Room and Board 04

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Elias tombe dans leur piège.
2.1k mots
4.27
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 08/24/2018
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elias12
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A peine arrivé à la maison, Mme Henri l'envoya faire du jardinage.

- J'aimerais que tu t'y mettes tout de suite, puis à 6h tu ranges tout, tu te changes et tu prépares tes leçons pour demain. A 7h nous mangeons. A 8h j'aimerais que tu sois sous la douche. Ça te laisse un peu de temps pour relire le livre de la paroisse avant la prière du soir.

Il était dans le jardin, encore abasourdi par le programme que lui imposait la femme et son incapacité à lui répondre ou à lui refuser quoique ce soit. Il s'était réajusté pour que sa verge tendue ne soit pas trop visible mais en l'abaissant, elle lui faisait mal tant elle était dure.

- Tu as dix minutes de retard, garçon, dit une voix ferme qui le fit sursauter

Elias se retourna et comprit que la grosse voisine s'était rapprochée de lui sans qu'il s'en aperçoive. Il avait presque oublié cette femme et son discours inapproprié avec le stress de la journée.

- mais...je...je...ne veux pas....travailler chez vous, bafouilla-t-il énervé.

Elle le fixa un long moment, jusqu'à qu'il baisse le regard.

- J'aime bien les garçons rebelles, c'est plus tonique quand j'arrive à les soumettre, dit-elle avec un air autoritaire. Mais nous avions convenu d'un rendez-vous et la politesse est de respecter ses engagements, tu ne penses-pas, dit-elle d'un ton de reproche.

- ....je....oui....mais il est hors de question que...

- Bon nous n'allons pas nous disputer dehors, viens avec moi m'expliquer tout ça, moi aussi j'ai des choses à te dire.

Il sentit la main ferme de la femme le prendre par le bras et malgré lui il se laissa emmener vers sa maison. Sa verge le gênait et l'empêchait de réfléchir. Il cherchait des arguments pour couper court à ce qu'elle voulait de lui mais il fut surprit de constater qu'ils entraient déjà dans son salon. Il la vit fermer la porte à clef et la retirer. Il resta bouche-bée alors qu'elle le poussait dans la pièce.

Elle le lâcha alors qu'elle était à coté de son fauteuil et s'assit.

- j'ai bien réfléchi et je...dit-il précipitamment sortant les mots qu'il avait préparé pour couper court à la discussion.

- Tut-tut-tut, fit-elle en l'interrompant. Tout d'abord tiens toi correctement, viens ici, face à moi, ...La femme attendit qu'il obéisse, et se mette là où elle pointait le sol. Elle le vit grimacer mais finalement lui obéir.

- Tiens toi droit, redresse les épaules, les deux bras le long du corps....voila...je veux que tes mains soient toujours soit sur le coté, soit dans ton dos, ceci à chaque fois que tu te présentes à moi, et écarte les pieds un petit peu, je veux que les cuisses soient dégagées.

Elle le vit essayer de protester, étant écarlate, jeter un coup d'œil rapide vers la porte, mais finalement lui obéir, voulant en finir en lui annonçant sa décision.

Elias rougit en sentant sa verge se libérer et se redresser lentement.

- C'est mieux, et tu gardes cette position jusqu'à ce que je te congédie et jamais avant, et c'est valable pour moi, comme pour ma femme de ménage ou bien mes amies, c'est clair? dit-elle plus fermement.

- ...je...mais...oui...mais j'ai décidé...

- Tais-toi, cria-t-elle le faisant sursauter. Il ouvrit grand les yeux, intimidé par son éclat.

- Une règle très importante à laquelle je ne dérogerais pas, tu ne parles pas, sauf si je te pose une question. Si tu as quelque chose d'important à me dire, tu me dis « Madame Barbara» et tu attends que je te donne la parole. Mais je préfère que tu te taises, je sais que tu n'as rien d'intéressant à me dire, et si tu es là c'est pour faire ce que je te demande, pas pour parler.

Elle laissa un moment passer pour lui faire bien comprendre ses mots, le fixant à nouveau jusqu'à ce qu'il baisse les yeux.

- Bien. Je vais t'expliquer comment cela va se passer chez moi. Tu te présentes à ma porte chaque jour à 16h, même le dimanche, Jacqueline est d'accord. Attention je ne tolère aucun retard, et je n'accepte aucunes excuses, alors si tu ne veux pas tester ma main sur tes fesses, soit à l'heure. Tu n'as pas besoin de te déshabiller dehors, je suis d'accord que tu rentres dans le salon, mais je veux que tu te mettes nu immédiatement. Ensuite tu plies tes habits et tu me les donnes...

La femme se tut et attendit sa réaction. elle le voyait choqué et écarlate, incapable de lui répondre. Satisfaite, elle reprit d'une voix plus douce et conciliante. - Tout est parti de travers aujourd'hui, mais j'accepte que tu commences maintenant. Tu peux retirer tes habits et me les donner pour que je t'explique la suite. Mais je te préviens, tu ne sera pas payé à cause de ton retard. Par contre je suis d'accord d'être indulgente et de prendre du temps. Je te laisse choisir mais je te conseille d'accepter, c'est plus facile lorsqu'on peut décider. Demain je ne te laisserai pas le choix.

- je...je...ne préfère pas...bafouilla-t-il perturbé et écarlate. Il n'arrivait pas à regarder la femme, son pénis était tellement dur. C'était impossible de s'imaginer nu et exposé à cette femme.

- Madame Barbara! fit-elle puissamment et le faisant sursauter

Il répéta en bafouillant.

- Bon, comme tu veux, je ne vais pas te forcer, dit-elle en souriant. Puis elle continua.

- Pour ce qui est des positions, tu connais déjà celle-ci, que tu auras à chaque fois que tu te présentes à moi, en attente d'instruction. Sinon lorsque tu me sers, peu importe, mais je ne veux jamais voir tes mains sur ton pénis ou ta bourse. A la salle de bains par contre, je veux que tu soies toujours à quatre pattes. Tu n'y seras que pour nettoyer de toute façon, c'est la bonne position. Je te montrerai demain.

Elle le fixait, voyant son visage devenir de plus en plus rouge, respirer difficilement.

- Ah, un point important, tu ne sera pas complètement nu.

Il vit la femme saisir un objet sur la table et lui donner. Il prit dans sa main une sorte d'anneau en acier brillant, lourde. Il était confus.

- Tu ne sais pas encore ce que c'est, mais ça va devenir rapidement un objet familier pour toi, car tu vas le porter tout le temps chez moi.

Il la vit ouvrir son chemisier lentement. Il resta paralysé par cette succession de mots et de gestes qui le perturbaient. Il ne put détacher son regard du décolleté qui s'agrandissait. Ses seins volumineux se découvraient lentement, la peau était blanche et fine. Elle s'arrêta brusquement et plongeât sa main entre ses seins exposés. Il retint sa respiration alors qu'elle la sortait en tenant une fine clé attachée à un collier doré. Elle releva son visage, le surprenant dans son voyeurisme.

- Donne-moi l'anneau, dit-elle en tendant l'autre main.

Elle le reprit de ses mains et le travailla avec la clé, ouvrant l'objet en deux.

- Après m'avoir donné tes habits, tu te positionneras contre mes genoux, les jambes écartées pour que je t'équipe avec l'anneau. Je sais que tu penses déjà, qu'il est trop lourd pour toi, mais en fait c'est le plus petit et le plus léger. J'en ai des plus grands et lourds que je te mettrai dès que ton sac sera suffisamment étiré, dit-elle en montrant un autre anneau plus massif sur l'étagère.

La femme le reposa sur la table, ce qui fit un gros bruit. Il ne respirait plus essayant de comprendre mais refusant. Elle releva la tête et vit sa confusion.

- L'anneau est très important, il m'assure la soumission du garçon et lui rappelle constamment sa place. Il pèse au repos, lorsque tu marches, si tu changes de position, tu le sens tout le temps. En plus j'aime bien les garçons avec un sac étiré et des testicules qui pendent. A ton âge le scrotum est serré et l'anneau permet de l'étirer graduellement. Avec certains cela va lentement et il faut plusieurs semaines pour l'allonger suffisamment. Mais parfois les couilles descendent jusqu'à mi-cuisse rapidement.

La femme éclatât de rire. Il avait envie de pleurer, voulant s'échapper, mais n'arrivait pas, comme hypnotisé par la femme.

- Mais en général je m'arrête au moment ou le sac pend suffisamment pour pouvoir le saisir avec ma main.....les testicules en dessous, dit-elle en serrant le poing fortement, sa main devenant blanche et montrant du doigt l'endroit où elle voulait voir les testicules.

- Chaque garçon réagit différemment, certains gémissent et pleurnichent presque tout le temps, d'autres ont des érections involontaires qui ne les lâchent pas même si je les fais éjaculer plusieurs fois de suite. Je suis impatiente de voir comment tu vas réagir, dit-elle en souriant.

La femme s'arrêta de parler, attendant une réaction de sa part. mais il restait muet, ne sachant pas que dire, hormis qu'il refusait tout et qu'elle était folle. Pour parler il savait qu'il devait demander avant et ne voulait pas le faire.

- Bien garçon, je suis contente de toi, dit-elle en le voyant silencieux. Jacqueline m'a dit que tu n'es pas circoncis, dit-elle en pointant son entrejambe. Je crois qu'elle indifférente mais moi je préfère un garçon avec un gland exposé. Je m'occuperais de ça rapidement, je sais couper les prépuces, ce n'est pas une grande affaire.

Il restait muet, de plus en plus malade. Sa verge pulsait et était maintenant complètement dressée vers le haut.

- Aujourd'hui je voulais simplement t'expliquer les bases pour que tu puisses commencer demain sans faire d'erreur. Mais je peux te mettre l'anneau pour essayer si tu désires connaître son effet, ou bien tu peux attendre demain que je le mette comme prévu.

Il resta muet, comme paralysé.

- Tu peux parler garçon, dit-elle d'une voix plus douce

- ...je....non.....je ne veux pas......Madame, rajouta-t-il finalement en la voyant froncer des sourcils.

- Parles correctement, la phrase en entier ; Madame, j'aimerais attendre demain pour que vous me mettiez l'anneau.

Elias bafouilla la phrase, n'arrivant pas à dire autre chose.

- Tu es certain garçon? Tu n'as que me laisser faire, je ne te mets pas nu, je sors juste ta bourse du pantalon et te passe l'anneau. Comme cela tu sais à quoi t'attendre demain et tu sera moins nerveux cette nuit.

-.....euh....je suis certain Madame....

- Bon, tiens, prends-le, comme cela tu peux le tester. Demande à Jacqueline de te le mettre après avoir pris une douche chaude, ton sac sera plus détendu, et ne craint pas de rester bloqué, il faut une clé pour le fermer.

-Bon, fit-elle brusquement en se levant. Il recula intimidé.

Elle le prit par l'épaule et le conduit vers la porte. Elle s'arrêta et le toisant, lui glissa sa main dans les cheveux.

- Je t'attends à 16h, et n'oublie de prendre l'anneau, c'est celui que tu porteras dorénavant, dit-elle en le poussant dehors.

Il était seul dans le jardin et remarqua qu'il sanglotait. Il ne comprenait pas. Elle était folle et il savait qu'il ne devait pas tomber sous son influence. Il pourrait fuir ce soir, mais ne pouvait pas quitter l'école. Il mit l'anneau dans sa poche pour le cacher et rentra dans sa maison, n'arrivant pas à rajuster son pénis.

Il était couché et pensait à ce qu'il s'était passé. Il s'assit dans son lit, vit que tout était calme et baissa son pyjama. Sa verge était dilatée comme jamais. Avec sa main il sera ses testicules les tirant vers le bas et grimaça de douleur. Il sortit l'anneau de sous le lit et l'ouvrit, le plaçant sous sa bourse et essaya de le refermer. Il sentit ses deux testicules se serrer n'arrivant absolument pas à fermer l'anneau. Il essaya à plusieurs reprises mais sans succès. Il abandonna et réalisa que sa verge était tendue et pulsait. Il eut soudainement honte et rangea l'anneau.

Il se releva brusquement. Il avait mal dormi et beaucoup transpiré. Mme Henri avait du le secouer pour le réveiller.

- Aller dormeur, sous la douche garçon. ça va aller ou tu veux que je t'aide à te laver, demanda-t-elle en le voyant à moitié endormis

- ...non...non....merci Madame, dit-il alarmé en se levant brusquement.

Elle le regarda quitter son lit, son pyjama était froissé et mouillé. Il bandait encore et sa verge tendait le pyjama de manière indécente. Elle sourit en voyant qu'il ne s'était pas rendu compte de son état. Elle était contente des résultats de son amie, le garçon était chamboulé. Elle l'avait vu essayer l'anneau hier soir, dans son lit. Elle savait qu'il ne lui demanderait pas de lui passer l'anneau. Elle allait laisser son amie progresser avec le garçon, puis elle irait leur rendre visite pour l'admirer et lui faire comprendre qu'elle savait et qu'elle appréciait sa nudité et son asservissement. Elle savait aussi qu'il n'allait pas se rendre spontanément chez son amie, comme chaque garçon au début, mais elles avaient tout prévu.

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Anonymous
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9 Commentaires
Forlab16Forlab16il y a plus d’un an

Quel récit incroyable !

Dommage qu'il n'y ait pas de suite.

Toutefois, j'aimerais bien aussi être le soumis d'une maîtresse bien mûre

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Quel dommage que l'histoire s'arrête là... Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
Brilliant

Very wicked and sexy plot from the perverse ladies upon the (un)fortunate young male. Thank you

K

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans

Excellent Histoire bien écrite et qui distille lentement la prise en main de ce garçon malgré son non consentement. Je suis très excité et… jaloux

Aurailiens

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