Lorsque la bouche de l'homme vient se poser sur la joue d'Inès, tout près de sa bouche, celle-ci fait une exception à sa simulation de prostituée, tournant elle-même la tête vers lui pour offrir ses lèvres. Elle craignait un peu l'odeur de cette bouche inconnue, mais elle se rassure en ne sentant sur sa langue que le goût de sa chatte. Alors, elle répond au baiser. C'est pour elle comme une récompense à toute la douceur dont l'homme l'a entourée. Son client vient ensuite se placer à genoux à côté d'elle et fait glisser son sexe sur un sein, le gland venant déposer un peu de liquide pré-séminal sur le téton.

Puis, l'homme l'attrape par les pieds, la fait doucement glisser jusqu'au bord du lit et lui relève les jambes. Il pousse son sexe tendu dans le vagin d'Inès, qui apprécie que cette position évite toute pression sur son ventre. Cela la rassure. Alors, elle fait des mouvements du bassin pour accompagner le coït. Elle se surprend à y mettre plus de force et de rapidité, comme si elle voulait indiquer à son client qu'elle a envie qu'il la besogne vraiment, malgré son état. L'homme entre alors dans son jeu : il amplifie et accélère ses mouvements. Inès se dit qu'elle peut encore faire ça en ce moment et elle en profite bien parce que cela ne lui sera plus possible bien longtemps. Lorsque le gland se plaque au fond d'elle, Inès sait que la jouissance est proche, pour elle comme pour lui. Au moment de l'éjaculation, son corps vibre d'excitation et un orgasme l'envahit. C'est plus cérébral que physique, la pensée de ce qu'elle vient d'oser faire dans son état lui faisant dépasser une simple excitation.

Épuisé par une première heure si forte en sensations, l'homme se couche à côté d'Inès, qui se place alors tête-bêche pour prendre en bouche le sexe du vieil homme et le nettoyer. Le membre a débandé et s'est bien rétréci, mais Inès prend plaisir a sentir cette petite chose toute molle sur sa langue. Elle ne suce plus mais se contente de garder en bouche cette bite qui ne durcit pas. Son client, bien fatigué, vient de s'endormir. Inès garde la position et, après quelques minutes de calme, finit par faire de même.

Dans la nuit Inès est réveillée par une curieuse sensation en bouche : le sexe qui repose sur sa langue commence à grossir et durcir. Alors Inès reprend la fellation que leur sommeil avait interrompue. Bien réveillé et bien revigoré par un tel traitement, son client reprend le contrôle de la situation en faisant placer Inès à genoux sur le lit. Celle-ci se cambre bien, attendant la pénétration en levrette qu'elle imagine à venir, mais elle est vite surprise de sentir le sexe se placer entre ses fesses et presser sur son anus. Lorsque le sphincter laisse passer le gland, Inès pousse un petit cri de plaisir avant de pousser en arrière, ce qui permet l'intrusion de ce sexe au plus profond de son fondement. Elle prend plaisir à sentir sur ses fesses le contact des couilles de son client.

L'homme fait quelques mouvements lents puis s'arrête, planté profondément en elle. Inès sait qu'il profite de sa chaleur et qu'il est heureux de la posséder de cette façon. Alors, une idée lui vient : c'est elle qui va le faire jouir. Inès glisse deux doigts dans son vagin le plus profondément possible et, à travers la fine peau qui sépare ses deux conduits, elle caresse le sexe. Le frottement régulier du bout des doigts sur le sexe de l'homme suffit à l'amener à la jouissance. Au moment de l'éjaculation de son client, Inès ne se sent plus la putain qu'il vient de payer pour la soumettre, mais la femme dominante qui a tout pouvoir sur son partenaire, car ses deux petits doigts ont eu raison de lui.

A l'aube, après le départ de son client, Inès rentre chez elle et vient se coucher, nue, à côté de son mari qu'elle réveille. Elle n'a pas fait la moindre toilette intime. Elle veut que son mari cocu la découvre comme la vraie putain qu'elle est devenue. Alors que la petite bite de son mari durcit sous sa main, elle l'entend dire :

« Je t'ai regardée jusqu'à ce que tu t'endormes dans les bras de ton premier client. Tu as été une merveilleuse putain pour cette première fois. C'était très excitant et j'espère que tu vas continuer. »

Inès se rend compte que son mari n'a pas vu sa sodomie et est heureuse de pouvoir lui en faire la surprise. Son mari lui écarte largement les cuisses et étire les lèvres intimes avec ses deux mains, ouvrant ainsi un vagin plein de sperme.

« Tu ne t'es même pas lavée comme l'aurait fait une prostituée ! », lui dit Alex.

« Parce que je suis une femme qui pense à donner du plaisir à son mari cocu », répond Inès.

Alors, Alex, suce les lèvres, fouille le vagin de ses doigts et aspire tout le sperme, dont il se délecte. Le corps d'Inès vibre de plaisir tant elle se sent proche de la jouissance. Elle finit par dire :

« Tu fais un bon travail de mari cou, mon chéri », avant d'ajouter :

« Mais tu n'as pas fini. Il en reste encore ... »

Sans attendre la question qui ne pourrait qu'arriver maintenant, Inès place ses mains sous ses genoux et tire ses jambes vers elle, jusqu'à presque toucher ses épaules, exposant ainsi un petit trou blanchi de sperme.

« Oh, la salope ! », laisse échapper Alex, ponctuant sa phrase en posant sa bouche sur l'anus de sa femme.

Alors, en bon mari cocu, du bout de sa langue, il commence à sucer l'endroit. Un léger filet blanc s'y dépose lentement, mais ce n'est pas ce qu'espérait Inès, qui fait alors coucher son mari sur le dos. C'est au-dessus de lui qu'elle s'accroupit jusqu'à sentir une bouche ouverte se placer au bon endroit. Lorsqu'elle sent son fondement y expulser tout le foutre qu'il contient, Inès part dans un orgasme qui la secoue complètement, alors qu'elle voit gicler en l'air le sperme de son mari. La petite bite du cocu vient d'en mettre partout, tachant les draps.

Dans les mois qui suivent, Inès enchaîne les soirées voire les nuits complètes de prostitution. Alex prend plaisir à la regarder grâce à ses caméras discrètes, allant souvent jusqu'à la jouissance pendant sa masturbation de mari voyeur. Au retour de sa femme, il s'acquitte, à chaque fois, de sa tâche de cocu nettoyeur. Inès a placé sur la commode de leur chambre un gros globe de verre dans lequel elle dépose ses gains. Montrer ainsi à son mari une foison de billets l'excite, elle qui a toujours été entretenue par lui. Elle ressent une sorte de pouvoir inconnu jusqu'ici.

Au début du huitième mois de grossesse, Inès choisit prudemment de ne plus accepter que la sodomie. Ses clients ne sont pas frustrés par cette restriction, car ils apprécient tous ce ventre qu'ils ont imaginé si gros dans leurs fantasmes. Certains la prennent en lui relevant très haut les jambes pour garder la vue de ce joli 'ballon'. D'autres la font placer à genou sur le lit pour la sodomiser tout en passant les bras sous elle pour caresser ce ventre qui les excite tant. La pénétration est souvent faite en douceur mais parfois avec une force et une rapidité à la limite du supportable. Ils en veulent pour leur argent, Inès ayant maintenant doublé ses tarifs. Plus sa délivrance paraît proche, plus la libido d'Inès devient incontrôlable. Elle finit pas prendre trois clients à la suite dans la soirée puis la nuit. Son mari, qui s'acquitte de sa tâche de nettoyage tous les matins, n'a jamais eu une telle quantité à avaler, mais il s'en réjouit car cela suffit à faire éjaculer sa petite bite, que sa femme ne touche même plus.

Vers la fin du neuvième mois, Inès pense plus raisonnable d'arrêter ses relations sexuelles. Après trois jours d'abstinence, sa frustration est insupportable, aussi Inès revient-elle consulter le site spécialisé. Elle finit par trouver ce qu'elle cherche, un homme doté d'un sexe très court mais de très gros diamètre. Rendez-vous est pris pour le soir même.

Inès a laissé la porte du studio ouverte. Dès son arrivée, ce nouveau client est surpris de voir Inès allongée sur le dos, cuisses largement écartées, offerte. Il est surtout surpris de voir ce ventre énorme qui l'excite tant. Jamais il n'aurait pensé pouvoir prendre une femme dans une grossesse si avancée. Il ne regrette pas les 1000€ qu'il vient de déposer à côté d'elle. L'homme se déshabille puis se place entre les jambes d'Inès. Il flatte longuement ce gros ventre, mais Inès prend alors l'initiative, venant placer le gros gland sur ses lèvres vaginales ouvertes, car ce n'est plus la sodomie qu'elle veut pour cette dernière fois.

L'homme pousse en avant. Inès laisse échapper un râle de plaisir lorsque que le gros sexe lui dilate fortement le vagin. L'homme pistonne avec vigueur et rapidité. La chatte d'Inès est si dégoulinante que le coït se fait facilement, sans douleur. Inès, rassurée de sentir que le gros gland ne pourra pas la toucher au fond, vient à la rencontre de ce gros sexe. L'homme est endurant. Ses mouvements paraissent sans fin. Inès sent les gouttes de sueur de son partenaire tomber sur sa poitrine.

Dans un fort mouvement en avant, l'homme sent un abondant liquide inonder son gland et couler autour de son sexe. Inès vient de perdre les eaux. Instinctivement, l'homme se retire. Il est si excité d'avoir pu prendre une femme enceinte à cette dernière extrémité, dépassant ainsi ses fantasmes les plus fous, qu'il éjacule sur le gros ventre sans même se toucher.

Comme si ce qu'il venait de faire était inqualifiable, l'homme se rhabille très vite et part comme un voleur, sans même dire un mot à Inès. Celle-ci téléphone à son mari pour le prévenir et, après une toilette rapide, il l'emmène tout de suite à la clinique.

L'accouchement se passe bien devant Alex, qui a tenu à assister, tenant la main de son épouse pendant toute la durée. Il veut surmonter sa crainte d'une humiliation publique. C'est une fille et, heureusement, sa couleur de peau ne contredit pas la possible 'paternité' d'Alex.

Après les instants de joie partagée de la naissance, les 'parents' se retrouvent seuls dans la chambre lorsque le bébé est emmené par une infirmière pour les premiers soins et examens. C'est un parfait moment d'échange pour eux :

- Alex : « Alors ... heureuse? »

- Inès : « Évidemment ! ... Je me demandais si tu aimerais que nous ayons une grande famille. »

- Alex : « Bien sûr, mais c'est trop tôt pour y penser. Il te faut un temps de repos, n'est-ce pas? »

- Inès : « Oui, c'est certain. Il me semble que l'idéal serait deux ans entre deux enfants. »

- Alex : « On fera attention d'ici là, puis j'aurai plaisir à t'engrosser, ma chérie. »

- Inès : « Qui te parles de ça? N'oublie pas que tu es un cocu, gentil, mais cocu tout de même ! »

- Alex : « Oh ! Tu veux dire ...? »

- Inès : « Que, pour mon anniversaire, dans deux ans, tu pourrais encore m'organiser la même fête ... »

- Alex : « Pour que tu te fasses encore engrosser par un inconnu? »

- Inès : « On peut dire ça ... comme cette fois-ci ... mais ... »

- Alex : « Que veut dire ce 'mais', ma chérie? »

- Inès : « Et bien, j'aimerais que, cette prochaine fois, mon cocu adoré, tu ne sélectionnes pour moi que ... des Africains. »

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