Plein la Vue!

Parents et amis bourdonnaient dans la maison. Todd me regarda malicieusement.

« Sais-tu jouer aux échecs? »

« Non, je n’y ai jamais joué. »

Todd et moi clavardions depuis presque un an, apprenant à se connaître. Il y a trois jours, j’avais fait le saut et traversé le pays pour venir le rencontrer; je n’avais jamais eu d’amoureux sérieux auparavant mais j’avais l’impression qu’il était temps de porter cette relation en ligne à un autre niveau. L’estomac me serrait en rencontrant le garçon avec lequel j’avais si longtemps échangé. Il était tel que je l’avais imaginé : grand et bien fait. Nous étions maintenant chez ses parents, chez qui il habitait, à parler à des gens que je ne connaissais pas.

« Viens au sous-sol, je vais te montrer… »

Il m’entraîna par le bras et m’amena à la cave, sombre et humide, loin des yeux inquisiteurs et des mains baladeuses.

« Personne ne nous dérangera ici », me dit-il en me tirant une chaise.

Je m’assis, en le regardant avec de grands yeux…

« Tu vas me montrer à jouer aux échecs? », demandai-je innocemment.

Il sourit et d’un geste de la tête m’indiqua que non. J’étais confuse : il me semblait bien qu’il m’avait dit que nous venions au sous-sol pour qu’il me montre à jouer…

Soudainement, il baissa sa fermeture-éclair et laissa tomber son pantalon et ses caleçons; surprise, je contemplai pour la première fois : un pénis!

Il était gigantesque; je ne pouvais croire combien il était gros! Maintenant, je sais qu’il n’était pas si gros, mais comme il paraissait énorme à mes yeux virginaux!

« Suces-moi » me demanda-t-il.

Je le regardai dans les yeux, ne sachant que répondre. Assurément, je ne voulais pas mettre son pénis dans ma bouche, mais je craignais de le perdre si je faisais pas ce qu’il me demandait de faire.

Timidement, j’approchai ma bouche de son pénis jusqu’à ce que sa bouche touche à son gland; je le pris dans ma bouche, en aspirant très fort; il gémit, non de plaisir mais de douleur; je ne savais pas encore qu’il ne fallait pas sucer trop puissamment.

« Non, non, suces doucement »

« Je ne l’ai jamais fait. Qu’est-ce que je dois faire? » - lui demandai-je, tout en regardant son pénis qui semblait très excité.

« Ne t’en fais pas. » Il pris son pénis en main et commença à se masturber, en agitant sa main rapidement.

Ahurie, je regardai son pénis grossir encore un peu, son méat s’ouvrant comme une petite bouche. Todd gémit, grogna et approcha son pénis de mon visage.

« Avaleras-tu? »

Il avait mentionné, lors de nos séances de clavardage qu’il souhaitait que j’avale, chose qui m’effrayait terriblement. Il approcha son pénis de ma bouche, que je gardai obstinément close. Il frotta son pénis autour mes joues, étendant sa pré-semence sur mes lèvres.

Soudain, il grogna, son corps se tétanisa et de son pénis sortit un jet de sperme qui inonda mon visage. Je sursautai et me reculai, mais pas avant qu’un second jet m’atteigne directement dans l’œil.

Je hurlai de douleur et fermai mes yeux pendant qu’il finissait d’éjaculer sur mes vêtements.

Une fois sa passion assouvie, il me caressa le dos gentiment.

« Ça va chérie? »

Je gémis et secouai la tête, n’osant ouvrir la bouche. Mon œil me démangeait comme si on avait versé du savon.

« En as-tu eu dans l’œil? »

J’acquiesçai en me tenant le visage, un peu dégoûtée de sentir le liquide visqueux se répandre sur mon visage.

« Il me semble qu’il y ait un lavabo près d’ici » me dit Todd en me tirant de la chaise pour m’y amener. Nous le trouvâmes bientôt, mais il n’était pas relié à la tuyauterie de la maison.

« Merde! » hurla-t-il. « Attends! Voici une débarbouillette! »

Je pris la débarbouillette qu’il me tendait et m’essuyai frénétiquement le visage, me servant d’un coin pour m’éponger l’œil. La douleur causée par le sperme disparut, pour être remplacée par une plus poignante encore.

« Quelle est cette odeur? » demandai-je. Mon œil pleurait abondamment et me faisait horriblement.

« Ammoniaque » répondit Todd en sentant la débarbouillette. « Ma mère a dû s’en servir pour nettoyer des vitres »

Je gémis de nouveau, mon œil me faisant de plus en plus mal.

« Nous devrions aller à la salle de bains en haut » dit Todd.

Je n’étais pas très chaude à l’idée de m’exhiber devant la famille et les amis de Todd avec un chandail couvert de sperme et un œil irrité. Todd me conduisis tant bien que mal dans l’escalier, puis à travers un groupe de personne jusqu’à la salle de bain adjacente à la cuisine. Avec son aide et beaucoup d’eau, je réussis à rendre la douleur supportable. Je me regardai dans le miroir : mon œil était boursouflé comme si on m’avait frappé.

Après avoir essuyé mon chandail du mieux que je le pouvais, nous rejoignîmes les invités.

« Est-ce que ça va » me demanda la mère de Todd, d’un ton inquiet. Elle mit la main sous mon menton pour me regarder l’œil de plus près, pendant que Todd s’esquivait pour aller rejoindre ses copains.

« T’as-t-il frappé? » demanda-t-elle

« Non, mais pourrai-je avoir de la glace, s’il vous plaît? »