René et ses Proies 06

Informations sur Récit
Devenir Pippa, c'est quelque chose!
9k mots
4.78
5.4k
1

Partie 6 de la série de 8 pièces

Actualisé 02/13/2024
Créé 08/25/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

où Kevin qui se transforme peu à peu en Pippa sous les ordres de Monsieur René va découvrir une nouvelle vie beaucoup plus tumultueuse et prometteuse!

******************

.... La culotte lui allait effectivement parfaitement. Si ce n'était son sexe dressé, dont le gland sortait un peu vers le haut, frottant et s'insinuant sous l'élastique de maintien, ce qui fit bien rire Anna et Martha.

Ce « détail » mis à part, on aurait eu l'impression qu'il ne la portait pas pour la première fois tant elle était parfaitement ajustée!

La nuisette noire tissée dans une soie plus que transparente venait évidemment d'un rayon de lingerie sexy et le tout donnait une impression de quasi nudité provocante qui ne masquait rien et révélait tout.

Des broderies laissaient ses épaules nues avec deux petites lanières si fines pour attaches que n'importe qui aurait douté de leurs résistances. Elles semblaient être fabriquées pour être arrachées!

Aussi légèrement habillé, il n'était étrangement pas ridicule, mais plutôt désirable et presque sexy. Quelque chose d'étrange émergeait de son corps et appelait à la possession et à la soumission sexuelle. Ni Martha, ni Anna ne dirent rien de leur étonnement à ce constat même si elles en étaient soudainement frappées d'un désir presque violent de se jeter sur lui. Les ordres de René étaient clairs, elles devaient absolument se contenir.

L'important n'était pas le look de Kevin, mais le fait qu'il accepte de porter ces vêtements sans rechigner, presque naturellement et aille chercher la livraison sans moufter. Un certain Boubacar, dont elles connaissait très bien les attributs hors normes, l'attendait déjà avec impatience.

Martha regarda son élève en souriant, presque gentiment et lui ordonna :

- Ben alors Pippa, tu attends quoi? Que le livreur reparte? on a faim! Allez file sinon je vais m'énerver!

Kevin comprit le message et sortit de la pièce en courant, à deux doigts de se vautrer, pieds nus glissant sur le sol, se précipitant dans le couloir comme si sa vie (ou plus surement la blancheur de la peau de ses fesses) en dépendait.

Une petite dizaine de secondes plus tard, complètement essoufflé, Kevin ouvrit la porte arrière en y mettant inconsciemment une certaine douceur ainsi qu'une délicatesse toute féminine, avançant son torse comme s'il voulait exhiber sa poitrine et se cambrant pour que ses fesses soient bien rebondies.

Il découvrit enfin le gabarit du livreur qui l'attendait.

L'homme était un grand mec au corps d'athlète et à la peau noire comme la nuit, sans doute un peu plus âgé de quelques années que lui. Il le dépassait d'une tête et demie au moins, ce qui l'amenait vers un bon mètre quatre-vingt-dix.

Il était remarquablement bâti, une musculature longiligne et souple laissant deviner une mise en action faite de mouvements assurés et rapides. Il patientait nonchalamment à côté d'un gros sac posé au sol. Les repas à réceptionner assurément se dit Kevin.

Le livreur semblait hypnotisé par son mobile comme si le monde réel n'existait pas quand la porte s'ouvrit, faisant mine d'être sérieusement occupé et de ne pas voir « sa cliente », il lui déclara presque robotiquement, le visage collé à son smartphone :

- B'jour! Livraison de trois repas. Commande de "Monsieur René", c'est bien pour vous? Faut signer et me valider la réception.

Le livreur venait de lui mettre l'écran autoritairement sous le nez, machinalement. Sachant qu'il devait faire un semblant de signature pour confirmer la vente et la réception, Kevin allait s'exécuter sans réfléchir, un peu déçu finalement que le livreur ne s'intéresse pas à lui et ne prête aucune attention à sa tenue pour le moins déshabillée et provocante.

Malheureusement (ou heureusement) pour Kevin, l'homme déplia son cou, se redressa et baissa les yeux vers sa supposée cliente, s'intéressant enfin à sa proie du jour.

Une envie féroce de rire tenaillait le prénommé Boubacar. Sacré René, va! Sa capacité à manipuler les personnes qu'il croisait, l'épatait toujours. Où était-il aller trouver cette petite? Ce corps ainsi offert et le regard de biche prête à subir les pires outrages qu'elle lui offrait le mettait déjà en condition de vouloir la séduire et la dominer.

Kevin avançait sa main vers l'écran, mais le livreur le coupa dans son mouvement :

- Oh là, c'est pas tout ça! Faut payer avant de déguster. Y-en a pour soixante euros de casse-dalle ma belle!

- Mais... Mais je n'ai pas un Euro sur moi avoua Kevin complètement pris au dépourvu, s'apprêtant à repartir illico demander de quoi payer à Anna et Martha.

Le livreur l'arrêta dans son demi-tour en lui saisissant rudement le bras.

- Tu comptes aller où comme ça? Tu crois que j'ai la journée à passer avec une salope à poil qui commande des repas sans tune pour les payer!? Tu penses que je me marre là? Putain de bourges, vous nous faites marner comme des esclaves et en plus vous vous foutez de notre gueule. Tu sais que je vais te défoncer ta petite tronche, moi si tu ne raques pas la douloureuse fissa!

Tout à sa colère, le livreur venait de pousser Kevin assez brusquement dans le couloir en le tenant très fermement de ses mains.

Boubacar jouait son rôle d'outragé à la perfection. Il s'amusait beaucoup, connaissant la prime qu'il pouvait en plus empocher si tout se passait comme sur des roulettes, sans parler des avantages en nature qui ne devraient pas tarder. Il était enchanté par cette scène et persuadé qu'il l'interprétait parfaitement!

- Monsieur! Monsieur! criait Kevin, je suis désolé, je ne savais pas... Je vais aller...

La petite chose entre les bras de Boubacar bredouillait, perdue, affolée, essayant de se dégager sans résultat concret. Kevin pressentait en plus qu'il allait se faire taper salement par ce mec qui était très énervé. Il fallait absolument qu'il trouve une solution pour sortir de ce piège qui se refermait sur lui.

Monsieur René se bidonnait sur son fauteuil et serrait très fort son sexe en pleine forme en visionnant sur son écran la scène filmée par ses caméras. Il bandait par anticipation en sachant ce que le petit Kevin (ou plutôt Pippa finalement) allait subir prochainement!

Pauvre Pippa pensait-il, elle allait dérouiller effectivement! Boubacar ne sortait jamais sans son engin et c'était du très lourd qui ne tirait pas à blanc! Ah ah ah, elle était bonne celle-la! En fait, si Boubacar tirait à blanc et pas qu'un peu!

Anna et Martha observaient elles aussi la scène avec intérêt sur leurs mobiles respectifs. Sacré Boubacar, le petit Kevin était cuit! Il vaudrait mieux que Pippa prenne le dessus et très rapidement. Son entrainement allait lui rendre service dans peu de temps!

Se doutant de ce qui allait arriver, les deux formatrices de Pippa étaient déjà si excitées qu'elles devaient se retenir de ne pas se jeter l'une contre l'autre. Quand Boubacar en aurait fini avec leur petite Pippa qui venait de naitre, elle serait attendue avec la plus grande fermeté par Anna et Martha!

Kevin était toujours coincé dans le couloir, tenu par le livreur, qui était maintenant tout contre lui. Il sentait la doudoune du gars et son nez respirait le déodorant bon marché et très puissant avec lequel Monsieur René avait demandé expressément à Boubacar de se parfumer. Ça sentait l'homme viril et de loin!

Le livreur faussement outragé pencha la tête vers Kevin. Il savait que le petit minet serait en cours de transformation mentale et dans un processus de féminisation déjà lancé à son arrivée.

Boubacar connaissait bien les principaux détails de l'opération "Pippa" et avait adoré le scénario proposé. Il regarda de haut celui, ou plutôt celle, qu'il devait soumettre, lança un sourire agréable et s'humecta les lèvres en déclarant :

- Bon, écoute, j'ai peut-être une solution qui pourrait nous arranger tous les deux.

- Euh! Oui? Quoi? Bien sûr! Je vous écoute Monsieur!

- Tu t'appelles comment, ma belle?

La voix de Boubacar était soudain devenue du miel, une soie sonore étonnante de puissance sexuelle, enveloppant Kevin d'une séduction masculine marquée.

Le moment de grande peur qu'il avait éprouvé s'évanouit immédiatement comme par enchantement et il se sentit profondément défaillir devant un homme aussi dominateur et impressionnant.

Pippa prit le pouvoir et intima l'ordre à Kevin de s'écraser et de saisir sa chance avec ce mec vu son attirance de plus en plus évidente pour ce type d'hommes qui suintaient la puissance par toutes les pores de leur peau. Rien de moins!

- Pippa, Monsieur, je m'appelle Pippa, c'est d'origine Grec...

Boubacar le coupa en plein vol :

- Pippa? Sérieux gros? Pippa? Je rêve! Les parents et les prénoms, par la barbe du Prophète... Bon écoute... Pippa. Tu vois, ma copine est partie en début de semaine et je vais passer quelques jours à penser à elle avec ma main droite, c'est pas top hein?

- Non Monsieur, c'est pas top, confirma ingénument Pippa.

- Je crois qu'on commence à se comprendre. Tu as une jolie bouche et moi, ça fait quelques jours que ma queue attend que quelqu'un s'en occupe, si tu vois ce que je veux dire...

Boubacar insista doucement :

- Si tu fais ça bien, je pourrais mentir un peu tu vois, dire que j'ai fait ma livraison, mais qu'il n'y avait personne, que je ne pouvais pas attendre le paiement si je voulais être à l'heure pour les autres livraisons, genre. Bref, disons que j'aurais été obligé de laisser la bouffe devant la porte plutôt que de la ramener en cuisine pour la jeter... Je n'aurai peut-être pas la course, mais par contre... Tu comprends ma petite Pippa, j'en suis certain... Je ne serai pas venu pour rien.

Boubacar passa au stade des compliments appuyés :

- Tu sais que tu es très mignonne et sexy habillée comme ça. Tu me fais kiffer grave. Quand je te vois là, j'ai vraiment envie de te faire des choses bien sympa. Je suis sur que tu vas aimer ce que nous allons faire tous les deux. Si tu me files ton 06 et la promesse que l'on pourra se revoir en plus... C'est gagné! Tu comprends?

Boubacar laissa planer un moment de grand silence. On n'entendait plus que leurs respirations. L'une, saccadée, rapide et inquiète et l'autre, lente, profonde et maîtrisée. Boubacar fixait intensément Kevin dans les yeux tout en le tenant. Le rythme du plus fort s'imposa au plus faible et Kevin adopta inconsciemment la cadence du livreur, se soumettant naturellement à cette expression de puissance qui l'apaisait. Boubacar s'adressa de nouveau à lui :

- Par contre, si tu me prends pour un bastringue, je saurai te retrouver et on s'expliquera sérieusement!

Boubacar avait élevé le ton sur cette dernière phrase histoire de bien se faire comprendre tout en commençant à bouger doucement les paluches qui tenaient Kevin collé au mur.

Sa main droite s'était posée sur l'épaule de sa conquête, un doigt glissé sous une lanière de sa nuisette, allant et venant dessous puis la faisant tomber avec calme de son épaule le long de son bras, très délicatement. Boubacar perçu instantanément le léger frisson qui agita le corps de Kevin et eut une énième confirmation de sa victoire.

Ses mains poursuivirent leurs caresses tout en pressant Kevin vers ce corps si imposant et musclé qui romprait ses dernières défenses. Kevin se retrouva rapidement tout à la fois appuyé dos au mur du couloir et la tête maintenue contre le torse du livreur qui commençait à se pencher vers sa bouche.

Kevin l'étudiant avait disparu, il ne restait plus que cette fameuse Pippa qui prenait une existence de plus en plus concrète dans cette situation si enivrante et qui luu fit murmurer :

- Oui, j'ai compris Monsieur, j'ai très bien compris et pour vous le prouver, je m'agenouille devant vous...

Kevin se contorsionna et descendit s'accroupir entre les jambes de ce nouveau mâle. Face à se bas-ventre qui allait révéler ses secrets, sa bouche s'était soudainement humidifiée naturellement.

Boubacar stupéfait devant la rapidité de cette réaction et qui ne s'attendait pas du tout à cela, mais juste à un premier roulage de pelles bien baveux, lui avoua, sincèrement touché :

- Tu vois Pippa, j'adore quand j'ai des affaires à régler avec des clientes intelligentes et sensibles! Sexy, bandante et sensible, tu es une perle ma belle! Je suis déjà amoureux!

Tout en disant cela, Boubacar qui comptait bien battre le fer tant qu'il était chaud, venait prestement d'ouvrir sa braguette de sa main gauche et en sortait un sexe sur dimensionné d'où émergeait un gland déjà décalotté.

Kevin totalement devenu Pippa était hypnotisé par l'engin que la main experte de son propriétaire dépliait devant lui. Le truc a demi bandé et encore pourtant bien mou faisait au moins vingt centimètres et arrivait à mi-cuisse du livreur.

Boubacar lui demanda :

- Tu vas bien t'occuper de mon serpent du désert, hein? Allez, carresse-le, embrasse-le, prend-le avec tes mains, il est impatient d'être dans ta bouche. Tu vas voir, il va onduler et grossir pour toi avant de cracher son venin!

Il savait déjà que ces mots allaient affoler cette petite chose accroupie entre ses jambes, ce fut le cas.

Totalement dominé par la situation, Kevin se sentait prêt à caresser ce monstre de chair et à le prendre en bouche.

Pire, il se sentait vraiment « elle ». Chaude, prête à tout, affamée et se retenait presque de se jeter sur ce membre tant il voulait sentir cette odeur de mâle avant de dévorer cet instrument de plaisir. Il en salivait toujours involontairement d'impatience.

Il n'y eut pas de bataille intérieur, ce n'était plus Kevin depuis longtemps, mais bien Pippa qui posa ses mains tremblantes sur le serpent qui commençait à gonfler.

Boubacar, savoura cet accomplissement en fermant les yeux. Monsieur René avait eu raison, il n'avait même pas eu à lui mettre une beigne pour en arriver là. Tout s'était fait très naturellement.

Il n'avait pas fallu cinq minutes à ce jeune mec pour se transformer en petite cochonne affamée et pour qu'elle le caresse avec ses deux petites mains bien douces. Ses doigts agiles parcouraient son sexe et finirent par s'en saisir complètement pour l'amener vers sa bouche déjà chaude et gourmande.

L'excitation de Boubacar était maximale, sa queue gagnait en taille presque définitive, mais surtout en circonférence et en dureté. La petite Pippa n'allait pas être déçue!

Bouche entrouverte, les lèvres gonflées de désirs accueillirent le gland humidifié par la liqueur due à l'excitation de son propriétaire. Kevin, ou plus surement Pippa, prenait maintenant le bout de ce sexe dans sa bouche, le faisant doucement avancer de plus en plus loin dans cet orifice qui en voulait toujours plus.

Ce monstre de chair était d'une douceur étonnante, son gout enivrant. L'avaler petit à petit, le plus profondément possible à chaque mouvement, était une sensation délicieusement perverse et merveilleuse.

Boubacar prit la tête de Pippa entre ses mains au bout de quelques minutes et commença à dicter le rythme et la profondeur de sa pénétration. Cette petite est vraiment née pour tailler des pipes se disait-il à cet instant! Quel bonheur!

Bien peu des femmes et d'hommes qu'il baisait régulièrement par plaisir ou lors des tournages de Monsieur René étaient aussi doués que cette Pippa qui pourtant était officiellement novice dans l'exercice. Monsieur René était vraiment un génie du sexe pour débusquer de tels phénomènes.

Suivant le scénario indiqué, Boubacar se saisit alors de son sexe avec sa main droite et choisit de l'arracher à cet orifice si humide dans lequel il était pourtant bien au chaud et parfaitement câliné.

Kevin haletait et gémissait de plaisirs contenus, il essayait de pousser sa tête en-avant vers le gland qu'il ne pouvait même plus effleurer de sa langue tendue, Boubacar tenant fermement sa tête éloignée de son autre main.

Kevin ne rêvait que d'une chose : avoir à nouveau ce sexe dans sa bouche et il ne pouvait plus l'approcher. Il en gémissait ouvertement et sans aucune honte de frustration, poussant des petits geignements qui retentissaient comme autant d'appels à la luxure ou à sa possession.

Mais il ne pouvait en être ainsi, Boubacar, avait des consignes très précises à respecter.

Il commença alors à lui passer sa queue sur le visage tout en lui tenant fermement la tête, étalant la salive déposée sur son sexe sur ses yeux, ses joues, son nez, suscitant espoirs et halètements incontrôlés.

Puis, il lui en asséna un coup vigoureux sur la joue droite et un autre sur la joue gauche quelques secondes plus tard. La tête de Kevin était ballotée sous la violence inattendue de ce fouet phallique improvisé. Boubacar maniait son «serpent du désert» avec force et parla à Kevin :

- Alors ma petite Pippa, ça te fait quoi de prendre les coups de mon serpent du désert sur ta petite gueule? Tu aimes ça, hein? Espèce de petite salope qui vient m'accueillir à moitié à poil. Tu croyais que tu pouvais venir m'exciter et que je ne te toucherai pas? Avoue que tu voulais me la sucer hein, avoue-le!

Kevin complètement soumis à cette volonté et totalement réincarné en Pippa ne pouvait que répondre ce que l'on attendait de lui :

- Oui Monsieur. Pippa voulait vous sucer et vous caresser. Je m'habille comme cela pour exciter les mecs avec des grosses queues comme vous!

Kevin n'en revenait pas de ce qu'il disait et pourtant il en bandait douloureusement de plaisir. Boubacar lui répondit avec une joie non feinte :

- C'est bien Pippa, je le savais. La prochaine fois, je viendrais sans doute te voir accompagné de quelques potes et si tu es sage, tu en auras deux ou trois à déguster pour le prix d'une! Putain, tu es tellement bonne que j'ai juste envie de t'enculer. Ça te dirait que je t'encule quand tu suceras mes potes? Ou t'es juste une bouffeuse de sperme?

- Je ne sais pas Monsieur, pour le moment, j'apprends surtout à caresser et à sucer. Je suis encore vierge et je ne sais pas...

Tout en prononçant ses mots, Kevin recevait une nouvelle volée de coups de queue donnés par Boubacar.

- T'inquiète, je suis certain que tu vas adorer sucer et te faire baiser dans pas longtemps, mais il vaut peut-être mieux pour toi que je ne sois pas le premier! Je ne veux pas te déchirer et t'envoyer à l'hosto!

Boubacar laissa le temps à Kevin d'apprécier sa sollicitude car il fallait qu'il lui soit reconnaissant et qu'il comprenne que d'autres que lui l'auraient déjà retourné et pris à la hussarde contre le mur, lui éclatant violemment son petit oeillet vierge et tendre, sans doute si serré et accueillant... Boubacar reprit la parole, pensant à autre chose sinon il allait simplement craquer et le violer sur place :

- Je vais aussi t'envoyer mon 06 dès que j'aurai le tien parce que quand mon serpent va te manquer, il faut que tu saches qui appeler. Allez ma petite Pippa, ouvre grand ta bouche, j'ai pas non plus la journée! Je dois gagner ma vie là!

Boubacar enfonça son « serpent » dans le nid douillet et humide qui l'attendait. Lentement et au plus profond de la bouche ouverte, l'envahissant complètement.

Il en restait suffisamment dehors vu la taille pour qu'il commence alors à se masturber tout en ayant son engin dans l'orifice bucal de cette petite soumise qui adorait visiblement être traitée ainsi.

Boubacar gardait toujours la tête immobilisée en la tenant rudement par les cheveux et il se masturba à son rythme entre ses lèvres de Kevin gonflées par l'afflux de sang. Il se demanda alors, voyant le plaisir de son suceur, si cette Pippa n'était pas en train de jouir avec ses lèvres en lui taillant une pipe!?

Sous ce traitement, totalement dédié à son seul plaisir, Boubacar qui avait dû se retenir de jouir depuis plus de 24h sur les ordres de Monsieur René, eut très vite envie de balancer une copieuse rasade de sa purée intime.

- Aaaaaaaaaaaaah ma petite Pippa, ça vient! Le serpent va cracher son venin!

Et de fait, sa semence commença à monter dans ce membre surdimensionné. Kevin sentit littéralement le sperme progresser à travers ce long tunnel de chair agité par des micro-vibrations très parlantes qu'il percevait par ses lèvres qui entouraient le cylindre d'ébène.