Rêve Sombre

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Un fantasme devient réalité.
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Le dernier souvenir de Lucia était d'avoir quitté son amie après le concert hier soir. Elles avaient quitté la salle, s'étaient dit au revoir devant une voiture bleue, se souvient-elle. Lucia avait regardé partir son amie, avait enfilé son pull et s'était dirigé vers la bouche de métro la plus proche. Elle se sentait un peu gênée maintenant que l'excitation du concert était redescendu, elle portait une minijupe noire en cuir et un haut de la même couleur qui moulait ses seins. Elle s'était trouvé extrêmement sexy mais maintenant qu'il faisait noir et qu'elle était seule, elle regrettait son choix.

Son dernier souvenir était un bruit de portière qui claquait, son cri étouffé et le noir qui tombait sur ses yeux.

Lorsqu'elle se réveilla, elle fut saisie d'un frisson qui parcourut son corps. Un lourd poids tirait sur son cou et des sensations de démangeaisons courait un peu partout sur son corps.

Elle était encore dans le brouillard, elle distinguait mal ce qui l'entourait mais elle sentait que rien n'était normal et qu'elle n'était jamais arrivée chez elle. Elle secoua sa tête pour se réveiller et un cliquetis métallique accompagna son mouvement. Lucia réalisa brutalement les décors autour d'elle et sa condition. Elle était allongée sur un matelas, dans une petite pièce obscure où un rayon du soleil venait éclairé le sol devant elle. Le sol était couvert de paille sauf un coin où des papiers journaux étaient dépliés. Deux gamelles étaient posées devant elle. Lucia réalisa également qu'une lourde chaine l'accouchait au mur à partir d'un collier à son cou. Elle se mortifia d'autant plus de découvrir qu'elle était pieds nus, en culotte et soutien-gorge. Ses vêtements de la veille étaient roulés en boule dans un coin de la pièce.

Un cadenas fermait la porte de cette pièce, Lucia était prisonnière. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues, sa respiration s'amplifia et une boule dans son ventre vint se loger. Elle n'avait aucun souvenir de comment elle était arrivée là. Elle tira sur sa chaine et s'assit sur le matelas, dos au mur. Elle regarda son corps bloqué dans cette pièce. Elle regretta son tanga noir en dentelle comme s'il était responsable de la situation. Elle essaya d'atteindre sa jupe et son haut mais la chaine était trop courte.

Lucia essaya de calmer ses larmes et d'écouter si elle parvenait à entendre du bruit, un indice sur sa localisation, sur la situation, si elle était seule... Mais n'entendit rien. Elle se rallongea sur le matelas et commença à pleurer à chaudes larmes la tête dans ses bras.

Elle se fit réveiller par des bruits, quelqu'un ou quelque chose s'agitait de l'autre côté de la porte, elle resta silencieuse, apeurée. Les bruits disparurent aussi vite qu'ils étaient arrivés et un lourd silence s'écrasa de nouveau dans sa prison. Lucia remarqua qu'elle s'était également réveillée par une forte envie d'uriner. Elle regarda autour d'elle : il n'y a pas de toilette, pensa-t-elle. Elle fut tenter de crier pour attirer l'attention, dire qu'elle avait envie de faire pipi et en profiter pour comprendre... Pourquoi elle? Où était-elle? Mais la peur était plus forte. En refaisant le tour de la pièce, elle remarqua les papiers journaux et compris. La longueur de la chaîne permettait tout juste d'atteindre ses « toilettes » et les gamelles mais l'empêchait d'aller plus loin dans la pièce même si celle-ci était petite. Elle tenta de résister mais la bière qu'elle avait bue au concert et les plusieurs heures passaient sans uriner eut raison d'elle. Elle s'accroupit au-dessus des journaux et tira sa culotte sur le côté. Lucia ne s'était jamais senti autant humilier. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues « je n'aurait plus envie de faire pipi si je continue à pleurer comme ça » pensa-t-elle. L'envie était tellement forte qu'à peine sa culotte mise de côté, un flot d'urine coula le long de sa jambe et mouilla le papier. Sa culotte et ses doigts s'imbibèrent d'urine « merde » crachat-elle. Elle écarta ses pieds de justesse lorsque l'urine coula le long du papier et s'étala dans la paille. « Je ne peux pas m'essuyer avec de la paille quand même... » Lucia commença à s'exprimer à voix haute. Elle remit sa culotte mouillée, essuya ses doigts sur la paille et retourna sur le matelas. La fatigue du stresse attrapa Lucia et celle-ci se rendormit directement.

Les bruits avaient repris quand Lucia émergea à nouveau. Plusieurs heures devaient avoir passé, peut-être la journée entière car la lumière était très basse, la captive était quasiment plongée dans l'obscurité. Elle surprit un gargouillement de faim dans son ventre. Lucia s'assit dos au mur en replaçant la chaine et le collier autour de son cou. Elle prit ses genoux entre ses bras, sa poitrine était écrasée contre ses cuisses.

Les bruits se rapprochèrent un peu plus et la peur augmentait dans le ventre de Lucia. Elle demeurait immobile et lorsqu'elle entendit le cadenas entrain à s'ouvrir, elle retient sa respiration.

La porte s'ouvrit et un homme entra, l'obscurité empêchait Lucia de voir son visage mais il paraissait jeune. Il s'approcha de la première gamelle et y versa de l'eau puis déposa un morceau de pain et un fruit dans la seconde.

Il s'approcha ensuite de Lucia qui retenait toujours son souffle, les larmes recommencèrent à monter devant ses yeux. Il accrocha au-dessus d'elle une lampe torche qu'il alluma.

Le visage de l'homme se dévoila aux yeux de Lucia.

Will, son ex, se tenait devant elle. Elle fut stupéfaite. Il ne parlait pas et la toisa de toute sa hauteur. Lorsque Lucia reprit ses esprits, elle commença à hurler « Mais qu'est-ce que tu fous? Détache-moi de suite? Putain, tu m'as fait peur ».

Ne commence pas Lucia, tu n'as pas compris la situation je crois.

Comment ça? Détache-moi Will, scanda Lucia. »

Lucia commença à s'agiter et à gesticuler. Il saisit son poignet et le serra. « J'ai fait tout ça pour te détacher tu crois? Je vais te dresser tu vas voir ». Il relâcha la pression.

Elle massa son poignet en demandant « Me dresser? ».

Oui, je t'ai dit que je voulais plus quand on faisait nos jeux ensemble tu te souviens? Et bien j'ai échafaudé tout ça pour que tu m'appartiennes Lucia. Tu es mon esclave, mon animal de compagnie, ma petite chienne. Clama Will avec un rictus.

Non, c'est impossible, relâche-moi!

Obéis-moi où tu resteras toute seule dans le noir, sans nourriture encore un ou deux jours. C'est à toi de voir?

Lucia se tut, elle n'arrivait pas à réfléchir. Tout se bousculer dans sa tête, elle était sous le choc. La peur de rester dans le noir l'obligea à rester silencieuse. La faim termina d'écraser sa maigre résistance.

Tu acceptes ta position? La voix sèche de Will fit sortir Lucia de sa stupeur.

Ou...Oui... répondit-elle en sachant qu'elle n'avait pas le choix.

Bien, lève toi.

Lucia se leva malgré le poids de la chaîne autour de son, « enlève ça Will s'il te plait » demanda-t-elle. Il l'ignora et tira son bras pour la faire se lever plus vite. Lucia sentait sa tête tournait.

« Enlève tes vêtements, tu vas rester nue pendant quelques jours, comme ma petite chienne. Je verrais si tu es sage à te rendre tes vêtements ».

Lucia dégrafa son soutien-gorge avec hésitation. Lorsqu'il tomba sur le sol, elle cacha ses seins avec son bras droit. Will baissa son bras et commença à toucher ses seins. Il les massa et passa ses tétons entre ses doigts. « Humm j'adore tes seins, de belles poires parfaites » rigola-t-il « ta culotte maintenant ». Lucia tenta de négocier mais il la fit se taire en portant son doigt à sa bouche. Elle glissa sa culotte le long de ses jambes, la captive se sentait terriblement gênée. Elle rougit d'autant plus au souvenir d'avoir uriné sur le papier. Comme si il lisait dans ses pensées, il déclara « Tu as compris que ce papier était ta zone toilettée j'espère . Ne t'en fais pas je viendrais le changer bientôt et te laver ». Il récupéra la culotte au sol, obligea Lucia à lever ses pieds pour la déshabiller complètement.

Lucia se retrouvait nue, ses seins fermes et son sexe poilu. Elle n'avait pas eu de petit copain ou de relation sexuelle depuis plusieurs mois, elle ne voyait pas l'intérêt de se tondre. Will passa ses doigts dans les poils pubiens. « Ecarte les jambes », elle obéit, « je vais inspecter ton corps au peigne fin ». Il glissa ses doigts entre les jambes écartées de Lucia, puis entre ses grandes lèvres. Elle sentit son corps se raidir de peur au contact. Il passa ensuite sur son clitoris, claqua son sexe doucement puis l'obligea à se retourner. « Mains sur le mur et cambre ton dos ».

Une autre claque frappa les fesses de Lucia qui retint un cri. Elle sentit ses fesses s'écartaient et son anus se révélait à son kidnappeur. Un doigt mouillé vint s'introduire dans son trou. « Arrête, arrête s'il te plaît ». Il tira ses cheveux blonds en arrière et vint lui murmurer à l'oreille « Je fais ce que je veux, ça fait combien de temps que tu n'as pas baiser? ». Elle ne répondit pas et il réitéra sa question « Je sais pas... les larmes coulèrent sur son visage, plusieurs mois, s'il te plait relâche moi ».

« Je vais y aller doucement aujourd'hui, tu découvres seulement ta nouvelle vie ma chérie, mais tu m'excites tellement ». Il sortit son pénis en érection de son pantalon, cracha dans ses doigts et glissa ces derniers humides dans le vagin de Lucia. Une fois ce trou lubrifié, il commença à la pénétrer. Il accéléra ses va-et-viens en tirant les cheveux de sa prisonnière. Lucia retenait ses larmes.« Ma petite chienne, accroupis-toi », Lucia ne bougea pas. Il sortit son pénis de sa chatte et tira ses cheveux l'obligeant à se mettre à genoux « aie, s'il te plaît, arrête ». Il planta sa bite devant la bouche de Lucia « J'imagine que tu sais ce que tu as à faire pute ».

Lucia ne résista pas, elle ouvrit la bouche et commença à sucer Will. Elle fut surprise de sa demande. Lorsqu'ils étaient ensemble, il ne demandait pas de fellation, ils savaient tous les deux que ce n'était pas le fort de Lucia, elle suçait doucement, du bout des lèvres. Elle n'avait vraiment osé le faire pleinement.

Maintenant c'était différent, il lui baisait la bouche. Lucia suffoquait sous ses pénétrations, il enfonçait sa bouche profondément dans sa gorge empêchant Lucia de respirer. Elle se surprit à aimer ça. Elle était excitée de la vision de sa bouche autour de ce gros sexe, de la bave qui coulait sur ses lèvres et tombait sur ses seins. Elle le suça en rythme avec ses mouvements, elle sentait sa bite tapait contre sa glotte. « T'aime ça enfaite salope? » il ria et relâcha ses cheveux et la pression. Lucia continuait de sucer Will, elle s'empalait sur la bite, sentir ses poils, ses testicules contre son visage.

Will fit un pas en arrière et Lucia tenta de suivre à quatre pattes son nouveau maître. Il se rapprocha, saisit sa bite à pleine main et se masturba jusqu'à éjaculer sur le visage de Lucia. Elle n'avait jamais fait ça avant et elle était honteuse d'aimer ça.

Du sperme coulait sur ses yeux, son nez et sa bouche. Elle lécha ses lèvres et avala la substance dans sa bouche.

« Tu as été une bonne chienne, je suis fier de toi » il caressa ses cheveux. « Tiens, prends ça ». Il lui tendit un papier plié. « Je te laisse ici avec ça, ce sont tes nouvelles règles. Suis les et tout se passera bien, tu pourrais bientôt sortir d'ici même ».

Il partit vers la porte, Lucia tenta de le retenir mais il se dégagea « Bonne nuit petite chienne, je veux que tu gardes le sperme sur ton visage et qu'il y soit demain matin, en signe de ta soumission. Tu as tout noté dans le papier ».

Il sortit.

Lucia se retrouvait seule et toute l'émotion qu'elle avait retenue sortit d'un coup. Des larmes coulaient sur son visage, elle les essuya mais étala le sperme avec.

Brutalement elle sentit son sexe en feu, elle était toute mouillée. Ses lèvres étaient gorgées de sang et elle se sentit obligée de se masturber pour faire sortir toute cette excitation nouvelle. Elle retourna la scène dans sa tête, la bite chaude dans sa bouche pendant que ses doigts glissaient sur son clitoris.

Elle jouit comme jamais auparavant.

Lorsqu'elle se réveilla, il faisait encore nuit. Aucune lumière ne traversait la petite fenêtre au plafond. Lucia alluma la lampe torche et voulut se rhabiller. Mais ses vêtements avaient disparu. Elle était encore nue et le sperme avait séché sur son visage. Elle prit de la paille et se frotta doucement le visage en essayant d'enlever la semence. Elle se rapprocha de la gamelle et voulu boire. Elle prit l'eau avec ses mains et la porta a sa bouche puis mangea le quignon de pain.

Elle repartit sur le matelas et se demanda ce qui allait se passer à présent. Le temps passait lentement, elle avait envie qu'il revienne, qu'il s'occupe d'elle. Lucia fit choquer par sa propre pensée.

Elle se rappela du papier qu'il lui avait donné, elle le ramassa et l'ouvrit.

« Lucia, si tu lis ça c'est que je me suis plutôt pas mal débrouillé... J'ai écrit ici, comment appeler ça, un contrat? Non, tu n'es pas vraiment en mesure de refuser donc n'appelles pas ça un contrant mais plus simplement tes règles.Tu es mon animal de compagnie, tu m'obéis au doigt et à l'oeil. Dans le cas contraire, tu seras puni.

Tu es ma petite chienne, tu manges et bois comme tel. Tu as donc deux gamelles à ta disposition, tu y mangeras comme une chienne en lapant d'eau et mangeant directement dans la gamelle.

Ton corps est entièrement à ma disposition, je choisis comment tu t'habilles. Je choisis dans quel trou je te baise.

Quand tu es en ma présence, tu m'appelles maître, tu parles uniquement si je t'en donne l'autorisation. Tu te déplaces à quatre pattes et tu quand tu es devant moi, tu dois adopter la position suivante :

à genoux, les jambes écartées que je puisse mater ton sexe

le dos cambré pour faire ressortir tes seins

la tête baissée car tu es soumise

Si tu as bien compris, ces règles sous-entendent une sortie de cette cage, plus ou moins vivre avec moi. J'entends que cela te paraisse fou actuellement mais je vais te dresser.

Quand tu seras docile tu sortiras.

Il y a une caméra installée dans ta cage, je te vois surement en ce moment, respecte cette règle et tout se passera bien. »

Lucia était partagée entre la peur et l'excitation. Lorsqu'ils étaient ensemble, ils aimaient bien avoir des relations BDSM, Lucia se sentait vraiment vivante lorsque Will prenait le contrôle sur elle. Mais là, c'était trop.

Lorsque le soleil entra dans sa cage, Lucia avait déjà lu le papier une bonne dizaine de fois pour s'occuper. Will ne s'était pas pointé, elle était seule et s'ennuyer. Elle cherchait un moyen de s'échapper mais n'en trouvait pas. Seul un moment d'inadvertance de Will lui permettait cet exploit.

Elle retourna boire « Je ne vais quand même pas laper l'eau » dit-elle à voix haute. Elle prit l'eau dans ses mains et bu.

Plusieurs heures passèrent, Lucia tournait en rond, elle n'en pouvait plus. Elle avait épuisé l'ensemble des occupations de la cage : elle avait regardé ce qui se cachait sous la paille (rien), lu le papier une bonne centaine de fois et avait même lu les journaux sur le sol où elle avait uriné. Toujours nue, gênée depuis qu'elle avait appris pour les caméras, elle avait n'a pas encore eu besoin de faire pipi et s'en remercier pour ça. Elle appréhendait énormément le moment où elle voudrait faire la grosse commission.

La lumière baissait dans la pièce quand elle envisagea de dormir, Will n'était pas venu dans la journée.

Le lendemain, elle fut réveillée par la lumière du jour qui passait par la fenêtre. Il faisait bon dans la cage. Lucia se sentait sale, ses cheveux étaient en batailles, secs. Elle avait dû s'uriner dessus une fois de plus cette nuit. Elle commença à pleurer, elle voulait prendre une douche, s'habiller...

Encore une fois, la journée fut longue. Aucun bruit, aucun passage. Pendant la nuit, Will avait changé l'eau mais n'avait fait aucun bruit. Lucia avait faim, elle n'avait plus la notion d'heure, elle était perdue. Elle passa sa journée entre les journaux, le papier et son matelas. Lorsque la lumière baissait à travers la vitre, elle s'exclama à voix haute, sans trop savoir pourquoi « Oui, j'accepte d'être une chienne ». Il ne se passa rien, « c'est peine perdue » pensa-t-elle.

Après un long moment (une heure? deux), Lucia entendit des bruits de pas derrière la porte, Will entra. Elle n'en revenait pas, elle était heureuse de le voir, elle mourait d'envie de lui parler, de le toucher.

Will s'approcha d'elle et décrocha la chaine et la remplaça par une laisse de chien « Tu sais dans quelle position tu dois être non? ». Lucia réfléchit puis s'exécuta, elle se mit à genoux et cambra le dos. « Je t'ai observé pendant ces deux jours, alors comme ça, on ne boit pas comme une chienne? » demanda Will. « Mets-toi à quatre pattes et lève les fesses », elle s'exécuta. Will saisit une cravache et commença à fouetter ses fesses rebondies. A chaque coups, il sentait sa bite se durcir dans son caleçon. Il avait toujours aimé le cul de Lucia, rond, gros, pas trop ferme. Il ne résista pas à claquer lui-même son cul avec ses mains. Il écarta ses fesses et mata l'anus rose fermé de Lucia. « Tu n'as jamais voulu que je t'encule... » Lucia compris ce qui allait se passer quant au même moment, elle senti la bite dure de Will forçait le passage de son trou du cul. Elle sentit ses mouvements de va-et-viens dans son anus, les larmes lui montaient au visage mais elle se sentait terriblement excitée. Son vagin était mouillé, elle commença à se frotter le clitoris pendant que les couilles de son maître tapé contre sa chatte. « Merci maître » haleta-t-elle. Il sortit de son cul et la retourna sur le dos. Il saisit son sein droit avec sa main et le malaxa. Il commença à pénétrer son vagin tout en pinçant son téton. « Will... ». Il lui crachat sur le visage « M'appelle pas comme ça chienne, je suis ton maître ». Elle se senti confuse « Désolé... mai... maître ».

Lorsque la main gauche de Will descendit sur le clitoris de Lucia, l'excitation monta d'un coup. Ses doigts habiles travaillaient à faire jouir l'esclave. Lucia courbait son dos sur le vieux matelas sous l'effet de l'excitation, contractait ses jambes et puis ce fut l'extase. Elle jouit pendant que Will baisait sa chatte de chienne. Elle adorait ça, haletait, tentait de reprendre sa respiration. Il sortit de son vagin et amena la tête de Lucia à sa bite. Elle commença à le sucer

« Quel gout à ton trou du cul? » ironisa-t-il. Elle eut un relent de dégout mais il maintenait la pression sur sa tête. Elle continua à sucer jusqu'à sentir la semence qui coulait le long de sa gorge. « Avale maintenant » ordonna-t-il. Elle s'exécuta.

Will força Lucia à se mettre à quatre pattes et tira sur la laisse, elle marcha au pas derrière lui pour sortir de la cage.

Lucia n'en revenait pas, elle sortait enfin et se retrouva dans le jardin d'une grande maison. « Maintenant je veux que tu pisses dans l'herbe comme une chienne. Je veux pas que tu choppes une saleté d'infection » dit-il. Lucia se sentit extrêmement gênée, uriner devant lui? Un coup de pied frappa les fesses de la soumise « bouge-toi » dit-il. Lucia se concentra et commença à uriner sur le sol, son vagin était encore rouge et mouillé, béant. Elle sentit l'urine coulait de son urètre et se mélangeait à ses sécrétions pour couler sur sa jambe.

Une fois qu'elle eu fini, Will remplit les gamelles et ferma la porte derrière lui.

Lucia se posa sur le matelas, elle haletait devant la honte et l'excitation qui la traversait. Son anus lui faisait mal, elle n'avait jamais eu rapport anal, elle se sentait trouait de part en part. Le sperme laissait un gout amer dans sa bouche.

Elle s'endormit vite.

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2 Commentaires
Ann6938Ann6938il y a 9 jours

J’aime aussi un peu plus de contraintes, mais pour une première publication c’est très bien. Récit bien construit et plutôt excitant. J’aime beaucoup.

Attention effectivement à une relecture avant de publier. Mais des débuts très encourageants !

AurailiensAurailiensil y a 13 jours

J'aime plus de résistance mais c'est personnelle. Une bonne relecture serait nécessaire !!!

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