Qui suis-je vraiment? 05

BÊTA PUBLIQUE

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C'est alors que Nietzsche me fît comprendre que je devais me lever et clairement passer mes mains sous ma robe pour prendre mon string et le descendre au niveau de mes pieds.

Je m'exécutais, et bien que la table fût isolée, il me semblait que deux clients de l'autre côté de la salle avaient compris ce qui se tramait ici.

Quant au garçon, il se délecta du spectacle, en arrivant le plus lentement possible les yeux néanmoins rivés sur moi.

Je me rasseyais n'osant croiser son regard.

- Serveur : Souhaitez-vous passer commande.

- Nietzsche : Oui, mais tout d'abord Laurence donne ce que tu as dans la main à Monsieur. Tu sembles aussi avoir chaud, tu devrais déboutonner le haut de ta robe

Je m'exécutais sans dire un mot. Mes seins étaient désormais visibles de profil dans leur intégralité.

- Serveur : Votre femme est délicieuse, on en mangerait.

- Nietzsche : Ma salope de femme. Vous savez sous ses apparences farouches, elle aime cela. Et je vais vous le prouver.

Qu'allait-il me faire faire? J'appréhendais ce qui allait suivre mais ne me braquais pas, acceptant mon sort, la tête toujours baissée de peur de croiser le regard du serveur. En fait la confusion de mes sentiments, entre sensation d'avilissement et délectation sexuelle, étaient de plus en plus fortes.

- Serveur : Ce serait avec joie.

- Nietzsche : Y aurait-il un habitué de votre restaurant, si possible pas attirant physiquement et un peu pervers, présent ce soir?

- Laissez-moi regarder...... oui je crois que j'ai cela en stock. Les serveuses s'en plaignent car il laisse souvent traîner ses mains et on ne peut pas dire que ce soit George Clooney.

- Bien, une fois que vous nous aurez apporté votre entrée du jour servie d'un petit Côtes du Rhône, vous nous le montrerez.

- Bien Monsieur.

Je redoutais ce qu'on allait m'obliger à faire. L'entrée fût servie rapidement, et alors que je commençais à avaler le premier morceau, Nietzsche poursuivît sa discussion avec le garçon.

- Nietzsche : Montrez-moi alors cette personne.

- Serveur : Vous voyez l'homme un peu gros trois tables sur votre droite. C'est lui.

- Nietzsche : Bien, à première vue il me paraît être exactement ce que je recherche. Laurence, tu vas laisser ta place au serveur et tu vas aller t'enquérir auprès du client là-bas de savoir si tout va bien et s'il veut le dessert du jour. En même temps que tu diras cela je veux que tu te penches pour lui exposer tes nichons et que tu écartes les jambes afin de lui faire apprécier tes goûts en termes de dessous. Tu as compris?

- Moi : Oui j'ai compris.

- Nietzsche : J'allais oublier, tu lui indiqueras que le cadeau est offert par moi et tu lui indiqueras ma présence. S'il venait à te caresser voire plus, je t'interdis de bouger jusqu'à ce que je te fasse un signe te demandant de revenir à cette table. Est-ce clair?

- Moi : Oui c'est très clair.

- Nietzsche : Qu'en pensez-vous Monsieur. On peut dire que ma femme est vraiment une belle cochonne!

- Serveur : A priori on ne peut pas dire autre chose. Quelle chance vous avez?

- Nietzsche : Trèves de bavardage, asseyez-vous à sa place car Laurence a du pain sur la planche.

Je me levais donc et me dirigeais vers l'homme. Il n'était pas beau effectivement et son visage laissait transparaître un caractère vicieux. Surpris de prime abord par ma présence, il se pencha en arrière sur ça chaise afin de me contempler. Comme demandé, je me renseignai sur la satisfaction du client vis-à-vis des plats servis. J'en profitais pour me pencher selon le scénario prévu, la réaction fût prévisible puisque cette personne bien en chaire fixa mes nichons avec avidité puis remonta son regard sur mon visage. J'étais vraiment mal à l'aise et pour éviter sa condamnation sans appel de son attitude, je détournais ma vue de ses yeux noirs.

Bafouillant, je lui proposais de prendre un dessert. Sans attendre que je procède à la deuxième étape en ouvrant clairement mes jambes, sa main se colla à mon genou puis remonta prestement le long de ma cuisse. Sans aucune hésitation, il repoussa les pans de ma robe pour dévoiler mon entrejambe, sans se soucier de l'entourage ou du « quand dira-t-on ».

Docile à souhait je récitais alors les paroles de mon maître indiquant que le dessert du jour était offert par lui. Ces propos interrompirent quelques secondes ce gros vicieux pour dévisager Nietzsche, mais il reprit sa fouille en forçant mon vagin d'un puis trois doigts sans aucun ménagement. S'en suivit une masturbation vigoureuse, produisant des « flocs » suggestifs de ma dépravation sexuelle. Je fermais les yeux pour ne me concentrer et ne pas exploser en public. Mais heureusement la masturbation cessa, c'est alors que je rouvris les yeux pour voir mon tortionnaire sourire largement. Ce que je compris que quelques secondes plus tard c'est qu'il souriait non pas pour ce qu'il venait de faire mais pour ce qu'il avait l'intention d'accomplir.

En effet, il prît sa serviette l'enroula pour en faire un bâton et la remonta le long de mes cuisses dévêtues. Toujours immobile, il m'écarta les lèvres de mon sexe et enfila le tissu. La pénétration, de par mon état d'excitation, fût plutôt aisée malgré le pouvoir absorbant du textile, il ne pût toutefois enfoncer la totalité de l'objet. Aussi se mît-il à boucher les derniers espaces de mon vagin en jouant avec son majeur puis son index afin que le torchon épouse parfaitement la cavité de mon sexe. Avec ce traitement je laissai échapper un petit gémissement.

C'est alors que Nietzsche, me fît le signe de revenir. Soulagée et délivrée, le pervers m'empêcha de partir en m'agrippant le haut de la robe, et me força à me pencher. Mon visage à quelques centimètres de ses lèvres, il invectiva que je n'étais qu'une grosse cochonne.

Immédiatement, il sortit ses doigts visqueux de mon vagin, pour venir caresser mon visage, me susurrant à l'oreille de ne pas effacer ces preuves de mon excitation pour aller rejoindre ma place.

La chatte encombrée par la serviette, le visage barbouillé de ma mouille, je revenais vaincue à ma place. Mes deux admirateurs étaient ravis et me regardèrent avec une certaine condescendance. Alors que j'allais m'asseoir, le serveur se leva pour poursuivre son travail. Le repas se poursuivît plus calmement et je pus manger mon plat ainsi que mon dessert, tout en répondant aux questions très indiscrètes de Nietzsche sur mon enfance.

Les cafés et l'addition commandés, il disparût aux toilettes. Je m'aperçus à ce moment qu'il était tard et le restaurant était dorénavant vide.

Je tournais par conséquent le regard du côté de la table du pervers mais il n'était plus là, ce qui me soulagea fortement. Je fis un demi-tour avec ma tête pour voir arriver mon homme. Il m'ordonna d'aller me nettoyer le visage et de faire mes besoins car nous devions sortir. Il rajouta que je devais agrémenter mes seins de deux pincettes.

Je me pressai donc pour faire le nécessaire. La pression des pincettes sur mes tétons procura une vive douleur mais elle s'estompa rapidement. Apprêtée mais toujours avec la serviette dans le vagin, je revins à la table. Et là j'eus un choc. J'avais droit à trois hommes enjoués, assis me dévisageant.

Sur le point de m'asseoir le serveur m'arrêta d'un geste de la main et sans un mot défit les deux derniers remparts retenant les pans de ma robe. D'un geste bref, il les ouvrît alors pour faire admirer mes seins ainsi que ma chatte toute lisse.

Faisant glisser son doigt jusqu'à l'entrée de mon vagin , il agrippa le mince bout de tissu qui dépassait et tira lentement pour faire ressortir la serviette de mon intimité. Les frottements et la surprise m'obligèrent à m'appuyer sur le rebord de la table puis à respirer fortement pour ne pas crier.

Mes tortionnaires s'esclaffèrent de me voir prendre ma passivité malgré la honte qui s'exprimait sur mon visage.

Mais ils n'en n'avaient pas finis avec moi. Le serveur exhiba le linge pour ensuite le montrer aux deux autres acolytes.

- Serveur : Je n'ai jamais vu une serviette aussi sale.

- Nietzsche : Tu as trempé toute la serviette. Tu es une sacrée chienne Laurence.

- Homme pervers : C'est vrai que je n'en n'ai jamais vue une comme cela.

Après avoir inspecté l'état du tissu qui encombrait ma cavité, ils me le collèrent sous mes yeux pour me pousser à admettre et dire à haute voix que j'aimais être rabaissée et palpée ainsi.

Nietzsche m'intima ensuite l'ordre de m'asseoir pour boire un digestif. Mais au lieu d'être servi par le maître d'hôtel, c'est « Fabrice », alias l'homme au regard et mains perverses, qui me servît.

Je n'avais pas eu le droit de choisir entre armagnac ou cognac, en fait le verre était à moitié plein de liquide blanchâtre.

- Nietzsche : Tu en fais une tête Laurence? Tu n'apprécies pas le digestif qu'on te propose.

- Moi : Mais ce n'est pas un alcool???

- Nietzsche : Non??? Et c'est quoi alors?

- Moi : C'est du sperme!!!

- Nietzsche : Et ta bouche adore çà. Quand j'ai éjaculé tout à l'heure tu n'as pas fait de simagrées pour avaler ma semence alors tu vas me faire plaisir de boire maintenant ... Tiens, pour la peine d'avoir hésitée, tu vas nous dire que tu es un sac à bite, et que tu rêves de te faire défoncer par tous les trous.

Malgré mon regard implorant, Nietzsche ne céda pas et me tendit le verre. Vaincue je me mis à répêter ses mots!

- Moi : Messieurs, je suis un sac à bite, et j'ai envie que vous me défonciez par tous les trous.

- Nietzsche : C'est bien ma petite soumise. Bon on s'est tous branlé pour que tu puisses te délecter de cette liqueur. Allez, bois maintenant.

- Homme pervers : Et tu as intérêt à finir tout le verre car c'est précieux ... ... ah ah ah!!!

Désappointée, je pris le verre et d'un trait avalai la mixture visqueuse. Je me surpris même à secouer le verre pour faire tomber les dernières gouttes dans mon gosier.

Heureux de voir son plan se dérouler à merveille sans aucun refus de ma part, Nietzsche proposa à nos hôtes de poursuivre mon éducation le lendemain soir dans un lieu insolite qui ne me fût dévoilé qu'au dernier instant.

Epuisée je quittais le restaurant accompagnée par Nietzche qui m'accorda l'honneur de reboutonner le premier et dernier bouton de ma robe. Inutile de dire que s'était plus provocateur qu'autre chose, mais j'eus la chance d'être raccompagnée en voiture par Nietzche, ce qui m'évita une longue et humiliante exhibition.

Le retour fût calme et Nietzsche n'en profita pas pour poursuivre son emprise sur moi. Il me conseilla de bien me reposer, puis, après m'avoir autorisée à être plus descente pour rentrer chez moi, me déposa au bas de mon immeuble.

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