Révolte 07: Un An Déjà! La Suite.

Informations sur Récit
la commémoration bat son plein.
9k mots
4.4
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1

Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/22/2018
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Je profite aussi de ce chapitre pour passer un message personnel. Le français n'étant pas ma langue de naissance, je sais que je fais pas mal de fautes d'orthographes et de grammaire. En effet si à l'oral cela passe, cela passe plus difficilement à l'écrit. Cela peut gêner certains lecteurs, ce que je comprends parfaitement et m'en excuse devant eux.

Sinon, n'hésitez pas à laissez des commentaires, cela permet de voir quelle direction donner à l'histoire. Présente ou futur. Merci à vous et bonne lecture.

Sankara Diolla s'occupa ensuit d'un autre soldat. Un sergent. Ils venaient de prendre possession d'une prison privé près de la capitale. En libérant les prisonniers. Le sergent et vingt-huit hommes avaient été laissé libre de s'amuser. Ils avaient pris un camion de transport de troupes. Ils roulés vers la capitale quand ils ont croisés deux étudiantes japonaises. Les deux filles, magnifique, n'étaient pas au courant de la révolte. Elles allaient prendre le bus. Le camion à brutalement freiné. Voyant les deux japonaises, tous ont compris. Ils se sont jetés sur elles. Les violant de partout. La légende dit vrai, les asiatiques sont vraiment plus étroite que les autres. Aujourd'hui elles font toujours les putes sur la base du sergent.

Le suivant était un ancien prisonnier. La prison privé n'était pas mixte, et assez petite. Seulement trois cents prisonniers pour cinquante gardiens. Gardiens qui avaient la particularité d'être toutes des femmes. Seul le directeur et le médecin étaient des hommes anglefricains. C'est le directeur qui fit ouvrir les cellules. Les gardiennes mangèrent chères. Elles mangent encore d'ailleurs, mais ont été rejointe dans leur enfer par d'autres prisonnières étrangères.

Ensuite il y eut un jeune fermier, baba, qui lui raconta son histoire. La plus bizarre de toutes. Ils étaient une trentaine de jeune civils, tous travaillant soit dans les fermes, soit dans les mines. Tous avaient dix-huit ans, et vivaient dans un taudis servant de dortoir pour de jeunes travailleurs anglefricains. A l'annonce de la révolution et l'autorisation de faire ce qu'ils voulaient aux étrangers, ils étaient partis en chasse. Ils avaient choisis une maison que l'un d'eux connaissaient un peu. Il avait déjà vu une des filles, environs vingt-cinq ans, blonde, canon. Ils avaient défoncé la porte. En arrivant dans le salon, ils avaient été surpris. Une fille d'environs vingt ans était allongée sur le canapé. Sur le ventre, nue, du sperme coulant de ses fesses, ne laissant aucun doute sur la sodomie qu'il venait de se passer. On voyait aussi qu'elle n'était pas consentante. Mais le plus bizarre, autour, il y trois autre femmes d'environs cinquante ans, plus quarante-quatre autres filles, de dix-huit à trente-trois ans. Ainsi qu'un homme d'une cinquantaine d'année lui aussi. A sa bite encore dressée, les jeunes virent que le violeur c'étaient lui. Il sourit aux jeunes, qui était tellement surpris que aucun ne fit un geste ou ne dit un mot. - Des révolutionnaires je présume? Seul Baba put répondre. - Oui. - Parfait, je vous attendez. - Pour quoi faire? Baba méfiant posa la main sur sa machette qu'il porte à sa ceinture. - Non, pas pour me battre. L'homme tendit une lettre au jeune qui la prit. Il était un des rare à savoir lire. La lettre portant le signe du général Abdou, stipule que cet homme est un des rare blancs à avoir aidé pour la révolution, et que par l'occurrence, il est intouchable. Baba la lit à ses amis. Puis triste de ne pouvoir profité de ces filles nus, ils regardent l'homme. - Désolé pour la porte, on va y aller. - La porte ce n'est pas grave. Puis vous n'y allez pas. - Pourquoi? Vous allez porter plainte contre nous? - Non, non. Vous étiez près à vous battre pour votre cause. C'est louable, je vais vous récompensé. Baba ne comprend pas trop. - Comment? - Vous verrez. Mais avant laissez moi vous racontez mon histoire. - D'accord monsieur. - Les trois vieilles putes, ce sont mes sœurs, elles ont cinquante, cinquante-deux ans et cinquante-quatre ans. C'est les mamans de toutes les autres filles. Elle en ont pondu une de leurs dix-neuf ans, à leurs quarante-trois ans qu'elles soient ménopausées. Toutes au même âge, mais pas en même temps.

Baba l'interrompt. - C'est quoi la ménopause? - C'est quand une femme n'a plus ses règles et ne peut plus avoir d'enfant. - D'accord. Et les pères? - C'est moi. - Avec vos sœurs? - Oui, donc les jeunes putes sont mes filles. Ou mes nièces, ou mes filles-nièces, c'est comme tu veux. Ça te gêne? - Non, j'aurais bien aimé baiser mes sœurs, au moins je ne serais plus puceau. - Tu aurais dû, c'est le pied. Surtout si comme ces putes, elles ne sont pas consentantes.

- Bon, maintenant il est temps de vous dévoiler ma surprise. Vous pouvez baiser celle que vous voulez. Tout le temps que vous voulez. Le nombre de fois que vous voulez. Vous pouvez toutes les baiser, vous pouvez les baiser à deux ou plus. Ces chiennes ont l'habitude. Je les prostituent souvent à des amis, ou par des annonces internet. Les jeunes regardent les filles avec gourmandise. - J'ai des cartons de pilules sexe-dure pour ceux qui le veulent. Allez mes amis, c'est partit. L'homme retourna alors avec la fille allongée sur le canapé. Il la fit se retournée, se coucha sur elle et lui viola le vagin. Pour les autres ce fut une véritable partouze.

Le jeune finit de raconter son histoire au psy. - La moitié d'entre-nous vivent désormais là-bas. Moi y compris. Toutes les jeunes sont soit enceintes, soit pour cinq d'entre-elles, ont déjà accouché. Toutes de petites métisses. - Et les enfants? - Les filles sont placées dans une maison appartenant à Jay, le vieux. Il a du personnel qui les élèvent comme leurs enfants. Puis le jour de leurs dix-huit ans, elles rejoignent la villa...

Le psy regarde le jeune partir. Il referme ses dossiers, il a eut son compte pour la journée. Il bande comme un taureau. Il est temps d'aller retrouver sa petite putain américaine pour se vider avec. Surtout que certaines des histoires qui lui ont été racontée lui ont donné des idées. En tout cas le nouveau gouvernement c'est fait du souci pour rien. Il en a discuté avec des collègues, tout les héros de la révolution vont bien.

Le soir un gigantesque repas fut organisé. La nourriture et l'alcool coule à flot. Ensuite ceux qui le veulent peuvent aller au bal organisé par le gouvernement, où aller boire un verre sur le bord de la plage. Des centaines de tables avec chaises ont été dressé pour l'occasion. Là, chacun se vante de ses exploits durant la courte durée de la grande purge. Puis d'exploit guerrier, ils coulent vers les exploits sexuel. L'ambiance est festive, tous boivent ou fument. Les rires fusent, les grandes gueules font rire les autres. Un géant black raconte ses exploits avec une chinoise. Il raconte à se marrant, qu'elle avait vingt-cinq ans, mais mesure un mètre cinquante pour quarante kilos. Avec un tout petit cul plat, et de petit seins. Quand il la met nue, il mesure son membre par rapport au corps de la chinoise. Il lui arrive entre les seins. Prit d'un fou rire, il raconte comment elle a hurlée quand il lui à mis sa queue dans la chatte de l'asiatique. Puis dans son cul. Quand il lui a violé la bouche, il a crut que sa bite allait ressortir par l'anus de la fille, tellement il est allez loin. Avec une lueur de regret, il dit que par contre elle est super élastique. Aucune déchirure grave. La preuve, elle est maintenant à lui et attend leur enfant.

Un gars plus âgé, raconte l'attaque de la « Financial Beach. ». Au début c'était la banque des banquiers et des traders. Puis peu à peu c'est devenu la plage des riches et des stars. La plage à été attaqué par plusieurs centaine d'hommes. Il y avait des soldats, des flics, des fermiers, et beaucoup de citadins pauvre. Tous étaient armés. Des zodiacs de l'armée furent chargé de faire revenir sur la plage les baigneurs, les scooters des mers et autres pédalo. Tout ce qui n'est pas majeur est emmené par les services sociaux. Les autres restent sur la plage. Les hommes sont menottés et emmenés eux aussi dans des dizaines de camions de transport de troupe. Pour les femmes ce fut des dizaines de jours et de nuits d'agression sexuel. Les hommes se sont jetées sur toutes ces chiennes en maillots de bains. Les une pièces, les monokinis, les bikinis, tout a été arracher de leurs propriétaire. Les bites ont forcées les orifices féminins, des hurlements ont jaillit de partout. Les coups aussi, juste pour le plaisir ou pour faire tenir la putain tranquille.

Lui raconte en riant, comment il s'est fait une jeune danoise. Vingt ans, blonde, une jolie paire de seins. La pauvresse n'était plus vierge ni de la chatte, ni de l'anus. Mais là, elle a quand même morflée. A la fin, en se marrant comme un dingue, il raconte que c'est avec son flingue qu'il l'a violée, par devant comme par derrière. La rendant folle de terreur en lui faisant croire qu'il allait tirer. D'ailleurs cette conne est toujours à lui. A lui et à ses cinq frères. Elle mange des dizaines de queues par jour.

Ensuite c'est un flic qui parle. A chaque table, chacun raconte son histoire, l'alcool coule à flots, cela devient une vraie beuverie. La nouvelle de la chute du président à vie n'est pas encore tomber. L'homme est chargé de l'accueil du commissariat. Une jeune femme d'environs dix-huit-vingt ans rentre dans le poste de police. Il est vingt heures. A ce moment, la révolution vient tout juste de commencer. Elle est pratiquement nue. Ses vêtements en lambeaux, enfin son seul chemisier blanc, heureusement assez long, ne couvre que son vagin et ses seins. Et encore si elle les tiens avec ses mains. La fille est splendide, cheveux châtain, long, ondulé. Sa peau est bronzée. Environs un mètre soixante-dix, mince, avec des formes que l'on devine pulpeuse. Les parties visible de son corps sont couvertes de bleus. Il y a du sang et du sperme sur les jambes de la fille. Son visage est splendide. Enfin d'un côté. L'autre est couvert de bleu, son œil gauche est fermé, boursouflé. Elle avance en titubant et geignant de douleur. Elle s'approche du policier. Il la regarde. Il sait ce qu'elle vient de vivre, rien qu'en la voyant tout le monde saurait qu'elle vient d'être violée. Mais lui suit la procédure. La fille pleure de tout son saoul. - Bonjour mademoiselle. - Bonjour... Elle parle doucement, avec difficulté. De près, le policier voit qu'elle a du sperme séché à la commissure des lèvres. - C'est pourquoi? - Je veux... porter... plainte pour viol... - D'accord. Nom, prénoms, âge, nationalité. - Jess Ingal, dix-huit ans. Je suis américaine. Le policier note tout. - Motif de la plainte? - Viol. - D'accord. Vous avez vu un médecin? Vous avez pris une douche? Il sait que non, sinon ce serait l'hôpital ou le docteur qui aurait appelé la police. Mais il suit la procédure. Il se délecte de ce que vient de subir cette pute étrangère. Il espère que c'est des blacks qui l'ont violée. Mais néanmoins il fera très bien son métier. - Non, ni médecin, ni douche. - D'accord, je vais faire venir un médecin. Il vous examinera. Une dernière chose, nombre de violeurs et orifice violé? - Quoi? - Par combien d'hommes avez vous été violée et dans quel endroit du corps. - Cinq hommes. La bouche... le vagin... l'anus... - D'accord. Asseyez-vous. Le médecin va venir vous chercher. Puis ce sera un inspecteur. - Merci... Le policier qui se prénomme Lobo la regarde s'asseoir. Le sein droit dépasse un peu. Il voit le jolie téton tout rose. Ainsi que les traces de morsures et de brûlures de clopes dessus.

Deux minutes plus tard, un black imposant vient la chercher. C'est le légiste. Il la garde une demi-heure. Quand il revient, il la fait asseoir. - L'inspecteur qui va prendre votre déposition ne va pas tarder. Le légiste s'éloigne et s'approche de Lobo. Ce dernier le regarde. - Alors toubib? - C'est bien un viol. Anal, buccal et vaginal. Sans capotes, avec éjaculations internes et externes. La pauvre fille à manger cher. Surtout qu'elle était vierge. - Elle vous l'a dit? - Non, je l'ai vu à l'examen. En plus elle est au maximum de son ovulation. Ils l'ont sûrement mise enceinte. - Nombreux viols? - Au moins une centaine en tout. Par quatre ou cinq hommes. J'ai fais des prélèvements, je le saurais bientôt. - Elle ne vous a rien dit? - Non, elle a dit que c'est très dur, qu'elle préfère n'en parler qu'à celle ou celui qui prendra sa plainte. - Des blessures? - Non, das tas de contusions externes, mais rien ne nécessitant une opération. Quand à son vagin et son anus, il y a de multiples petites déchirures et petites fissures. Ce sera douloureux, mais nul besoin de faire quoi que ce soit. L'anesthésie serait plus dangereuse que le gain de l'opération. - OK, je comprends. - En tout cas, ils ont dut s'éclater. Tu verrais le corps fabuleux qu'elle a. Une putain de paires de seins, et un petit cul merveilleux. Je pourrais, je me la ferais aussi. - Et moi donc. Malheureusement on a pas le droit. - Hélas. - Vous lui avez laissé ses vêtements, enfin son chemisier? - Oui, je le prendrais après. Je lui dirais avoir oublier de le saisir, en lui donnant un truc de rechange, mais pour le plaisir des yeux, devant une si superbe créature, j'ai préféré la laisser comme cela. - Bonne décision. - Bon, je retourne à mon bureau, j'ai le compte-rendu de l'examen à taper.

Dix minutes plus tard, un géant black arrive à l'accueil. Il se dirige vers Lobo. - Tu veux m'assister pour le dépôt de plainte pour l'américaine violée? On est en manque d'effectif et il faut être deux. - Avec plaisir inspecteur. Lobo se fait remplacer par un collègue. Le géant se dirige vers Jess. - Je suis l'inspecteur Marius. Suivez-moi mademoiselle. La jeune fille se lève, serrant son chemisier contre son corps. Lobo ferme la marche. Il a un belle vue sur le bas des fesses, laisser à l'air par le tissu, de la fille. Ils entrent dans un bureau. Marius se met à sa place, face à lui, il y a Jess et assis à côté, Lobo. Marius - prend la parole. - Vous venez donc déposer plainte pour viol. Racontez-moi ce qu'il c'est passé. - Mes parents sont partis dans le sud du pays, pour deux semaines. Comme j'ai eus dix-huit ans il y a une semaine, et que j'ai des révisions pour le bac à faire, ils m'ont laissé seule. Avant-hier... - Avant-hier? Oui, ils m'ont gardé jusque à aujourd'hui. J'ai... vu la date sur... le journal... à l'accueil, c'est là que j'ai... compris le temps qu'ils m'ont gardé... Je n'ai eus aucune... notion du temps... quand on se fait violée... et torturée... le temps passe lentement. - Je comprends, reprenez donc à avant-hier. - J'ai révisé toute la journée de sept heures du matin, à treize heures. Sans pause. J'ai donc cessé de réviser pour manger un bout. Comme je me sentais lourde, j'ai décidée d'aller courir une bonne heure et de reprendre mes révisions ensuite. Le policier la regarde. - Vous allez courir en chemisier, vous? - Non, j'avais un short et un soutien-gorge de sport. Le chemisier vient d'une autre fille. Ils ont dit que j'étais la dixième, mais que aucune n'avait portée plainte. Ils m'ont dit aussi, que pour s'amuser, ils laissent un des vêtements de la précédente, à la suivante. Pour la prochaine, c'est mon soutien-gorge de sport qu'ils laisseront. - D'accord. Il y en a donc eus neuf autres? - Oui, à ce qu'ils ont dis. Ils ont dis aussi, que je pouvais porter plainte. Pour prouver leurs dires, le chemisier de la fille porte son nom collé sur le col. C'est aussi une étudiante. - Bien on vérifiera plus tard. Continuez votre histoire. - D'accord. Donc je cours autour de chez moi. C'est dans la forêt, il y a une route, déserte certes, mais asphalté. Donc je profite du paysage tout en ayant un cadre sympathique. - Je comprends. - J'étais au milieu de mon parcours, quand un van est arrivé. Je me suis mise au plus près du bas-côté. Arrivé à ma hauteur, le van c'est arrêté. La porte latéral s'est ouverte, et deux hommes m'ont mise à l'intèrieur. - Vous ne vous êtes pas débattus? - Si, j'ai même crié, mais ils étaient trop fort. Un homme de plus est même descendu pour les aider. Ils étaient quatre à l'intèrieur, plus un qui conduisait. Tous noir. -Il y en a beaucoup dans le coin. Vous pourriez faire un portrait robot? - Oui, des cinq. - D'accord continuez. - Une fois à l'intérieur, j'ai continuée à me débattre. C'est là qu'ils m'ont frappée. Au visage et au ventre. Surtout au visage. Les bleus, c'est ça. Ils ont tapés jusque à ce que je me calme. Ils m'ont retiré mes vêtements. Là le premier m'a violée. J'étais vierge. - Le véhicule roule toujours à ce moment? - Oui, il a roulé le temps des trois premier viols.

Jess se tait quelques instants pour pleurer. Marius pousse vers elle une boîte de mouchoir blanc. La jeune fille se mouche. - Les trois ont jouis en moi. Puis le véhicule à stoppé. Le quatrième m'a violée à ce moment. Puis le chauffeur est monté, il m'a violé à la suite de l'autre. - Vous avez jouis à un moment? Attention, je ne parle pas d'orgasme de plaisir, je parle de réaction du corps. Cela arrive. - Non, jamais. - D'accord, continuez. - Ensuite, ils m'ont fait descendre, nue, dégorgeant de sperme. On était dans une clairière, il y a un vieux hangar abandonné. Ils m'ont fait agenouillée au milieu de la clairière. J'ai dus tous les sucer. Ensuite... - Soyez plus précise sur les fellations. Comment ils ont jouis? - Le premier dans ma bouche, comme il ne m'a rien dit, j'ai recrachée. J'en avais sur mes seins, mes cuisses. Le second m'a fait avaler. Les trois autres sont allé dans ma gorge. Deux ont jouit dedans, le dernier sur mon visage. - D'accord. Ensuite. - Ensuite, ils m'ont de nouveau tous violée dans la chatte. Puis dans l'anus, tous, deux fois. - Ils sont résistants, je ne pourrais pas éjaculer autant de fois. - Ils prenaient des pilules. - Je vois, sûrement des sexe-dures. - C'était horrible. Après ils sont passé par trois. Un dans le vagin, un dans l'anus et un dernier dans le cul. Puis par quatre. Deux dans la chatte ou le cul, un dans le vagin ou l'anus, et un dernier dans la bouche. Entre, ils m'ont battus, mordus les seins, brûlé avec une clope. Puis ce fut les chiens... - Les chiens? - Oui, inspecteur, ils ont deux chiens. J'ai dus les sucer, les deux animaux m'ont pénétré aussi dans le vagin, l'anus. Ça a duré des heures. Puis ils m'ont relâché, pas loin d'ici... Jess a à peine fini sa phrase, que l'on tape à la porte. C'est le légiste. - Vous pouvez venir tout les deux?

Lobo et Marius sortent de la pièce, après avoir demandé à Jess d'attendre. Marius regarde le légiste. - Oui? - Vous la trouvez comment? Enfin physiquement? - Bonne, j'aurais aimé être à la place des violeurs. - Alors c'est possible. - Comment-ça? - C'est la révolution. Les étrangers n'ont plus aucun droit. Mieux, ont peut tout leurs faire. Y compris les violer. Les trois hommes se regardent le sourire aux lèvres. Marius va chercher un appareil photos. Ils entrent de nouveau dans la salle d'interrogatoire. Le docteur parle en premier. - Il me faudrait votre chemisier pour faire des prélèvements. - Mais je vais être nue! Là, c'est Marius qui prend la parole. - Oui, mais de toutes façons il faut que je vous prennent en photos. - Mais le toubib l'a déjà fait! - Je sais, lui c'est pour le rapport de médecine légale. Moi c'est pour le procès. Les deux ne doivent pas être prise par la même personne, ni par le même service. - Pardon, je ne savais pas. Je croyais que c'était comme en Amérique. - Pourquoi vous avez déjà été violée là-bas? - Non, pas moi. Ma sœur aînée... Marius ne lui répond pas, il se retient de lui dire que décidément le viol, c'est de famille. Jess reprend. - Elle s'est suicidée un an après... Ils l'ont violée pendant un mois... La prostituant... - Merde, ils ont attrapés ces salauds? - Non, jamais... - Nous, on les auras, je vous le jure!