Révolte 06: Un An Déjà!

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D'ancien révolutionnaire racontent leurs exploits.
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Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/22/2018
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Je profite aussi de ce chapitre pour passer un message personnel. Le français n'étant pas ma langue de naissance, je sais que je fais pas mal de fautes d'orthographes et de grammaire. En effet si à l'oral cela passe, cela passe plus difficilement à l'écrit. Cela peut gêner certains lecteurs, ce que je comprends parfaitement et m'en excuse devant eux.

Sinon, n'hésitez pas à laissez des commentaires, cela permet de voir quelle direction donner à l'histoire. Présente ou futur. Merci à vous et bonne lecture.

Un an déjà que la révolte a eut lieu. Sur les cent-trente-cinq millions d'étrangers, seul cent mille environs, sont encore caché dans le pays. Aucun ne l'a quitté après le début de la révolution. Sur les vingt mille qui étaient à l'étranger, seul une vingtaine n'ont pas encore été extradé vers l'Anglefrique. D'ici six mois, les étrangers cachés, comme ceux étant à l'étranger, auront tous été remis à L'Anglefrique ou repris par la police, les unités de traques et l'armée.

Les premiers bénéfices de la révolution se sont déjà fait sentir. Si il n'y a pas de salaire minimum pour les travailleurs venant de l'étranger, celui pour les Anglefricains est passé à mille cinq cents euros net. Chaque entreprise est obligée de faire travailler quatre-vingt-dix huit pour-cent de Anglefricains, un quota minimum. Il est de même pour les cadres et dirigeant des entreprises.

L'école est devenu obligatoire jusque à seize ans. Toutes les études sont totalement gratuite. Les étudiants ne devant les rembourser que si ils vont bosser à l'étranger. Les prix de l'alimentation, si ils ne sont pas fixés par l'état, le maximum de bénéfice est de vingt pour-cent par produit. Ce qui à fait diminué par dix le prix des denrées. Les matières premières, l'agriculture, l'élevage, les centres de loisirs, les métaux rare ou précieux, tout ce qui fait la richesse de l'Anglefrique est nationalisé. Les bénéfices sont redistribué. Des villes nouvelles voient le jour. Le bâtiment explose, on construit de partout. Le gouvernement tenant sa promesse de donner un logement à chaque hommes anglefricain, le nombre de pièce dépendant de sa famille. Policier et militaire voient leurs salaires grandement augmenté. La médecine devient totalement gratuite que ce soit pour les soins, les médicaments, les dents ou l'optique et ce, pour chaque Anglefricains. L'espérance de vie passa en un an de quarante ans à soixante ans. Et elle atteindrait quatre-vingt dix ans, un an plus tard.

La sécurité à aussi été renforcé. En un an, le taux de criminalité à baisser de façon incroyable. De pays le plus dangereux du monde pour les natifs du pays, il est devenu le plus sûr au monde. Bien entendu le fait que le viol de femme non mariée ne soit ni un délit, ni un crime, ne change rien à ce taux, car c'était pareil avant la révolution. Pareil pour la criminalité envers les ressortissants étrangers, qui de toutes façon était parfaitement protégé avant la grande purge.

Un revenu universel est donné à chaque Anglefricain mâle. Chef de famille ou célibataire. Chaque chef de famille recevant en plus, un revenu pour femmes et enfants. La polygamie est toujours interdite. Seul le droit de la femme ne connaît pas vraiment d'évolution. Le viol conjugal, les violences domestique, l'inceste ne sont toujours pas condamnable. Quand au viol, il reste non pénalisé en cas de célibat de la femme. Si elle est mariée, la peine peut aller jusque à cinq ans de réclusions, plus de gros dommage et intérêt pour le coupable. Sauf arrangement spécial avec le mari bien entendu. Ce qui peut éteindre les poursuites du ministère public. Afin de ne pas y avoir d'erreur, le gouvernement, remet à chaque mariée, un bracelet et un collier vert phosphorescent. Ainsi, chaque agresseur saura qu'il peut être pénalement responsable en cas d'agression sexuelle ou de viol sur la femme mariée.

La majorité sexuelle est fixé à quinze ans pour la femme. Par contre tout viol sur une mineure de moins de dix-huit ans, est considérée comme acte pédophile, et passible de la peine de mort. L'avortement par contre est reconnu comme un droit, et toutes femmes y a accès gratuitement.

Quand aux étrangers, ils sont protégé par les même lois que les Anglefricains, les femmes mariées venant vivre ou travailler avec leurs époux dans le pays, se voient remettre la parure phosphorescente.

Par contre les étrangers étant présent avant la révolution, appelée aussi « La grande purge » ont un sort peu enviable. En effet, une loi du Général Abdou, fait que tout les étrangers de l'avant révolution, ont perdu leurs statuts d'humains. Sauf la poignée de ceux ayant participé, aidé ou financé le coup d'état du général. Eux sont devenu de vrais héros du pays, et des postes clés leurs ont été offert. Pour les autres, eux et tout leurs descendants sont ouvert à l'esclavage dans l'enceinte de l'Anglefrique. Certains seront donc offert aux héros de la révolution.

Avant la révolution l'Anglefrique était exploité par un contingent de cent-trente-cinq millions d'étrangers, à quatre-vingt-dix pour cent de sexe féminin. Les entreprises, y envoyant principalement des femmes, ce pays étant alors le plus sûr du monde pour les ressortissants étrangers. Ce qui leurs permettaient aussi de frauder les lois sur la parités apparut dans les pays occidentaux. Le personnel féminin d'Anglefrique faisant partie de l'entreprise, un grand nombre de femmes ici faisaient donc remonte le pourcentage de femmes dans lesdites entreprises, y compris pour l'encadrement ou les dirigeants. Mais le plus intéressant, elles se faisaient la main, apprenaient à maîtriser un poste important. Il y avait donc dix millions de travailleuses, bossant pour des boîtes étrangère, dans la grande majorité de jeune femmes débutante, venu se faire la main pour le compte de leurs entreprises.

Sur les cent-trente-cinq millions d'étrangers, la plupart étaient jeunes, ce qui explique qu'il n'y ait eut seulement un million d'enfants ou de mineurs. Ainsi que quatorze millions d'hommes, principalement des cadres, dirigeant ou propriétaire des entreprises exploitant le pays.

Vingt-cinq ans avant la révolution, en pleine crise financière mondiale, l'Anglefrique faillit être lâché par ses alliés historique, qu'étaient à l'époque l'Angleterre et les USA. Le tout sous la menace de la Russie et de la France, fustigeant la violation des droits de l'homme par le dictateur et président à vie. Ce dernier, pour redoré son blason au niveau mondiale, eut alors une idée de génie. Les caisses étant plus que pleine, les comptes du pays, enfin, ceux du président à vie, débordant de milliards, il eut une idée.

A l'époque, il n'y avait donc que vingt-cinq millions d'étrangers dans le pays. Pour en faire venir plus, et qui ne diraient que du bien de l'Anglefrique, il défiscalisa totalement les salaires des employées féminin. La dangerosité du monde pour les femmes fut aussi un atout pour lui. Il surfa dessus.

Il créa des universités entièrement féminine, proposant la gratuité totale des cours. Il débaucha les meilleures ou les plus prometteuse jeune professeurs d'université, en triplant leurs salaire. Il créa ainsi, les premières université cent-pour-cent féminine. Prof, élève, personnel administratif, membre de la sécurité, cuisines, tout les emplois n'étaient occupés que par des femmes. Les billets d'avions pour venir et pour repartir en fin d'études, seraient à la charge de l'état Anglefricains. Ainsi que deux voyages par an et par étudiantes pour aller voir leurs famille pendant les vacances. Ses universités trustèrent rapidement les premières places mondiale, et foule d'étudiantes, riches comme désargentées s'y inscrivirent. Les unes pour la renommées, les autres pour la gratuité. Le succés fut tel, qu'environs dix autres université virent le jour. Tout se passa entre femmes, même les magasins, les supermarchés qui furent crées autour des université n'employaient que des femmes, jeune, jolie et étrangères, débauchées dans leurs pays d'origine pour un salaire mirobolant.

Il créa aussi des centres de recherches, aussi bien informatique, que médicaux ou spatiaux. Le tout également, uniquement avec des chercheuses femmes, jeunes et prometteuses. Les moyens qu'il y mit dépassèrent même ceux des plus grand centre de recherches médicaux. Les chercheuses, ayant enfin des propositions de postes importants, avec de grands moyens, se ruèrent en Anglefrique. Quittant ainsi sans regret le monde misogyne de leurs pays d'origine.

Il proposa aussi des tas de postes à de jeunes orphelines. En effet, dans la plupart des pays, à dix-huit ans, les jeunes femmes sont mis à la porte de l'orphelinat. Sans réel avenir, il leur proposa aux choix un travail ou des études. Là aussi ce fut une ruée.

Rapidement la population d'étrangers arriva aux cent millions. Avec seulement quinze pour cent d'hommes, l'Anglefrique ne fut plus montré du doigt pour ses violations des droits de l'homme, mais comme celui à la pointe du droit de la femme. Toutes les associations féministe le montrant en exemple.

Exaltés par ses résultat, et surtout le changement de point de vu du monde sur lui et son pays, le président à vie continua sur sa voie. Il créa des dizaines d'hôpitaux, gratuit pour les femmes de n'importe quel pays. Ils y fit installé les meilleurs appareils de soins. N'y engagea encore que des jeune femmes étrangères. Que ce soit en infirmières, en médecins ou en personnel administratif. Rapidement, ses hôpitaux devinrent là aussi les meilleurs du monde.

Il créa aussi des centaines de prisons dans le pays. Le monde étant en surpopulation carcérales, il leur proposa d'accueillir pour un coût cinq fois moindre, toutes leurs condamnées femmes de moins de cinquante ans. Là encore, le personnel seraient entièrement féminin, excluant ainsi toutes violences sexuelles émises par des hommes. Soutenus une fois encore par de nombreuses associations féministes, ses prisons se remplirent aussitôt. Les pays se chargeant de modifiés leurs lois, afin que les peines puissent se faire en Anglefrique.

Il créa alors la prison de très haute-sécurité, la plus sûre au monde. Proposant ainsi à tout les pays d'y envoyer leurs détenus les plus dangereux. Une fois de plus le monde se pressa de sauter sur l'occasion. Là encore, si une partie du personnel fut masculin, la grande majorité fut des jeune femmes.

Le pays arriva donc à cent-trente-cinq millions d'étrangers à majorité de sexe féminin et assez jeune. Devenu le pays des droits de la femmes, le monde ferma les yeux sur les atrocités que subissaient les un milliard cinq cent millions d'anglefricains. Devant l'adoration qu'eut le monde pour le président à vie, la France et la Russie finirent par se taire. En deux ans, le président à vie avait réalisé un miracle.

Mais dés que le général Abdou fomenta sa révolution, les deux pays, rejoint après par Israël, le soutinrent immédiatement. Quelques soient le coup de la révolte pour les étrangers vivant là-bas, et tous coupable pour le peuple anglefricain de leurs misères et leurs tourments. Vous connaissez la suite avec l'éclatement de la révolution.

Environs deux millions d'étrangers ayant pillé le pays sont morts pendant la grande purge. Un millions et demis d'hommes sur les quatorze millions que comptaient alors le pays. Cinq cent-mille femmes sur les cent-vingt-et-un millions y résidant. Toutes victimes de viols trop violents, ou trop nombreux. Certaine ayant été agressée par une foule de plus de mille hommes.

Pour les autres, leurs sorts ne fut pas plus enviable. Voir pire que la mort. Les hommes adultes furent envoyés dans les mines les plus dangereuses. Les garçon mineurs, furent envoyés dans des orphelinats, où ils seront bien traité, ont les rééduqueras, pour qu'ils deviennent de bon anglefricains, travailleurs et honnête. Toutes les femmes furent transformé en esclaves sexuelles gratuite pour les anglefricains. A cinq euros le coup pour les étrangers. Tout est permis sur elles. Sauf la mort ou les blessures irrémédiables. On peut les louer à la journée pour dix euros, cinquante pour la semaine. On peut les battre, les torturer pour vingt euros de plus la semaine, trois euros de plus par jour. Les enfants des putains comme les étrangères mineures au moment de la révolution sont mises dans des camps éducatifs. Elles y sont bien traitées et nourries. A leurs majorité, les baisables deviendrons des putains, les autres de simple reproductrice. L'Anglefrique est ainsi devenu la première destination mondiale du tourisme sexuel. Surtout que en plus, la compagnie d'aviation nationale pratique des prix défiant toutes concurrences. Moins cher que les vols low-cost, plus confortable que les meilleures classes affaires. Les pauvres femmes y sont violées pendant des journées de dix-huit heures, leurs temps de travail. Celle qui sont louées à la journée ou à la semaine ont presque l'impression d'être en vacances.

L'Anglefrique n'est plus le pays défenseur des droits de la femme. Mais comme la communauté internationale, ne veux pas être interdite de commercer avec, le monde se tait. En effet, tout pays menant campagne contre l'Anglefrique ne pourra plus commercer avec. Tout pays poursuivant les révolutionnaires, ne le pourra pas non plus. Pas plus que toutes entreprises faisant un procès au pays. Si bien que les cent-trente-cinq millions d'étrangers ont été comme effacé du monde. Perdu pour leurs famille et leur pays. Ils ne sont plus rien. Que du bétail juste bon pour le travail pour les hommes. Du bétail juste bon à être baisée pour les femmes.

Pour cette première année de liberté du joug étranger, les fêtes battent leurs pleins de partout. A l'amical des anciens révolutionnaires, c'est l'affluence. Le ministère de la reprise en main, organise un congrès , ainsi que des conférences, ou juste des réunions où tout les anciens combattants qui le souhaite, peuvent raconter leurs souvenirs à un psy. Le tout pour vérifier que aucun d'eux ne ressent de séquelles traumatique telle un trouble du stress post-traumatique. Tout sera enregistré, puis retranscris pour un service du gouvernement qui fera une synthèse pour le ministère de la reprise en main. Pas dans un quelconque but pénal, vu que toutes les exactions commises envers les étrangers et les collabos ont été dépénalisé. Aucun ne risque donc quoi que ce soit. C'est pour cela que les langues vont autant se délier. Tous vont raconter sans rien édulcoré ceux qu'ils ont fait pendant ces terribles jours. On y retrouve des têtes connus comme Joss, le gardien-chef et d'autres, mais aussi des inconnus. Voilà quelques exemple de ce que raconte ces anciens combattants de la révolution Anglefricaine.

Certains sont venus avec leurs victimes, devenu leurs propriété officielle. Joss et James sont donc là avec April et Hayley, le gardien-chef avec Nabilla. Tom aussi est là, avec Laurence et Jennifer, le reste de la tribu travaillant comme putain. On voit aussi Madou avec une Diana enceinte. Elle porte en elle une portée de singes modifié génétiquement. Sa quatrième en un an.

Le premier à parler lors d'une conférence surnommée « Souvenir de la révolution », est un colonel de l'armée de terre. Lui à pris d'assaut avec ses hommes le lycée britannique mixte d'excellence de Angla, la capitale du pays. Un des rare établissement à avoir une classe de jeune noir anglefricains. Par souci de compréhension, j'ai décidé de retranscrire de manière général ce qui c'est passé. Le colonel lui, a parlé à la première personne.

Dans ce lycée tout les élèves y sont majeurs. Il y a sept cents personnes dans l'établissement quand le colonel donne l'assaut. A part les vingt-cinq anglefricains, tout le reste, enseignant, personnel, élèves est de sexe féminin. Le colonel dirige une troupe de cent-cinquante soldats. Le lycée est sous contrôle en vingt minutes. Sans résistance aucune. Les hommes ont carte blanche. Il reste une classe. Déjà les premiers hurlements emplissent l'établissement. Pas difficile de savoir ce qui se passe, ce que tout ce qui est femelle subit. Lui entre dans la dernière classe, avec deux soldats. Pas besoin de plus. Surtout que les élèves sont des garçons, tous. Les trois hommes entrent dans la salle. La prof à environs quarante-cinq ans, blonde, les cheveux courts, elle porte une robe jaune un peu décolleté, arrivant au genoux. Elle donne des cours d'anglais, et est en train d'écrire au tableau quand les soldats entrent.

- Cela veut dire quoi? On est dans une salle de classe, sortez!

La prof n'a pas l'air de se rendre compte de ce qu'il se passe. Un des soldats lui donne un coup de crosse dans le ventre, elle se plie en deux. Le deuxième la force à se mettre à genoux, tandis que le colonel lui met son arme sur le front.

- La prof, un seul mot et tu es morte. Compris?

- Oui.

La prof fond en larmes, le colonel regarde les élèves médusés.

- Les jeunes, c'est la révolution, on prend en main le pays. On se venge de tout ses exploiteurs. Allez dans n'importe quelle classe et vengez-vous, on tiens le lycée!

Un élève se lève.

- Et madame Arthur?

- Elle est bandante, mais il y a des tas de salope plus jeune et plus belle ici. Sortez, après je l'abats.

- Monsieur, s'il vous plaît, ne la tuez pas.

- Pourquoi, c'est une bonne prof?

- Non, c'est une salope. Raciste, elle nous punit pour rien, plusieurs élèves noir de notre classe ont été exclu sans raison par elle.

- Alors pourquoi tu veux la sauver?

- Pour les venger. Puis Aline préférera sûrement qu'on la punisse plutôt qu'une balle dans la tête. N'est-ce pas Aline?

La femme fait un signe de tête affirmatif.

- D'accord, elle est à toi. D'autres volontaire?

Tout les élèves levèrent leurs mains. Le colonel se tourne vers ses soldats.

- Je reste avec eux pour voir ce qu'ils vont lui faire. Vous allez vous amuser avec des élèves ou des profs, à moins que vous préférez rester ici.

Les deux soldats sortirent. Le colonel revint à Aline Arthur.

- Si tu subits ta punition, en obéissant bien, je te laisserais la vie sauve, sinon, je t'abats quand ils auront finis. Compris?

Nouveau signe de tête affirmatif de la prof. Le colonel se recule alors contre la porte. Il regarde le jeune qui a parlé.

- Elle est à vous. Vu que c'est toi qui a eut l'idée, je te laisse prendre les choses en main.

- Merci monsieur.

- Et toi la pute, ma menace est toujours d'actualité!

Le gamin s'approche de sa prof. Elle est toujours agenouillée, en larmes.

- Debout.

- La prof s'exécute.

- A poils!

Aline le regarde, hésite à le supplier, mais la main du colonel posée sur la crosse de son arme l'en dissuade. Elle descend les bretelles de sa robe d'été, la laissant glisser au sol. La femme à le corps bronzé, encore ferme malgré son âge. Ses seins, environs du 85 B, sont en forme de poire, avec de petites aréoles brune, de petits tétons. Cette chienne doit faire seins nus, sa poitrine est autant bronzé que le reste de son corps. Ses seins, bien que légèrement tombant, sont encore ferme. Le jeune porte, en tremblant une main sur le sein gauche de la femme. Aline sursaute, en lâchant un petit geignement. Le jeune apprécie, c'est le premier sein qu'il touche. Il le malaxe doucement, comme si il a peur de le casser. Il le lâche, recule d'un pas.